Elle permettrait de clarifier les valeurs de l’apprenant, de repérer les faits, de tisser des liens entre les concepts, ainsi que de proposer des solutions pertinentes en lien avec une problématique éthique. Myser, Kerridge et Mitchell (1995) proposent également l’étude de cas comme stratégies d’apprentissages pour enseigner l’éthique.
Des évolutions significatives ont ainsi vu le jour dans l’extension de l’enseignement des sciences humaines et de l’éthique au-delà de la première année, notamment en instaurant un tronc commun avec un module « santé, société, humanité » (SSH) dans le deuxième cycle (« l’externat »), auxquels s’ajoutent des modules complémentaires facultatifs.
Depuis la fondation de l’OMS il y a 60 ans, l’éthique a été au cœur de sa mission de protection et de promotion de la santé des communautés du monde entier. De nombreux programmes et départements, de même que les bureaux régionaux, ont mené des activités dans ce domaine.
Par ces valeurs d’éthique, d’équité, et de transparence, elle est devenue aujourd’hui une véritable autorité de référence dans le domaine de la santé en matière de qualité et d’accès aux soins, de respect du patient et du donneur [7].