La présence du certificat accompagné de la clé publique de l’émetteur devrait notamment permettre de vérifier l’authenticité, la validité et l’intégrité du certificat. À des fins de prévention et de détection des fraudes, les États membres devraient pouvoir échanger des listes de certificats révoqués.
les métadonnées du certificat, telles que l’émetteur du certificat ou un identifiant unique du certificat. Les données à caractère personnel sont incluses dans le certificat de rétablissement conformément aux champs de données spécifiques indiqués au point 3 de l’annexe.
un certificat confirmant que, à la suite du résultat positif d’un test TAAN effectué par des professionnels de la santé ou par du personnel qualifié chargé des tests, le titulaire s’est rétabli d’une infection par le SARS-CoV-2 (ci-après dénommé "certificat de rétablissement").
Afin de garantir un niveau élevé de confiance dans l’authenticité, la validité et l’intégrité des certificats, les États membres devraient, si possible, donner la priorité à l’utilisation de cachets électroniques avancés tels qu’ils sont définis à l’article 3, point 26, du règlement (UE) n o 910/2014 du Parlement européen et du Conseil ( 7).