R A P P O R T D A C TIVITÉ S 2010
notamment le cas du grand pèlerinage de mai à Lourdes qui règne dans une communauté fondée plus ... siècles durant
Princesses et Renaissance(s) - La commande artistique de
Le règne la figure et la postérité d'une princesse européenne / Mary of d'Autriche »
polonais hongrois
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00785359/document
Bulletin
Visite de travail au Luxembourg du président autrichien Pendant son discours prononcé lors du petit déjeuner-débat du European Policy Centre
Croyances religieuses et destinées individuelles dans le roman
10 mar. 2014 remarquable étude de Michel Durand : « Les Martyrs Les derniers jours de ... autrichien cherche à se désillusionner
La Légende Dorée conservée à la Bibliothèque Municipale de
Durant le règne de Charles VII ce manuscrit a appartenu à Raoul de Gaucourt (1371 – 1462)
Patronnes et mecenes au coeur de la Renaissance francaise
Revenons au début du règne de Charles VIII au moment où Anne de. France prend la régence en main. La cour hante alors surtout le château d'Amboise.
Réseaux de villes et recompositions interterritoriales dans lespace
8 jan. 2015 La Suède a déjà pris le port de Narva pendant la guerre de Livonie ... dotés d'un esprit de mécénat qui aurait régné pendant la Hanse.
Impag FRANCESE 2014 copia
14 sept. 2013 annuelle publiée en cinq langues
4 | 1991
VoixÉdition électronique
URL : http://journals.openedition.org/ethnomusicologie/1557ISSN : 2235-7688
Éditeur
ADEM - Ateliers d'ethnomusicologie
Édition imprimée
Date de publication : 1 octobre 1991
ISBN : 978-2-8257-0431-8
ISSN : 1662-372X
Référence électronique
Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 1991, " Voix » [En ligne], mis en ligne le 16 novembre 2011, consulté le
06 mai 2019. URL : http://journals.openedition.org/ethnomusicologie/1557
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Le thème de ce quatrième volume est celui de la Voix dans les musiques traditionnelles.Chantée ou parlée, celle-ci est l'organe essentiel de la communication. Dans de
nombreuses civilisations, elle constitue en outre la référence suprême de la musique instrumentale, dont les critères d'excellence reposent justement sur son aptitude à imiter la voix, à en reproduire le timbre et les inflexions. La notion d'esthétique musicale est éminemment culturelle, et l'existence d'innombrables techniques vocales relativise la conception occidentale de pureté de la voix. Une telle diversité suscite aujourd'hui des recherches de plus en plus approfondies, sur les plans tant sémantique et anthropologique que musicologique. Les contributions à ce Cahier en fournissent un large panorama.Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19911
SOMMAIREÉditorialLa RédactionDossier : VoixLa technique vocale du nô et son esthétiqueAkira Tamba
Chine : le xiao, ou souffle sonorisé
François Picard
Recherches expérimentales sur le chant diphoniqueHugo Zemp et Trân Quang Hai
Mantra. Les principes du langage et de la musique selon la cosmologie hindoueAlain Daniélou
La voix et les techniques vocales chez les Arabes
Amnon Shiloah
Les techniques du chant villageois dans les Alpes dinariques (Yougoslavie)Ankica Petrovi
La voix claire. Conceptions esthétiques et valeurs sociales des chanteurs de la Gruyère (Suisse)Sylvie Bolle-Zemp
Le kan ha diskan. À propos d'une technique vocale en Basse-BretagneYves Defrance
Continuité, rupture, ornementation. Ou les bons usages de la transition entre deux modes d'émission vocaleMichèle Castellengo
La technique du jodel chez les Pygmées Aka (Centrafrique). Étude phonétique et acoustiqueSusanne Fürniß
Un microcosme musical. Les chants des Xetá du BrésilDesidèrio Aytai
Exactitude d'intonation et précision de l'ensemble dans la musique de l'Australie centraleCatherine J. Ellis
Entretiens
Du folklore musical à l'ethnomusicologie. Entretien avec Diego CarpitellaPropos recueillis par Maurizio Agamennone
Maurizio Agamennone et Diego Carpitella
Voir la voix. L'Orient et l'Occident de soeur Marie KeyrouzPropos recueillis par Laurent Aubert
Laurent Aubert et Marie Keyrouz
Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19912
Le pèlerinage aux sources. Mohamed Reza Shadjarian au TadjikistanPropos recueillis le 21 avril 1990 à Douchanbé (Tadjikistan) par Sorour Kasmaï et Henri Lecomte
Mohamed Reza Shadjarian, Sorour Kasmaï et Henri Lecomte L'essence du cante flamenco. Entretien avec Calixto Sanchez Propos recueillis et traduits de l'espagnol par Laurent AubertCalixto Sanchez et Laurent Aubert
Comptes rendus
Livres
Ethnomusicology and the Historical Dimension. Papers Presented at the European Seminar in Ethnomusicology, London, 20-23 May 1986 Edited by Margot Lieth Philipp. Ludwigsburg : Philipp VerlagVeit Erlmann
Anthony SEEGER. Why Suyà Sing. A Musical Anthropology of an Amazonian PeopleCambridge : Cambridge University Press, 1987
Riccardo Canzio
Horacio SALAS. Le tango
Essai traduit de l'espagnol par Annie Morvan. Arles : Actes Sud, 1989Michel Plisson
Ruth M. STONE. Dried Millet Breaking. Time, Words, and Song in the Woi Epic of theKpelle
Bloomington/Indianapolis : Indiana University PressVeit Erlmann
Bernard LORTAT-JACOB. Chroniques sardes
Paris : Julliard, 1990
Laurent Aubert
John BAILY. Music of Afghanistan. Professional Musicians in the City of HeratCambridge : Cambridge University Press, 1988
Jean During
Keith HOWARD. Korean Musical Instruments : A Practical GuideSeoul : Se-Kwang Music Publishing Co., 1988
Lucie Rault-Leyrat
Keith HOWARD. Bands, Songs and Shamanistic Rituals : Folk Music in Korean SocietySeoul : Royal Asiatic Society, Korea Branch, 1989
François Picard
Disques
Brésil : le monde sonore des Bororo | Brésil central : chants et danses des IndiensKaiapó
Jean-Michel Beaudet
ASPIC : une collection de disques de musiques sud-américainesMichel Plisson
Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19913
Polyphonies vocales des aborigènes de Taïwan : Ami, Bunun, Païwan, RukaïLucie Rault-Leyrat
FilmsJüüzli du Muotatal. Quatre lms de Hugo Zemp
John Baily
Rectificatifs
Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19914
ÉditorialLa Rédaction
1 Chantée ou parlée, la voix est l'organe essentiel de la communication. Support du Verbe
dans la cantillation rituelle, véhicule de la mémoire collective à travers l'énoncé des
mythes, elle est un agent identitaire puissant, dont les effets se mesurent, par exemple, dans la pratique du chant communautaire. La voix est aussi le vecteur des sentiments : laberceuse de la mère tranquillise le bébé ; le chant de l'amoureux séduit la bien-aimée.
Relevons également que la voix peut accompagner les actions les plus diverses, comme en témoigne la distribution quasi universelle des chants de travail.2 Dans de nombreuses traditions, la voix constitue la référence suprême de la musique
instrumentale, dont les critères d'excellence reposent justement sur son aptitude à imiter la voix, à en reproduire le timbre et les inexions. Et pourtant, an de devenir " musical », le son de la voix est parfois altéré au point de se confondre avec celui d'uninstrument, car la parole chantée n'a pas le même rôle que la parole parlée ; elle doit donc
s'en distinguer déjà par son mode d'émission.3 La notion d'esthétique vocale est éminemment culturelle, et l'existence d'innombrables
techniques vocales relativise la conception occidentale de pureté de la voix. Ailleurs, c'est au contraire sa stridence, sa raucité ou son caractère nasillard qui l'emporte. Parfoismême, c'est l'émission des harmoniques qui prévaut, la fondamentale étant alors réduite
à une sorte de bourdon. Une diversité comparable peut être observée dans les procédés de
combinaison polyphonique ou d'ornementation vocale.4 Un tel foisonnement suscite des recherches de plus en plus approfondies, tant sur le plan
sémantique que musicologique. Il faut aussi souligner le succès grandissant d'instruments d'analyse sophistiqués comme le sonagraphe et l'échantillonneur, dont les ressources ont orienté plusieurs des contributions à ce Cahier. Dans un tel domaine, la complémentarité des méthodes de l'anthropologie sociale et de celles de l'analyse musicale s'avère particulièrement fructueuse, car elle permet de dégager les traits constitutifs du principal moyen d'expression de toute culture.Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19915
Dossier : Voix
Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19916
La technique vocale du nô et son
esthétiqueAkira Tamba
1 L'usage de la voix dans la musique traditionnelle japonaise est extrêmement riche,
comme l'atteste le grand nombre de genres musicaux fondés sur la voix avec accompagnement instrumental. Ainsi peut-on citer le shômyô, chant liturgique bouddhique ; le Heikyoku, chant narratif de l'épopée de Heike avec accompagnement debiwa ; le nô, théâtre du XIVe siècle ; le jôruri, chant narratif accompagné de shamisen que
miment les marionnettes ; le kabuki, théâtre du XVIIe siècle, chanté et dansé ; le jiuta,
chant accompagné de shamisen ; le sekkyôbushi, récit et chant accompagné de shamisen ; le
satsuma-biwa, chant épique accompagné de biwa.2 Tous ces genres musicaux, qu'ils soient d'origine continentale, comme le shômyô, ou
autochtone, se sont perpétués jusqu'à nos jours en subissant des modications au fur et à mesure de leur assimilation par les Japonais. Aussi ces différents genres, tout en se distinguant par des traits spéciques, présentent-ils certaines constantes caractéristiques de la technique vocale japonaise, telles que l'attaque d'une note glissante par en-dessous, les vibratos larges et irréguliers utilisés comme broderies, les uctuations descendantes et ascendantes (meri et kari) ou l'ondulation d'une note (yuri), la recherche de timbres assombris, bref, autant de propriétés qui permettent d'opposer globalement la technique vocale japonaise à celle de la musique occidentale.3 Nous nous proposons donc, dans le présent article, d'étudier les principaux caractères de
la technique vocale de la musique japonaise à partir d'un seul genre musical, le théâtre nô.
4 Forme théâtrale traditionnelle du Japon dont l'origine remonte au XIe siècle, le nô se
compose d'une suite de dialogues, de monologues, de chants ou de récitatifs répartis entre les acteurs et le choeur, de gestes stylisés et de danses, avec accompagnement instrumental. Comme le montre cette seule dénition, la voix y prend une importanceconsidérable en tant que constituant musical, aux côtés des éléments chorégraphiques
(danse, gestes), littéraires (texte) et théâtraux (costumes, masques, accessoires et mise en
scène).Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19917
Émission vocale du nô
5 La voix résulte du fonctionnement simultané des poumons, du larynx et des trois cavités :
nasale, buccale et pharyngienne. Chaque technique vocale se constitue en exploitant diversement ces trois organes vocaux. C'est ainsi que le nô doit sa spécicité à la prépondérance accordée à la cavité pharyngienne au moment de l'émission vocale.6Zeami (1363-1443), théoricien et auteur d'une centaine de pièces denô, parle déjà dans
son traité, Kakyô (le miroir de la eur), de l'émission vocale en ces termes (cf. Sieffert1960 : 115) :
C'est le soufe1 qui porte le ton. Si, après avoir pris le ton sur l'instrument à vent (la ûte), accordé (le ton) au soufe, fermé les yeux et inspiré profondément, vous entonnez alors, l'attaque vocale procède du ton. Si vous entonnez en vous contentant de prendre le ton sans l'accorder au soufe, il est difcile que l'attaque vocale soit dans le ton. C'est parce que l'on entonne après avoir recueilli le ton dans le soufe, que je pose la règle : primo, le ton ; secundo, le soufe ; tertio, la voix.7 Cette règle - d'abord la hauteur de la note, puis l'inspiration d'air, enn l'émission vocale
- nous semble encore valable aujourd'hui, non seulement pour l'émission vocale du nô, mais aussi pour celle du chant en général.8 Dans un autre passage intitulé Fûkyoku shû (" Recueil de la mélodie du vent »), Zeami
distingue deux sortes de voix (cf. Tamba 1974 : 34) : ... Il y a deux sortes de voix, dit-il, la voix horizontale d'une part, la voix verticale d'autre part. Si on les interprète en terme de ryo et de ritsu, la voix horizontale correspondra au ryo, la voix verticale au ritsu. Le soufe dans lequel on émet la voix et avec lequel on chante est horizontal. On dit " chantez en horizontal et nissez de chanter en vertical », mais la voix procède du soufe vertical, alors l'attaque vocalepour la première lettre doit être (chantée avec) la voix verticale. La voix
horizontale procède de l'expiration et la voix verticale a le timbre de l'inspiration...9 Les deux sortes de voix que Zeami distingue dans ce texte correspondent respectivement
à la voix lée au caractère triste et nostalgique pour la voix verticale, et à la voix large et
calée au caractère déclamatoire et emphatique pour la voix horizontale. Les deux temes cités dans le texte de Zeami correspondent à ceux que l'on utilise dans le nô aujourd'hui : chant doux (yowagin) pour la voix verticale, et chant fort (tsuyogin) pour la voix horizontale.10 Dans le nô contemporain, les dénominations de " chant fort » et " chant doux » désignent
non seulement l'intensité, dans le sens de la musique occidentale, mais aussi une technique vocale spécique.11 Le chant fort, doté d'une grande énergie, a pour effet de créer le climat convenant à
l'évocation d'une bataille ou d'une scène solennelle. Quant au chant doux, prototype du chant du nô, il est employé dans les pièces lyriques. Il faut donc que les acteurs de nô connaissent les deux techniques vocales.12 Pour avoir une meilleure idée de ces deux techniques, nous allons les étudier rapidement
à l'aide du sonagramme (g. 1). Nous y voyons un exemple de chant doux, tiré de Kagekiyo, repésenté dans la partie supérieure (g. 1a), et un autre de chant fort, tiré de Tomonaga,
présenté dans la partie inférieure (g. 1b).Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19918
Fig. 1a : Chant doux Kagekiyo.
Fig. 1b : Chant fort Tomonaga.
13 Nous pouvons observer les quatre points suivants :
14 1 - Attaque vocale. Dans le chant doux, l'attaque vocale procède d'un glissando lent par
dessous (3 de g. 1a). Dans le chant fort, elle procède, comme dans le chant doux, d'un glissando par dessous, mais elle est plus rapide et son débit d'énergie est plus intense.15 2 - Vibrato. Dans le chant doux, les vibrations procèdent plutôt de la cavité pharyngienne
et ne dépassent pas une seconde majeure, sauf les vibrations larges qui, elles, atteignent la quarte et que l'on utilise comme broderies (2 de g. 1a). Dans le chant fort, les vibrations irrégulières s'effectuent plutôt en utilisant la cavité du diaphragme, et l'amplitude de l'ondulation augmente progressivement, avec une légère uctuation ascendante de hauteur ; l'amplitude atteint couramment la seconde majeure et dépasse parfois la quarte (2 de g. 1b).16 3 - Articulation. Dans le chant doux, l'articulation se fond pour enchaîner d'une syllabe à
l'autre (4 de g. 1a). Quant à l'articulation des syllabes dans le chant fort, elle s'effectue séparément avec une explosion d'air (4 de g. 1b : le trait vertical pour chaque syllabe).17 4 - Débit d'air. La durée des phrases vocales séparées par des respirations est plus longue
dans le chant doux que dans le chant fort, à cause du débit d'énergie pour l'expirationdans le chant fort. On voit ici que le débit de l'expiration est plus lentement dépensé dans
le chant doux. Ainsi a-t-on une sensation plus douce que dans le chant fort où la dépense d'énergie est plus rapide et plus intense, donnant une sensation plus forte.Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 19919
Comparaison de la technique du chant doux avec celledu chant occidental18 Nous venons d'examiner, dans les sonagrammes, les différences existant entre deux
techniques vocales du nô : chant doux et chant fort. A présent, si nous comparons la technique vocale du chant doux, prototype du chant du nô, avec la technique vocale occidentale, le parallélisme nous permettra de mieux saisir les divergences existant entre ces deux techniques.19 A cet effet, nous avons préparé deux autres sonagrammes, produits à partir d'un même
fragment de chant du nô, mais interprété selon deux techniques vocales différentes. Le premier sonagramme (g. 3a) représente l'exécution traditionnelle ; le second (g. 3b) gure l'interprétation par un chanteur japonais formé selon la technique occidentale, à partir de la transcription que nous avons reproduite ci-dessous (g. 2).Fig. 2 : Chant de Shidai de Kagekiyo.
20 Les deux sonagrammes ci-après mettent en évidence les trois points suivants :
21 1 - Attaque vocale. Dans le chant du nô, l'attaque vocale s'effectue par dessous avec un
glissando lent (1 de g. 3a). Dans la technique occidentale, il est strictement interdit d'attaquer une note par en-dessous : elle doit l'être directement, à la hauteur appropriée (1 de g. 3b).22 2 - Vibrato. L'amplitude de vibrato dans le nô est irrégulière et si large qu'elle peut
dépasser une quarte (3 de g. 3a) considérée comme une broderie ornementale. Contrairement au nô, dans la musique occidentale, le vibrato large et irrégulier estconsidéré comme un grand défaut technique appelé " chevrotement » ; on cherche plutôt
à effectuer un vibrato régulier et étroit qui doit passer inaperçu (3 de g. 3b).Fig. 3a : Chant doux Kagekiyo.
Cahiers d'ethnomusicologie, 4 | 199110
Fig. 3b : Chant selon la technique occidentale.
23 Il existe une différence entre les deux techniques concernant l'ondulation de fréquence.
Dans le nô, celle-ci se fait au-dessus de la note appropriée, et le nombre varie de 3 à 5 par
seconde ; alors que la technique occidentale prescrit l'exécution d'un vibrato de 6 ou 7 oscillations par seconde autour d'une note indiquée sur la partition (cf. g. 4). Lesphénomènes sont tout à fait différents tant du point de vue de la perception que de celui
de la technique vocale.Fig. 4
24 3 - Fluctuation d'une note. Dans le nô, on constate souvent des uctuations subtiles de
hauteur d'une note, appelées meri (descendant), et kari (ascendant), comme technique vocale (4 de g. 3a). Cependant, dans la technique occidentale, des uctuations de hauteur d'une note sont considérées comme un grave défaut, et on essaie au contraire de maintenir une note au même niveau de fréquence (4 de g. 3b).quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] le pere de la geographie
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