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Foundations of WAEMU space transport policies
Vincent Zoma
Département de Géographie/ Université Joseph KI-ZERBO/ Burkina Faso, vincentzoma3@gmail.comRésumé:
et Monétaire Ouest Africaine (Uemoa) ont opté pour la stratégie de dutransport est capital pour le renforcement de leur intégration. Cependant, ce secteur est caractérisé par de
nombreuses faiblesses qui entravent le développement régional. La présente étude théorique analyse les facteurs explicatifs des faiblesses de c indépendants. Mots clés: Transport, intégration régionale, pays sans littoral, UEMOA.Abstract:
WAEMU member states opted for the regional integration strategy to face to their development challenges.
Besides they acknowledged that the transport sector is essential for the strengthening of their integration. However,
this sector is characterized by numerous weaknesses which delay the regional development.This article which is a literature review analyzes the explanatory factors for the weaknesses of this sector from
colonial times to the day after independence. It essentially emerges from this investigation that transport policies
in the region are the resultant of a colonial legacy and a mismanagement of new independent countries.
Keywords: Transport, regional integration, Landover country, WAEMU 2Introduction
Le transport est essentiel pour le développement des États car il permet de rapprocher lesÉ. Mérenne (2013, p.1) déclare que: "le secteur des transports est fondamental dans la vie de
nos sociétés où chacun se déplace continuellement, où la plupart des produits consommés
Pour les États,
régionale. En effet, "le rôle des systèmes de transports dans l'aménagement du territoire est
pleinement reconnu, même si les conceptions relatives à leur utilisation divergent» (M.
Wolkowitsch, 1973, p.2)J. Lombard et N. Mareï
révèlent dans le dictionnaire de la régionalisation du monde (N. Mareï et R. Yann, 2018) que la
politiques, les parties isolées des territoires. Le transport est ainsi un instrument de
Monétaire Ouest Africaine (Uemoa) reconnait ce secteur comme capital pour le renforcement de son intégration régionale.Cette intégration ne peut pourtant pas donner de résultats probants que si les infrastructures de
soutien aux structures de production comportent des déficiences. Or parmi les modes de transport de la région, la route supporte 90% des flux (Uemoa, 2017a). Le réseau routier demeure insuffisant, lent et coûteux (A. Tandina et M. Mbodj, 2015; E. Traoré, 2015). Cesrégionale. La présente étude théorique vise alors à analyser les facteurs explicatifs des faiblesses
emoa. Cette analyse est après les années des indépendances. Pénétration européenne et bouleversement du transport caravanier à aleHmondialisation selon A. Sakho (2011)
ais la traite européenne en Afrique 3 emoa J. Igué Uemoa (2017b)était structurée par une demi-douzaine de r
depuis le Ghana jusqu'au Kanem, en passant par le Macina, le Mossi, les empires Songhaï etHaoussa. Cet espace était organisé par un réseau de pistes marchandes à travers le Sahara. Les
convois de voyageurs surcommerciales de directions Nord-Sud et Est-Ouest. À partir de ces routes se sont créés des axes
de circulation avec de nombreux raccordements et qui se recoupaient au niveau des marchés fabriqués localement ou importés du marché international (Figure1).Figure 1
La figure
et les principales marchandises échangées pendant la période précoloniale. La plupart des pistes
étaient orientées vers le golfe de guinée et sur ces pistes étaient drainés surtout le sel, le cuivre,
; et les noix de cola en retour vers les localités Certains auteurs comme J. Igué (1995) et I. Yonlihinza Abdou (2011) précisent que l aves constituait également des flux importants de 4ces échanges. La nature des produits échangés révèle une certaine complémentarité régionale
cuivre ainsi quAvec la pénétration européenne amorcée au XVIème, la région connaîtra cependant un grand
bouleversement de son organisation spatiale. Cette pénétration se consolide au XVIIème et prend
toute son ampleur au XVIIIème siècle avec la traite des esclaves. Le XVIIIème siècle est ainsi un
emoa,2017b). La figure 2 illustre les effets de la pénétration européenne dans le secteur du transport.
Figure 2 : Pénétration européenne et organisation du transport coloniaux sur leprospérité, le commerce transsaharien tombe en déclin à cause de la pénétration européenne (I.
Yonlihinza Abdou, 2011 ; Uemoa, 2017b).
Pourtant, J. Debrie
européenne et de son esiècle au partage territorial total effectué entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle,
différentes logiques se jouant sur les champs économiques, politiques ou idéologiques
5expliquent les volontés de domination. Si initialement, les possibilités de profits sur les côtes
traite nécessitaient une protection accrue des intérêts commerciaux. Les commerçants
européens réclamaient alors un contrôle politique leur permettant une sécurité dans leurs
à universaliser sa propre conception du monde, et sur des logiques plus pragmatiques de concurrence entre puissances, impulsent cette appropriation. -dessus évoqué, la pénétration française en Afrique occidentale comptoirs, avec pour conséquence le changement des directions et des modes de transports transportsecteur a été structuré selon les logiques de la puissance coloniale française. Selon J. Debrie
(2001), les politiques de transport étaient marquées par plusieurs facteurs notamment
-rails et du transport routier dans lesDakar à Djibouti. Le
transport était alors un instrument central de la continuité des empires coloniaux car il pouvait
minières et agricoles, le contrôle politique des espaces intérieurs requièrent la construction
ieurs facteurs. de fer. Le grand basculement Nord-S. Ouoba Uemoa (2017b) a pris toute son ampleur quand les Français ont dévezone forestière. Le climat équatorial, les sols et les ports étaient des atouts pour une expansion
mouvement. Ils fournissaient la force de travail. Simultanément, le 6 ; les routes transsahariennes tombaient en désuétude. Ainsi, une des et au rdestinées à acheminer les productions agricoles ou minières. La plupart des chemins de fer à
cette époque ont été mis en place pour les intérêts des colonisateurs car ils étaient le
prolongement des ports. Il y avait aussi deux réseaux pénétrants en profondeur, reliant la savane
à la côteE. Chauvin et
al. (2017), les administrations coloniales avaienttransport caractérisé par son morcellement et étaient bâties pour raccorder les sites de
production des arrière-pays aux ports maritimes. loppement du transport routier privilégié aux autres modes de transport. Pour J. Debrieétaient pensés comme complément des voies ferrées existantes, et modelés en fonction de
G. Poujol (2017) étaient surtout
structurés à partir des par un réseau depuis la côte atlantique (Figure 3). Figure 3 : Mise en place des infrastructures du drainage colonial 7 prélèvement en ressources humaines, agricoles et même naturelles sans aucune forme de structuration interne des territoires (G.une opposition entre espaces intérieurs et espaces ouverts vers les littoraux qui a caractérisé le
emoa. Pour J. Debrieéconomique a dicté le dessin général des réseaux de transport, occultant des logiques plus
éventuelle construction politique. Une distinction forte entreespaces proches des littoraux et espaces continentaux était alors instaurée. Les espaces
continentaux peu exploités sont alors sous-équipés, très peu concernés par les investissements
renforçant ce phénomène de distance aux ports. Il est à cet égard édifiant de constater que sur
à enrayer un sous-équipement chronique, seulement 30% des budgets étaient alloués aux
Uemoa (2017b), les espaces situés à plus de 500km de la côte étaient alors marginalisés et les espaces situés à plus de mille kilomètres (ce qui
correspond au Sahel et aux bordures sahariennes: le Burkina Faso, le Mali et le Niger) étaient hors-jeu. aussi emoaP. Diagne (1972) et J. Debrie (2001) avaient construit des infrastructures de transport qui conféraient unerelative efficacité mais ces constructions réalisées laissaient apparaître une différence majeure
entre les puissances. Les Britanniques investissaient de façon plus massive que les Français qui
peinaient à trouver les financements nécessaires à la construction des voies ferrées reliant les
ntérêt marqué par les entrepreneurs français qui étaient plus concernés et motivés par
également un facteur explicatif de la faiblesse des investissements français. En outre, les
8colonies ne devaient-elles rien coûter et devaient, sans de réels investissements conséquents,
permettre le profit immédiat. Dans ce contexte, un réseau de transport fut même pensé en AOF,
ans cet espace, le rés ment du réseau fut pensé, mais jamais réalisé car les budgets coloniale dans la région, selon emoa (2003), dans cet espace, on notait la création de tram et des voies ferrées furent bassins de main- support construit dans une stricteLes nouveaux États de
indépendances, les États africains en général semblaient ne pas avoir les moyens pour prendre
en charge leur héritage. Pour M. Ghadhi (2009, p.14), "politiquement. Certes, la liberté est importante, mais les nouveaux États étaient totalement
de faire fonctionner les pays I. Yonlihinza Abdou le même sens, O. Walther nce des États sahéliens membres de Uemoa ne va pas remettre fondamentalement en cause le modèle hérité de lades frontières vont connaître un développement significatif de leurs activités formelles, liées
-export, et informelles, associées aux multiples opportunités marchandes qui 9résultent des différentiels monétaires et législatifs entre les États. Autour des limites des
nouveaux États vont se (ré) constituer des réseaux de commerce dont la base organisationnelle
reproduit dans une certaine mesure le fonctionnement ancien de la circulation sahélienne. Nous nous accordons cependant avec I. Yonlihinza Abdou (2008) pour réaffirmer que lesindépendances ont changé bien des choses car elles ont imposé les frontières nationales et ont
ndividuellement aux colonies qui le prédisposait la région à un tecontribué ainsi à enclaver de nombreux États qui dépendent désormais de leurs voisins pour
leurs relations maritimes. L. Ndjambou (2004) démontre que les États se trouvaient enfermésdans des limites héritées des anciens découpages imposés par le colonisateur. Il en résulte, pour
et pour les nations côtières, un effort pour fi part, conscients des opportunités de la situation, les responsables portuaires ont bien perçu améliorer les condit-ci, afin de se ménager ssi laclientèle par des réductions du coût des transits portuaires ou la simplification des formalités,
et pour améliorer les conditions du transport terrestre. M. Ghadhi (2009) les choix faits par les États au moment dans le retard de " chaque État avait choisi de faire cavalier seul en copiant lemodèle de son ancien colonisateur pour construire une nation et bâtir son propre avenir » (M.
Ghadhi, 2009, p.13-14). Ainsi, V. Zoma (2015) sou
. Au respectives les acquis de la co 10 États de en ont eu une approche parcellaire, voire sectorielle. Chaque État accordaune priorité au développement national et local au détriment du régional. Pour J. Debrie (2001),
mposés par les bailleurs telle situation pour leur développement cadre de internes. Facteurs actuels du développement des politiques du transport régional deO. Hartmann (2010, p.41) avait raison
régionales pour assurer le développement de la région. En conséquence, le manque de performance des
systèmes de transport dans la région constitue un handicap certain pour la réussite de cette stratégie basée
Uemoa. Parmi ces facteurs se trouve la forte densité du peuplement. La densité du peuplement de la région implique des besoins en infrastructures de transport. Le rapport de (2018b)fait ressortir que depuis les indépendances, les pays de la région ont quadruplé leur population.
Cet accroissement se caractérise par son ampleur, sa rapidité, de fortes disparités spatiales
(Cedeao et Csao, 2006). Selon le rapport de l(2017a) de nos jours, cet accroissement se poursuit et les foyers nepluviométrie plus favorable, aux cultures industrielles, la présence de ports permettant le
développement du commerce extérieur et la proximité de ressources pétrolières dans le golfe
de guinée. La bande sahélienne se caractérise par un sous-peuplement. Le Mali, le BurkinaFaso, le Niger présentent des caractéristiques géographiques similaires. Tandis que les régions
du nord sont très peu peuplées, les capitales politiques qui ont également un fort tropisme 11 emoa engénéral, la croissance démographique, combinée aux courants migratoires a conduit à une
densification des espaces ruraux et à une expansion des villes. Par exemple entre 1950 et 2010, la population rurale a été multipliée par 3 et en milieu urbain, par 22 dans la région. -dessusentre elles les pôles économiques, de favoriser le peuplement et la croissance de zones à forts
potentiels en les désenclavant. Le développement des politiques régionales de transport est alors
important pour favoriser cette évolution en connectant mieux ces villes entre elles et avec leur hinterland rural (Cedeao et Csao, 2006). infrastructures de transport sont des facteurs qui nécessitent le développement du secteur du transport régional. régionale. Selon A. Tandina et M. Mbodj (2015) le réseau routier demeure cependantinsuffisant, essentiellement constitué de routes en terre et de pistes. La praticabilité de certains
axes est toujours problématique. Les routes bitumées à mauvaises praticabilités sont très
souvent plus nombreuses que les autoroutes et les routes bitumées à praticabilités moyennes emoa. est en effet, constituée de huit pays que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire,le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo et la Guinée Bissau (figure 4). Elle couvre une superficie
de 3 506 emoa, 2018b). Les pays dela région sont inégalement dotés de routes. Selon T. Noyoulewa (2009), à côté des pays comme
la Côte d'Ivoire et le Togo qui présentent des moyennes de 25,23 et 15,3 km de routes pour 100 km2 et 5,69 puis 1,7 km de routes pour 1000 habitants, se trouve des pays comme le Niger et leMali dont les dotations en routes sont de 1,19 et 1,15 pour la même unité de surface et 1,48 km
emoa (2017a), le réseau inter- 7 emoa ne saurait favoriser un bon processus de développement. routiers, nécessaires pour le développement du commerce et des investissements comme le souligne H. Dicko qui concerne les axes routiers, ils sont non seulement insuffisants mais ceux qui existent se gration régionale. 12Figure emoa
emoa, la plupart des échanges commerciaux intracommunautaires se fait par la route. Le transport routier constitue le principal mode de transport avec plus de 90% du trafic deautres modes de transport sont peu utilisés. Les réseaux ferroviaires sont vétustes et non
connectés, et le coût élevé du transport aérien le rend inaccessible à la grande majorité des
-africain et la ns sans littoral, les mettent en situation de concurrence. Cependant des marchandises comme nous lcontribue en partie au faible niveau des échanges intracommunautaires de la région. Le
développement du secteur du transport régional demeure toujours un défi pour les pays
emoa. 13Conclusion
Uemoa ansport depuis la pénétrationétaient essentiellement conçues selon les intérêts de la France sans une réelle volonté de
développer les colonies en les dotant Burkina Faso, le Mali et le Niger en défaveur des pays sans littoral. emoa routier. De plus, nt leur volonté emoa en matière de développement du transport routier demeurent un défi dans la région.Références bibliographiques
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