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EXERCICES MICROECONOMIE LE COMPORTEMENT DU

EXERCICES MICROECONOMIE LE COMPORTEMENT DU PRODUCTEUR/CORRIGE. Exercice 1. Dans les données du tableau 1 ci-après on a le prix (en euros) auquel une firme 



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25 mai 2022 Ce manuel d'exercices corrigés de micro-économie est destiné aux étudiants ... comportement du producteur. Au sein de chaque partie les séries d ...



La théorie du producteur

• Le producteur est supposé rationnel avec un comportement de maximisation sous • Hypoth`ese sur le comportement du producteur : • Maximise son profit.



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EXERCICES MICROECONOMIE LE COMPORTEMENT DU PRODUCTEUR/ CORRIGE. Exercice 1. On considère un fabricant de sacs produisant à court terme (équipement et atelier 



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Théories du comportement du producteur. Page 2. I. Combinaison optimale des facteurs de et Picard P. « Eléments de microéconomie : exercices corrigés »



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Exemple : le Smic limite à la baisse les salaires ; le tabac certains médicaments. Exercice 2 : Les producteurs de fraises engagent un bras de fer avec Auchan.



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Exercice 70 – Test de comportement de l'acheteur et de GRC. 230. Exercice 71 Enfin deux autres acteurs méritent d'être cités : – Bio Pomme est le producteur ...



La théorie du producteur

Le cours et en particulier les exemples et exercices



Titre II

QUINZE EXERCICES DE REVISION AVEC DES ELEMENTS DE CORRIGE économique : le producteur. ... Le consommateur et le producteur se rencontrent sur le marché.



MICROÉCONOMIE CORRIGÉS

Exercice 8 Représentation graphique de l'offre et la demande . Chapitre 4 Choix du producteur et offre concurrentielle. ... RISQUE ET COMPORTEMENT.



La théorie du producteur

de production. Le comportement du producteur. La maximisation du profit. La minimisation du coût. Applications. La théorie du producteur. Marianne Tenand.



0.1 Questions de cours 0.2 Exercices sur 10 points

0.2.1 Exercice 1 : Equilibre concurrentiel et gaspillage Ecrire le programme du producteur rationnel sachant qu'il minimise sa.



Introduction ...........................................................

Partie I : Les acteurs et leurs comportements................ 13 ... CHAPITRE 2 : LE PRODUCTEUR. ... LEÇONS DE MICROÉCONOMIE – EXERCICES CORRIGÉS.



Corrigé TD Biologie Nutrition-alimentation Technologies et

– Exercices en chanson : muscles des jambes bras



Corrigé Fiches dactivités Biologie et physiopathologie humaines 1

La cellule musculaire reçoit également du glucose transporté par le sang. Nutriments nécessaires : dioxygène et glucose si exercice modéré et bref. 3. Compléter 



Corrigé Fiches dactivités Sciences et techniques sanitaires et

Corrigés c. Présentez les trois grandes étapes de l'évolution de la tion influencent la perception de la santé et les comportements de santé pour les.

Table des matières

.. 7 Partie I : Les acteurs et leurs comportements................... 13 C HAPITRE 1 : LE CONSOMMATEUR...................................... 15 I. Les principes de base................................................ ..15

1.1. Le concept d'utilité marginale...............................

16

1.2. L'évolution du concept d'utilité.......................

.......18

1.3. La relation de préférence....................................

...20

1.4. Fonctions d'utilité et courbes d'indifférence ............21

1.5. Le taux marginal de substitution (TMS)...............23

1.6. Biens complémentaires et substituables...................25

II. Optimisation ............................................................ 26

2.1. Contrainte budgétaire et fonction objectif ..............26

2.2. La maximisation de l'utilité: cas de deux biens.....28

2.3. Généralisation à n biens..................................

.....34

2.4. L'arbitrage entre loisir et travail............................35

2.5. La théorie du consommateur de Lancaster.............37

C HAPITRE2 : LE PRODUCTEUR........................................... 41 I. Les principes de base................................................ ..43

1.1. Les facteurs de production.....................................43

1.2. La fonction de production.....................................44

1.3. Les rendements moyen et marginal ........................46

1.4. Le taux de substitution technique (TST)...............48

1.5. Les fonctions de production usuelles.......................50

1.6. Choix des facteurs à niveau

de production donné.............................................52

1.7. Cas particulier: optimum en coin.........................54

II. Les coûts de production.......................................... ..55 211

2.1. Les fonctions de coût à court terme

et le sentier d'expansion........................................55

2.2. Les fonctions de coût à long terme.........................57

2.3. La flexibilité de la production...............................59

2.4. Les économies d'échelle..........................................60

2.5. La mesure des coûts..............................................63

III. Optimisation...........................................................64

3.1. La fonction de profit.............................................64

3.2. Le choix du niveau de production.........................65

3.3. Les concepts de seuil de rentabilité

et de fermeture.....................................................67

3.4. Cas général du producteur

produisant plusieurs biens.....................................68

3.5. La méthode du point mort....................................69

Partie II: Marchés et politiques économiques.................75 C HAPITRE3 : L'OFFREETLADEMANDE...............................77 I. La demande................................................................77

1.1. La fonction de demande individuelle.....................77

1.2. La fonction de demande agrégée............................81

1.3. La courbe de demande et ses déplacements.............81

1.4. Les élasticités de la demande.................................87

II. L'offre......................................................................105

2.1. La fonction d'offre individuelle...........................105

2.2. La fonction d'offre agrégée..................................106

2.3. Les déplacements de la courbe d'offre...................107

2.4. Le prix du bien et l'élasticité prix de l'offre..........108

C HAPITRE4 : LEMARCHÉ.................................................111 I. le marché et la loi de l'offre et de la demande...........111

1.1. Les caractéristiques d'un marché..........................111

1.2. L'équilibre sur le marché d'un bien......................114

1.3. La loi de l'offre et de la demande........................115

Table des matières213

1.4. L'équilibre de marché à prix fixé.........................115

1.5. La formation du prix d'équilibre en concurrence..121

II. L'efficience du marché : la notion de surplus...........124

2.1. Le surplus du consommateur...............................124

2.2. Le surplus du producteur....................................128

2.3. L'efficience des marchés.......................................133

2.4. Les fonctions d'un marché de concurrence............134

CHAPITRE5 : L'ÉTATFACEAUMARCHÉ.............................141 I. Action sur les prix....................................................141

1.1. L'équilibre du marché en présence

d'une taxe unitaire.............................................142

1.2. L'incidence de la taxe..........................................145

1.3. La charge morte de la taxe unitaire.....................150

II. Ouverture et protectionnisme.................................151

2.1. L'ouverture au commerce international................151

2.2. L'instauration de mesures protectionnistes.............156

2.3. Arguments favorables au protectionnisme.............161

C R L A NNEXEI. EXERCICES.......................................................176 A NNEXEII. CORRECTIONDESEXERCICES.........................185

Chapitre 1

Le consommateur

Tout d'abord, il est nécessaire de cerner ce qui motive (déter- minants psychologiques, financiers...) les agents-ménages dans leurs choix de consommation et de modéliser leur comporte- ment sous l'hypothèse de rationalité. Ces ménages, réduits à leurs activités de consommation, seront appelés les consomma- teurs. Dans la vision microéconomique présentée ici, on ignore le problème de la pluralité des personnes constituant le ménage et la manière dont sont agrégées les préférences au sein de ce ménage pour l'achat de certains biens. Le consommateur est donc perçu comme un individu unique disposant d'un budget dont il cherche à tirer le maximum de satisfaction. Ses goûts sont subjectifs même s'ils dépendent de certaines caractéristiques objectives telles que l'âge ou le niveau de culture. Le niveau de satisfaction sera défini à partir d'une fonction d'utilité dont nous verrons les principes de base et la maximisation sous contrainte.

I.Les principes de base

Plusieurs principes fondent l'utilité des biens et conduisent à la notion d'utilité marginale, concept central dans la théorie du consommateur:

•d 'après Aristote, à l'origine du concept de valeur-utilité,Les acteurs et leurs comportements15

l'utilité des biens dérive de la satisfaction des besoins. Dans cette optique Condillac énonce que: "la valeur des choses est fondée sur l'usage que nous pouvons en faire». Cette idée d'une valeur fondée sur l'utilité, fondamentale chez les économistes marginalistes, s'oppose au courant théorique de la valeur-travail fondée sur la quantité de travail, directe et indirecte, incorporée dans la fabrication du bien (Smith,

Marx);

•ces besoins sont hiérarchisés selon leur importance (Platon), d'où la possibilité d'établir une typologie des biens; •il existe une certaine satiété des besoins, mais elle n'est jamais totale. Pour un bien donné l'utilité de la dernière unité consommée est donc plus faible que celle des unités précédentes: principe de l'utilité marginale décroissante, relative à l'unité supplémentaire consommée. Pour présenter ce principe, il est possible d'adopter une échelle d'utilité cardinale pour un bien donné, dans laquelle l'utilité s'ex- prime par un nombre. w 1.1. Le concept d'Utilité marginale (un bien) Considèrons les satisfactions que retire un consommateur de l'achat de diverses quantités de cassettes vidéo achetées au cours d'une période donnée (celle-ci ne doit être ni trop longue, car les goûts pourraient changer; ni trop petite, car les quantités pour- raient être nulles ou très limitées). À la fin du XIXesiècle, les économistes pensaient pouvoir mesurer les satisfactions (utilité cardinale), mais il n'y sont jamais parvenus. Ici ,pour donner une vision plus concrète de l'utilité cardinale, on considèreque l'uti- lité de la consommatio n de chaque cassette repré se nte la quantité maximale d'argent à laquelle on est prêt à renoncer pour acheter cette unité (prix de réservation pour cette unité de bien). Ceci renvoie cependant au problème de la définition deL l'utilité de la monnaie. Dans le tableau suivant, avec cette inter- prétation, on a pu définir les utilités des différentes quantités de cassettes achetées, de la première à la septième. Elles sont quali- fiées de marginales, car chaque nouvelle cassette procure un supplément d'utilité au consommateur.Les acteurs et leurs comportements17 Pour la pre m i è re cassette achetée, on est prêt à sacrifier 10 unités m o n é t a i res que l'on aurait pu utiliser à d' a u t res consommations. Les prix de réservation décroissent ensuite pour les autres casset- tes. La construction par points de la courbe correspondante défi- nit l'utilité marginale (Um(q)) de la consommation d'un nombre de plus en plus élevé q de cassettes. Selon le principe de non satu- ration, l'utilité marginale (U m) est toujours positive, quel que soit le numéro de la cassette (valeur de q). Par ailleurs, les valeurs succes- s i ves des utilités marginales sont constamment décro i s s a n t e s .

TABLEAU1ETGRAPHIQUE1: UTILITÉTOTALEG

RAPHIQUES2: UTILITÉMARGINALE

L'utilité totaled'un nombreqde cassettes (UT(q)) est définie en additionnant les utilités marginales successives. Elle est crois- sante, selon une courbe concave (absence de saturation). Ses dérivées premières et secondes sont donc telles que: U¢(q).0et U²(q),0. Dans la représentation graphique ci-dessous, l'utilité est fixée à 0 pour q50. Confronté à un prix de 3?pour chaque cassette vidéo, le consommateur compare ce prix avec les utilités marginales qu'il retire successivement de leur consommation. Il en achète celles- ci tant que leur utilité dépasse le prix (surplus lié à cet achat) et cesse d'en acheter dès que l'utilité marginale tombe en dessous du prix de la cassette. Son intérêt est alors d'acheter d'autres produits pour lesquels il existe un surplus positif (utilité margi- nale de ces produits supérieure à leur prix). Dans cet exemple il achètera donc seulement trois cassettes au cours de cette période de consommation. Cet exemple, relatif à un bien, doit être élargi maintenant à un panier de biens pour déterminer l'utilité globale de ce panier. Préalablement une perspective théorique sur la genèse et l'évolu- tion du concept s'impose. w 1.2. L'évolution du concept d'utilité La théorie de l'utilité marginale est due à Jevons [1871], Menger [1871] et Walras [1874]: c'est une théorie de lavaleur d'usageen relation avec la quantité consommée. L'utilité de la dernière unité achetée est au moins égale à la valeur d'échange (le prix) de ce bien. On considère un consommateur dans une économie dispo- sant de I biens. Il peut donc acheter des paniers comportant au maximum ces I biens. Un panier de consommation possible (par exemple le panier 1) correspond donc au vecteur de biensq 1:L q15{q1, ..., qi,..., qI}, où les qireprésentent les quantités, éventuellement nulles, achetées par le consommateur. L'utilité U(q

1) de ce panier s'écrit, dans le cas d'utilités cardinales et

additives par rapport aux biens: U(q

1)5SiUi(qi): c'est-à-dire

la somme des utilités totales relatives aux quantités consommées de chaque bien. Pour une transformation laissant invariante U (différe n t i e l l e totale nulle): dU5U (rapport des utilités marginales). Ainsi, le concept mathématique approprié pour représenter les variations d'utilité est la dérivée. Ce rapport est le taux marginal de substitution entre les deux biens iet j: quantité supplémentaire du bien iqu'il faut fournir au consommateur pour compenser exactement une diminution d'une unité du bien j. Pour expliquer les phénomènes de complémentarité et de substitution, Edgeworth [1881] utilise une fonction d'utilité dont les arguments sont les quantités consommées de chaque bien. Cela ne change pas la différentielle totale, et donc le résul- tat précédent: U5U(q

1, ..., qi, ..., qI)Þ2dqi/dqj5Ui¢/Uj¢

En fait la caractéristique essentielle d'une fonction d'utilité est d'établir un ord re de préférence dans l'ensemble R

Ides biens:

possibilité de comparer deux paniers de biens q

1et q2(vecteurs

de biens). Pour cela une fonction d'utilité cardinale n'est pas néces- s a i re. La difficulté de mesurer une utilité, jointe à la nécessité d' o r- donner l'ensemble des paniers de biens auquel un consommateur est confronté (capacité de choix), conduisirent Pa reto [1897] à proposer une utilité ordinale. Comme il est possible de compa- rer deux températures avec des thermomètres Celsius ou Fa re e i t , on peut également comparer deux paniers de biens avec des fonc-

tions d'utilité différentes. L'ordre est en effet conservé si:Les acteurs et leurs comportements19

V (qk)5f( U (qk)), "k,

où fest une fonction croissante.

L'ordre des préférences

ne cha nge pas, ce qu i justifie le qualifi catif d'utilité ordinale. w 1.3. La relation de préférence On considère toujours une économie à I biens et les paniers de consommation possibles dans cette économie. Le comporte- ment attribué au consommateur est de pouvoir classer tous ces paniers de biens possibles (vecteurs) selon une échelle de préfé- rence, sans que celle-ci corresponde à une évaluation cardinale (chiffrée). Cette capacité de classement correspond au concept d'utilité ordinale et à l'utilisation d'une relation de préférence, représentée par f(préféré ou indifférent à) qui vérifie les propriétés suivantes: •transitivité:q

1fq2et q2fq3Þq1fq3(cohérence

des classements successifs) • réflexivité : q

1fq1Cette relation, préordre au sens mathématique, est utilisée

dans la plupart des présentations actuelles de la théorie du consommateur. Ce préordre est complet s'il permet toujours de comparer deux paniers de biens dans l'ensemble des I biens: si (q

1,q2)[RI:q1fq2ou q1fq2(ou les deux)

Un tel préordre complet permet de définir une relation d'équivalence sur l'ensemble des biens et un ordre strict, ainsi que de représenter les préférences à partir de fonctions d'utilité:L

GRAPHIQUE3:

L

AFONCTIOND'UTILITÉ

q1fq2ÛU(q1)>U(q2), "q[Q q

1sq2ÛU(q1).U(q2): q1est strictement préféré à q2.

q

1zq2ÛU(q1)5U(q2): q1est indifférent à q2.

Si la fonction U est bien définie par un nombre, elle ne reflète plus une évaluation de l'utilité, mais seulement la possibilité de comparer l'ordre des utilités, relatives à des paniers de biens quelconques. Cela justifie que l'on puisse choisir de nouvelles fonctions d'utilité qui conserveront le même ordre, à partir de transformations croissantes f(U(q k)) de la fonction d'utilité U. w 1.4. Fonctions d'utilité et courbes d'indifférence La possibilité de hiérarchiser les différents paniers de biens de R Ipermet de définir des surfaces de niveau dont l'utilité est constante (iso-utilité du grec iso égal), appelées courbes d'indif- férence. Les graphiques suivants donnent une représentation de ces courbes dans R

2(panier de deux biens) et leurs principales

propriétés: ?Représentation dans R2

Dans R

2cela se traduit

par un réseau de cour- bes, dont chacune est constamment décrois- sante.Les acteurs et leurs comportements21

GRAPHIQUE4A:

L

ESCOURBESD'INDIFFÉRENCES

?Les courbes d'indifférence ne peuvent être croissantes.

Ci-contre B domine A.

En effet le panier de bien

B possède plus de bien, 1

et 2 que le panier A.

Ces deux points n e

peuvent donc être sur laquotesdbs_dbs1.pdfusesText_1
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