[PDF] Lélévage de la crevette penaeus japonicus en france-premiers





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Origine élevage et organisation des cailles au Cameroun

Origine élevage et organisation des cailles au Cameroun Écrit par Administrator - Le CICaC est une association à objet social qui à pour but de professionnaliser la filière de l'élevage des cailles au Cameroun à travers le regroupement des éleveurs en Gics unions de Gics et fédérations



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L'élevage de Ba crevette

Penaeus Japonicus en France

Premiers résultats et perspectives

Lucien LAUBIER

Licencié ès Sciences Naturelles en

1956

Docteur ès Sciences Naturelles en

1965, Université de Paris, Faculté des Sciences

Conseiller scientifique du

CNEXO

Directeur du Centre Océanologiquc

de Bretagne et A~ie LAUBIER-BONICHON

Docteur ès Sciences naturelles, Chargée de Recherches, au Centre National de la Recherche Scientifique

Introduction

-Au cours des trois dernières décen- nies, les captures de crevettes pêchées en mer se sont développées de ma- nière spectaculaire. Une forte de- mande sur le marché international a produit une augmentation sensible des prix de vente, et a ainsi favorisé l'accroissement de la pêche dans les zones déjà exploitées, et la recherche de nouveaux fonds de pêche. En vingt ans, le total mondial des pêches de crevettes a largement doublé, et a atteint pour 1972 le chiffre de

1 024 000 tonnes (source F.A.O., Sta-

tistiques annuelles des pêches) ; ce' chiffre représente un peu moins de 2 % de l'ensemble' des pêches mon- diales en tonnage, mais plus de 8 en valeur. Actuellement, les deux pays consommateurs principaux sont les

Etats-Unis et le Japon avec une con-

sommation de 330 000 tonnes pour les Etats-Unis et de 248

000 tonnes

pour le Japon, soit plus de la moitié du total des prises mondiales. La con- sommation française, beaucoup plus

SCIENCES ET TECHNIQUES

No 44 - SEPTEMBRE-OCTOBRE 1877

603

Art. N 380

Contribution COB No 534

faible est néanmoins en progression constante : pour 1975, elle représente un peu plus de 13 000 tonnes, dont la plus grande partie doit être importée.

Du point de vue zoologique, les cre-

vettes exploitées appartiennent

à deux

groupes bien différents : les Caridea, qui comprennent notamment la cre- vette grise des mers d'Europe du

Nord (Crangon crangon), la crevette

bouquet (Palaemon serraius), la cre- vette rose de Norvège (Pandalus ho- realis), et les Penaeidea. Les Caridea interviennent dans le total des cap- tures pour moins de

100 000 tonnes,

soit moins de 10 %, la plus grande partie des apports étant constituée par les Penaeidea. Alors que les Cari- dea sont au sens géologique un groupe relativement récent, les Penaeidea sont au contraire très anciens, puisque le premier genre fossile connu, Anrrim- pos, a été découvert dans le Permo-

Trias de Madagascar. Extérieurement,

ces deux groupes sont faciles

à recon-

naître pour le non-spécialiste : chez les Caridea, la carapace latérale du segment abdominal recouvre le bord postérieur du premier segment et le bord antérieur du troisième segment, alors que chez les Penaeidea, la cara- pace latérale du second segment abdo- minal recouvre le bord antérieur du troisième segment, mais est recou- verte

à son

tour par le bord postérieur du premier segment. D'autres diffé- rences importantes ont trait à la reproduction : chez les Caridea, les oeufs pondus en nombre relativement faible (quelques milliers) sont portés pendant toute la durée du développe- ment embryonnaire sur les soies des pattes abdominales (les pléopodes) chez les Penaeidea au contraire, les oeufs, beaucoup plus nombreux (quel- ques centaines de mille) et d'un diamètre plus petit, sont pondus librement dans le milieu.

C'est depuis la seconde guerre mon-

diale que les captures de Penaeides se sont développées de manière re- marquable. Jusque-là, l'intérêt écono- mique de ces crevettes était assez limité : crevettes profondes (gambas des espagnols) ou côtières (caramote des côtes d'Afrique du Nord) en Méditerranée, espèces côtières au Ja- pon et dans le Sud-Est Asiatique. La découverte de nouveaux fonds de pêche dans le Golfe du Mexique, puis sur les côtes d'Amérique Cen- trale et d'Amérique du

Sud, d'Afri-

que, du Golfe Persique, des Indes, d'Australie, d'Extrême-Orient, a per- mis une augmentation très rapide des tonnages débarqués..

De manière très schématique, les

Penaeidea exploités appartiennent

deux groupes dont l'habitat est bien différent, les Penaeidea profonds et les

Penaeidea côtiers. Les formes profon-

des vivent généralement entre

300 et

1 000 mètres de profondeur, certaines

espèces (Plesiopenaeus edwarsianus par exemple) pouvant descendre jus- que dans les grandes plaines abys- sales. par

4 et 5 000 mètres de

profondeur. Ces animaux vivent des fonds de vase où ils sont capturés au chalut, et leur apport est très faible vis-à-vis des espèces côtières.

Ils sont

également assez largement

répandus

à l'échelle de l'océan mon-

dial. mais leurs caractéristiques éco- logiques principales (température du milieu extérieur basse et très basse, pression hydrostatique élevée

à très

élevée) ne permettent pas

à l'heure

actuelle d'en tenter l'élevage en zone littorale.

Les Penaeidea côtiers ou d'eau peu

profonde (ils sont en pratique limités au plateau continental) et présentant un intérêt économique appartiennent

à quelques genres voisins, le genre

Penaeus comprenant à lui seul plus

d'une douzaine d'espèces exploitées.

Trois autres genres,

Metapenaeus,

Hymenopenaeus e t Xiphopenaeus,

font également partie de ce groupe.

Parmi les principales espèces exploi-

tées, on peut citer : Penaeus duora- ri~m ou pink shrimp des américains, espèce amphiatlantique pêchée dans le Golfe du Mexique et dans le

Golfe de Guinée,

P. aztecus ou

brown shrimp, Golfe du Mexique,

Guyane et Nord du Brésil,

P. brasi-

liensis et P. schniitti, côtes du Brésil et Golfe du Mexique,

P. setiferus ou

white shrimp, partie septentrionale de la mer des Caraïbes,

P. kerarhurus,

Méditerranée et côte nord-ouest de

l'Afrique.

P. indicus, Australie, Sud

de l'Océan Indien jusqu'aux côtes africaines,

P. monodon, océan Indo-

Pacifique, dans la ceinture intertropi-

cale,

P. semisulcatus et Metapenaeus

rnortoceros, océan Indo - Pacifique,

Mer Rouge et Méditerranée orien-

tale. etc.

Le cycle de vie de toutes ces espèces

de Penaeidés côtiers est du même type général, avec certaines variantes mineures. La reproduction se déroule toujours en mer, sur des fonds de quelques dizaines de mètres de pro- fondeur. Les larves issues des oeufs mènent une vie pélagique pendant deux semaines environ. La jeune crevette âgée d'une quinzaine de jours, dite post-larve, se concentre

à la côte, et pénètre fréquemment

dans les lagunes d'eau saumâtre (exceptionnellement plus salées que la mer). Après deux

à trois mois de

croissance dans ces milieux géné- ralement riches, les crevettes qui mesurent alors

5 à 10 centimètres de

longueur quittent en masse les lagunes et les baies côtières pour regagner la mer où s'achèvera leur croissance.

Selon les espèces, la tolérance des

jeunes crevettes vis-à-vis de la sali- nité et de la température est variable.

Sur la côte américaine du Golfe du

Mexique par exemple,

P. setiferus,

qui est plus tolérante à la baisse de salinité, remonte plus haut dans les estuaires que

P. duorarum et P. azte-

cus. D'autre part, ce comportement migratoire entre la mer et les lagunes saumâtres n'est pas un phénomène obligatoire : chez une espèce comme

P. duorarum, qui a pourtant déve-

loppé des mécanismes évolués pour l'entrée et la sortie des lagunes (l'acti- vité des animaux est fonction du sens des variations de salinité elles-mêmes sous la dépendance directe des ma- rées), le cycle complet peut se dérou- ler dans une eau de mer

à salinité

normale, et il existe naturellement des fonds de pêche (Golfe de Guinée) dépourvus de zones lagunaires cô- tières suffisamment proches. Ce phé- nomène de pénétration temporaire des jeunes

à la fin de la vie larvaire

dans les lagunes littorales est très répandu parmi les animaux marins, y compris les Poissons. L'homme a d'ailleurs appris de longue date

à en

tirer parti, en installant

à la période

favorable des filets dans les canaux de communication des lagunes avec la mer : de telles pêcheries artisa- nales existent encore dans le cas des crevettes dans l'ensemble de la cein- ture intertropicale.

Pour des raisons encore mal com-

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