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Internet en technologie ADSL. Il reste à espérer que ces engagements seront ... -71 « El mouwatin » est un site généraliste qui commence à fournir un volume ...
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ménages sont reliés à un réseau internet.Aussi 26
PRESENTATION GENERALE DE LA REGION
ménages sont reliés à un réseau internet.Aussi 26
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4 rue des Flamants-Riviera- Casablanca — Maroc Internet Le ministre du Développement social
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Actuellement le portail web El-Mouwatin fait l'objet d'une mise à niveau des réseaux et de la connexion d'espaces communautaires à l'Internet / ADSL.
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7 juin 2015 e politique s'est soldée par un échec aggravant la fr ... web. « El mouwatin »1 est un site généraliste qui commence à fournir un volume.
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Perception des centres dappels comme support relationnel par les
15 févr. 2002 Télécom (ADSL) et environ 300.000 autres au réseau Internet via le mobile » ... eu comme résultat palpable que le portail "El Mouwatin".
Mémoire
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Révélations fracassantes sur laffaire Ben Barka
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![Perception des centres dappels comme support relationnel par les Perception des centres dappels comme support relationnel par les](https://pdfprof.com/Listes/16/25262-16Th__sedoctorat.pdf.pdf.jpg)
UniǀersitĠ d'Oran 2
Faculté des Sciences Economiques, Commerciales et des Sciences deGestion
THESEEn Sciences Commerciales
Perception des centres d'appels comme
support relationnel par les clients : Etude empiriquePrésentée et soutenue publiquement par :
Mlle. BOURROUBEY Soraya
Devant le jury composé de :
Année 2016/2017
Mr. SALEM Abdelaziz Professeur Université Oran2 Président Mr. REGUIEG ISSAAD Driss Professeur Université Oran2 Rapporteur Mr. AMRANI Abdenour Professeur Université de Sidi Bel-Abbès Examinateur Mr. BRAINIS Abdelkader Professeur Université de Mostaganem Examinateur Mr. DAOUDI Salah MCA Université Oran2 Examinateur Mr. YOUSFI Rachid Professeur Université de Mostaganem ExaminateurDédicaces
À mes chers Parents,
Aucun hommage
dont ils ne cessent de me combler.Que Dieu leur apporte une bonne santé,
bonheur et longue vie.À mon cher Frère Mohamed Réda,
¬ PM ŃOqUH 6°XU $PHO
À toute ma famille et mes amis.
Remerciements
mon travail.J'exprime mes profonds remerciements
à mon Directeur de thèse, le Professeur REGUIEG Issaad-Driss pour l'aide compétente
qu'il m'a apportéB 6RQ °LO ŃULPLTXH, m'a été très précieux pour structurer et améliorer mon travail de recherche.J'exprime aussi ma gratitude au Doyen
vice-doyen de la poste graduation.Mes profonds remerciements vont
aidé et soutenu de près ou de loin !Plan de travail
Libellé Page
Introduction 01
Partie I : Revue de la littérature théorique et empirique 18Chapitre 1 : 18
Section 1 : s les entreprises algériennes 18
1. Les Technologies de l'Information et de la
Communication (TIC) en Algérie 18
202.1. Le projet e-Algérie 2013 24
2.2. Un projet de loi qui aurait libérer le marché des TIC 26
30Section 2 : Les TIC et le marché d 32
1. Les ressources humaines et les TIC 32
33-Algérie/emploi 34
Chapitre 2 : Notions et concepts sur la gestion de la relation client 36
Section 1 : La relation client 36
1. Le nouveau client 36
2. Le marketing relationnel 37
3. Le capital client 38
4. La relation client et la notion de valeur à vie du client
LTV (Costumer Life Time Value) 39
405.1. Les principaux leviers de création de la valeur 40
5.2. La relation client à toutes les étapes du cycle de vie du client 42
Figure.1. Les étapes du cycle de vie du client 42 437. La fidélisation du client 44
Section 2 : La Gestion de la Relation Client (GRC) 451. Définition de la Gestion de la Relation Client 45
2. Les usages de la GRC 47
3. La dynamique de la GRC 48
Figure.2. Les actions de la GRC envers le client 48 50Communication sur la GRC 52
Chapitre 3 : 54
Section 1 : 54
1. Historique du développemen 54
5556
57
5. Les tec 60
636.1. Le centre de contacts 64
6.2. Le centre de contacts virtuel 64
6.3. La gestion des accès multimédias du centre de contact virtuel 65
Figure.3.
dans un centre de contacts virtuel 67 688. La gestion du personnel de centre de contacts 69
Section 2 : Les TIC au service du centre de contacts 711. Les technologies nécessaires pour un centre de contacts performant 71
1.1. Le routage des appels (PBX et ACD) 71
1.2. Le serveur Vocal Interactif (SVI) 72
721.4. Les applications métier du centre de contacts 73
1.4.1. Le traitement des documents papier 73
7375
75
1.5.1. La base de données client 75
1.5.2. La gestion de la base de données relationnelle 76
781.5.4. Le data warehouse 78
1.5.5. Le data mart 80
1.5.6. Le data mining 80
1.5.7. Le text mining (TM) 81
1.5.8. Le workflow 81
2. Les progiciels de la Gestion de la Relation Client 82
3. Les technologies du web-call-center 83
3.1. Le WEB (WWW: World Wide Web) 83
3.1.1. La personnalisation 84
3.1.2. Les technologies "push" 86
3.1.3. La création de liens entre clients 86
-mail) 873.1.5. Le Marketing de permission 87
3.1.6. Les autres techniques de la convergence
téléphonie et web 883.2. Les technologies mobiles 90
3.2.1. L'ordinateur portable et l'agenda électronique 90
3.2.2. La téléphonie mobile 91
3.2.3. Les technologies réseaux du système
923.2.4. Le GPS et la téléphonie mobile 94
3.2.5. La télévision interactive numérique 94
954.1. Le forecasting 95
4.2. Le capacity planning 95
4.3. Le scheduling 96
4.4. Le reporting 96
dans un centre de contacts 97Partie II : Étude empirique 98
Chapitre 1 : 98
Section 1 : Le secteur de la téléphonie mobile en Algérie 981. Historique du développement du secteur de la
téléphonie mobile en Algérie 982. Le marché de la téléphonie mobile en Algérie 100
Section 2 : 102
102105
Chapitre 2 :
téléphonie mobile dans la relation client 107Section 1 : s de la téléphonie mobile 107
1. (ATM) Mobilis : Le précurseur de la téléphonie mobile en Algérie 107
1.1. 110
1112. Djezzy Orascom Telecom Algérie (OTA) : Le second opérateur
de téléphonie mobile en Algérie 1132.1. Les indicateurs financiers de Djezzy (OTA) 115
1173. Nedjma Wataniya Télécom (WTA) : Le troisième opérateur
de téléphonie mobile en Algérie 1183.1. Les indicateurs financiers de Nedjma (WAT) 120
appels de Nedjma (WTA) 121 Section 2 : La perception du client, des centres d'appels des opérateurs de téléphonie mobile en Algérie 1221. Le cadre de la réalisatio 122
124147
204
Conclusion 209
Index des termes techniques 222
Références bibliographiques 229
Les documents annexes 239
Table des matières 240
Introduction
1Introduction
Les réalités du marché actuel et les changements rapides dans le monde de vironnement technologique, ont incité les entreprises à faire appel à desCommunication (TIC).
Désormais, les nouvelles logiques du marché sont le marketing comme mode deconduite stratégique et la technologie comme élément fondamental de réflexion marketing où le
En Algérie, en ces débuts du 21ème siècle, un nouveau client émerge. Il exprime des conditions socio-économiques actuelles en Algérie, engagent les entreprises dans un nouveau contexte concurrentiel au sein duquel le client a pris le pouvoir. Ce client, est sophistiqué, informé, capable de comparer, plus exigent, plus réactif,économique, écologiste, imprévisible, volatile et friand des nouvelles technologies de
l'information et de la communication (TIC). Il est devenu cependant, un acteur clés dans cette baisses a ouvert un nouveau champ da une nouvelle approche stratégique et donnant naissance à un nouveau mode de Gestion de laRelation Client (GRC).
Ces technologies sont destinées principalement, à entretenir et gérer la relation client,principaux concurrents. Désormais, le développement et le renforcement de la GRC est
indissociable de celles des TIC. 20.1. Contexte et enjeux des sujets étudiés
etc. À ce titre, le Gouvernement algérien a lancé le programme "e-Algérie 2013" doté d'un
dynamiques dans le domaine de l'économie du savoir et de l'innovation technologique. antiers de modernisation jamaisentrepris dans le pays. Ceci, en assistant les procédures pour la création des PME dédiés aux TIC,
à investir dans les TIC et en renforçant les capacités de formation en TIC, etc. Les TIC commencent à se démocratiser très rapidement, particulièrement cesdernières années où la téléphonie mobile et l'Internet ont bouleversé le monde de la
communication en Algérie. Leur apparition illustre le nouveau mode de vie du consommateur -économie", des acteurs de la communication à distance, des opérateurs de télécommunications, etc. Il est certain que, la relation client est la solution appropriée face aux différentescaractéristiques du marché et des enjeux économiques qui se dessinent. Les TIC donnent corps
aux promesses du marketing relationnel. Elles fournissent aux entreprises, les outils nécessaires pour mieux connaître leurs clients et consolider le lien interagissant avec eux. Ceci-dit, la technologie idéale de cette relation est le centre d'appels. En effet, ilpermet d'orchestrer tous les éléments de la stratégie client depuis, la base de données client
nécessaire à cette relation "one to one" jusqu'à la présentation de l'offre adaptée à ses besoins.
Cette qualité de service supplémentaire permet à l'entreprise d'améliorer en permanence sa
connaissance du client, d'affiner sa stratégie et d'accroître son efficacité commerciale.téléphonie mobile. Ce dernier, annonce une concurrence rude entre les trois opérateurs : (ATM)
Mobilis, Djezzy (OTA), Nedjma (WTA).
Cependant, dans un défi de leadership, ces opérateurs multiplient leurs offres afin de fournir le meilleur service à leurs clients. Ceci, passe entre autres, par la mi 3 Alard et Dirringer (2000) définissent le centre d'appels comme " une organisationrelationnelle utilisant le téléphone pour créer un lien entre certains collaborateurs et les clients
des entreprises ».Nous pouvons également, se référer à la définition de Caïazzo (2000), " un centre de
communication multimédia à distance » entre une entreprise et ses clients, il procure au client la
satisfaction d'avoir bénéficié d'une relation personnalisée. Cette définition est plus complète car
elle fait référence à la dimension du canal de communication utilisé par le prestataire (téléphone
fixe, fax, téléphone mobile, Internet, etc.).référence uniquement au téléphone comme moyen de contact. Nous étudierons ce point dans la
partie théorique de notre travail de recherche. Par ailleurs, l'avantage compétitif des entreprises de service notamment desopérateurs de téléphonie mobile, réside dans leur capacité à comprendre et à gérer l'interface
service, il convient d'analyser la manière dont il prend en charge cette dimension relationnelle de
l'interface fournisseur/client. comme des centres de communication multimédias à distance fonctionnement. pplications proposées aux clients etleurs avantages ainsi que, les supports nécessaires à la gestion de la relation client dans le second
chapitre de la première partie. Nous pourrons ainsi, mieux cerner la nature de la relation de service issue des modalités d'accès au centre d'appels.À présent, les opérateurs de téléphonie mobile se trouvent face à des consommateurs
qui expriment de plus en plus le besoin de s'informer et d'être conseillés, tout en réclamant des
solutions personnalisées et en recherchan solution appropriée qui intègre toutes ces dimensions de la relation de service. 40.2. Cadre conceptuel et hypothèses de la recherche
La littérature marketing nous fournis une panoplie de concepts qui modélisentpleinement la relation clients et les technologies de la gestion de la relation client. Ceci-dit, pour
notre travail de recherche nous ferons appel à certains modèles conceptuels que nous jugeons othèses.¾ Dans le
domaine des services, l'interaction entre le client et l'entreprise fait partie intégrante de l'offre.
Cette dernière, se compose des services de base et des services périphériques (Eiglier et
Langeard, 1987 ; Dumoulin et Flipo, 1991 ; Langlois et Tocquer, 1992 ; Lovelock et Lapert,1999). Le service de base est destiné à satisfaire le besoin principal des clients alors que les
services périphériques représentent sa valeur ajoutée. Transposée dans le secteur de la téléphonie mobile, cette notion d'offre de servicesconsidère que dans le cadre de son activité, un opérateur de téléphonie mobile dispose d'un
service de base (mettre des services de télécommunication à disposition de ses clients) et des
services périphériques représentés par l'ensemble des autres services qui composent son offre
Notons que, l'offre d'un centre d'appels relève d'un choix stratégique pour ces ce stade, les services périphériques jouent un rôle déterminant. Selon Lovelock et Lapert (1999), les services périphériques peuvent être décomposésen deux catégories. En premier, les services "facilitateurs" nécessaires à la réalisation du service
de base. Les clients s'habituant à l'offre de ces services, finissent par les considérer comme un dû.
Ils deviennent de moins en moins rentables mais restent nécessaires puisqu'ils sont attendus parles clients. En second, les services "différenciateurs" ou de "soutien", ils constituent une source
d'avantages concurrentiels et créent directement de la valeur ajoutée pour les clients. Dans la perspective qui nous intéresse, c'est-à-dire le service de centre d'appels,l'enrichissement de l'offre des opérateurs de téléphonie mobile porte sur les services
différenciateurs. De notre analyse, il apparaît que l'offre d'un service de centre d'appels repose
principalement sur une logique clientèle (quel intérêt a le client de pouvoir bénéficier de ce
service ?) que sur une logique de productivité (quels services permettent une meilleure
exploitation de l'activité ?). 5 Par ailleurs, Lovelock et Lapert (1999) considèrent les services facilitateurs comme étant des"pré-requis" à l'établissement d'une relation de service entre le prestataire et le client. Ceci, nous
H et crée directement de
la valeur ajoutée pour les clients. Le second modèle utile à notre analyse est celui, de la servuction1. Les définitions du "service" sont nombreuses et fragmentées. (Dumoulin et Flipo, 1991 ; Langlois et Tocquer,Généralement, les services sont décrits comme étant des prestations immatérielles pour
lesquelles il y a simultanéité de la production, de la distribution et de la consommation.Ces prestations sont personnalisées, fournies à la demande du client qui y participe de manière
plus ou moins active. Ce que perçoit le client dans la consommation d'un service, c'est sonprocessus de réalisation ; ce système qui mène à la réalisation des services est désigné
"servuction" par Eiglier et Langeard (1987). duquel les clients et le personnel co-produisent le service. Nous verrons par la suite les limites de cette nles caractéristiques de ces interactions interpersonnelles entre les clients et les prestataires de
services (Bitner et al, 1990). la servuction pose la question relative auxrôles joués par le personnel en contact et par les clients (Curran et al 2005). En effet, le degré de
contrôle de la relation par le client est intimement lié à son rôle dans la servuction.
echnologie dans la rencontre de service augmente sa participation (Sabadie de contrôle élevés (Martin Gutiérrez et al, 2004). Le modèle de servuction met donc, en évidence les modes de relation et de participation de chaque client dans la réalisation du service qui lui est rendu et une dimension1Eiglier et Langeard (1987) définissent la "servuction de l'entreprise de service" comme " l'organisation
systématique et cohérente de tous les éléments physiques et humains de l'interface client-entreprise nécessaire à la
réalisation d'une prestation de service dont les caractéristiques commerciales et les niveaux de qualité ont été
déterminés ». 6liée aux contacts inter--à-dire, les effets éventuels de l'action d'un client sur la qualité
de service r suivante : H pouvons faire ressortir un autre modèle celui, de la relation de service. ¾ En effet, un modèle essentiel pour notre analyse celui, de la relation de service.L'avantage concurrentiel des entreprises de services réside dans leur capacité à comprendre et à
gérer l'interface prestataire/client (Langlois et Tocquer, 1992). C'est l'interaction "personnel en
contact/client" qui a fait l'objet des principaux travaux réalisés dans le domaine des services.
Surprenant et Solomon (1987) analysent cette interaction en développant la notion de"rencontre de service". Toutefois, cette notion présente des limites car elle s'intéresse surtout à
l'interaction dyadique en face à face entre personnel et clients, sans tenir compte des autresformes d'interactions dans le domaine des services (la rencontre de service par téléphone ou avec
un automate). Eiglier et Langeard (1994) définissent quant à eux, la relation de service comme unmode d'interactions entre l'entreprise et ses clients. Elle représente ce qui conditionne la mise en
e du service. En reprenant les travaux de Llosa (1996) " la définition de la relation deservice se confond avec celle d'"expérience de service" ». Rémy (2000) développe à ce sujet, que
es clients et l'entreprise deservice pour atteindre un résultat précis ». Cette notion est intéressante car, elle tient compte du
service tel qu'il est vécu par le client mais, elle n'envisage pas les relations entre expériences de
service (Rémy, 2000).aucune influence sur la satisfaction de chacune de ses expériences. Les principales limites de ces
travaux nous conduisent, à l'instar de Rémy (2000), à orienter notre choix vers la notion de
relation de service. Rémy (2000) partage avec Gadrey (1994) l'idée selon laquelle la relation de serviceintègre " d'une part, les éventuelles modalités d'interaction opérationnelle et d'autre part, les
relations sociales qui se construisent entre prestataires et clients à l'occasion du déroulement et
du règlement des prestations ». 7 Les interactions opérationnelles correspondent aux moyens techniques (informations,temps, savoirs, etc.) nécessaires à la coproduction du service et font référence à la participation
du client. Quant aux relations sociales, elles se construisent au cours de l'interaction et peuventprendre la forme de " liens réciproques de contrôle et de régulation, liens contractuels, mais aussi
liens de confiance et de fidélité » (Gadrey, 1994). La notion de relation de service met ainsi, en
avant l'élargissement des interactions à prendre en compte dans le cadre de l'interface
prestataire/client. Transposées dans le domaine de la téléphonie mobile, les interactions opérationnelles relation. La volonté d'intervenir sur les relations sociales émerge notamment par la mise en place des programmes de fidélisation. Dans ce sens, les centres d'appels intègrent toutes ces H relations solides et durables avec eux. dans les services. ¾ L'intégration des technologies dans les services vise le plus souvent, à renforcer larelation de service et à augmenter dans le même temps, la productivité de l'entreprise. Nous
retrouvons ces mêmes avantages dans les technologies utilisées par les centres d'appels
(Prabhaker et al, 1997).Ils accroissent la disponibilité du service qui devient de ce fait, accessible de n'importe quel lieu,
sans contrainte horaire et parfois même gratuitement (Anton, 2000). Ainsi, l'effet de la
"délocalisation", énoncé notamment par Lovelock et Lapert (1999), transforme la représentation
spatiale du couple opérateur/client. Il permet la reproduction d'un acte traditionnel de consommation du service dans des conditionsdifférentes. Selon Domegan (1996), les TIC améliorent le service fourni au client et doivent être
correctement exploitées afin de générer un avantage compétitif. Effectivement, l'utilisation courante du téléphone mobile par les clients rend le centred'appels très largement accessible. Ce dernier, gère plusieurs applications successivement
8présentées. Les clients peuvent entrer en contact avec un "service client à distance" pour
l'obtention de renseignements, le traitement des réclamations, etc. La transmission immédiate d'informations pertinentes devient possible grâce àl'élaboration de scripts précis et disponibles sur l'écran d'un téléconseiller. Toutefois,
l'interprétation du script, le type de relation engagée avec le client et les priorités choisies dans
l'action dépendent largement de la définition propre à chaque téléconseiller d'un "bon
comportement commercial" (Buscatto, 2002).Dans la même lignée, Colgate (1998) avan
des opérations marketing et de la relation client en général (Nelson, 1999). Lang et Colgate (2003) constatent que, les TIC peuvent améliorer la relation client, Hamènent à solliciter un autre modèle clés pour notre analyse celui, de la participation
intellectuelle du client. (Morgan et Hunt, 1994). Ces investissements technologiques peuvent être interprétés par les DSSHOVUHOqYHQWGHVSUHVWDWLRQVTXLVRXWLHQQHQWGHX[W\SHV departicipation des clients : la "coopération" et la "participation intellectuelle" (Eiglier et Langeard,
1987 ; Munos, 1997).
Dans le cas de la coopération, le client est simplement amené à exprimer ce qu'il désireet à répondre aux éventuelles questions qui lui seront posées. Or, en consommant un service, le
client intériorise son mode d'utilisation qui est désigné par la participation intellectuelle. Cette
9dernière, entraîne le client dans un processus d'apprentissage des opérations de production du
service.clients de certaines procédures indispensables à la consommation du service. Néanmoins, ceci
requiert pendant une période transitoire de "sur-assister" les clients. La formation de ces derniers
devient paradoxalement nécessaire à mesure que, l'intégration technologique s'intensifie et que
leur autonomie s'accroît. Gérer la participation active du client implique donc, de développer sa
participation intellectuellquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] Téléphonie fixe - El mouwatin
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