[PDF] Adjectifs `` modaux et adjectifs qualificatifs





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Présentation: les adjectifs  inclassables  des adjectifs du troisième Présentation: les adjectifs inclassables des adjectifs du troisième

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Éc ole doctorale de Sciences du Langage 132

Laboratoire de linguistique formelle

Doctorat

Sc iences du Langage Linguistique théorique, descriptive et automatique

JANA STRNADOVÁ

Les réseaux adjectivaux

Sur la grammaire des adjectifs dénominaux en français Thèse dirigée par Bernard FRADIN / Pavel ŠTICHAUER

Composition de jury :

Madame Georgette Dal STL, Université Lille 3 (président) Monsieur Tomáš Duběda FF UK v Praze (examinateur)

Monsieur Bernard Fradin LLF, CNRS (directeur)

Madame Fiammetta Namer ATILF, Université de Lorraine (pré-rapporteur)

Monsieur Jan Radimsk

Jiho česká univerzita v Českých Budějovicích (pré-rapporteur) Monsieur Pavel Štichauer FF UK v Praze (directeur)

UNIVERSITÉ PARIS

DIDEROT (PARIS 7)

SORBONNE PARIS

CITÉ

UNIVERZITA KARLOVA

V PRAZE

FILOSOFICKÁ FAKULTA

2

Remerciements

Cette thèse ne serait pas ce qu"elle est sans les nombreuses personnes que j"ai eu la chance de rencontrer tout au long de mon parcours universitaire, à Prague, à Paris ou ailleurs. Je remercie d"abord mes deux directeurs de thèse. Pavel Štichauer a accepté avec enthousiasme de me diriger sur un sujet extérieur à son domaine de prédilection. En plus du travail habituel de direction, il a réglé avec une très grande gentillesse tous les

problèmes posés par la préparation d"une thèse à distance. Bernard Fradin m"a accueillie

à Paris et a pris en main mon intégration dans le milieu français de l"enseignementet de la recherche en linguistique. Je ne peux pas compter le temps qu"il aconsacré à lire mes manuscrits, à me conseiller des lectures et à parler avec moi du contenu de la thèse ou de la morphologie et de la linguistique en général. Je lui suis reconnaissante pour l"aide qu"il m"a fournie sur tous les plans de la vie d"une doctorante, aussibien sur les plans scienti?que et intellectuel que matériel et culturel. Je remercie Fiammetta Namer et Jan Radimský d"avoir accepté d"être mes rappor- teurs et Georgette Dal et Tomáš Duběda d"avoir accepté de participer à mon jury de soutenance. Maformation en linguistique a débuté à la Faculté des Lettres de l"Université Charles à Prague qui m"a toujours soutenue. Je remercie pour leur con?ance et leurs encoura- gements mes enseignants et collègues Hana Loucká, Marie Pravdová, Bohumil Zavadil,

Petr Čermák, Olga Nádvorníková, et tout particulièrement Jaroslav Štichauer, qui est à

l"origine de la cotutelle sur laquelle cette thèse s"est construite.

J"ai eu le privilège d"être accueillie à partir de 2009 à l"UFR de Linguistique de l"Uni-

versité Paris Diderot et au Laboratoire de Linguistique Formelle. J"ai eu le plaisir de rejoindre une communauté d"enseignants, de chercheurs, de doctorants et de person- nels administratifs accueillante, exigeante et généreuse. Je remercienotamment Anne

Abeillé, Pascal Amsili, Gabriela Bîlbîie, Olivier Bonami, Margot Colinet, Benoît Crabbé,

din, Clément Plancq, Juliette Thuilier, Katka Vychopňová, Géraldine Walther, Grégoire Winterstein. Deux membres de cette communauté ont particulièrement compté : Benoît Sagot m"a mis le pied à l"étrier en me proposant de travailler sur lelexique des adjec- tifs dénominaux; Delphine Tribout m"a encouragée du début jusqu"à la?n et m"a fait 3

4pro?ter de son expérience doctorale et morphologique.

Rejoindre Paris a aussi voulu dire rejoindre la communauté française de morpholo- gie. Pour leurs encouragements, les discussions enrichissantes et lesmoments d"amitié, merci à Gilles Boyé, Iveta Chovanová, Edwige Dugas, Aurélie Guerrero, Aurore Koehl, Marine Lasserre, Stéphanie Lignon, Fiammetta Namer, Michel Roché, Florence Villoing. rais aimé pouvoir la lui donner à lire. Bruno Cartoni m"a montré qu"une thèse de mor- phologie a une valeur en dehors du monde académique. Je le remerciepour sa con?ance et son mentorat. Ma vie d"expatriée aurait été bien di?cile sans les rencontres, à Paris ou à Prague,

avec mes amis anciens étudiants de français à l"Université Charles : Dan, Evička, Jitka,

Káťa, Kačenka, Katarina, Katka, Jarda, Orkida, Ondra, Sandra. Beaucoup d"amis ont ap-

pris à leurs dépens ce que c"est qu"un adjectif dénominal : Denisa, Houssem, Inès, Ľuba,

So?ane, et bien d"autres. Cécile m"a prise sous son aile dès le début de mes études de français et m"a accompagnée jusqu"aux toutes dernières pages de la thèse. Hanna m"a toujours remis sur le chemin du soleil.

Milí rodiče a Kami, děkuji vám za vaši podporu a lásku, kterou jste mě vŽdy zahrnuli.

Dobře vím, Že to pro vás na dálku není jednoduché. Moc si toho váŽím. QuandjesuisarrivéeàParisen2009, jenepensaispasquej"yferaimavie.Jetermine

cette thèse en y étant chezmoi. Merci pour tout à Olivier, à Thomas, et à Aline et Robert.

Table des matièresIntroduction11

1 Recueil des données17

1.1 Méthodes et outils . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18

1.2 DenALex . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

1.2.1 Construction de la ressource . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

1.2.2 Spéci?cités des procédés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25

1.2.3 Limites de DenALex . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

1.3 Lexique3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

1.4 Sources : coûts et béné?ces . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

1.5 Bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

2 Inventaire des adjectifs du français41

2.1 Types d"adjectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

2.2 Su?xés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42

2.2.1 Adjectifs dénominaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43

2.2.2 Adjectifs déverbaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51

2.2.3 Adjectifs désadjectivaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55

2.3 Converts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55

2.3.1 Verbe≂Adjectif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

2.3.2 Nom≂Adjectif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57

2.4 Pré?xés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

2.5 Composés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

2.6 Autres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

2.7 Bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65

3 Les frontières de la classe des adjectifs dénominaux 67

3.1 Analysabilité des adjectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69

3.1.1 Adjectif dénominal "canonique» . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69

3.1.2 Écart sémantique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70

3.1.3 Écart formel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74

5

6TABLE DES MATIÈRES

3.1.4 Écart sémantique ou formel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76

3.2 Rapports formels entre le nom et l"adjectif . . . . . . . . . . . . . .. . . 77

3.2.1 Alternances morphophonologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

3.2.2 Espaces thématiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81

3.3 Rapports sémantiques entre le nom et l"adjectif . . . . . . . . . . . .. . . 89

3.3.1 Adjectifs intersectifs, subsectifs et intensionnels . . . . . . . . . .89

3.3.2 Adjectifs de "relation» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91

3.3.3 Le rapport sémantique de l"adjectif au nom base . . . . . . . . . .94

3.4 Régimes d"existence : la question de la concurrence . . . . . . . . . .. . 98

3.5 Bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107

4 Propriétés des noms bases109

4.1 Sélection des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110

4.1.1 Le sous-lexique utilisé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110

4.1.2 La question de la régularité morphologique . . . . . . . . . . . .112

4.1.3 Réduction de deux noms bases . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117

4.1.4 Récapitulation des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119

4.2 Type morphologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120

4.2.1 Établissement des types . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120

4.2.2 Résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123

4.3 Phonologie des noms bases . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125

4.3.1 La taille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125

4.3.2 La nature du segment ?nal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128

4.4 Niches morphologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132

4.4.1 La démarche et les noms en -iste. . . . . . . . . . . . . . . . . . 132

4.4.2 Les noms en -ité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136

4.4.3 Les noms en -ion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138

4.4.4 Les noms en -euret -ure. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139

4.4.5 Les noms en -Ance. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143

4.4.6 Les noms en -ie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145

4.4.7 Autres types . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146

4.4.8 Bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148

4.5 Bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150

5 Dérivation multiple153

5.1 A→N→A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154

5.1.1 Introduction : -itaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155

5.1.2 Données étendues : -itaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156

5.1.3 Hypothèse 1 : Sens distincts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158

5.1.4 Hypothèse 2 : Sens identiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172

TABLE DES MATIÈRES7

5.2 V→N→A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173

5.2.1 Introduction : -ionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 174

5.2.2 Données étendues : -ionnel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176

5.2.3 Hypothèse 1 : Sens non événementiel . . . . . . . . . . . . . . . . 177

5.2.4 Hypothèse 2 : Concurrent transparent disponible . . . . . . . . . 181

5.3 N→N→A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183

5.3.1 Introduction : -istique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185

5.3.2 Données étendues : -istique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186

5.3.3 Hypothèse 1 : Deux sens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188

5.3.4 Hypothèse 2 : Concurrent adjectival saillant . . . . . . . . . . . .193

5.4 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196

6 Adjectifs en réseau199

6.1 Des liens dérivationnels plurivoques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 201

6.1.1 Bidirectionnalité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 201

6.1.2 Lien ànéléments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204

6.2 Quelle approche à la dérivation? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .206

6.2.1 Modèles de description morphologique . . . . . . . . . . . . . . . 206

6.2.2 Item et Patron . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209

6.3 Patrons cumulatifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212

6.3.1 Les adjectifs en -iste. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215

6.3.2 Les adjectifs en -ifet en -oire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217

6.3.3 Bases non existantes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 219

6.3.4 Radicaux empruntés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221

6.3.5 Le cas desynonymi?e. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224

6.3.6 Le cas deguitaristi?e. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225

6.3.7 Le cas desénatorial. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227

6.4 Sens en réseau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230

6.4.1 Organisation en réseaux de patrons . . . . . . . . . . . . . . . . . 231

6.4.2 Sens distincts ou indistincts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232

6.4.3 Relations inhérentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 234

6.4.4 Quels adjectifs pour les noms su?xés? . . . . . . . . . . . . . . . 248

6.5 Bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 249

Conclusion251

Annexe A Récapitulation des données par source 257

Annexe B Description de la baseDénom259

B.1 L"onglet Denom_complet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259

8TABLE DES MATIÈRES

B.2 L"onglet Denom_5962 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259 B.3 L"onglet Denom_4302 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259 B.4 L"onglet Denom_3972 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 260

Bibliographie261

Ressources électroniques, corpus, outils 280

Résumé en français282

Abstrakt v češtině284

Abstract in English285

Symboles et abréviations

≂relation morphologique oulexicale entre deux lexèmes →,←relation dérivationnelle orien-tée ?,?absencede relation dérivation-nelle ?→relation dérivationnelle pos-sible ↔relation de motivation réci-proque <, > relation étymologique ?→alternance de segments |=implication ?concaténation phonologique +adjonction ?covariation totale ?déviation⎷relation valide

A adjectif

accaccusatif

Asfxadjectif su?xé

azrsu?xe adjectivisantdatdatif fféminin gengénitif

GRLFLe Grand Robert de la languefrançaise

insinstrumental loclocatif mmasculin nneutre N nom

Nb nom base

nbnombre nomnominatif plpluriel

Rfreq fréquence relative

sgsingulier sfxsu?xe TLFiTrésor de la langue françaiseinformatisé

T traduction sémantique

V verbe

vocvocatif 9

10SYMBOLES ET ABRÉVIATIONS

Introduction

L"objectif de cette thèse est d"étudier d"un point de vue systémique la dérivation par su?xation d"adjectifs à partir de noms en français. Auseindelagrammairedeslangues,laconstruction d"adjectifsdénominauxs"inscrit dans un ensemble plus large de stratégies permettant de relier le sens de deux noms au sein d"une suite syntagmatique. Si l"on s"en tient au français, ces stratégies peuvent être

illustrées par (1) : l"utilisation d"un adjectif dérivé à partir d"un des deux noms (1a), la

composition (1b), la mise en relation de deux noms par la syntaxe, qui peut elle-même prendre plusieurs formes, telles que des syntagmes adpositionnels(1c), des appositions (1d) ou des formes casuelles du nom. Cette dernière option n"existant pas en français, nous l"illustrons sur un exemple de génitif en tchèque (2). (1) a.faute grammaticale b.camion-toupie c.carte de crédit d.espace fumeurs 'eploitation de l"or" La répartition de ces stratégies se fait de manière di?érente suivant chaque langue. L"exemple (3) illustre ces di?érences à propos du conceptcarte de crédit: les langues ro- un composé (3b) et les langues slaves un adjectif dénominal (3c). (3) a.carte de crédit(fra)1,carta di credito(ita) b.credit card(eng),Kreditkarte(deu) c.kredit-ní karta(ces),karta kredyt-owa(pol) La dérivation adjectivale est extrêmement répandue dans certaines langues (langues slaves de l"Ouest, turc, hongrois). En revanche, les adjectifs sont inconnus ou très rares

1. Nous utilisons les abréviations de langues proposées par l"encyclopédie des languesEthnologue:

http://www.ethnologue.com/browse/codes. 11

12INTRODUCTION

dans d"autres (langues bantoues et amérindiennes, japonais)

2. Le français et les langues

romanes appartiennent aux langues qui ont une classe productive d"adjectifs et pos- sèdent des procédés morphologiques qui permettent de construiredes adjectifs à partir d"autres catégories. On pourrait donc s"attendre à trouver pourchaque type de nom un adjectif dérivé. Pourtant, il n"en va pas ainsi. D"une part, des lacunesobservées sont nombreuses, comme l"absence decarte (créditique | créditesque)face à ce qu"on observe

en (3c). Mais d"autre part, il semble qu"il soit impossible d"avoir un adjectif dérivé à par-

tir de certains types de noms, comme dans le cas des noms déverbaux en-ageou des noms converts, telsdécollageetarrivée. Du point de vue du sens, une telle dérivation est parfaitement concevable, ce que montre l"existence de tels adjectifs par exemple en tchèque (4). En français, on n"a pas donc d"adjectif construit à partir de n"importe quel nom. (4) a.vzlet-ov-ádécollage-azr-f.nomdráhapiste[f] 'piste de décollage" 'hall d"arrivée" De surcroît, les adjectifs français ne permettent pas d"exprimer n"importe quel type de relation. Par exemple, il n"existe pas d"équivalent aux adjectifspossessifs de langues slaves. En français, pour exprimer l"appartenance à une personne dé?nie, seul le syn- tagme prépositionnel est disponible. (5) a.bratr-ov-ofrère[m]-azr-n.nom.sgperostylo[n].nom.sg 'le stylo du frère" 'le frère du président" Ces impossibilités ainsi que les variations relatives à la concurrenceentre di?érentes stratégies disponibles suggèrent qu"il y a une véritable grammaire des adjectifs dénomi- naux spéci?que au français. Dans la mesure où il existe plusieurs procédés morphologiques quise marquent par des su?xes di?érents fabriquant des adjectifs dénominaux, il est nécessaire d"avoir une vue globale de la dérivation adjectivale pour pouvoir dégager laspéci?cité de la gram- maire des adjectifs dénominaux. On ne peut pas se contenter d"étudier un seul su?xe, mais il est nécessaire d"étudier la dérivation adjectivale du point de vue du système.

2. Pour plus de détails, on renvoie à la littérature typologique sur la catégorie de l"adjectif : Dixon

(1977, 2004), Creissels (2004) ou encore Baker (2003).

INTRODUCTION13

que de décrire chacun de manière approfondie. Ceci permettra de faire ressortir ce qui relève du système et ce qui est propre à chacun des procédés. Les adjectifs dénominaux ont fait l"objet d"assez nombreuses études. Il reste qu"une faut. Laplupartdes travaux existants se focalisentsur un a?xe:Lignon (2000) pour -ien, Plénat(1996,1997)pour-esque,Fradin(2007)pour-eux,Roché(2004)etCorbin et Corbin (1991) pour -ier. On se concentrera principalement sur des a?xes qui ont été moins étu- diés, à savoir -aire, -al, -el, -ique, a?n de combler les lacunes de la description. La perspective adoptée dans cette thèse est résolument empirique. La discussion des conséquences théoriques de nos observations est repoussée au chapitre 6. Cependant, l"adoption d"un vocabulaire descriptif implique certains choix analytiques. Nous adoptons sans discussion le point de vue selon lequel l"unité manipulée par la morphologie constructionnelle est lelexèmetel que caractérisé par Matthews (1974, p. 24-31)

3, Meľčuk (1993, p. 242), Zwicky (1992), Arono? (1994, p. 8-11),Fradin (2003,

p. 80-106), Haspelmath et Sims (2010, p.15-19). Le lexème estdé?ni comme une unité

lexicale abstraite de ses variations ?exionnelles et caractérisée par la stabilité de sa sé-

mantique et de ses propriétés morphosyntaxiques, notamment de catégorie et de struc- ture argumentale. Sauf s"il est invariable, il subsume un ensemble de mots-formes struc- turés en paradigme. Dans les cas simples, le lexème présente également une unité pho- nologique caractérisable en postulant un radical sur lequel les formes ?échies sont for- mées en lui adjoignant des marques ?exionnelles. Conformément à la tradition initiée par Matthews (1974), le lexème sera dénoté par sa forme de citation conventionnelle composée en petites capitales. En outre, nous adoptons le point de vue défendu par Haspelmath et Sims (2010, p. 2) selon lesquels la morphologie est l"étude des relations de covariation systématique entre ait été emprunté n"a pas d"incidence directe sur sa place dans le système synchronique. Il relève tout autant de la morphologie synchronique qu"un construit contemporain s"il renforce une série pouvant servir de modèle à des constructions futures. Sur le plan méthodologique, nous défendons l"idée qu"il faut utiliser des données étendues et authentiques pour que les régularités du système apparaissent. Une atten-

tion particulière est ainsi apportée aux sources des données présentées, qu"il s"agisse de

3. Le termelexèmea été introduit par Lyons (1968) qui distingue 3 sens du termemot: (i) le mot

phonologiqueou orthographique, qui correspond à la séquence de sons ou de caractères quiconstituent le

signi?ant d"un mot (/saeN/ ousang), (ii) le mot grammatical, qui est la forme ?échie d"un mot telle qu"elle

apparaît dans un contexte syntaxique (l"indicatif passé desing) et (iii) le lexème, qui est dé?ni comme

une unité lexicale abstraite (sing). Le termelexèmea été ensuite adopté par Matthews (1974), qui utilise

le termemot-formeà la place demot grammatical.

14INTRODUCTION

corpus variés, journalistiques, littéraires ou issus de la Toile ou de ressources lexicales à

large couverture. Plan Le chapitre 1 introduit les données étudiées. Nous contrastons deux méthodes de

à générer automatiquement des dérivés à partir de bases connues. L"existence de ces dé-

rivés est ensuite véri?ée par recherche dans des corpus à large couverture et il reste à valider la pertinence non seulement formelle mais également sémantique du rapport

formes relèvent du procédé étudié. Nous combinons les deux a?n d"obtenir des données

à la fois extensives et représentatives.

Le chapitre 2 présente un inventaire des adjectifs du français à partir de 11 378 ad- jectifs deLexique3(New, 2006). Ce travail de classi?cation des adjectifs en fonctiondes di?érents modes de construction permet de déterminer par quels procédés les adjectifs

dénominaux peuvent être construits. Malgré quelques di?cultés présentées par ce type

de classi?cation, environ un quart des adjectifs peuventêtre considérés comme adjectifs dénominaux su?xés, qui représentent de ce fait le type le plus fréquent. Le chapitre 3 est consacré à la délimitation des frontières de la classe des adjectifs dénominaux. En dehors de la situation où la covariation entre le nom et l"adjectif est

de nature régulière à la fois sur le plan formel et sémantique, il existe de nombreux cas

présentant un écart de la forme ou du sens. Cette situation soulèvela question de l"ana- lysabilité des adjectifs dénominaux, conçue comme le degré d"association entre la base et le dérivé, qui se présente comme un phénomène graduel. Par ailleurs, les questions sur la délimitation de la classe des adjectifs dénominaux vont en parallèle avec la ques-

tion de la cohésion sémantique et distributionnelle de cette classe qui est étudiée dans la

deuxième partie de ce chapitre. Lechapitre4examinecertainespropriétésdesnomsbasesàpartir desquelslesadjec-

tifs français sont construits. Pour ce faire, il faut d"abord sélectionner un échantillon de

données qui ne pose pas de problème en ce qui regarde l"analysabilité. Nous considérons trois types de mesure qui permettentde sélectionner un tel échantillon et concluons que la fréquence de type des patrons d"alternance formelle entre baseet dérivé constitue la

mesure la plus adéquate. Une fois l"échantillon constitué, nous décrirons les propriétés

phonologiques et morphologiques des noms bases a?n de déterminer les facteurs qui jouent un rôle dans la construction des adjectifs. Ceci nous donnera l"occasion d"obser- verl"existencedenichesmorphologiques,c"est-à-diredecasoù lesu?xedelabaseattire un su?xe adjectival particulier. Cette situation va de pair avec lasu?xation multiple,

INTRODUCTION15

laquelle reste assez rare en dehors de ces niches. Le chapitre 5 s"intéresse aux cas de su?xation multiple, c"est-à-dire à ceux où le adjectif, d"un verbe ou d"un nom. La première situation est illustrée sur les adjectifs se terminant en -itaire. Nous proposons deux hypothèses complémentaires pour expliquer l"existence des adjectifs construits à partir de noms désadjectivaux (A→N→A). La

situation où un adjectif est dérivé à partir d"un nom déverbal est illustrée sur les noms

en -ionnel(V→N→A), pour lesquels nous développons l"hypothèse que l"adjectif

est construit sur un sens spécialisé et non événementiel du nom base. En?n,la dernière

situation, celle où un adjectif estconstruit sur un nom dénominal(N→N→A), illustre surles adjectifsen-istiquele faitquel"adjectifdérivépeutrenvoyer àplusieursmembres de sa famille morphologique. selon lesquelles il est parfois di?cile, voire impossible, d"associer à chaque adjectif dé- nominalune et une seule base. En réalité, les adjectifs s"organisentenréseauxcontenant plusieurs éléments qu"il faut réussir à prendre en compte. Nous proposerons une ana- lyse en termes de patrons cumulatifs (Bochner, 1993) et nous montrerons comment les réseaux adjectivaux correspondent à des patrons lexicaux à un niveau plus abstrait. La

16INTRODUCTION

Chapitre 1Recueil des données

L"étude des phénomènes dérivationnels nécessite une attention particulière pour le choix des données. D"une part, il est indispensable d"avoir accès à une grande quantité de données pour pouvoir distinguer ce qui est d"ordre général de ce qui est lié à une

unité lexicale spéci?que. D"autre part, la sélection de données ?ables et authentiques ne

va pas de soi. De nouveaux mots apparaissent constamment sans qu"ils soient forcément enregis- trés dans des dictionnaires ou des corpus. Il est donc impossible d"avoir des données exhaustives, ce qui confère un poids plus important à la diversité des données. Cette

dernière est, dans une certaine mesure, liée à la diversité des sourceset oppose ainsi en

général les dictionnaires, les corpus et la Toile. des mots littéraires, parfois employés par un seul auteur, ou bien des mots appartenantà Toile, où on trouve par contre davantaged"innovations lexicales.Parmicelles-ci?gurent peut être discutable, notamment parce que l"auteur des énoncés est souvent inconnu et Hathout et al.(2004b)insistentsurlastabilité etla?abilitédesdonnéesissuesdelaToile. Le français n"ayant pas de corpus de référence, les corpus existantsne sont pas sa-

tisfaisants pour l"étude des phénomènes dérivationnels du français contemporain : trop

littéraire et pas à jour pourFrantext, pas assez grand et limité au genre journalistique pourLe MondeouL"Est républicain. A?n d"étudier à la fois des lexèmesattestés de longue date etdescréations nouvelles, La construction des adjectifs dénominaux met en relation, d"une part des adjectifs de corréler à chaque adjectif un ou plusieurs noms bases. Cette nécessité impose des 17

18CHAPITRE 1. RECUEIL DES DONNÉES

contraintes supplémentaires aux méthodes de recueil des données. La section 1.1 décrit les di?érentes méthodes qui existent pour recueillir des don-

nées destinées à une étude de morphologie constructionnelle. La section 1.2 présente la

consacrée au dépouillement des adjectifs de la base de donnéesLexique3. Les avantages et les inconvénients des di?érentes méthodes sont discutés dans la section 1.4.

1.1 Méthodes et outils

Pour constituer un lexique des adjectifs dénominaux, plusieurs méthodes sont envi- sageables, chacune ayant ses défauts et ses qualités, que nous allons brièvement décrire dans cette section. Il est possible par exemple de prendre une liste d"adjectifs issus d"un dictionnaire, tel que leTrésor de la langue française informatisé(TLFi) ouLe Grand Robert de la langue française(GRLF). Tous les adjectifs munis d"un su?xe (par exemple tous les adjectifs se terminant en -ique) ?gurant dans un dictionnaire sont ainsi sélectionnés et il reste à identi?er lesquels parmi ceux-ci sont dérivés à partir de noms, en essayant de leur attri- buer un nom base. Étant donné que, avecces données dictionnairiques, tousles adjectifs ayant le su?xe en question sont extraits, y compris ceux présentant de l"allomorphie

imprévisible ou les adjectifs dits à base supplétive, une telle tâche implique un parti pris

théorique important. Les dictionnaires contiennent également beaucoup demots rares,

archaïques,peu fréquents ou très spécialiséset ils ne donnent pas accès aux innovations

lexicales, ni ne fournissent d"information sur la disponibilité des di?érents procédés. Une autre possibilité est de collecter de nouveaux adjectifs dans des corpus. Cepen- dant, dans la perspective d"un inventaire extensif, les corpus traditionnels disponibles ne sont pas d"une taille su?sante. Face à cette di?culté, de nombreuxchercheurs se type de données. Un certain nombre d"études sur la morphologie du français auxquelles onferaréférencedansleprésenttravailontutilisélesrobotsWeba?x(Hathout et Tanguy,

2002, Tanguy et Hathout,2002) ouWaliM(Namer,2003).Ces outils s"appuienttous deux

sur des requêtes soumises par un programme à un moteur de recherche mais illustrent deux méthodes d"acquisition ou de véri?cation des données à partir dela Toile complé- mentaires. La première méthode consiste à procéder de manière inductive : l"un des deux mo- dules deWeba?x(Hathout et Tanguy, 2002, Tanguy et Hathout, 2002) cherche despa- trons spéci?ques tels que*ationet e?ectue ensuite di?érents ?ltrages. Cette méthode permet de récupérer une grande quantité de données, comme par exemple les 5 000 adjectifs en -ableétudiés par Hathout et al. (2004b) ou les 3 000 adjectifs en -esqueana- lysés par Plénat (2009).Weba?xa également servi en partie à la constitution de la res-

1.1. MÉTHODES ET OUTILS19

source lexicale des noms déverbauxVerbAction(Tanguy et Hathout, 2002). Néanmoins,

cette méthode présente le même inconvénient que l"étude de données issues de diction-

naires : il faut attribuer, a posteriori, au dérivé une base. Ceci peutêtre fait de manière

automatiqueenutilisantparexempleDéCor(Dal et al.,1999,Hathout et al.,2002,2004a), analyseur à base d"analogies graphémiques. Cependant, en l"absence d"information sé- mantique, les résultats obtenus ne sont pas très précis

1. Une alternative est d"utiliser

l"analyseurDérif(Namer, 2009) qui est basé sur des règles, enrichies de connaissances sémantiques, et sur des listes d"exception. Toutefois, tous les procédés n"y sont pas trai- tés ce qui réduit son champ d"application. Par ailleurs, ce premiermodule deWeba?x

dépend de la possibilité d"utiliser le caractère joker, ce qui le rend actuellement non opé-

rationnel, ce type de requête n"étant plus accepté par les moteursde recherche. La deuxième méthode s"appuie sur une démarche hypothético-déductive :WaliM (Namer, 2003), ainsi que le deuxième module deWeba?x, génèrent des candidats à par-quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43
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