[PDF] Le bilatéral et le multilatéral en coopération scientifique


Le bilatéral et le multilatéral en coopération scientifique


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Qu'est-ce que la coopération bilatérale?

La coopération bilatérale a pour objectif de développer et mettre en œuvre les accords de coopération bilatérale avec les pays frères et amis afin d'échanger les expériences et l'expértise en matière de Réforme de l’Administration et de la Fonction Publique. Union Africaine.

Quel est le rôle de la coopération multilatérale?

Certaines organisations ont un rôle politique, d’autres un rôle surtout économique, social et financier. La coopération multilatérale est l’ensemble des rapports de coopération qui unissent les états dans des organisations internationales ou régionales.

Quels sont les opérateurs de la coopération multilatérale francophone?

L’Organisation internationale de la Francophonie (aux côtés de la CONFEJES et de la CONFEMEN) met en oeuvre la coopération multilatérale francophone aux côtés de quatre opérateurs: l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), la chaîne internationale de télévision TV5MONDE, et l’Université Senghor d’Alexandrie.

9Mai2005

Lesenjeux

A-t-on réellement besoin

de 25 politiques nationales derecherche ? Et de quelques centaines de coopérations scientifiques bilatérales croisées ? Peut-être pas, mais il serait imprudent de vouloir charger l"Union européenne de tout. par Pierre Paul Baskevitch,

Chercheur au CNRS,

chargé de mission à la Direction des relations internationales et de la coopération (DRIC ministère de l"Education nationale, de l"Enseignement et de la

Recherche pour les coopérations

avec l"Europe du Nord (1 L e débat qui accompagne la pré- par ation de la Loi d"orientation et de programmation de la rec herche et de l"innovation a fait resur- gir entre autres questions de compéten ce, celle de savoir si le niveau communautaire doit prendre en charge la recherche fondamentale et l"innova- tion, ou bien et tout au contraire, au nom de la subsidiarité, les pa ys membres doi vent-ils financer l"un ou l"autre de ces piliers du dév eloppe- ment ? Ceci renvoie à un débat récur- rent qui, résumé brutalement, s"énonceainsi : a-t-on encore besoin de 25 poli- tiques nationales de recherche ? L a présente étude vise à mettre en évi- dence, puis à commenter, deux notions qui peuvent sembler intuitives, mais qui ne sont guère explicitées : les coopéra- tions scientifiques bilatérales se fondent sur la mobilité, et la coopération com- munautaire se nourrit à son tour de la collaboration bilatérale. Le fractionne- ment de ce continuum peut donc s"avé- rer risqué.

Le bilatéral : de la mobilité

à la co-publication

L"intensité de la coopération bilatérale

peut être approchée soit par la mobilité (ici, celle des chercheurs dépendant du

CNRS et, par ailleurs, celle des c

her- cheurs français dans le cadre des pro- gr ammes d"actions intégrées), soit par le nombre des co-publications (mesuré ici par le SCI puis tamisé par le CNRS pour ses propres chercheurs). Le ni veau multilatéral est représenté dans cette étude par le niveau commu- nautaire et se trouve plus difficile à appréhender. On suivra divers para- mètres fournis par le CNRS, et par la direction de la technologie en ce qui concerne les participations fr ançaises au 5 e

PCRDT.

Pour comparer des masses homogènes

et de taille suffisante, l"étude distin- guera deux groupes de pays euro- péens : le groupe nordique (Belgique,

Danemark, F

inlande, Islande,

Luxembourg, Norvège, P

ays Bas, Suède) ; - le groupe méditerranéen (Chypre, Espagne, Grèce, Italie, Malte, Portugal).La corrélation entre co-publications et mobilité sortante des chercheurs, qui p eut sembler intuitivement évidente, est, en fait, délicate à démontrer comp- te tenu de la grande variabilité des don- nées annuelles. En particulier, la mobilité des agents du CNRS est sen- sible au budget disponible dans chaque

équipe.

Les données fournies par la direction

des relations internationales (DRI, cel- lule de veille et de prospective) du

CNRS concernent la mobilité sortante

des agents employés par les équipes du

CNRS, quel que soit leur statut [1]. En

effet, tous les agents partant en mission, quel qu"en soit le financement, en informent leur administration et sont donc recensés; l"effectif annuel, par pays, est ici corrigé des missions pour congrès, colloques, etc. dont la propor tion est, en moyenne pour l"Europe, de 45
P ar ailleurs, la DRI du CNRS a extrait de la base du

Science citation index

le nombre de co-publications de ses cher- c heurs avec des partenaires de chaque pays d"Europe. Il convient de se rappe- ler que cet index minore les publica- tions en sciences humaines et sociales.

La figure

1 décrit l"évolution des effec-

tifs en mobilité (corrigée des congrès des co-publications de 1996 à 2003, pour le seul CNRS et après regroupe ment des pays partenaires en deux zones (Nord et Méditerranée). Les index de mobilité évoluent de concert pour

Le bilatéral et le multilatéral

en coopération scientifique internationale : l"un ne va pas sans l"autre (1Pierre P . Baskevitch est normalien, agrégé de l"Uni versité et docteur d"Etat ès sciences, Après une carrière de chercheur et d"enseignant, en France et en Europe centr ale, il a été chef du secteur S&T de l"Ambassade de F rance à Moscou (1995-1999 commentaires du présent article n"engagent que l"auteur, et non la DRIC ou le ministère.

10Annales des Mines

les deux groupes géographiques, de même que les nombres de co-publica- tions. De plus, les courbes décrivant l"évolution de ces dernières apparais- sent décalées d"un an environ, plus tar- dives que l"évolution des mobilités. Ce résultat confirme donc l"intuition que peut avoir tout observateur de la recherche fondamentale. L es programmes d"actions intégrées (PAI) sont des programmes bilatéraux de financement de la mobilité de jeunes chercheurs engagés dans un pro- j et de recherche fondamentale. Le financement d"une à deux missions annuelles est assuré, pour la France, par le ministère des Affaires étrangères (ser- v ices scientifiques des ambassades) seul ou avec le ministère en charge de la

Recherche et, pour le partenaire étran-

ger, par la structure ministérielle ou publique de financement de la recherche publique. Une cinquantaine de pays sont aujourd"hui concernés par ces programmes, dont presque tous les pays européens.

Le ministère des Affaires étrangères

(MAEaluation externe de 12 programmes concernant les pays européens et la Norvège, confiée à la société Technopolis France (2[2]. Le rapport de cet audit, très fouillé, permet de préciser le passage de la mobilité à une coopération bilatérale, puis à une coopération que nous appellerons " en hub» ou multi-bilatérale.

Les évaluateurs observent tout d"abord

que près d"un projet sur deux est une nouv elle coopération entre les deux

équipes partenaires, qui en général se

connaissent déjà grâce à des ren contres ou des visites de courte durée (seuls 30 % des responsables fr ançais ont effectué un long séjour chez le partenaire avant le lancement du projet financé par le P AI).

Il est intéressant de mesurer le devenir

du projet après sa fin administrative. A court terme, plus de 85 % des projets donnent lieu à co-publication dans une revue à comité de lecture, près de 15 dans un li vre (en particulier en sciences humaines et sociales), plus de 55 enfin débouchent sur une soutenance de thèse.A plus long terme, 79 % des projets connaissent un prolongement (beau- coup moins nombreux, environ 45 %, en sciences humaines et sociales), en quasi-totalité avec les mêmes parte- naires seuls (47 %) ou avec d"autres (49 %). Plus précisément, la figure 2 démontre que, selon les cas, certains pays partenaires prolongent leur coopé- ration " entre nous » (83 % des projets franco-autrichiens) alors que d"autres mènent à des réseaux élargis (70% des projets franco-néerlandais et franco- grecs).

On peut rapprocher ces résultats de

l"étude réalisée par la DRI du CNRS sur les co-publications françaises avec des partenaires européens : près de 79% concernent un seul partenaire, 13,4 en impliquent deux et 3,3 % trois.

Deux formes

d"élargissement et d"approfondis- sement des co opérations ainsi engagées par les projets P

AI sont par-

ticulièrement significatives : soit la formation de petits réseaux en tri angle, dans lequel une équipe fr ançai- se soumet simultanément le même projet à deux programmes PAI diffé- rents, en coopération avec deux

équipes étrangères ressortissantes de

deux pa ys différents (coopération multi-bilatér ale), soit plus directement en projet soumis à un progr amme européen (PCRDT, INTAS, INCO, etc.).

Le niveau multilatéral

Pour des raisons opérationnelles, la

question de savoir s"il existe une rela- tion directe de causalité entre la coopé- ration bilatérale et la coopération multilatérale est importante. L"analyse de ce problème est rendue délicate par la confusion inévitable entre les deux directions de cette éventuelle relation : bilatéral vers multilatéral ou l"opposé.

La mise en oeuvre et les résultats du 5

e

PCRDT (1998 à 2002

par les services de la Commission et sont disponibles [3]. L"hypothèse d"une corrélation entre la coopér ation bilaté- rale multiple, en hub, et de la coopéra- tion multilatér ale peut être testée de la façon sui vante : le niveau multilatéral est estimé par le nombre total de cita- tions d"équipes étrangères euro- péennes, pa ys par pays, dans tous les contrats signés par les équipes fran-

çaises pendant la durée du 5

e

PCRDT :

par exemple, 2 344 implications d"équipes néerlandaises ou 3 919
d"équipes italiennes. Pour sa part, le ni veau bilatéral est approché par le nombre total de co-publications des

équipes françaises avec des équipes

étrangères de ces mêmes pays.

Pour éviter le dilemme de " la poule et

de l"oeuf » (la co-publication entraîne un contr at multilatéral qui entraîne une

Il est nécessaire d"in-

citer et de renforcer la mobilité des chercheurs Fig. 1. - Evolution des mobilités sortantes et des co-publications du CNRS. (2Allemagne, Autriche, Belgique francophone,

Belgique néerlandophone, Espagne, Grèce,

Irlande, Italie, Norvège, Pays Bas, Portugal,

Royaume-Uni.

co-publication : qui est à l"origine de quoi ?), nous avons pris en compte les co-publications de la seule annéequotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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