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Approche philologique des langagesde programmationBaptiste M´el`es

LHSP - Archives Henri-Poincar

´e

91 avenue de la Lib

´eration

54000 Nancy

France

baptiste.meles@univ-lorraine.fr R´ESUM´E.On appelle souvent?langages de programmation?aussi bien des langages concrets que des mod `eles abstraits de calcul. Pourtant, les premiers poss`edent bien des propri´et´es que les seconds s"efforcent d" ´eviter, et qui les rapprochent des langues naturelles : des irr´egularit´es syntaxiques, des traces historiques, des symboles expl

´etifs ou redondants, un apprentissage par

la pratique. On peut d `es lors appliquer aux langages de programmation des m´ethodes issues de la linguistique g ´en´erale et de la philologie comme les analyses comparatives, synchroniques et diachroniques, ´etymologiques, phylog´en´etiques, stylistiques et litt´eraires. ABSTRACT.By “programming languages" are meant both concrete languages and abstract com- putation models. However, the formers have many properties which the latters try to avoid, and which are close to those of natural languages: syntactic irregularities, historical residues, expletive or redundant symbols, learning through practice. Hence, one could apply to program- ming languages methods coming from general linguistics and philology such as comparative, synchronic and diachronic, etymological, phylogenetic, stylistic and literary analyses.

MOTS-CL

´ES :langages de programmation, linguistique, philologie. KEYWORDS:programming languages, linguistics, philology.

DOI:10.3166/TSI.35.237-254c?2016 Lavoisier

1. Introduction

1.1. Langages th

´eoriques et langages concrets

Sous son unit

´e apparente, la notion de langage de programmation semble recouvrir deux r ´ealit´es diff´erentes : d"une part des langages?concrets?comme l"assembleur, le C, Perl, SQL, Lisp, Prolog et Javascript, de l"autre des mod `eles abstraits de calcul, ou langages ?th´eoriques?, comme les tables de machines de Turing, leλ-calcul et les cat

´egories cart´esiennes closes.

Technique et science informatiques - n

o2/2016, 237-254

238 TSI. Volume 35 - no2/2016

Les premiers sont mis en oeuvre sur des ordinateurs au moyen de compilateurs ou d"interpr `etes tandis que les seconds sont d´efinis dans des articles et pourraient sans dommage rester sur le papier. Les premiers permettent aux d

´eveloppeurs d"´ecrire

des programmes dot ´es d"une certaine utilit´e pratique — syst`emes d"exploitation, in- terpr `etes de commande, navigateurs, jeux — tandis que les seconds servent essen- tiellement `a faciliter la d´emonstration de th´eor`emes de logique ou d"informatique th ´eorique. Quoique confondues sous une mˆeme appellation, les deux sortes de lan- gages semblent ainsi ne pas moins diff

´erer par le support que par les fins. Que les

auteurs d"un livre d"initiation `a Haskell aient pu choisir pour titreReal World Haskell montre `a quel point la distinction entre langages th´eoriques et langages concrets est profond ´ement ancr´ee dans les esprits et les pratiques de ceux mˆemes qui cherchent a y rem´edier : certains acteurs pensent en termes?de mono¨ıdes, de foncteurs et d"hyl ´emorphismes?tandis que d"autres ne parlent que de programmes?ex´ecut´es sur un parc de mat

´eriel dot´e de ressources limit´ees?1.

Une fac¸on d"expliquer cet

´ecart entre langages th´eoriques et langages concrets se- rait de pr ´esenter les seconds comme de simples?applications?des premiers; la pratique serait un corollaire de la th ´eorie. Naturellement, on peut parler d"application sans imposer un ordre chronologique entre le mod `ele abstrait et le langage concret :

Lisp fut cr

´e´e apr`es leλ-calcul mais avant les cat´egories cart´esiennes closes. Tantˆot le langage concret est une mise en oeuvre de la th

´eorie, tantˆot la th´eorie s"efforce de

capturer r ´etrospectivement le contenu conceptuel immanent`a une famille de langages existants. Tel est l"esprit qui semble avoir guid

´e Gilles Dowek et Jean-Jacques L´evy,

auteurs d"une excellenteIntroduction`a la th´eorie des langages de programmation: de mˆeme que la zoologie ne consiste pas`a´etudier successivement toutes les esp`eces animales, l" ´etude des langages de programmation ne consiste pas`a´etudier successi- vement tous les langages, mais s"organise autour des fonctionnalit

´es que l"on retrouve

dans les diff

´erents langages2?.

D ´eterminer l"´eventuel manque auquel conduit cette r´eduction sera l"objet du pr´e- sent travail : les langages de programmation th ´eoriques´epuisent-ils les propri´et´es des langages de programmation concrets, ou ceux-ci pr

´esentent-ils quelque apport propre,

irr ´eductible`a leur structure conceptuelle? Nous entendons montrer ici que la notion intuitive d" ?expressivit´e?des langages de programmation serait mieux captur´ee par un appel `a des outils philologiques et plus g´en´eralement linguistiques que par des outils formels.

1. O"Sullivanet al. (2008, p. 561). On pourrait contester cette distinction en exhibant quelques langages

au statut interm

´ediaire, tels que Coq et Haskell, tout`a la fois outils th´eoriques et outils de programmation

concrets. Mais comme l"observe Georges Canguilhem, qui traite de la distinction entre sant

´e et maladie en

s"appuyant sur la th ´eorie hegelienne de la mesure, tout´ecart quantitatif suffisamment flagrant engendre des diff ´erences qualitatives (Canguilhem, 1966/2013, p. 86-87).

2. Dowek et L

´evy (2006, p. 100).

Approche philologique des langages de programmation 239

1.2. Calculabilit

´e et compilation

Ecartons d"entr´ee de jeu les objections qui pr´etendraient r´esoudre le probl`eme en s" ´epargnant de le poser. Les langages de programmation sont presque tous complets au sens de Turing, c"est- `a-dire qu"ils permettent de calculer tout ce qui est r´ecursivement calculable, pour ne pas dire calculable en g

´en´eral3; dans la mesure o`u ces langages

poss `edent`a peu pr`es la mˆeme puissance calculatoire, et o`u du reste les langages concrets se laissent tous r ´eduire en derni`ere instance, par une chaˆıne de compilations, a quelque langage?primitif?tel que le langage machine, toute distinction entre eux n"est-elle pas illusoire? Ainsi convergent l"argument de la calculabilit

´e et celui de la

compilation.

Mais l"argument de la calculabilit

´e oublie qu"il n"est pas d"´equivalence absolue.

Comme tout jugement d"

´equivalence, l"´equivalence au sens de Turing d´epend d"une relation de congruence, dont toute personne soucieuse d"

´eviter la p´etition de principe

doit ´evaluer la pertinenceavantd"en faire usage. Aussi Matthias Felleisen n"envisage- t-il pas cet argument sans objecter aussit ˆot qu"il mobilise un crit`ere trop grossier pour rendre compte de la notion informelle d"expressivit

´e d"un langage :?Il est vain de

comparer l"ensemble des fonctions calculables qu"un langage peut repr

´esenter parce

que les langages en question sont g ´en´eralement universels?4. Pour comparer lan- gages th ´eoriques et langages concrets, il faut un grain plus fin que la calculabilit´e.

En appeler

`a l"argument de la compilation revient´egalement`a pr´evenir la question plut ˆot que la r´esoudre, la compilation ayant pr´ecis´ement pour mission d"aplatir les idiomes qui s"expriment dans les codes sources pour les r

´eduire aux expressions d"un

autre langage, g ´en´eralement de plus bas niveau. Ici comme dans l"argument de la calculabilit ´e, le crit`ere lui-mˆeme pr´ejuge la r´eponse, d´ecidant`a l"avance de n´egliger les diff ´erences qu"il est justement question d"examiner. Aussi proposons-nous d"adopter le parti de comparer les langages de programma- tion tels qu"ils sont mobilis ´es, avant toute compilation, dans les codes sources. C"est dans ces textes que l"on a le plus de chances de voir s"exprimer une ?pens´ee infor- matique ?analogue`a l"exp´erience math´ematique que voulait d´ecrire Jean Cavaill`es. La s ´emantique`a laquelle nous en appelons n"est donc pas celle du compilateur mais du programmeur.

2. Les langages de programmation th

´eoriques

Il pourrait sembler trivial d"attendre d"un langage de programmation th

´eorique que

ses propri ´et´es essentielles d´erivent tout enti`eres du contenu scientifique et de lui seul,

3. Du reste, les langages de programmation qui ne sont pas complets au sens de Turing sont soit dans le

cas du HTML, pour lequel la compl´etude serait absurde et inutile, soit dans le cas de Coq, pour qui elle

est ind

´esirable : Coq y perdrait la propri´et´e de normalisation forte, qui garantit la terminaison de tous ses

calculs.

4. Felleisen (1991, p. 35).

240 TSI. Volume 35 - no2/2016

evitant scrupuleusement tout ce qui serait de nature`a brouiller le contenu conceptuel.

Cette attente engendre

`a elle seule plusieurs exigences.

Une premi

`ere exigence est ainsi celle de la puret´e conceptuelle, qui implique en premier lieu d" ´eviter toute irr´egularit´e syntaxique; par exemple, toutes les fonctions y seraient not ´ees selon une syntaxe uniforme. En second lieu, un langage de ce genre serait d ´enu´e de r´esidus historiques passivement rec¸us. Chaque langage, n"´etant jug´e que relativement au contenu conceptuel qu"il exprime, pourrait

ˆetre consid´er´e comme

conc¸uex nihilo, rien ne lui interdisant par exemple de r´eutiliser en un sens nouveau des signes ayant poss ´ed´e autrefois une autre signification. Ainsi Per Martin-L¨of attribue- t-il des r `egles nouvelles aux symbolesΣetΠ, qu"Alonzo Church employait dans sa premi `ere version duλ-calcul, sans que cela engendre le moindre conflit conceptuel : autre langage, autres concepts 5.

Une deuxi

`eme exigence serait que le langage soit en bijection avec les concepts qu"il doit exprimer, ce qui implique deux contraintes. La premi `ere est l"´elimination de toute signe expl ´etif, c"est-`a-dire d´enu´e de signification, comme l"est la n´egation dans l"expression franc¸aise ?Je crains qu"ilneparte?6. Un langage th´eorique doit etre´economique, c"est-`a-dire n"exprimer que ce qui est conceptuellement pertinent; Russell et Whitehead revendiquent ainsi dans la pr

´eface desPrincipia Mathematica

que ?nul symbole n"a´et´e introduit sur un autre motif que son utilit´e pratique pour les objectifs imm ´ediats de notre raisonnement?7. La seconde contrainte est l"´elimination de toute redondance, principe que Sch

¨onfinkel formule explicitement :

Il est conforme

`a la nature de la m´ethode axiomatique telle qu"elle est aujourd"hui reconnue avant tout `a travers les travaux de Hilbert, non seulement de tendre en ce qui concerne le nombre et le contenu desaxiomes`a une limitation la plus´etroite possible, mais aussi de ten- ter de r ´eduire au maximum le nombre desnotionsde base non d´efinies, en recherchant des notions qui soient de pr

´ef´erence appropri´ees pour

construire toutes les autres notions du domaine de connaissance en ques- tion8.

En vertu de ces deux contraintes, rejet de l"expl

´etivit´e et´elimination des redon-

dances, chaque signe du langage doit recevoir une signification, et une seule.

Ces contraintes ont des cons

´equences p´edagogiques. N"´etant jug´e qu"`a l"aune des concepts qu"il exprime, le langage de programmation th

´eorique peut n"ˆetre appris que

par simples concepts, au moyen de sa d ´efinition abstraite. La pr´esentation du lan- gage PCF, dans l"ouvrage de Gilles Dowek et Jean-Jacques L

´evy´evoqu´e plus haut,

est `a cet´egard tout`a fait caract´eristique : apr`es quelques remarques g´en´erales sur la

5. Church (1932); Martin-L¨of (1984).

6. Grevisse et Goosse (2011,§375, p. 490 :?Le mot expl´etif est un terme qui ne joue pas le rˆole qu"il

a l"air de jouer; il est, logiquement, inutile, quoiqu"on ne puisse pas toujours le supprimer dans certains

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