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:
718
m/s n°5, vol.15, mai 99

MINI-SYNTHÈSE

médecine/sciences 1999 ; 15 : 718-20Le cortex visuel primaire ne se contente pas de voir, il localise dans l'espace L ' image d'un objet se projette sur les deux rétines avec un léger décalage angulaire en rai- son de la séparation des deux yeux.

Le cerveau utilise cet indice binocu-

laire, appelé disparité rétinienne, pour reconstruire le relief. C'est

Wheatstone en 1838 qui, le premier,

le révéla en inventant le stéréoscope [1]. Grâce à un jeu de miroirs, cet appareil permet de simuler la pro- fondeur en présentant deux photos, une à chaque oeil, prises sous un angle légèrement différent. La dispa- rité rétinienne est un indice qui rend compte des distances relatives entre les objets, quel que soit l'endroit que l'on regarde. Mais à présent si l'on veut saisir un objet que l'on regarde, on doit évaluer également la distance qui nous sépare de cet objet. Cette distance peut être directement calcu- lée à partir du croisement des axes optiques ou angle de convergence.

Mais la distance absolue d'un objet

situé en dehors du plan de fixation (plan 0° dans la figure1) requiert un calcul qui combine l'angle de conver- gence et la disparité rétinienne de l'objet. Descartes avait d'ailleurs été le premier à proposer que la conver- gence oculaire pouvait contribuer à la perception des distances. En d'autres termes, pour localiser les objets correctement, il faut une com- binaison d'informations sur la posi- tion de l'image de l'objet sur les deux rétines avec la position des yeux dans leur orbite, définissant ainsi la direction du regard.

Les premiers travaux neurophysiolo-

giques sur la question, réalisés chez le singe en 1983 par Andersen et

Mountcastle [2], avaient montré que

pour une même stimulation visuelle, l'activité électrique (sous forme d'émission de potentiels d'actions) d'un neurone situé dans le lobe pariétal du cortex cérébral pouvait être soit élevée soit plus faible, selonla direction du regard. Un bon nombre de travaux ultérieurs ont confirmé ce résultat et proposé que le cortex pariétal était le siège de mécanismes rendant compte de la localisation des objets dans l'espace.

Ces modulations neuronales seraient

à la base d'un processus transformant

des coordonnées rétiniennes (rétino- topiques) en coordonnées centrées par rapport à la tête (cranio-cen- triques), ce qui permettrait une per- ception constante de l'espace [3]. En fait, des travaux plus récents ont montré que d'autres aires cérébrales participent à cette interface sensori- motrice, notamment des aires visuelles secondaires localisées dans des régions plus postérieures du cer- veau [4, 5]. Quant à l'aire visuelle primaire couvrant toute la partie occipitale chez le primate, on pensait jusqu'à récemment qu'elle ne rece- vait que des messages issus de la rétine viale corps genouillé dorsal, noyau relais situé dans le thalamus.

Le cortex visuel primaire est la pre-

mière aire cérébrale visuelle dans laquelle les neurones codent les caractéristiques des objets comme l'orientation des bords constituant cet objet et le relief [6, 7]. Les neu- rones "perçoivent» une portion limi- tée de l'espace à travers une petite fenêtre: c'est le champ récepteur. La plupart des neurones préfèrent une orientation particulière; lorsqu'un bord correctement orienté est pré- senté dans cette fenêtre, la fréquence des potentiels d'action émis est alors maximale alors que si le bord est pré- senté avec une orientation orthogo- nale, la fréquence est minimale. Par ailleurs, ces mêmes neurones peu- vent également être sensibles à la dis- parité et vont ainsi être activés de façon différente, très spécifique et précise, par des images projetées dans le plan de fixation, en avant ou en arrière de ce plan (figure1). Lesrares études neurophysiologiques sur la perception stéréoscopique ont été faites à une seule distance de fixa- tion. La question se pose alors de savoir ce que devient ce codage de la disparité si l'on change la distance absolue d'une cible. En effet, lorsqu'on éloigne un objet de soi, il est perçu avec les mêmes caractéris- tiques de forme et d'épaisseur qu'il soit situé à 20cm ou à 80cm. Th

éori-

quement, pour des questions de pure géométrie, cet objet devrait appa- raître plus plat à 80cm, or ce n'est pas le cas; il existe donc des méca- nismes neuronaux qui assurent la constance des formes. Cette question a été explorée en entraînant deux singes (macaques Rhésus) à fixer une cible lumineuse au centre d'un écran placé dans l'axe droit devant, mais à des distances différentes, 20cm,

40cm ou 80cm. Les mêmes stéréo-

grammes (2images décalées) sont projetés sur les champs récepteurs des cellules enregistrées en adaptant la taille et les disparités angulaires aux différentes distances afin d'homogénéiser les stimulations visuelles arrivant sur les deux rétines.

On s'aperçoit alors que l'activité élec-

trique de la majorité des neurones du cortex visuel primaire est remar- quablement modifiée. Ces neurones sont toujours sensibles aux mêmes caractéristiques du stimulus (localisa- tion en avant ou en arrière du plan de fixation) mais dans la majorité des cas leur niveau d'activité est surtout fonction de la distance de ce stimu- lus. En d'autres termes, la sensibilité d'un neurone à la position de l'objet par rapport au plan de fixation est meilleure à certaines distances qu'à d'autres. L'utilisation de prismes, qui modifient l'angle de convergence sans changer la distance réelle a per- mis de mimer les effets d'un change- ment de la distance(figure2), ce qui montre que cette modulation liée à la convergence oculaire n'est pas d'origine rétinienne [8, 9].

Il restait à déterminer si ces modula-

tions de l'activité neuronale étaient généralisées à tout l'espace en testant la manière dont les propriétés spéci- fiques de codage de la disparité et de l'orientation réagissent à des variations de la direction du regard dans le plan fronto-parallèle. Pour ce faire, deux autres singes Rhésus ont été entraînés

à fixer un point sur un écran dans

trois directions différentes : droit devant (0°), 10°sur la gauche ou 10° sur la droite. On projette sur l'écran soit des stéréogrammes testant la sensi- bilité des neurones à la disparité réti- nienne, soit des réseaux contrastés (série de barres sombres et blanches) présentés avec des orientations diffé- rentes dans le plan de fixation, ce qui teste également la capacité des neu- rones à coder l'orientation. Cette fois encore les neurones ne réagiront de façon optimale à ces deux paramètres, que pour une certaine direction du regard (figure3). La rapidité avec laquelle se produisent ces modulations est remarquable puisqu'elles ont lieudès l'émission des premiers potentiels d'action de la réponse des neurones aux stimulations visuelles. Il est donc vraisemblable que l'influence de la position des yeux dans l'orbite inter- vienne entre le corps genouillé latéral et le cortex visuel primaire [10].

Pour localiser les objets dans l'espace,

il existe donc un mécanisme cérébral qui, dès le cortex visuel primaire, fait intervenir des interactions entre les messages issus de la rétine et des mes- sages oculo-moteurs. En théorie, ces derniers peuvent avoir deux origines.

L'une qui proviendrait de la com-

mande motrice, ou plutôt de sa copie, lorsqu'on effectue un mouve- ment volontaire des yeux et l'autre qui proviendrait de récepteurs pro- prioceptifs situés dans les muscles qui entourent les yeux. Ces deux types de signaux peuvent co-exister comme l'indiquent certains travaux de psy- chophysique mais la démonstration de leur fonctionnement au niveau neuronal reste à faire.

Les résultats obtenus sur les effets de

la distance et de la direction du regard suggèrent que les caractéris- 719
m/s n°5, vol.15, mai 99 AA BB CC

Catégoriesdeneurones

Activité neuronale(potentiesl d'actionpar seconde)

AvantPlan 0°Arrière

AvantPlan 0°Arrière

0° 80 cm
20 cm

Prismes

Anglede convergence

Figure 1.Variation de l'activité de trois grandes catégories de neurones du cortex visuel primaire du singe en fonction de la distance de la cible. A. Acti- vité d'un neurone représentatif de la population stimulée par un objet situé en arrière du plan de fixation. B.Activité d'un neurone activé lorsque la cible est dans le plan, et (C)activité du neurone stimulé par une cible située en avant du plan. Pour chacune de ces catégories, l'activité calculée en nombre de potentiels d'action par seconde est maximale dans la zone rouge. Figure 2. Effet d'un changement de distance sur l'activité neuronale d'un neu- rone du cortex visuel primaire.

Comme dans la figure 1, les panneaux rouges

indiquent le nombre de potentiels d'action émis par seconde par le neurone. L'activité du neurone est maximale à une distance de 20cm et minimale à

80cm. Lorsque l'on applique des prismes de puissance choisie de telle sorte

qu'en fixant à 80cm, on ramène l'angle de convergence équivalent à celui existant à 20cm, dans ce cas l'activité réapparaît. C'est la démonstration que l'effet de distance est dû à la convergence oculaire et donc à un signal extra- rétinien d'origine oculo-motrice. 720
m/s n°5, vol.15, mai 99 tiques neuronales qui définissent les objets, comme leurs formes et volumes, sont exprimées dans des portions limitées de l'espace en pro- fondeur selon l'endroit regardé (figure3). Ces modules spatiaux doi- vent permettre une localisation pré- cise et rapide des objets dans l'espace. Ils représentent vraisembla- blement des éléments essentiels de notre perception constante desformes, utilisés dans un acte moteur correct de saisie des objets.

Finalement, les mécanismes neuro-

naux à la base de la localisation spa- tiale sont donc mis en jeu dès le cor- tex visuel primaire. Comme d'autres facteurs comme l'attention ou le contexte dans lequel se trouvent les objets, peuvent moduler l'activité visuelle de ces neurones [11-13], on en vient désormais à considérercette aire visuelle comme virtuelle- ment primaire et réellement intégra- tive

RÉFÉRENCES

1. Wheatstone C. Contributions to the phy-siology of vision. I: On some remarkable andhitherto unobserved phenomena of binocu-lar vision.

Phil Trans R Soc 1838; 8: 371-94.

2. Andersen RA, Mountcastle VB. Theinfluence of the angle of gaze upon theexcitability of the light-sensitive neurons ofthe posterior parietal cortex.

J Neurosci

1983; 3: 532-48.

3. Andersen RA. Visual and eye movementfunctions of the posterior parietal cortex.

Ann Rev Neurosci1989; 12: 337-403.

4. Galletti C, Battaglini PP. Gaze-dependentvisual neurons in area V3A of monkey pres-triate cortex.

J Neurosci 1989; 9: 1112-25.

5. Galletti C, Battaglini PP, Fattori P. Eyeposition influence on the parieto-occipitalarea PO (V6) of the macaque monkey.

EurJ Neurosci

1995; 7: 2486-501.

6. Hubel T, Wiesel TN. Receptive fields andfunctional architecture of monkey striatecortex.

J Physiol (Lond)1968; 195: 215-43.

7. Poggio GF, Fischer B. Binocular interac-tion and depth sensitivity in striate and pre-striate cortex of behaving rhesus monkey.

JNeurophysiol

1977; 40: 1392-405.

8. Trotter Y, Celebrini S, Stricanne B, ThorpeS, Imbert M. Modulation of neural stereosco-pic processing in primate area V1 by the vie-wing distance.

Science1992; 257: 1279-81.

9. Trotter Y, Celebrini S, Stricanne B,Thorpe S, Imbert M. Neural processing ofstereopsis as a function of viewing distancein primate visual cortical area V1.

J Neuro-physiol

1996; 76: 2872-85.

10. Trotter Y, Celebrini S. Gaze directioncontrols response gain in primary visual cor-tex neurons.

Nature1999; 398: 239-42.

11. Motter BC. Focal attention produces spa-tially selective processing in visual corticalareas V1, V2, and V4 in the presence of com-peting stimuli.

J Neurophysiol 1993; 70: 909-19.

12. Lamme VAF, Super H, Spekreijse H.Feedforward, horizontal, and feedback pro-cessing in the visual cortex.

Curr Opin Neu-robiol

1998; 8: 529-35.

13. Gilbert CD. Adult cortical dynamics.

Physiol Rev 1998; 78: 467-85.

Yves Trotter

Simona Celebrini

Centre de recherche cerveau et cognition,

Cnrs, Faculté de médecine Rangueil,

UPS, 133, route de Narbonne, 31062

Toulouse Cedex, France.

TIRÉS À PART

Y. Trotter.

AvantPlan à 40 cmArrière

Centre

Activité

-10°0°+10°Plan à 20 cm OG OD Figure 3.Influence de la distance de l'objet et de la direction du regard sur l'activité neuronale dans un module spatial tridimensionnel.

Si la direction

du regard se déplace dans le plan fronto-parallèle de -10°à +10°, l'activité des neurones du cortex visuel primaire est également modifiée. Si l'on com- bine les effets résultant de changements de distances et de directions du regard, on s'aperçoit que les neurones répondent de façon optimale au tra- vers de modules spatiaux tridimensionnels sous la dépendance de l'angle du regard. La région ovale indique de façon schématique la région de l'espace tridimensionnel dans laquelle la fixation provoque l'activation du neurone. Comme on le voit, sur cet exemple, cette activation est maximale (rouge foncé) pour un stimulus situé en arrière du plan à 40cm de distance pour une fixation au centre (O°) ou sur la gauche (-10°). Cette activation devient mini- male (rouge dégradé) à une distance de 20cm pour un axe du regard dirigé au centre (O°). D'autres neurones préféreront d'autres zones tridimension- nelles de l'espace.quotesdbs_dbs25.pdfusesText_31
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