Sa Majesté des Mouches - FrenchPDF
De la main Ralph protégea ses yeux et suivit du regard les rochers à pic dont la ligne déchiquetée montait à l'assaut de la montagne. Cette portion de la plage
CNAM/DSY221/année 2009-2010 1 Stéphanie FREHEL N° auditeur
FICHE DE LECTURE. SA MAJESTE DES MOUCHES de WILLIAM GOLDING Le livre connaît un grand succès
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William Golding. Sa Majesté des. Mouches. Traduit de l'anglais par Lola ligne déchiquetée montait à l'assaut de la ... C'est comme dans un livre.
Sa majesté des mouches William Golding
Avant-propos. 7. 1. Le thème de l'arrivée sur l'île. 9. Groupement de textes. 18. II. Travaux d'approche. 27. Un livre entre les mains.
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Œuvre intégrale : Sa Majesté des mouches de William Golding Discours direct/ indirect ... Objectifs : Travailler sur l'incipit du livre et la mise.
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Je la vis partir avec la sensation qu'une livre de ma chair venait de vant Sa Majesté la Reine Elizabeth
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pour sa fête et il s'amusait à les ranger sur la table. Tous les soldats se ressemblaient livres ne contenaient pas un mot sur le lieu où se trouve.
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William Golding. Sa Majesté des mouches son année de grâce ne lui a pas ôté sa douceur. ... lisait en moi comme dans un livre ouvert ; j'ai donc appris.
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C'est comme dans un livre Aussitôt une clameur s'éleva — L'île au trésor — Robinson Crusoé — Robinsons Suisses Ralph agita la conque
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William Golding Sa Majesté des Mouches - DocPlayerfr
William Golding Sa Majesté des Mouches Traduit de l anglais par Lola Tranec-Dubled Le garçon blond descendit les derniers rochers et se dirigea vers la
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Éditeur : Gallimard 1983 Collection : Folio Genre : Roman Langue : français Description du livre original : 245 p : couv ill en coul ; 18 cm ISBN :
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Lors d'une guerre un avion s'écrase sur une île déserte paradisiaque et sauvage Il transportait des garçons de six à treize ans issus des meilleurs
Sa Majesté des Mouches - Yumpu
2 août 2013 · violentes on peut donc aussi faire une sélection d'extraits du film On peut également résumer le livre aux élèves et ne leur faire étudier que
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La lecture du célèbre roman de William Golding Sa Majesté des Mouches permet en classe de 4e d'aborder le thème « Individu et société : confrontations de
Mises à mort et vie du groupe dans Sa Majesté des mouches de
Le roman de William Golding paru en 1954 peut se définir comme une robinsonnade tragique et sanglante Le groupe d'enfants échoués sur l'île tropicale va
Quel âge pour lire Sa Majesté des mouches ?
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Dialoguant en pensées, secrètement, avec le totem, il lui accorde un statut d'être humain sacrifié et déshumanisé. Puis le totem se transforme. Avec les mouches qui se collent sur la tête brandie, il devient « Sa Majesté des mouches », incarnant la puissance obscure qu'il devait conjurer.- Sur le chemin, il avait surnommé la tête de truite "Sa Majesté des mouches". Le groupe de Jack vole les lunettes de Porcinet, le souffre-douleur du groupe. Quand Porcinet vient récupérer ses lunettes, le sadique Roger pousse volontairement un rocher sur Porcinet qui meurt.
![Sa majest. des muches(133) Sa majest. des muches(133)](https://pdfprof.com/Listes/18/9737-18Sa-majest__-des-mouches.pdf.pdf.jpg)
Sa Majesté des Mouches
DOSSIER 178Peter Brook
Avec la participation
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conçu avec le soutien du CNC, est un outil au service des actions pédagogiques, et de la diffusion d'une culture cinématographique destinée à un large public.EditŽ par le :
Centre National de la Cinématographie
Ce dossier a ŽtŽ rŽdigŽ par :
Francis Delattre, rédacteur et conseiller aux
films de l'Estran et à Idoine Productions.Les textes sont la propriété du CNC.
Remerciements :
Carlotta Films, SPHE.
Photos de
Sa MajestŽ des Mouches :
Carlotta Films, Allerton Films, Lord of the
Flies Company.
Directeur de la rŽdaction :
Joël Magny
RŽdacteur en chef :
Michel Cyprien
Conception graphique :
Thierry Célestine. Tél. : 01 46 82 96 29
Impression :
I.M.E.
3 rue de l'Industrie - B.P. 17
25112 - Baume-les-Dames cedex
Direction de la publication :
Joël Magny
Idoine production
8 rue du faubourg Poissonnière
75010 - Paris
idoineproduction@orange.frAchevé d'imprimer : décembre 2009
SYNOPSIS
Lors d'une guerre, un avion s'écrase sur une île déserte, paradisiaque et sauvage. Il transportait des garçons de six à treize ans, issus des meilleurs pensionnats anglais, envoyés par leurs parents en Australie, loin des dan- gers du Blitz. Il n'y a aucun adulte parmi les rescapés. Au son d'une conque trouvée sur la plage et suivant les conseils de Piggy, Ralph rassemble les enfants qui s'étaient égaillés dans la végétation luxu- riante de l'île. En rang par deux, un groupe de chanteurs vêtus de capes noires les rejoint. À sa tête, Jack, le chef de choeur. Alors que Jack s'était proclamé chef, Ralph remporte l'élection improvisée, mais démocratiquement réalisée. Une attirance-répulsion s'instaure entre les deux garçons. Ralph, calme et un peu rêveur, est peu porté sur les discours et l'art de dynamiser les membres du groupe. Il tente cependant, avec l'aide de Piggy, de les convaincre quant à la nécessité de maintenir le feu allumé pour alerter un éventuel avion ou un bateau partis à leur recherche. Ils veillent également à la sécurité des plus petits. Bien que chargé de la surveillance du feu, Jack le néglige et ne songe qu'à la chasse. La nuit, la peur des petits devient vite contagieuse. Jack s'affirme assez fort et courageux pour affronter et tuer la bête (en fait, la dépouille momifiée d'un parachutiste). Deux clans se forment. Ralph assiste impuissant à l'abandon de ses derniers fidèles et à la métamorphose des garçons qui se livrent à la violence, adorent une idole (la tête du cochon) et obéissent aveuglément au tyran. Simon le doux rêveur sera leur première victime, suivi de Piggy le raison- neur. Ralph, traqué par la meute des tueurs ne devra son salut qu'à l'arrivée sur l'île d'officiers de la Navale.LE FILM
SOMMAIRE
SA MAJESTÉ
DES MOUCHES
PETER BROOK
GENéSE DU FILM4
PERSONNAGES5
DRAMATURGIE8
MISE EN SCéNE12
SIGNIFICATIONS15
RETOURS DÕIMAGES16
PASSERELLES
LES ROBINSONNADES 21
LÕIMAGE DU MAL ET LÕENFANCE23
INFOSINFORMATIONS DIVERSES 17
RELAIS
PISTES DE TRAVAIL 25
Francis Delattre
Peter Brook (Peter Stephen Paul Brook) est nŽ en Angleterre le21 mars 1925 dans une famille d'ŽmigrŽs juifs originaires de
Lettonie, une contrŽe germanophone de l'ex-empire de Russie. Dans les annŽes 1920, la famille Brook s'Žtait instal- lŽe dans la banlieue londonienne. Le jeune Brook admirait et vaillait dans l'industrie. Un homme enjouŽ, digne de confian- ce, fort, intelligent, et peu enclin au sport.Dans un documentaire (Brook par Brook
1 ) tournŽ en 2001 par son fils Simon, Peter se confie : Ç Mon père était absolu- ment présent, aimant, il nous transmettait les principes les plus stricts sans cependant rien imposer.È elle y renona, craignant de ne pouvoir lÕexercer ˆ cause de leurs nombreux dŽplacements. Elle Žtudia brillamment la chi- mie quÕelle nÕexera pas davantage, se consacrant ˆ ses enfants et ˆ son mari. Dans ses Žcrits et ses propos, Peter Brook souligne souvent lÕimportance de lÕinfluence de ses parents dans sa propre construction ; notamment lÕindŽfectible sou- Žtonnant que Brook ait ŽtŽ sŽduit par la dŽmonstration de Golding : toutes les possibilitŽs existent ˆ l'Žtat latent en chaque enfant. Le sens dans lequel elles se dŽveloppent dŽpend en grande partie de l'Žducation prodiguŽe par les adultes.Un crŽateur prŽcoce
le thŽ‰tre et la musique. Son jouet prŽfŽrŽ Žtait un thŽ‰tre miniature. Un soir, alors qu'il avait donnŽ une reprŽsentation d'Hamlet, jouant tous les r™les devant la famille et des amis, Ses parents le mirent au lit de force, effarŽs par une aussi prŽ- coce Žnergie crŽatrice. mm avec laquelle il s'essaie aux trucages et autres astuces de tournage puisŽs dans les revues spŽcialisŽes qu'il dŽvore. Peter Brook dŽtestait l'Žcole et son lot de mesquineries, bri- mades et mŽdisances plus ou moins teintŽes de xŽnophobie. Intelligent, curieux de la vie et foisonnant d'idŽes, il Žtait la tte de turc des dŽtenteurs du pouvoir au sens de la stricte hiŽ- rarchie de l'Žcole. Ses professeurs lui reprochaient son manque d'esprit de corps et son absence dÕesprit d'Žquipe. Lors de son entrŽe ˆ Westminster, il fut accueilli par un jeune garon arrogant et tyrannique dŽnommŽ Brown qui l'avait choisi pour en faire son domestique. Sa mauvaise volontŽ lui cependant gravŽes dans sa mŽmoire. Plus tard, son aversion pour la sociŽtŽ de classe et l'attitude nŽgative et mŽprisante qui est inculquŽe dans les Žcoles le pousseront, entre autres raisons, ˆ quitter la Grande-Bretagne.LE RÉALISATEUR
Peter Brook, du cinéma en marge du théâtre 2Peter Brook
l'envoient ˆ la GreshamÕs School de Norfolk, une Žcole non conformiste mais tout aussi morose aux yeux de Peter. Il a 16 ans quand il effectue un stage de quelques mois dans les studios de cinŽma de Merton Park, au sud de Londres. Il en profite pour sÕinitier ˆ la production de films. Ë 17 ans, il entre au Magdalen servir les anciens, comme par exemple leur apporter l'eau chaude nŽcessaire aux ablutions. Avant la fin de ses Žtudes, ilDocteur Faustde Marlowe.
mental, est une adaptation cinŽmatographique dÕun roman (1768) de lÕIrlandais Laurence Sterne (1713-1768). Ce film d'amateur, au sens de la modicitŽ du budget, raconte en une pasteur dans la France et lÕItalie du XVIII e s'Žtait inspirŽ du film de Sacha Guitry Le Roman d'un tricheur, dans lequel la voix off parle ˆ la place du personnage. Son torisation de passer ses examens, et ˆ la condition de renon- cer ˆ tout projet de cinŽma. En plus de ses foisonnantes activitŽs, Peter Brook fut critique150 mots, pas un de plus, en raison de la raretŽ du papier en
1946. Cette expŽrience lui permit dÕaffiner son sens de lÕob-
servation sur le mouvement des corps et la chorŽgraphie dÕen- semble. Ë la fin de la guerre, Peter Brook a vingt ans, il ne sauf pendant les annŽes 1961 et 1962 au cours desquelles il se consacre essentiellement ˆ Sa Majesté des Mouches. NommŽ, alors quÕil nÕa que vingt-trois ans, directeur de la pro- duction du Royal Opera House de Covent Garden, il travaille en collaboration avec Paul Scofield, acteur appelŽ ˆ devenir lÕun des plus importants de sa gŽnŽration. Scofield dira de lui : Ç Comme moi, il démarrait un projet sans idées préconçues, sans stratégie, il laissait les impressions d'une pièce s'empa- rer de lui subrepticement. Il leur faisait confiance et les suivait jusqu'à ce qu'il en ait une idée claire.È SÕinterrogeant sur le pourquoi et le comment du thŽ‰tre, BrookŽcrit, ˆ partir de son propre travail, des articles dans les revuesspŽcialisŽes. Il affine de plus en plus sa conception de la sim-
plicitŽ. Selon lui : Ç Il existe deux formes de simplicité, celle qui découle d'un esprit terne, sans imagination et la simplici- té authentique, autrement difficile à atteindre, qui n'advient que lorsque l'imagination s'est défaite d'un millier d'extrava- gances, les a épurées et réduites à une essence porteuse de sens et de beauté. 1È Deux ouvrages contiennent le fruit de ses
recherches, L'Espace videet Points de suspension.Une question de subjectivitŽÉ
En 1953, Peter Brook avait rŽalisŽ son premier long mŽtrage, L'Opéra des Gueux, scrupuleuse transposition dÕun opŽra- ballet Žponyme du librettiste John Gay mis en musique par John Christopher Pepusch (1728). Dans ce film qui ne res- confrontŽ ˆ la difficultŽ de faire co•ncider le rythme des mots et le flux des images. TournŽ en 1960, Moderato Cantabileest une adaptation du roman de Marguerite Duras, avec Jeanne Moreau et Jean-Paul Belmondo. Peter Brook rŽalisera ensuite Marat-Sade(1966), Tell me lies(1967), King Lear(1971),Rencontre avec des hommes remarquables(1978), Le
Mahabharata(1988). Ë propos de Marat-Sade, Peter Brook dit : ÇJe crois que j'ai pu saisir une vue très subjective de l'action. Plus tard j'ai compris que la différence entre le film et le théâtre réside justement dans cette subjectivitéÈ (Points de sus- pension, p. 270). ne suis guère attaché à ce que je fais - mais il y a sept ou huit mises en scène théâtrales dont je sais qu'elles sont abouties, que je n'aurais pas pu développer plus avant. Je n'ai pas encore trouvé cela au cinéma. Il m'est difficile d'en analyser les rai- sons, je trouve que réaliser un film est immensément difficile, d'autant que la nature empirique du théâtre est d'une certaine manière une mauvaise école.È (Peter Brook - Une biographie,M. Kustow
2 , p. 249). En revanche, Peter Brook peut tre pleinement satisfait de sa rŽpertoire des clichŽs du passŽ. Enfin, il a rŽvolutionnŽ le thŽ‰tre contemporain.1) In coffret Ç Peter Brook È avec Ç La TragŽdie dÕHamlet È, 2 DVD, Arte Video.
2) Voir Ç Biblio-VidŽographie È, p. 18.
3Moderato Cantabile Le MahabharataMarat-Sade
Nous sommes en 1961. Peter Brook, ‰gŽ de 36 ans, compte ˆ la prŽparation puis ˆ la rŽalisation du film Sa Majesté desMouches.
Son ami, le critique Kenneth Tynan lui avait conseillŽ de lire le roman Lord of the Flies (1954) de lÕŽcrivain anglais William Golding (cf. Ç Infos È p. 18) et dÕen faire un film. Peter Brook voit immŽdiatement que Golding avait choisi de parler de lÕhu- manitŽ, non pas de faon abstraite, mais ˆ travers lÕhistoire dÕenfants ordinaires et reconnaissables, vivant une situation peu commune mais plausible. Il pense pouvoir apporter quelque chose de plus ˆ lÕŽcriture de Golding : la possibilitŽ dÕŽtablir un lien supplŽmentaire avec le spectateur, par le fait de vrais enfants, avec de vrais visages, vivant de vraies expŽriences. Une question le fascine : comment combiner la rŽalitŽ visible dans lÕimage avec lÕinvisible contenu dans le roman, ce qui est dissimulŽ ou laissŽ ˆ la libre imagination du lecteur. Il est per- suadŽ quÕen portant le roman de Golding ˆ lÕŽcran, il trouve-ra la rŽponse ou tout au moins des ŽlŽments de rŽponse.Peter Brook dŽcide dÕacheter les droits. HŽlas, les studios
Ealing en avaient dŽjˆ fait lÕacquisition pour 2 000 livres et commanditŽ une adaptation pour la tŽlŽvision. RenseignŽ parquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] modèle épidémiologique définition
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