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La physiopathologie du diabète de type 1 résulte d'une destruction auto-immune des cellules bêta productrices d'insuline situées dans le pancréas
Le diabète de type 2 : définition physiopathologie
Baillières Clin Endocrinol. Metab 1 988 ; 2 ; 327-42. 42. Gerich JE. Role of insulin resistance in the pathogenesis of type 2 (non-insulin dependent) diabetes
4.1 La somastatine. 4.2 Le polypeptide pancréatique. Deuxième partie : PHYSIOPATHOLOGIE DU DIABETE. AUTOIMMUN. I. HISTOIRE NATURELLE DU DIABETE DE TYPE 1.
Tableau 1. Classification du diabète. Ce chapitre des stratégies se limitera à la prise en charge du diabète de type 2. 1.3 Physiopathologie.
Naik RG Palmer JP. Curr Opin Endocrinol Diabetes 1997;4:308–15. Page 8. Physiopathologie du diabète.
Physiopathologie et données épidémiologiques. Le diabète de type 1 est une maladie polygénique avec un locus majeur situé dans la région HLA de classe II.
charge intensive dans la prévention des complications microangio- pathiques est établie dans les dia- bètes de type 1 et de type 2. L'effet délétère de l'
atteints de diabète de type 1 prévenait l'ap- parition de la polyneuropathie et ralentissait son aggravation [3]. Mais la physiopathologie de l'atteinte.
Le diabète de type 1 : une maladie auto-immune et de la cellule bêta Roberto Mallone INSERM U1016 – Institut Cochin Equipe Immunologie du Diabète DeARLab Paris Hôpital Cochin Service de Diabétologie Mots clés : antigène HLA lymphocyte T thymus tolérance immunitaire Le diabète de type 1 est une maladie au-to-immune P
Prévenir la maladie
Le diabète de type 1 (DT1) est causé par le dysfonctionnement de lymphocytes T (des cellules du système immunitaire) qui se mettent à identifier les cellules ß du pancréas comme des cellules étrangères à l’organisme du patient, et à les éliminer. Il s’agit donc d’une maladie auto-immune, détectable par la présence d’autoanticorps.
Chez les personnes atteintes de diabète de type 1, une production insuffisante – voire nulle – d’insuline entraîne une élévation prolongée de la concentration de glucose dans le sang (ou glycémie).
Le traitement du diabète de type 1 repose sur des injections sous-cutanées d’insuline, plusieurs fois par jour, pour compenser son défaut de production par l’organisme. On utilise aujourd’hui des analogues d’insuline humaine, produits par des bactéries génétiquement modifiées.
La principale méthode de détection du diabète à un stade précoce est la mesure de la glycémie à jeun. La glycémie normale est d’environ 1 gramme de glucose par litre de plasma sanguin, à jeun.