Le sommaire est le contraire de la scène : il s'agit d'accélérer le rythme du récit en résumant les événements de l'histoire (en général des actions secondaires)
La scène est le fait de raconter les évènements en temps réel en faisant coïncider temps de l'histoire et temps du récit. Le dialogue direct
SOMMAIRE DU COURS les voix narratives les temps du récit
LES TYPES DE TEXTE / DISCOURS (quel est le but du texte ?) NARRATIF. Un texte (ou discours) narratif raconte une histoire. On l'appelle aussi récit narration
variations de rythme sont : La pause/le ralentissement : le récit s'arrête sur une action particulière pour la détailler longuement ou laisse place à des
Cours. Dans ce récit de la bataille de Waterloo le narrateur observe de facilement au narrateur-personnage car il vit les événements à son rythme
Un récit rapporte des événements réels ou fictifs. - Il existe plusieurs genres narratifs : la nouvelle le roman
le narrateur accélère le rythme du récit pour mettre en valeur l'évènement suivant le 6) J'aurais du temps libre je prendrais des cours de Kung-fu.
Fiche-outil : Le rythme du récit. Si l'on raconte une histoire en énonçant les actions les unes après les autres le récit manque.
Le retour en arrière suspend le rythme du récit. • L'anticipation : Dans un récit il peut arriver que le narrateur anticipe et envisage des événements.
Fiche-outil : Le rythme du récit Si l’on raconte une histoire en énonçant les actions les unes après les autres le récit manque totalement d’intérêt car il n’y a aucun rythme Afin de créer du rythme et donc du suspense de l’intérêt il faut travailler la construction des phrases et faire des choix narratifs
TD 06 : Le rythme de la narration Rappel de cours Le rythme de la narration naît du rapport entre la durée de l’histoire et la durée de la narration celle-ci se définissant par la longueur du texte consacré à tel ou tel épisode Les variations de rythme sont : La pause/le ralentissement: le récit s’arrête sur une action
On appelle rythme de la narration le rapport entre le temps de l'histoire (c'est-à-dire la durée fictive des événements raconté en année mois jours heures ) et le temps de récit ou de la narration (compté en lignes ou en pages) Le temps de l'histoire coïncide rarement avec le temps réel L'impression
Pour rendre son récit plus dynamique et donc plus intéressant, le narrateur varie le rythme de sa narration , en passant plus ou moins de temps sur un épisode. Exemples (É. Zola, Thérèse Raquin) Le rythme de la narration correspond à peu près au rythme de l'histoire. L'histoire semble se dérouler sous les yeux du lecteur.
Le rythme de la narration correspond à peu près au rythme de l'histoire. L'histoire semble se dérouler sous les yeux du lecteur. – Dis donc, Camille, ajouta Laurent, si nous allions faire une promenade sur l'eau avant de nous mettre à table ?
Dans un récit au passé, les anticipations sont évoquées au conditionnel. Exemple : Lucas songea que le soir même, il devrait avouer la vérité à ses parents. Des indicateurs de temps (lla veille, le lendemain, etc.) permettent généralement de repérer les retours en arrière et les anticipations.
À l'inverse, le narrateur peut évoquer un événement futur : on parle alors de prolepse (ou d'anticipation). Dans un récit au passé, les anticipations sont évoquées au conditionnel. Exemple : Lucas songea que le soir même, il devrait avouer la vérité à ses parents.