L'autel de la réforme par Cranach. Martin Luther par Cranach Luther dans un temple détail de l'autel de l'église de Torslunde
terme de «calvinistes» et non de réformés. Les refus protestants ayant des incidences sur l'architecture et la distri bution intérieure des églises concernent
cer par un seul : autel chez les luthériens table de communion chez les réformés. C'est presque superflu de le rappeler. Même si les réformateurs.
celui des autres temples réformés ou luthériens. Zwingli semble avoir voulu attribuer aux fonts baptismaux la fonction que Luther assignait à l'autel : être.
la Réforme c'est à la Renaissance même qu'il faut renoncer placer l'autel
L'autel de la réforme par Cranach. Martin Luther par Cranach Luther lance la Réforme : il fonde une Eglise chrétienne protestante.
Dans l'Eglise réformée l'autel n'est ni consacré ni sa- cré. En effet
L'ouvrage débute par une introduction de Barbara Franzé exposant clairement les différentes positions défendues dans l'historiographie.
L'autel figure parmi les meubles les plus touchés par la réforme. La plupart du temps les anciens maîtres-autels sont laissés au fond du choeur considérés.
l'Empire ont adopté la Réforme luthérienne : la messe et les cultes eucharistiques et parfois démontés au profit de l'autel central derrière lequel le ...
réforme jetant les bases d’une nouvelle religion chrétienne le protestantisme Cette Réforme est indissociable de l’humanisme de la Renaissance Les progrès de l’imprimerie permettent ainsi la rapide diffusion des textes protestants dans divers pays européens et l’émergence d’ « Églises » différentes
conservé l'ancien autel mais on lui a adjoint un nouveau meuble permettant la célébration face au peuple La mise en place de ce nou - vel autel entraîne un choix de forme de matériau de couleur La copie conforme du maî-tre-autel ancien peut se justifier dans certaines égli-ses historiques Cependant elle ris-que de créer le
L’autel est l’élément central de la vie de la famille et de la cité depuis le petit brûle-parfum domestique où l’on sacrifiait quelques grains d’encens jusqu’au monumental autel de Pergame avec ses sculptures impressionnantes
Pour L. de Laborde, « il y avait dans les grandes églises, au fond de l’abside, un autel des reliques surmonté d’une estrade sur laquelle s’étageaient des reliquaires de toutes formes, plus éclatants les uns que les autres » (Laborde, L. de, Glossaire français..., 1872, art. Autel des reliques).
La pierre d’autel peut porter sur la face, la tranche ou au revers la date de sa consécration et le nom de celui qui l’a consacrée 167. Les pierres sont souvent enveloppées dans un linge en lin ciré, le chrémeau d’autel.
L. Le Vavasseur et J. Haegy ajoutent que pour indiquer qu’un autel est privilégié on doit se contenter de l’inscription : altare privilegiatum, en indiquant s’il est perpétuel ou temporaire, quotidien ou non, selon la teneur de la concession » (Le Vavasseur, L., Haegy, J., Manuel de liturgie..., 1940, p. 40).
Pour X. Barbier de Montault, « l’autel se décompose en trois parties : les marches, le massif et les gradins » (Barbier de Montault X., Traité pratique..., 1877, t. 1, p. 147).