Couverture de laine au départ la catalogne désigne de nos jours une sorte de tapis ou une couverture de lit qu'on fabrique avec des retailles de tissus. Les
logne d'alors est une couverture de lit et non un tapis. On ne La Catalogne serait d'origine espagnole selon des auteurs du XVIIe et du XVIIIe siècles.
Ancienn. Couverte de Catalogne
catalogne =z sorte de couverture de lit cf. Mistral s. v. cata- lougno. gravois = gravier cf. Dictionnaire Génér. haur = malpropre - parait être le mot
Origine territoire et population Instituto Nacional de Estadística (INE) 2006 ; Catalogne du Nord : Institut ... Couverture du Llibre del Consolat.
contaminants d'origine agricole dans le cas d'une Aire d'Alimentation de. Captage à transferts mixtes. Rapport final. Clotaire Catalogne Guy Le Hénaff
ORIGINES AU DÉBUT DU XXe SIÈCLE. Québec SGQ
Guy Le Hénaff ** Clotaire Catalogne **
1 oct. 2019 Photo de couverture : Manifestation pro catalaniste à Madrid pendant le procès. ... relations entre la catalogne et le reste de l'espagne.
Le livre dont les couvertures sont embellies par de l'orfèvrerie L'empereur romain Constantin (le Grand) fut à l'origine de deux des faits les plus.
L’origine de la catalogne : éclairage linguistique ClAude poiRieR Trésor de la langue française au Québec Présentation De nos jours la catalogne est une couverture de lit confectionnée au métier avec des retailles de tissus de couleurs variées selon une technique qui ap-partient à l’art traditionnel québécois du tissage
Puis, les colons français ont apporté la technique ici. La première mention de la catalogne remonte à 1634, dans les Relations des Jésuites. Au moment de sa mort en 1673, la cofondatrice de Montréal, Jeanne Mance, possédait une « grande Couverte blanche de Catalougne ».
Le passage suivant, tiré des Relations des jésuites pour l’année 1647, illustre bien la variété des usages qu’on faisait de la catalogne : « Comme le froid de l’Hyver commençoit à se faire sentir, un autre Barbare demanda au Pere la plus grande partie d’un bout de castelogne qui luy servoit de robe, de matelats & de couverture.
L’homme s’inquiète moins pour l’avenir de la bonne vieille catalogne. On en trouve encore à la revente, et plusieurs cercles de fermières en font toujours. Mais certains cercles de fermières ferment, se désole Anne-Marie Hamel. « Il n’y a plus beaucoup de femmes qui font des catalognes, note la tisserande.
Quelque soixante-dix ans plus tard, à l’ère de l’internet, les catalognes, profitant d’une visibilité sans frontières, continuent de témoigner du talent et de la patience dont les femmes d’ici ont fait preuve dans la création de ce pan de l’artisanat québécois. – Rj 31, 1647, p. 58-60 ; Maguire, p. 143 ; Dunn,