son oeuvre comme philosophie et théologie. L'auteur appelle la pensée de Sebond tantôt "théologie axée sur l'homme" (p. 95) tantôt philosophie de l'homme
montre que l'auteur a cherche a ordonner et a disposer sa poesie en conce Ronsard et la poetique des oeuvres ? in Ronsard en son IVs cen.
La mise en abyme impliquerait donc l'auteur en permettant à celui-ci de s'investir d'une façon particulière dans son œuvre et d'en retirer un bénéfice.
La personnalité de l'auteur accroît l'intérêt de son étude. L'Essai analytique est l'œuvre d'un praticien (5) systématisant une riche expérience.
raine de Jésus de son développement
https://www.jstor.org/stable/24610237
tion exhaustive de l'œuvre littéraire que je vous propose de LA PENSEE FOLLE ... Ces préjugés tiennent à l'auteur à son discours
2021?9?13? que la BnF invite aujourd'hui l'artiste à présenter son œuvre sous cet angle ... empreintes de l'auteur et des lecteurs
rise la seconde édition (1702) que si l'auteur clartés qu'il apporte aux lecteurs de son œuvre ... ratif d'écriture renouvelant ainsi la pensée.
les forces de son esprit pour la tourmenter à toute heure. L'auteur mière condition était de mettre en œuvre despensées
Pensées L’AUTEUR Blaise Pascal (1623-1662) est un homme de lettres un scientifique et un théologien Dès son plus jeune âge il se distingue par une intelligence hors normes Adolescent il compose un traité des sons puis un essai sur les coniques et à l'âge de dix-neuf ans il invente la machine arithmétique à calculer
Genre de l’œuvre « Les Pensées ne sont pas un livre posthume, ce sont les papiers d'un mort, d'un homme qui sait et qui croit au moment où la mort interrompt l'Apologie de la religion chrétienne. » Dire ce qu'a été cet homme-là, tel est le sens de l'édition de Michel Le Guern.
On peut ainsi reconstituer la chronologie des Pensées, source de renseignements sur le contexte et les étapes de la documentation et de la réflexion de Montesquieu. Ce recueil a été initié probablement dans la période 1726-1727, après les Lettres persanes (1721) et le Temple de Gnide (1725) et à la suite d’un projet de Traité des devoirs.
Les Pensées n’étaient pas destinées à la publication et malgré des éditions partielles subreptices parues dès la fin du XVIIIe siècle, les héritiers refusèrent tout au long du XIXe siècle de le communiquer aux éditeurs désireux de le publier.
Dornier Carole, « Les Pensées de Montesquieu et la tradition des formes brèves », dans Poétique de la pensée, mélanges offerts à Jean Dagen et réunis par B. Guion et al., Paris, Champion, 2006, p. 363-377.