risque de taux d'intérêt mais jamais à des fins de spéculation ou de placement. Les caisses qui offrent des prêts ou des dépôts à taux fixe veilleront à
l'inverse une banque qui se financerait à taux fixe serait exposé à la baisse des taux. • Après avoir déterminé l'écoulement du gap à taux fixe
ALM et pour lesquels la banque devra se fixer des limites en accord avec calcul du gap de liquidité rappelons que le gap de taux fixe est calculé par.
structurel des emplois à taux fixe dans les établissements de crédit français L'impasse de taux mesure la sensibilité de la marge d'intérêt (solde des ...
Passif = +. Gap. 14. Temps. ? Le gap se décline en liquidité change et taux Elle fixe tant le profil de risque que les axes de développement.
asymétries de taux (prêts à taux fixe financés par des dépôts à taux variable d'intérêt
application mécanique du « credit-to-GDP gap » bâlois le taux de CCB effectivement Lorsque l'autorité désignée décide de fixer le taux de CCB pour la ...
taux. Ainsi si on prend par exemple des emplois existants à taux fixes sur combler les gaps de trésorerie
dont les emplois à taux fixe variable et indexé sur l'inflation sont financés au TLA Gap Taux Fixes = Actifs à taux fixes - Passifs à taux fixes.
résulte des différences dans l'échéance (pour les taux fixes) et le L'ampleur de l'impasse pour une fourchette donnée – c'est-à-dire créances moins ...
La première source est le décalage de volume et d’échéance entre les ressources à taux fixe et les emplois à taux fixe ainsi que le décalage des dates de révision des taux appliqués pour les éléments du bilan à taux variable (repricing)
• Introduction à la gestion actif-passif………………………. 3 • Principaux fondamentaux en ALM………………………… 22 • Gestion du risque de taux global …………………………. 40 • La survenance du risque de liquidité………………..……. 64 • Gestion du risque de liquidité……………………………… 85 • Suivi réglementaire du risque de liquidité………………… 107 • Bibliographie…………………………………………………. 123 • An...
• Définition : la gestion actif-passif d'une banque cherche à mesurer et à couvrir les risques de taux, de liquidité et de change du bilan, notamment et surtout les risques générés par les opérations commercialesde la banque (prêts, lignes de crédit, dépôts de la clientèle, comptes d'épargne, etc.) • Autre définition: L’ALM est une méthode globale ...
• Spécificité de l’ALM – nature des opérations couvertes : commerciales– problématique comptable • accrued interest(plutôt que fair value) – problématique réglementaire • banking book(plutôt que trading book) • Les opérations commerciales ne font pas l'objet d'un marché financier (dans lequel ces opérations pourraient être retournées) • La question...
• Périmètre de la réforme – Pilier 1: calcul des fonds propres réglementaires selon le profil de risque pour : • Le risque de crédit • Le risque de marché • Le risque opérationnel – Pilier 2: gouvernance des risques • Autres risques : concentration, portefeuille bancaire, réputation, … • Processus interne de gestion des risques • Revue de ces proce...
• L’indicateur de risque de marché habituel, la VaR, n’est pas adapté à l’ALM, monde des intérêts courus Source : RiskMetricsTM
• Plusieurs choix possibles. Exemple 1 : Un ALM centre de profit, côté BFI, avec son pendant côté Risque Le P&L ALM est soit aggrégé au P&L Retail, soit identifié côté BFI (soit un mixte)
• Les équipes ALM et les centres de profits attachés sont distincts selon le type de risque traité : – taux long terme (taux > 2Y) – taux court terme (taux révisable & taux fixe < 2Y) – liquidité – change
• Le comité ALM est présidé au plus haut niveau de la banque • En général, nécessité de mettre en place un comité plus opérationnel, sans intervention de plus haut management de la banque
• Le gap de taux (ou impasse de taux) se définit comme la différence, au cours du temps, entre les actifs et les passifs à taux fixe. • Le hors-bilan non optionnel entre dans le gap de taux. • Le gap est un indicateur de risque « de volume ». Il prend en compte le nominal (des obligations, des swaps, etc.) ou le CRD (des prêts, des emprunts, etc.)
Imaginons qu’une entreprise ait d’une part des sources de financement à taux variables et d’autre part des placements dont la performance dépende des fluctuations du marché des taux d’intérêt. Cette différence entre emplois à taux variables et ressources à taux variables constitue le “gap de taux” de l’entreprise.
• Le gap est un indicateur de risque « de volume ». Il prend en compte le nominal (des obligations, des swaps, etc.) ou le CRD (des prêts, des emprunts, etc.) • Le GAP n’est pas un indicateur de risque se résumant à un chiffre (comme la VaR par exemple). • Le GAP est un écoulement des écarts d’engagements à taux fixe entre l’actif et la passif.
• Les gaps dynamiques se basent sur le budget ou le plan financier de la banque • Les gaps dynamiques permettent de vérifier que les objectifs commerciaux (production de prêts) sont compatibles avec les objectifs de collectes de ressources (funding sur les marchés, dépôts) – hypothèse de production commercial (X millions € de prêts à la clientèle)