6 feb 1989 Pourquoi des aventuriers des explorateurs n'y avaient-ils jamais pénétré ? Ingénieur agronome
C'est également de le golfe de la Sidre que sont partis les explorateurs qui
du continent africain qui eut lieu entre les explorateurs allemands et les Etats musulmans plus civilisés de l'Afrique centrale. Enfin ...
riser l'œuvre de l'exploration de l'Afrique centrale le roi Léopold voulait soumettre à l'examen jourd'hui l'explorateur
cune d'elles s'était évertuée dans celte partie de l'Afrique centrale
1_CORNET%20R-J._M%C3%A9dicine%20et%20exploration.%20Premiers%20contacts%20de%20quelques%20explorateurs%20de%20l'Afrique%20central%20avec%20les%20maladies%20tropicales_1970.pdf
8 dic 2014 Il s'agit de Voyage dans l'intérieur de l'Afrique écrit par Mungo Park et L'Afrique occidentale en 1818 vue par un explorateur français Gaspard ...
la Monnaie la Banque des États de l'Afrique Centrale a voulu
teurs de paludisme arrachent à l'explorateur cette exclamation souhaite point aux enthousiastes de la mise en valeur rapide. Afrique Centrale d'être
DE L'AFRIQUE CENTRALE: BARTHELEMY BOGANDA (1910-1959). L'actuelle Republique centrafricaine pays successeur de l'Oubangui. Chari de l'epoque coloniale qui
2020 60
Même au XVIIIe siècle, une grande partie de l’intérieur de l’Afrique était inconnue des Européens. La plupart de leur séjour en Afrique était limité au commerce le long de la côte, d’abord pour le commerce de l’or, de l’ivoire, des épices, et plus tard durant la traite négrière.
En tant que guides et compagnons de voyage 58, mais aussi hôtes, chefs d’États ou simples témoins, les Africains peuvent être considérés comme des acteurs de l’exploration au même titre que les explorateurs.
Notre but est de vous présenter des personnages en quête de découvertes qui ont par eux-mêmes ou été mandaté pour découvrir les mystères de la grande Afrique, un continent resté impénétrable pour les Européens de l’Epoque. Même au XVIIIe siècle, une grande partie de l’intérieur de l’Afrique était inconnue des Européens.
La carte d’Afrique publiée par Jean-Baptiste Bourguignon d’Anville en 1749 témoigne de la congruence entre les limites de cette présence et le partage qui s’établit, dans l’ordre des savoirs géographiques, entre connu et inconnu.