Quelle est la morale de la fable ?
Morale de la fable Le Lièvre et la Tortue : « Rien ne sert de courir ; il faut partir à point. » La morale se situe au début de la fable et met en garde le lecteur contre la vanité puisque le lièvre estime gagner la course par avance en raison de sa rapidité, mais c’est finalement la tortue, à l’origine du défi, qui remporte la course !
Comment la morale est-elle énoncée dans les fables qui suivent ?
Dans les fables qui suivent, la morale est énoncée noir sur blanc. Elle est donc explicite. Morale de la fable Le Corbeau et le Renard : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute ». Le lecteur comprend ici qu’il faut savoir garder la raison, particulièrement lorsqu’une personne nous flatte et nous dit ce qu’on veut entendre.
Quelle est l’obligation morale du devoir ?
Cette obligation de l’intérêt n’en reste pas là [au respect de la justice sociale – Y. Q.], mais, suivant le cours nécessaire des passions et de sentiments, elle engendre l’obligation morale du devoir, dès lors que nous approuvons des actions de nature à tendre à la paix dans la société, et désapprouvons celles qui tendent à la troubler.
Comment penser la morale ?
C’est dans une sociabilité toute naturelle, attestée par ces interactions constantes et inévitables qui opèrent déjà au niveau des passions et des émotions avant de se traduire en raisons, que doivent se lire les expériences qui permettront au philosophe de penser la morale, et non dans une normativité établie par une déduction apriori.