36 % d'entre eux se sont installés en Europe pour des raisons familiales, 20 % pour des raisons professionnelles, 9 % pour un motif d'asile et 4 % pour leurs études.
Une grande partie de ces non-nationaux (issus ou non d'un autre Etat membre) résidait en Allemagne (10,6 millions).
L'immigration européenne a ainsi un effet positif sur le taux de chômage moyen des diplômés du supérieur mais a réduit le taux chômage moyen des personnes avec un diplôme du secondaire ou qualification professionnelle, et n'a pas d'effet sur le taux de chômage moyen des personnes sans diplômes.
En Espagne, les travailleurs immigrés marocains ont été à la base du succès des cultures fruitières d'Andalousie ou de Murcie, en raison du faible coût de leur travail dans une activité fortement consommatrice de main d'œuvre.
L'effet sur l'économie marocaine est positif, même s'il n'est pas univoque.