Ils décrivent les étapes suivies lorsqu’on commence à analyser des données spatiales : décrire la localisation des observations, mesurer les interactions spatiales et choisir le modèle approprié. Le préambule de chaque chapitre précise les autres chapitres dont la lecture préalable est nécessaire à une bonne compréhension.
La distribution spatiale observée est une manifestation duprocessus spatial sous-jacent. La valeur d’une observation est liée aux valeurs des observationsvoisines. L’autocorrélation spatiale est positive lorsque des valeurssimilaires de la variable à étudier se regroupentgéographiquement.
Ce chapitre décrit la prise en main des données spatiales avec le logiciel R et la production de premières cartes descriptives. Des études réalisées dans divers instituts de statistique européens illustrent ces notions. Une donnée spatiale est une observation dont on connaît non seulement la valeur, mais aussi la localisation.
Trois types de données spatiales aux propriétés différentes.Importance de la définition de la structure spatiale : voisins,matrice de poids, échelle d’agrégation. de Moran, c de Geary pour mesurer la dépendance spatialeglobale.