La réglementation et les bonnes pratiques d’hygiène en pâtisserie-chocolatier. Encadré par la loi européenne « Paquet Hygiène » et française, un artisan pâtissier-chocolatier doit savoir évaluer les sources de dangers de son activité concernant la sécurité sanitaire des aliments. Puis définir et mettre en place des solutions adaptées.
A qui s'adresse ce guide ? Élaboré conjointement par la Confédération Nationale de la Pâtisserie-Confiserie-Chocolaterie- Glacerie de France et la Confédération Nationale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie Française, le présent Guide de Bonnes Pratiques d'Hygiène en Pâtisserie s'adresse à l'ensemble des professionnels de ce secteur.
Les normes HACCP requises en pâtisserie- boulangerie. Les bâtiments et les installations de vos locaux doivent être bien étudiés en amont, afin de réduire au minimum les risques potentiels de contamination des denrées alimentaires. Les murs, les plafonds et vos sols doivent contenir des matériaux de revêtement garantis au contact alimentaire.
Elles doivent répondre aux critères destinés à la consommation humaine. Pour prévenir des risques nous vous conseillons : De protéger vos tuyaux pas des isolations thermiques, et de les d’entretenir régulièrement. La réglementation et les bonnes pratiques d’hygiène en pâtisserie-chocolatier.
Validé par décision du 19 décembre 1997 Élaboré conjointement par la Confédération Nationale de la Pâtisserie-Confiserie-Chocolaterie-Glacerie de France et la Confédération Nationale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie Française, le présent Guide de Bonnes Pratiques d’Hygiène en Pâtisserie s’adresse à
Risques microbiens. Les risques microbiens existent pour les pâtisseries à base de crème chantilly, crème pâtissière, crème au beurre et crème ganache, ainsi que pour les glaces. Ces produits présentent en effet un milieu favorable pour le développement de diverses bactéries qui peuvent être dangereuses pour la santé humaine (souches Entéro-toxiques d’Escherichia coli, Salmonella, Shigella et Staphylococcus aureus). Les tartes et les mousses aux fruits, quant à elles, peuvent être cont
Les risques sanitaires ont été répartis en trois catégories : contamination, multiplication, survie. Contamination :cette rubrique englobe la contamination initiale (présence de micro-organismes dans les matières premières et produits livrés) ainsi que la contamination secondaire (apport de micro-organismes au cours du
Plusieurs étapes ont été accomplies : 1. Dans un premier temps, une liste exhaustive des produits de pâtisserie a été dressée. 2. Puis, ces produits ont été regroupés en familles. Une classification répondant à la logique professionnelle a été retenue, s’appuyant, d’une part, sur la liste des familles des bases (ex. : crèmes) et,
A chacune de ces fiches, dans lesquelles on retrouve les fabrications les plus sensibles et les plus fréquentes en pâtisserie, est associé le diagramme de fabrication correspondant sur lequel sont visualisés les points à maîtriser ou «CCP». Quatre colonnes apparaissent : 1. La colonne «CCP»est le point particulièrement déli
Il s’agit des fiches : 1. Opérations, de couleur jaune 2. Milieu de travail (locaux, hygiène du personnel, etc.), de couleur bleue 3. Matières premières, de couleur rose. Ces fiches ne comportent pas de colonne CCPcar chacune d’elles représente un point particulièrement délicat que le professionnel doit maîtriser. Ces opéra
Ces éléments de gestion sont : des procédures d’aide à la mise en place de moyens de maîtrise (affiches de sensibilisation, protocole de nettoyage et désinfection, etc.), ou bien des moyens de contrôle simples (contrôle visuel, utilisation d’un thermomètre pour la cuisson, etc.) pour s’assurer que les points délicats ou «CC