Cependant, on suit quelques principes directeurs : le recouvrement est toujours plus fort que le recouvrement . Ensuite, on classe les orbitales en fonction du nombre d’interactions liantes et antiliantes. Les interactions selon les liaisons formées étant plus fortes qu’entre les liaisons de part et d’autre du plan de symétrie.
En effet, la théorie des orbitales hybride cherche à adapter la même vision que celle donnée par la structure de Lewis qui localise strictement les électrons. Ainsi, à chaque fois que les formes mésomères sont nécessaires, c’est que la structure de Lewis correspond à une vision trop locale des choses et qu’il faut faire « respirer » les électrons.
Pour conclure, je vous déconseille de parler d’orbitales hybrides devant un jury de chimie générale et si possible devant un jury tout court. a Cependant, quelle que soit la méthode utilisée : orbitales moléculaires ou orbitales hybride, si on mène le calcul au bout, on tend vers le même résultat.
CHIMIE ORBITALAIRE — Théorie des groupes (groupe irréductible, décomposition etc..) — Chimie quantique /atomistique (Hamiltonien, orbitales atomiques) — Théorie de Hückel — Orbitales classiques (éthylène, CO, allyl, butadiène, cyclopentadiène, benzène) — LG no 4 : Méthode Hückel simple (application à la réactivité des molécules organiques exclue).