Ainsi, l’intelligence émotionnelle est essentielle pour créer un environnement de travail sain et productif. Et même si elle se révèle cruciale en matière de management, elle joue aussi un rôle déterminant à tous les autres niveaux d’une organisation : La productivité individuelle.
Un manager « émotionnellement intelligent » ne prend pas de décisions impulsives. Il cherche plutôt à résoudre le conflit en alignant ses actions et ses paroles ; Développer une écoute active. Un bon manager doit s’assurer de comprendre ce qui est dit avant de répondre.
Le sujet de l’intelligence émotionnelle est devenu l’une des thématiques clés en matière de leadership. Ce trait que l’on peut de mieux en mieux mesurer, mais aussi développer, affecte concrètement la manière dont une entreprise et ses dirigeants encadrent et engagent leurs équipes.
D’après Daniel Goleman, l’empathie est l’un des piliers de l’intelligence émotionnelle. Un manager disposant de cette qualité en fera usage pour comprendre les positions, situations et sentiments de ses collaborateurs. C’est une condition sine qua none pour pouvoir surveiller et booster le bien-être de chacun au travail.
Mettre des mots sur ses émotions, comprendre ce qui les provoque, analyser les conséquences, apprendre à les réguler, gérer ses mécanismes émotionnels, se maîtriser, développer sa flexibilité… tel est le programme qui attend celui ou celle qui veut gagner en intelligence émotionnelle. Avec un passage obligé par l’introspection, comme l’explique Oli
Cela paraît simple, et pourtant il n’est pas toujours facile de faire preuve de mansuétude à son propre égard. C’est cependant incontournable pour les managers. « Aujourd’hui, on sait que pour innover et être créatifs, il ne faut pas avoir peur de se tromper.Si un manager n’est pas bienveillant envers lui-même, il ne s’autorisera pas à explorer cer
Pour Amélie Motte, chief happiness officer à la fabrique Spinoza (un think-tank dédié au bonheur citoyen), qui dirige depuis dix ans une formation de deux jours « Manager avec l’intelligence émotionnelle » à Sciences Po Executive Education, le leader de demain doit être « le gardien de la qualité de la relation avec les autres ». « Auparavant, on c
« Je passe beaucoup plus de temps à dialoguer et à comprendre les desiderata de chacun » A la tête d’une entreprise de 400 personnes, ce directeur général a ressenti, il y a deux ans, le besoin de lever la tête d’un quotidien très prenant pour “remettre à jour son logiciel”, comme il dit. C’est ainsi qu’il a intégré l’ »Executive Mastère Spécialisé
« Qu’on le veuille ou non, on vient au travail avec sa dimension émotionnelle » « Lorsque quelqu’un me dit « je n’ai pas d’affect au travail », cela m’inquiète » , s’exclame Anna Altea, responsable développement et innovation managériale à Gustave Roussy, un centre régional de lutte contre le cancer situé à Villejuif (Val-de-Marne). Elle a co-const