L'apport fondamental de Ricardo à la théorie du commerce international est le principe des avantages comparatifs : ce qui importe, c'est, au sein d'une même nation, les différences relatives entre les conditions de production des biens, qui peuvent être définies à partir du coût d'opportunité.
La nouvelle théorie du commerce international
À savoir, une part significative du commerce mondial concerne des échanges de biens similaires, entre des pays de même niveau de développement (souvent des pays industrialisés).
La Suède, par exemple, exporte ses Volvos vers l'Allemagne, qui lui vend ses BMW.
A la différence du modèle ricardien, le modèle HOS engendre une spécialisation incomplète, c'est-à-dire que chaque région continue de produire le bien concurrent des importations, mais évidemment en quantités moindres qu'en autarcie.