Démarches de mise en œuvre de projets de territoire en zones
2 juil. 2021 décentralisation gestion durable des ressources naturelles et volet ... de l'eau et les mouvements des troupeaux des éleveurs pastoraux ;.
Sahel Share Fair
structurellement et de manière durable la vulnérabilité alimentaire et Grâce aux politiques nationales de gestion des ressources naturelles (GRN) ayant ...
Pastoralisme et économie verte – un lien naturel?
grande diversité et l'imprévisibilité des ressources pastorales avec la plus Il comprend également la gestion des risques du changement climatique et la ...
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légalisés permettant l'adaptation des pasteurs au changement climatique et la L'élevage contribue également à la gestion des ressources naturelles.
Document de Projet 2018 - 2021
ressources naturelles de promouvoir des pratiques agricoles résilientes
Rapport dactivités 2021
Élevage pastoralisme et hydraulique pastorale ;. – Ressources naturelles et changement climatique ;. – Sécurité alimentaire et nutritionnelle ;.
Consolider la résilience à linsécurité alimentaire et nutritionnelle au
Gestion durable des ressources naturelles et changements climatiques;. 2. Elevage avec un focus sur le pastoralisme;. 3. Réduction de l'insécurité alimentaire
Lengagement de la FAO et du FIDA sur le thème du développement
promouvoir la gestion durable des ressources naturelles; et. • plaider en faveur des ruraux pauvres dans les contextes pastoraux.
Les solutions fondées sur la nature pour lutter contre les
Gestion intégrée des ressources en eau. Protection des écosystèmes. • Aires Protégées. Spécifique au défi ciblé. (changement climatique risques naturels…).
FICHE DIDENTIFICATION PROGRAMME D´APPUI AU
6.2 Le changement climatique et la gestion de ressources naturelles . la Stratégie de Développement Durable de l´Elevage 2012-2035.
![Sahel Share Fair Sahel Share Fair](https://pdfprof.com/Listes/21/10086-21DvSahelShareFairConceptnotedvd.pdf.pdf.jpg)
Foire aux Savoirs
CONSOLIDER LA RESILIENCE A L'INSECURITE
ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL
ET EN AFRIYUE DE L'OUEST
Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 21. Introduction
Au Sahel, environ 65 pour cent de la population active, dont plus de la moitié sont des femmes,travaillent dans le secteur agricole et leur qualité de vie est ainsi tributaire des aléas climatiques, des
marchés et des facteurs environnementaux.Les crises récurrentes font que la situation alimentaire et nutritionnelle des hommes, femmes et
enfants de cette région demeure des plus préoccupantes. En effet, l`exposition croissante des ménages
marchés maintiendra ces ménages dans leur vulnérabilité tant que les politiques et programmes
agricoles et de sécurité alimentaire et nutritionnelle n'abordent pas de manière stratégique le
renforcement de leur résilience.Ainsi, une frange importante de la population (prğs de 40й) n'ont pas accğs ă une alimentation
suffisante quantitativement et qualitativement et ǀiǀent dans une situation de pauǀretĠ et d'insĠcuritĠ
alimentaire et nutritionnelle chronique et grave. En 2013, on estime que 11,3 millions de personnessont à risque d'insécurité alimentaire et nutritionnelle et que 4,9 millions d'enfants de moins de cinq
ans, de femmes enceintes et de mères allaitantes sont à risque de malnutrition aiguë. Par ailleurs, en
malnutrition chaque année. La malnutrition est associée à plus de 30% des décès observés chez les
enfants de moins de 5 ans. Les rescapés verront leur quotient intellectuel diminué de 10 à 15 points.
8% du PIB annuel.
Les carences en fer, en iode, en vitamine A, en zinc constituent des problèmes de santé publique pour
la région ouest africaine et constituent de véritables entraves au développement de cette région car
la région.contre la pauvreté (CSSA) par les Etats membres du CILSS, 10 ans aprğs l'adoption de la Politique
Agricole de l'Union (PAU) dans l'espace UEMOA et sept ans aprğs celle de la Politique Agricole de la
CEDEAO (ECOWAP), les résultats obtenus restent encore mitigés. Ils ne permettent toujours pas
d'enǀisager un accès sécurisé à une alimentation saine et nutritive pour tous les ouest-africains à court
ou moyen terme.La nouvelle initiative " Faim Zéro » de la CEDEAO, supportée par la FAO et d'autres partenaires
techniques et financiers, cherche à fédérer les efforts des Gouvernements, des Parlements, des acteurs
l'ĠchĠance 2020, et obtenir des aǀancĠes significatiǀes d'ici ă 2015.La faim ZĠro ă l'horizon de 20 ans constitue d'ailleurs la ǀision de l'Alliance globale pour la rĠsilience
programmes centrés directement sur les populations vulnérables et leur droit à une alimentation saine
et nutritive. A court terme, l'Alliance vise à renforcer la résilience des ménages et communautés
3programmes d'inǀestissement et audž mĠcanismes de concertation edžistants, iii) régionale en
appui/accompagnement des plans régionaux et des mécanismes mis en place par les trois
organisations régionales (CEDEAO, UEMOA, CILSS). Son objectif global est de " Réduirestructurellement et de manière durable la vulnérabilité alimentaire et nutritionnelle en accompagnant
2. Justification
Les causes profondes de la ǀulnĠrabilitĠ ă l'insĠcuritĠ alimentaire et ă la malnutrition sont à la fois
complexes et multiformes. Elles sont le plus souvent liées à un ensemble de facteurs tels que la
pauvreté, la santé, l'hygiğne, l'accğs audž serǀices sociaudž de base, les habitudes et comportements
alimentaires, les normes socio- culturelles, ainsi que la sécurité alimentaire y compris des facteurs
persistent dans cet état de vulnérabilité quasi permanente. Cependant, les crises récurrentes ont
permis d'améliorer les outils d'analyses de situation et d'identification des populations ǀulnĠrables.
Elles ont également permis de proposer des pratiques innovantes qui tiennent compte des
mécanismes de réduction des risques, d`adaptation aux changements climatiques, de lutte contre la
malnutrition mais aussi au niveau de la protection sociale, notamment avec les mécanismes des filets
sociaux et de transferts monétaires. populations les plus vulnérables.initiatives ces vingt dernières années à travers des projets de recherche et de diffusion de technologies
adaptées. Ainsi ont été développées la sélection et la diffusion de variétés résistantes à la sécheresse,
naturelles et l'utilisation durable des Ġcosystğmes. Grâce aux politiques nationales de gestion des ressources naturelles (GRN) ayant mis l'homme aucentre des processus, le Sahel a même reverdi par endroits. C'est le cas par edžemple au Burkina Faso,
au Mali, au Niger et au Sénégal. On assiste dès lors dans la sous-rĠgion ă un genre de ͞rĠǀolution
lunes, banquettes antiérosives, régénération naturelle assistée [RNA], bocage sahélien, etc.) qui
donnent des rĠsultats concrets en termes de gains de productiǀitĠ et d'amĠlioration de la biodiǀersitĠ.
Par ailleurs, le CILSS, à travers le suivi rapproché de la situation alimentaire et nutritionnelle, pilote et
des possibles crises de faible ou grande ampleur.DiffĠrentes formes d'innoǀations institutionnelles ont ǀu le jour ces derniğres annĠes pour surmonter
les nombreuses contraintes qui pèsent sur les petits producteurs en milieu rural. Ces organisations et
arrangements institutionnels innovants peuvent fournir aux petits producteurs toute une gamme de 4regroupement de producteurs en organisations), l'accğs audž ressources naturelles et leur gestion
(comitĠs de mĠdiation pour la rĠsolution des conflits fonciers ou la sĠcurisation des droits d'usage de la
notamment à travers les champs écoles).Ainsi, la sous-rĠgion dispose d'une edžpertise certaine et d'un saǀoir-faire, ainsi que de technologies et
de bonnes pratiques souvent peu partagées et peu diffusées et parfois même non documentées et en
matière de systèmes de gestion des connaissances constitue un handicap certain, ne permettant pas
de mettre ă profit toutes les connaissances accumulĠes audž termes d'inǀestissements importants
consentis par les gouvernements et leurs partenaires.Les pratiques les mieux appropriées et qui démontreront des résultats probants sur la qualité de vie
des populations rurales sahéliennes pourront dès lors être considérées dans les politiques et
programmes nationaux pour le développement et la résilience de ces communautés exposées aux
chocs et aux risques alimentaires et nutritionnels.Dans cet esprit d'Ġchange et d'amĠlioration de la sĠcuritĠ alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en
du CILSS organisent une Foire aux Savoirs sur la Résilience des populations Sahéliennes. Cette initiative
verra aussi la participation effective de l'IGAD. En effet, c'est lors de la Foire audž Savoirs pour la Corne
l'appel ă l'instauration d'une coopĠration SudͬSud entre les deudž institutions pour mieudž structurer les
l'Ouest » en capitalisant l'edžpĠrience de l'IGAD.Cet événement international qui se déroulera à Ouagadougou, Burkina Faso du 05 au 07 novembre
2013, comptera sur la participation des principales institutions engagées dans le renforcement de la
rĠsilience et l'amĠlioration de la sĠcuritĠ alimentaire et nutritionnelle aux niveaux, régional, national et
communautaire.3. Objectifs de la Foire aux Savoirs
L`objectif principal de la Foire aux Savoirs est de renforcer les connaissances des institutions quant aux
Africaines. La Foire permettra le partage des connaissances tant au niveau des programmes que despolitiques et stratégies les plus appropriées pour les deux (2) sous-régions. Plus spécifiquement, il
- Le processus d'apprentissage mutuel - Le renforcement des réseaux et partenariats - La mise ă l'Ġchelle des bonnes pratiques au niveau national et sous régional 54. Thèmes majeurs de la Foire aux Savoirs
Le thème central de la présente Foire porte sur la consolidation de la résilience ă l'insĠcuritĠ
anticiper, absorber les chocs et adapter ou rétablir la situation d'une manière rapide, efficace et
durable. Cela comprend la protection, la restauration, la transformation et l'amélioration des systèmes
de moyens d'existence face aux menaces ayant un impact sur l'agriculture, la sécurité alimentaire et
nutritionnelle et la sécurité sanitaire des aliments.Cette dĠfinition est en parfaite concordance aǀec les objectifs de l'Alliance Globale des initiatiǀes de
de 20 ans.En concordance avec la définition globale de la résilience et les priorités de la sous-région, les thèmes
majeurs ă aborder s'articuleront autour de :Thématiques Sous thèmes
1 - La gestion durable des ressources
naturelles et changements climatiques Gestion de la fertilité des sols et agro foresterieMaîtrise de l'eau
Energie domestique
Education environnementale
Système d'information et de veille environnementaleGestion foncière
Protection des végétaux
2 - L`élevage avec un focus sur le pastoralismeLes systèmes d'information sur le pastoralisme
La gestion des pâturages et production fourragèreLa gestion de la transhumance
Les politiques pour l'élevage pastoral
3 - Prévention et atténuation de l'insécurité alimentaire et nutritionnelle: L'information pour la prise de décision et l'actionLa transformation et valorisation des produits
agricoles, forestiers, halieutiques et d'élevageLes pratiques agricoles résilientes
4 - La gouvernance des risques, des
menaces et des crises Les action des OP et de la société civile dans la gestion des crises et catastrophesLa réglementation
La gestion des catastrophes
La gestion des crises alimentaires
5 - La protection sociale
La démographie et la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel Les mécanismes de filets sociaux et l'amélioration des revenus des ménages et des moyens d'existence 6Ces thématiques ne sont pas exhaustives. A l`intérieur de chaque thématique, des bonnes pratiques
seront identifiées, sélectionnées et partagĠes pour faǀoriser ainsi l'Ġchange, l'apprentissage et le
doit être primordial dans la démarche de validation de la bonne pratique.5. Date et lieu de la tenue de la Foire
i). Date : du 05 au 07 novembre 2013 ii). Lieu : Ouagadougou, Burkina Faso6. Participants
La Foire aux Savoirs regroupera les pays de la CEDEAO et du CILSS en particulier avec la participation de
l`IGAD et de quelques pays de sa zone de couverture. Cependant, les participants d'autres rĠgionsseront également les bienǀenus en fonction des capacitĠs d'accueil de l'Ġǀğnement. Les participants
comprendront les représentants des structures suivantes : - Les organisations intergouvernementales (OIG)- Les Ministères concernés (Agriculture, Elevage, Pêche, Foresterie, Santé, protection et Affaires
sociales, etc.)- Les partenaires techniques et financiers (Coopération bi et multi latérale, Système des
Nations Unies)
- Les rĠseaudž d'acteurs et société civile (organisations de producteurs, de femmes, de pasteurs et
agro-pasteurs) - Les ONG - Les Universités et Centres de recherche - Le secteur privé7. Format
Plusieurs méthodes, outils et techniques seront utilisés au cours de la Foire. Il s`agit entre autres de :
a) Sessions plénières b) Panels de discussion c) Place du marché/Stands d) Posters, Videos, dépliants e) Sessions de formation f) Forum g) Echanges informels8. Communication
Une communication dynamique et multiforme avant, pendant et après la Foire sera mise en place. Des
canaux de communications tels que les blogs, les tweets, youtube, facebook, flickr, des magazines, la
radio, la télévision, des sites web spécialisés seront utilisés. Un plan d'information et de
communication sera élaboré par le CILSS et la FAO. 79. Suivi-évaluation post Foire
seront mis en place pour suivre les retombées de la Foire. Il s'agira de mettre sur pied un réseau,
comprenant toutes les parties prenantes, au niveau national, sous-régional et régional afin
spécificités de chaque pays et sous-région. Un accompagnement devra permettre à chaque pays
répliquées et adoptées. Un réseau sur le pastoralisme entre les acteurs de la zone CILSS et de celle de
l`IGAD sera aussi encouragé.10. Informations
Pour plus d`information, prière contacter :
Nourou Macki Tall
Chargé de Programme et des opérations pour leBureau Régional de la FAO pour l`Afrique
Accra, Ghana
Tel: (+233) 302675000
Email : NourouMacki.Tall@fao.org
Dr. Mahalmoudou Hamadoun
Coordonnateur PRA/SA-LCD-POP DEV
CILSS, Secrétariat Exécutif
Ouagadougou, Burkina Faso
Tel : (+226) 50 37 41 25/28
Privé : (+226) 70 33 69 46
Email : mahalmoudou.hamadoun@cilss.bf
mahalmoudou@yahoo.fr mahalmaiga@gmail.comAlexis Bonte
Cordonnateur Résilience
Bureau Régional de la FAO pour l`Afrique
Accra, Ghana
Tel: (+233) 302675000
Email : Alexis.Bonte@fao.org
Félix Compaoré
Expert GRN
CILSS, Secrétariat Exécutif
Ouagadougou, Burkina Faso
Tel : (+226) 50 37 41 25/28
Privé : (+226) 70 26 63 70
Email : felix.compaore@cilss.bf
Cheikh LY
Fonctionnaire principal Elevage
Bureau Régional de la FAO pour l`Afrique
Accra, Ghana
Tel: (+233) 302675000
Email : Cheikh.Ly@fao.org
Ector Sedar Houssou
Expert Sécurité Alimentaire
CILSS, Secrétariat Exécutif
Ouagadougou, Burkina Faso
Tel : (+226) 50 37 41 25/28
Privé : (+226) 65 99 90 71
Email : ector.houssou@cilss.bf
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