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Rang des matrices

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    Le rang d'une matrice est égal au nombre de ses lignes sauf si l'une d'entre elles est combinaison linéaire des autres. On dira qu'une matrice est facile si l'une de ses colonnes a tous ses nombres nuls sauf exactement un.
  • Comment déterminer le rang de F ?

    Le théorème du rang donne une relation entre la dimension du noyau et la dimension de l'image de f. Dans la pratique, cette formule sert à déterminer la dimension du noyau connaissant le rang, ou bien le rang connaissant la dimension du noyau. Maintenant, par le théorème du rang, dim Kerf = dimR4 ? rg f = 4 ? 2=2.
  • Comment calculer le rang d'un espace vectoriel ?

    Théorème du rang : Si E et F sont deux espaces vectoriels de dimension finie, si f:E?F f : E ? F est une application linéaire, alors : dim(E)=rg(f)+dim(ker(f))=dim(Im(f))+dim(ker(f)).
  • Une matrice A de Mn(K) est de rang 1 si et seulement si il existe une matrice non nulle C de Mn,1(K) et une matrice non nulle L de M1,n(K) telles que : A = CL.

Universit´e Claude Bernard-Lyon I

Agr´egation de Math´ematiques : Alg`ebre & g´eom´etrie

Ann´ee 2004-2005Dimension et rang

Commentaire g´en´eral

Pr´ecautions d"usage : ces notes ne sont certainement pas la meilleure le¸con possible, loin de l`a.

Le plan de J. Contessa me paraˆıt tr`es bien, pour autant qu"on y ajoute •l"algorithme de Gauss, sous une forme ou sous une autre : preuve du th´eor`eme du rang et/ou calcul du rang d"une matrice ; •au moins une m´ethode de calcul du rang, par exemple par l"algorithme de Gauss (oui, c"est un peu la mˆeme chose que ci-dessus, mais c"est si important !) ; •une discussion "abstraite" de l"ensemble des solutions d"un syst`eme lin´eaire.

Compl´ement au d´eveloppement propos´e

Le d´eveloppement propos´e par J. Contessa ´etait : PropositionSoitΦ : Matn(C)→Matn(C)une application lin´eaire telle que?(GLn(C))? GL n(C). AlorsΦpr´eserve le rang. On trouvera dans la premi`ere ´epreuve du concours d"entr´ee `a l"´ecole Polytechnique 1988

(´editions Dunod, collection "J"int`egre", disponible `a la biblioth`eque et `a faire glisser dans

la malle) une preuve du r´esultat suivant, qui constitue un heureux compl´ement : PropositionSoitΦ : Matn(C)→Matn(C)une application lin´eaire qui pr´eserve le rang.

Alors il existePetQinversibles telles que

?X?Matn(C),Φ(X) =PXQou?X?Matn(C),Φ(X) =PtXQ. Au bilan, on constate que les seuls endomporphismes lin´eaires de Mat n(C) qui pr´eservent

l"inversibilit´e (ou le rang) sont les applications "´evidentes". Ce fait est assez classique pour

avoir fait l"objet d"un probl`eme de concours, mais pas assez pour figurer dans les sources agr´egatives usuelles : sans doute rentable.

Autres ajouts

•deux autres preuves du "th´eor`eme de la dimension" ; •rang d"une matrice et de ses sous-matrices ; •rang (et signature) d"une forme quadratique (r´eelle), qui peut constituer un heureux d´eveloppement possible. On fixe un corpsK. On note Matm,n(K) l"espace des matricesm×n`a coefficients dansK. On d´esigne parE,F,...des espaces vectoriels et par?,θ,...des applications lin´eaires. On ne consid`erera que des espaces de type fini, i.e. des espaces qui sont engendr´es par un nombre fini de vecteurs. 1

I Dimension d"un espace vectoriel

0 ◦Pr´eliminaires D´efinition d"une famille libre, d"une famille g´en´eratrice, d"une base. Truismes : toute famille libre maximale/g´en´eratrice minimale est une base. 1 ◦Th´eor`eme de la base incompl`ete Th´eor`emeSoitLune famille libre etGune famille g´en´eratrice. On supposeL?G. Alors il existe une baseBtelle queL?B?G.

Id´ee de la d´emonstration : prendre un ´el´ement maximal pour l"inclusion dans l"ensemble des

famille libresFtelles queL?F?G. CorollaireTout espace vectoriel poss`ede une base. 2 ◦Dimension (a) D´efinition de la dimension Th´eor`emeToutes les bases d"un espace vectoriel de type fini ont le mˆeme cardinal. D´efinitionLa dimension d"un espace vectoriel (de type fini) est le cardinal de n"importe laquelle de ses bases. Notation : la dimension d"un espaceEest not´eedimE. Une preuve du th´eor`eme: Il suffit de montrer que si (e1,...,en) et (e?1,...,e?n?) sont deux

¸ca lui chante. Cl´e : le "lemme d"´echange" suivant (qui prouve le th´eor`eme en prenantk=n) :

LemmeQuitte `a renum´eroter, pourk= 1,...,n,(e1,...,en-k,e?n-k+1,...,e?n)est une base. Remarque : corollaire de la preuve du th´eor`eme : on a en fait montr´e un peu plus : CorollaireSoitGune famille g´en´eratrice form´ee denvecteurs (n?N). Alors toute famille contenantn+ 1vecteurs est li´ee. Une deuxi`eme preuve du th´eor`eme: Soit (e1,...,em) et (f1,...,fn) deux bases deE. Par hypoth`ese, pour toutj= 1,...,net touti= 1,...,m, il existe des scalaires (uniquement d´etermin´es) (ajk)k=1,...,met (bji)j=1,...,ntels que ?j= 1,...,n, fj=m? k=1a jkeket?i= 1,...,m, ei=n? j=1b jifj. Supposonsm?=n, par exemplem > n. En substituant une expression dans l"autre, on voit que ?i= 1,...,m, ei=n? j=1m k=1b ijajkek. En d"autres termes, le produitBAest l"identit´e, o`uBetAsont les matrices carr´ees suivantes (il y am-ncolonnes nulles dansBetm-nlignes nulles dansA) : B=( ((((b

11···b1n0···0

b m1···bmn0···0) )))), A=( ((((((((a

11··· ···a1m......

a n1··· ···anm

0··· ···0

0··· ···0)

2

Ceci n"est gu`ere raisonnable : en effet, le d´eterminant est multiplicatif, on devrait donc avoir :

detBdetA= detBA= 1, alors que les d´eterminants deBetAsont ´evidemment nuls. D"o`um=n.

Vous allez objecter que le d´eterminant n"arrive que beaucoup plus tard dans la th´eorie et tutti

quanti. Je balaye cette objection d"un revers de main, •en prenant pour d´efinition de d´eterminant d"une matrice carr´ee (bij)i,j=1,...,m: detB=?

σ?Smε(σ)m?

i=1b i,σ(i); •en constatant sa multiplicativit´e, ce qui est tr`es facile (v´erifiez !) ;

•en constatant que le d´eterminant de l"identit´e est 1, et que le d´eterminant s"annule s"il y

a une rang´ee nulle, ce qui est ´evident.

Int´erˆet de cette preuve: elle fonctionne sans modification pour un module libre sur un anneau

quelconque. (b) Premi`eres applications Dimension du produit direct de deux espaces, dimension de la somme et de l"intersection, dimension du quotient par un sous-espace.

Crit`ere d"´egalit´e pour un sous-espace : le lemme suivant est `a pr´esent trivial mais utile :

3 ◦Isomorphisme "coordonn´ees" et classification des espaces vectoriels (a)Etant donn´e un espace vectorielEde dimensionn?Nmuni d"une baseB= (e1,...,en) l"application lin´eaire suivante est un isomorphisme : c

B:Kn-→E

(xi)i=1,...,n?-→?n i=1xiei.

Par cons´equent, tous les espaces vectoriels de dimension donn´ee sur un corps donn´e sont iso-

morphes. (b)Inversement : LemmeUn isomorphisme d"espaces vectoriels envoie une base sur une base. En particulier, les espaces de d´epart et d"arriv´ee ont la mˆeme dimension.

(c)Ainsi, "les espaces vectoriels de type fini sur un corps donn´e sont class´es `a isomorphisme

pr`es par un invariant, la dimension." 4 ◦Dualit´e Voir le paragraphe correspondant de Julien Contessa. 5 ◦Applications (a)On sait que tout corps est un espace vectoriel sur son sous-corps premier (le corps engendr´e par 0 et 1). En particulier, un corps fini est un espace vectoriel surFp=Z/pZpourpsa caract´eristique. D"apr`es 3 ◦, notre corps est, en tant qu"espace vectoriel surFp, isomorphe `a F do`udest sa dimension. Donc le cardinal d"un corps fini est toujours une puissance de sa caract´eristique.

Il se trouve, mais c"est plus difficile, que les corps finis sont class´es `a isomorphisme pr`es par un

invariant, leur cardinal. 3 (b)Etant donn´es deux corpsK?L, on note [L:K] la dimension deLvu comme espace vectoriel surK. Etant donn´e trois corpsK?L?M, on montre que [M:K] = [M:L] [L:K]. En effet, si (ei) est une base deLsurKet (fj) est une base deMsurL, alors (eifj) est une base deMsurK. On l"a d´emontr´e sous l"hypoth`ese [M:L] et [L:K] finis, mais c"est en fait vrai (avec les conventions ´evidentes) en toute g´en´eralit´e. Application : sachant queπetesont transcendants, alorsπ eouπ+eest transcendant. On ne sait pas lequel, mˆeme s"il semble raisonnable de penser que c"est le cas des deux. (c) Suites lin´eaires r´ecurrentes Ici, on supposeKalg´ebriquement clos. On se donnea0,...,an-1dansKet on consid`ere l"espace vectoriel E=? (uk)k?N:?k?N, uk+n=n-1? k=0a kun+k?

L"application de restriction aux premiers termesE→Kn, (uk)k?N?→(uk)k=0,...,n-1est lin´eaire

et, par r´ecurrence, c"est une bijection. On appellera base standard deEl"image r´eciproque de la base standard deKn. En particulier : dim(E) =n. On veut exhiber une base deE. Pour cela, on ´ecrit et on factorise le polynˆome

P(X) =Xn-n-1?

k=0a kXk=r? i=1(X-λi)mi,

o`uλ1,...,λrsont les racines (suppos´ees distinctes) dePetm1,...,mrsont leurs multiplicit´es.

Il est facile de voir que pouri= 1,...,retm= 0,...,mi-1, la suite (kmλki)k?Nappartient `aE. Qui plus est, ces suites sont lin´eairement ind´ependantes. Par exemple, siPa des racines

simples, la matrice dont les colonnes sont les colonnes de coordonn´ees de (λki)k?Ndans la base

standard deEest une matrice de Vandermonde. En g´en´eral, les suites (kmλki)k?N(i= 1,...,retm= 0,...,mi-1) forment une base deE. (d) R´ecurrence sur la dimension

L"existence d"une dimension permet de d´emontrer certaines propri´et´es par r´ecurrence. Par

exemple : •Des endomorphismes diagonalisables qui commutent sont simultan´ement diagonalisables (quel que soit le nombre d"endomorphismes).

•Une matrice sym´etrique r´eelle est diagonalisable et a une base orthonorm´ee de vecteurs

propres (pour le produit scalaire canonique surRn).

II Rang

1 ◦Trois notions de rang ? (a) Rang d"une famille de vecteurs C"est par d´efinition la dimension de l"espace vectoriel qu"elle engendre, i.e. la dimension de l"espace des combinaisons lin´eaires de cette famille. ExempleSoitB= (e1,...,en)une base,F= (f1,...,fp)une famille. On dit queFest

´echelonn´ee par rapport `aBs"il existe des entiersi1<···< iptels que l"on puisse ´ecrire

f k=αk+? ?engendr´e par une famille (e1,...,en), alors Im?est engendr´e par la famille (?(e1),...,?(en)).

Donc le rang de?est le rang de la famille (?(e1),...,?(en)). Inversement, le rang de la familleF= (f1,...,fn) est le rang de l"application "combinaisons lin´eaires"c

F:Kn-→E

(xi)i=1,...,n?-→?n i=1xifi. (c) Rang d"une matrice (1) Soitm,n?N?etA= (aij)i=1,...,m, j=1,...,nune matricem×n`a coefficients dansK. Les colonnes deAsont les matricesCj= (aij)i=1,...,m(j= 1,...,n), de taillem×1, qu"on identifie `a des vecteurs deKm. Par d´efinition, le rang deAest la dimension du sous-espace deKm engendr´e par les colonnes deA.

Lienavec les notions pr´ec´edentes de rang : il est classique d"associer `aAl"application lin´eaire

A:Kn-→Km

X?-→AX.

C"est naturel, dans la mesure o`uAest la matrice de?Adans les bases canoniques/standards. Or, on constate que siX= (xj)j=1,...,n?Kn, alorsAXest la combinaison lin´eaire?n j=1xjCj. Par cons´equent, le rang deAest aussi le rang de l"application lin´eaire?A. PropositionEtant donn´e une matriceA?Matm,n(K)et deux matricesP?Matn,n(K), Q?Matm,m(K)inversibles, les rangs deAetQ-1APsont ´egaux.

Id´ee de la preuve : interpr´eterAetQ-1APcomme la matrice de la mˆeme application lin´eaire

dans deux bases diff´erentes,PetQ´etant les matrices de passage. 2 ◦Th´eor`eme du rang (a) Version abstraite Th´eor`emeUne application lin´eaire induit une bijection d"un suppl´ementaire du noyau sur l"image. En dimension finie, si?:E→Fest lin´eaire, il vient : dimE= dimKer?+ rg?. Il est ´equivalent de dire que?induit un isomorphisme deE/Ker?sur Im?. (b) Version matricielle : algorithme de Gauss Th´eor`emeEtant donn´ee une matriceAde formatm×n`a coefficients dansK, il existe deux matricesPetQinversibles, de formats respectifsn×netm×mtelles que Q -1AP=?Ir0 0 0?

o`urest le rang deA,Irest l"identit´e de formatr×r, les z´eros d´esignent des matrices nulles

du bon format. Premi`ere preuve (abstraite) : interpr´eterAcomme la matrice d"une application lin´eaire?A: K n→Km, choisir des bases adapt´ees `aAet utiliser la formule de changement de base.

Deuxi`eme preuve (constructive) : op´erations ´el´ementaires sur les lignes et les colonnes, selon

l"algorithme de Gauss. 5 (c) Classification des applications lin´eaires/matrices `a ´equivalence pr`es Version matricielle: Etant donn´e un format (m,n)?N?×N?, le rang classifie les matrices `a

´equivalence pr`es : deux matrices sont ´equivalentes si et seulement si elles ont le mˆeme rang.

Version abstraite: Etant donn´e?:E→Fet??:E?→F?, il existe des isomorphismes e:E→E?etθf:F→F?tels que f◦?=??◦θe:E ?-→F ↓θe↓θf E ???-→F? si et seulement si (dimE,dimF,rg?) = (dimE?,dimF?,rg??). (d) Rang d"une matrice (2) LemmeLe rang d"une matrice et le rang de sa transpos´ee sont ´egaux. Autrement dit, le rang d"une matrice deMatm,n(K)est le rang du sous-espace deMat1,n(K)? K nengendr´e par les lignes deA.

Id´ee de la preuve : on applique la version matricielle du th´eor`eme du rang, ce qui ne change

pas le rang ; sur une matrice aussi simple, calculer le rang est imm´ediat. 3 ◦Algorithme de Gauss et calcul du rang On s"int´eresse au rang d"une matrice (tous les autres cas s"y ram`enent). On peut utiliser l"algorithme de Gauss, via la preuve constructive du th´eor`eme du rang (version matricielle). 4 ◦Quelques in´egalit´es On suppose que tous les produits/toutes les compositions ´ecrites ont un sens :

Cela r´esulte de :

dimKer?ψ+ dimKerψθ= dimKerψ+ dim(Ker?∩Imψ) + dimKerθ+ dim(Kerψ∩Imθ),

dimKerψ+ dimKer?ψθ= dimKerψ+ dimKerθ+ dim(Kerψ∩Imθ) + dim(Ker?∩Imψθ),

et de la remarque que Imψθ?Imψ.

ψet de d´epart de?.

5 ◦Rang d"une matrice et de ses sous-matrices PropositionLe rang d"une matrice est la taille de sa plus grande sous-matrice inversible. {j1,...,jt} ? {1,...,n}, on a une matrice extraiteAIJ= (aij)i?I,j?J. On note ΠI= (δi,jδi?I)i,j=1,...,m?Matm,m(K) (resp. ΠJ?Matn,n(K)) la matrice de la projection deKm sur Vect(ei:i?I) parall`element `a Vect(ei?:i?/?I) (idem avecJ). On note Π?I(resp. Π??J) la matrice card(I)×m(resp.n×card(J) obtenue en retirant les lignes nulles de ΠI(resp. les colonnes nulles de Πquotesdbs_dbs19.pdfusesText_25
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