[PDF] Rencontre stimulante pour la plongée sous-marine professionnelle





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Informations utiles pour travailler en plongée

Le programme Plongée professionnelle (ELW 08) sanctionné par une Attestation d’études collégiales et offert au Québec exclusivement par l’Institut maritime du Québec prépare adéquatement les personnes intéressées à travailler comme plongeur professionnel au Québec

Rencontre stimulante pour la plongée sous-marine professionnelle atte- nante à la salle des conférences, les qu elque 200 participants ont pu libre- ment discuter avec les représentants d une quinzaine d'organismes travail- lant auprès ou en périphérie de la plon- gée professionnelle. Tous y avaient élu stand pour l'occasion (Hydro-Québec,

IMQ, CSD Construction, ASP Construc-

tion, Centre de médecine de plongée du Québec, CSST, Canadian association of diving constructors , etc.)1

Dans son allocution de bienvenue,

Pierre Cyr, directeur régional de la CSST

à Québec et animateur de la rencontre,

a rappelé combien la plongée sous- marine est un métier difficile et exi- geant. Il s'est réjoui de la présence des trois interlocuteurs majeurs qui, grâce

à leur savoir-faire commun, ont contri-

bué à la valeur et au succès du Sympo- s i um : l'Institut maritime du Québec (IMQ), le plus important centre de for- mation au pays, la CSST, responsable de l'application de la loi, des règlements et des mesures de prévention par les em- ployeurs aussi bien que de l'évolution des façons de faire en matière de sécu- rité, et enfin le Centre de médecine de plongée du Québec de l'Hôtel-Dieu de Lévis, où l'on sauve des vies de plongeurs et prévient des invalidités majeures.

Yves Paré, directeur du Fonds de for-

mation de la construction du Québec, a brièvement rappelé aux participants qu'à partir d'une modeste contribution d e

0,20 $ l'heure de travail, 17 000 tra-

vailleurs ont été formés ces dernières années à la sécurité dans leur travail re

spectif, notamment en plongée. " Il s'agit d'une croissance fulgurante, s'est-il réjoui, et, à partir de maintenant, il faut déployer nos efforts pour faire connaître

notre existence.

L'un des conférenciers invités, Daniel

Vaillancourt, vice-président d'AirMédic,

ambulance aérienne, a informé les plongeurs de l'existence d'un service de sauvetage aérien d'urgence, complé- mentaire aux autres de même nature." Plus les êtres humains sont éloi- gnés, plus ils ont besoin de services d

évacuation d'urgence », a rappelé le

conférencier. Des paroles choisies pour interpeller les plongeurs, qui font un métier dangereux et sont souvent affec- tés à des travaux très loin de tout.

Or, en traumatologie, un principe

veut qu'un sauvetage rapide augmente les chances de survie. On parle du

Golden Hour à propos des 60 minutes

dont on dispose pour amener la per- sonne en salle de chirurgie. Sur un immense territoire, la voie terrestre n'est pas toujours la meilleure ! D'où la nécessité de l'avion ou de l'hélicoptère. 1.

IMQ (Institut maritime du Québec), CSD

Construction (Centrale des syndicats démo-

cratiques construction), CSST (Commission de la santé et de la sécurité du travail). " Nous sommes aujourd'hui les seuls au Québec

à offrir de l'évacuation aéro

mé dicale par hélicoptère », a précisé

Daniel Vaillancourt, un moyen beau-

coup plus souple que l'avion dans les missions effectuées dans des endroits difficiles d'accès. De plus, on a mis à la disposition d'AirMédic, ambulance aérienne, une civière hyperbare mobile pour respecter le fameux Golden Hour et tout le savoir-faire médical nécessaire en vol pour combattre les effets sur l'accidenté de la diminution partielle de la pression d'oxygène et de la diminu- tion barométrique en altitude.

AirMédic

consacre 30
% de ses trans- ports à des évacuations dans l'arrière-pays tandis que les transports interhospi- taliers occupent 70
%. L'organisme, qui vient d'avoir huit ans, atteindra bientôt les 2 000 missions. Ses bases actuelles sont Saguenay, Montréal, Trois-Rivières et Québec. Le plan de développement p r

évoit neuf bases opérationnelles

pour

2016 afin de se rapprocher davan

tage des régions éloignées.

AirMédic réunit un personnel médi-

ca l d'expérience (médecins, inhalothé- rapeutes, infirmières et paramédicaux) et du personnel technique, provenant n o tamment des forces armées cana- diennes et s'inspirant de deux services

semblables ayant fait leurs preuves : le STARS en Alberta et la garde aérienne suisse de sauvetage REGA.

Le financement d'AirMédic se

fait sous forme de contribution volon taire. Les particuliers peuvent devenir membres donateurs d'AirMédic moyen- nant une contribution de 30 $ par année ou 75 $ pour une famille. Si une urgence exige un transport par hélicoptère, le donateur est transporté gratuitement. Le prix moyen d'évacuation médi- cale d'urgence s'élève à 7

000 $ de l'heure,

pour une durée moyenne de deux heures.

Chaque appel déclenche l'évaluation

immédiate de la situation. AirMédic décide de ce qui est le mieux pour le patient.

Envoyer des scaphan-

driers sous l'eau est to ujours une entre- prise périlleuse. Quand on peut s'en abstenir, c'est encore mieux.

C'est pourquoi Hydro-

Québec utilise de-

puis

1974 des véhicules

télécommandés (ou ro- bots) pour inspecter ses nombreuses structures immergées.

Comme l'illustre

Normand Duguay,

chef Maintenance barrages et activités sous-marines chez H y dro-Québec, " ins- pecter le barrage Daniel-

Johnson durant huit jours à 100

m de profondeur comme nous l'avons fait, c'est le travail d'un robot. Avec des sc aphandriers, cela nécessite une ins- tallation comme une plateforme pétro lière donc, pour une courte période c'est inapproprié et aussi très coûteux.

Il était au Symposium pour présen-

ter aux participants le dernier-né de la série de véhicules télécommandés qu'utilise le fournisseur d'électricité : le

Maski,

mis en service en mai

2006. La

vie utile de cette merveille de 1,2 million de dollars, conjointement mise au point sur mesure par l'Institut de recherche d'Hydro-Québec (IREQ) et le fabricant

Deep Ocean Engineering, n'est que de

5 ans. Un voleur de job, ce robot ? " C'est ce que croyaient la majorité des finis- sants de l'IMQ à qui je me suis adressé en mai

2006, raconte Normand Duguay.

Mais en réalité, c'est le contraire.

Qu'on en juge. Hydro-Québec se

questionnait sur la mission de son

équipe de scaphandriers qui ne comp-

tait en 2005 que deux employés perma- nents et deux temporaires. Depuis l'arrivée du robot Maski, les plongées ont considérablement augmenté. Dans plusieurs situations, l'inspection d'un ouvrage par le robot démontre la néces- sité d'intervenir en plongée et aide par le fait même à planifier l'intervention.

L'an dernier, la société d'État comptait

72
jours de sortie robot et 30 jours de plongée. Si bien que l'équipe de plon- geurs est désormais consolidée.

Pourquoi ? " Beaucoup d'ouvrages

n'avaient pas été inspectés en raison de la profondeur, du temps que ça aurait pris et des frais, explique Normand

Duguay. Le robot peut se rendre à une

profondeur de 300
m, avec un ombilical long de 400 m. Il est extrêmement pré cis dans ses diagnostics. Il rapporte des images numériques et des mesures exactes, faites au laser. Si bien qu'on a davantage de mandats de réalisation de travaux depuis que le robot inspecte soigneusement les structures immer- gées. C'est un outil à la disposition du scaphandrier, mais pas un remplaçant puisque le robot ne travaille pas ; il ne fait que diagnostiquer.

Par ailleurs, pour le manier sous

l'eau à partir d'un poste de commande sur le plancher des vaches, il faut des plongeurs, experts du comportement dans l'eau. Ainsi, à Péribonka, les sca- phandriers ont utilisé un fort contre- courant pour faire avancer le robot.

Les plongeurs d'Hydro-Québec dans la

trentaine - des vieux dans le métier - le prennent comme une bonne bouffée d'air frais parce que ça leur permet de continuer à travailler dans le domaine sans subir les contraintes physiques inhérentes à la plongée et de participer

à la recherche et au développement de

la technologie de l'investigation sous- marine

», soutient Normand Duguay.

Sans compter que le robot peut cou-

rir des risques. Quand une vanne s'est co incée à la chute Hemming du bar- rage de Drummondville, un robot est d e scendu voir pourquoi. " Il est resté coincé dans la structure juste après nous avoir permis de visualiser la cause et l'environnement permettant la ré- paration. Nous avons passé près de le perdre... Il est interdit d'envoyer un

scaphandrier dans cet environnement, c'est trop dangereux pour sa vie... Seul un robot peut oeuvrer dans c

e s conditions », estime Normand

Duguay.

Il faut une condition physique

exemplaire pour faire de la plon- gée sous-marine professionnelle.

Seul un médecin peut la mesurer et

déterminer si elle est satisfaisante. M a is encore faut-il que le plon- geur rencontre le médecin à des fréquences déterminées, et le bon, c'est-à-dire celui qui a reçu une for- mation en médecine de plongée. I l y en a actuellement une ving- taine dans tout le Québec. On peut les trouver en communiquant avec

Jocelyn Boisvert, coordonnateur

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