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devinettes à partir du sens des mots : commencez toujours par une analyse Une bonne traduction est un dosage idéal entre fidélité à l'original et 

J. Wang Version latine (agrégation) Les étapes d'une version latine : conseils de méthodologie Hiérarchie à respecter quoi qu'il arrive : la syntaxe (appuyée sur la morphologie) passe avant le reste. Le meille ur moyen de faire un contresens est de jouer aux devinettes à partir du sens des m ots : comme ncez toujours par une analyse grammaticale rigoureuse et systématique (nature/fonction de chaque syntagm e), et veillez à ce que votre traduction reste toujours cohérente avec cette analyse préalable. Une bonne traduct ion est un dosage idéal entre fidélité à l'original et expression naturelle en français ; mais s'il faut choisir entre les deux pôle s, le premier e st toujours à privilégie r : le m ot-à-mot servile est encore préférable au contresens créatif ! En d'autres t ermes, en cas de dé tresse, le texte lat in est votre bouée de secours, accrochez-vous à lui. I. Lecture(s) Toujours consacrer les 5-10 premières minutes de l'épreuve à lire attentivement, si possible au moins deux fois, le texte dans son intégralité. Cette étape doit permettre de : 1) Comprendre de quel type de texte (genre, auteur, période...) et de quoi il s'agit (titre, éventuelle introduction). 2) Repérer les passages qui paraissent a priori plus simples ou plus complexes à traduire, afin de découper le texte en 3 parties représentant une durée de travail égale (1h par partie). 3) Commencer le repérage des gra ndes articulations rhétoriques (anaphores, parallélismes, énumérations, phrases exclamatives ou interrogatives, morceaux de discours...) et syntaxiques (c onjonctions de coordination, de subordinat ion, ponctuations fortes...). II. Découpage en propositions 1) Souligner les verbes conjugués (indicatif / subjonctif / impéra tif). En règle générale, sauf ellipse du verbe être, 1 verbe conjugué = 1 proposition. Attention, l'infinitif et le participe ne sont pas des modes conjugués. 2) Repérer les articulations : subordonnants (conjonctions de subordination, pronom relatif, pronoms /adjectifs/adverbes interrogatifs indirects) et conjonctions de coordination. Une conjonction de coordination relie deux éléments qui sont sur le même plan syntaxique (pa r exemple, de ux propositions principales, ou deux propositions subordonnées) ; un subordonnant relie une principale à une subordonnée. Un verbe conjugué qui n'est ni introduit par un mot subordonnant, ni coordonné à un autre verbe subordonné, correspond généralement à une proposition indépendante ou principale. 3) Séparer le plus préci sément poss ible (en s'aidant aussi de la ponc tuation) les propositions. Attention, une proposit ion subordonnée peut être complément d'une autre proposition subordonnée.

III. Analyse des verbes conjugués C'est la première étape du travail au brouillon phrase par phrase. En commençant toujours par le verbe principal, analyser tous les verbes conjugués dans la phrase : mode, temps, voix et personne. Traduire chaque forme verbale en tena nt rigoureusement compte de l'analyse. IV. Chasse aux actants 1) Pour chaque verbe, il s'agit de chercher les actants essentiels de chaque verbe. Cela suppose de déterminer avec quels types de compléments se construit chaque verbe (le dictionnaire aidant), et bien sûr d'analyser (cas/genre/nombre et fonction) chaque forme nominale (nom, adjectif, pronom, déterminant) de la phrase. Ex. : Sum = verbe d'état à on cherche un sujet + un attribut du sujet, tous deux au nominatif. Do est transitif direct et indirect à un sujet, un COD (accusatif), et éventuellement un complément d'attribution (datif). Eo = verbe de mouveme nt à un sujet et un complément de lieu exprimant la direction, généralement à l'accusatif (type ad / in / apud + Acc). Oportet = impersonnel déontique à pas de sujet, mais un infinitif ou une proposition infinitive, avec verbe à l'infinitif et sujet à l'accusatif. Mittor = verbe au passif à un sujet et un éventuel complément d'agent (ablatif). 2) On peut ensuite procéder à la même opération d'analyse et de chasse aux actants pour les formes verbales non conjuguées (infinitifs, participes, adjectifs verbaux...). V. Suite et fin L'essentiel du travail est fait, il ne reste plus à traduire que les compléments les moins essentiels (notamment les circonstants). VI. Organisation du temps - 10 minutes : lecture du texte. - 1h + 1h + 1h : traduction au brouillon des trois parties du texte. - 20 minutes : amélioration du brouillon. La traduction doit avoir du sens, de la cohérence, de la logique, et si possible un minimum d'élégance ! - 15 minutes : recopiage au propre. - 10-15 minutes : relectures. S'assurer qu'on a tout traduit sans omission, qu'on n'a fait aucune faute de français ou d'orthographe, qu'on n'a pas oublié un passage sous une couche de correcteur blanc, etc. Si vous tombez sur un passage singulièrement coriace, une bonne stratégie est de le laisser pour la fin plutôt que de rester bloqué dessus et d'accumuler du retard. Parfois, le sens s'éclaire avec le contexte : il est préférable de prendre du recul que de passer une heure sur quelques mots ou d'opter par dépit pour une interprétation hasardeuse qui vous fera enchaîner les contresens par la suite !

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