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de la modernité créatrice. A cet égard la même cause explique les différences entre les démocraties antiques et modernes



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que l'emploi du terme dictature pour la même période. Les spécialistes de la culture politique italienne ne parlent guère de dictature pour désigner la.



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DICTATURE ABSOLUTISME ET TOTALITARISME - JSTOR

ment de dictature absolutisme et totalitarisme chez Platon à propos de lui-même établies - pour voir en lui donc la figure idéale du monarque

  • Est-ce que la monarchie est une dictature ?

    Il est souvent admis, lorsque l'État est menacé par une guerre étrangère ou civile, qu'une loi martiale lui donne provisoirement tous les pouvoirs : la monarchie devient alors, au sens antique, une dictature (comme l'exer?ient les consuls ou les généraux romains en cas de graves problèmes).
  • Quelle est la différence entre une dictature et un régime totalitaire ?

    Selon Hannah Arendt la différence entre une dictature et un régime totalitaire ne se situe pas dans l'ampleur de l'arbitraire, de la répression et des crimes, mais dans le degré de contrôle du pouvoir sur la société : une dictature devient « totalitaire » quand et si elle investit la totalité des sphères sociales, s'
  • Quelle est la différence entre un régime autoritaire et une dictature ?

    Ainsi, le totalitarisme se veut autoritaire sur l'ensemble de la population alors que la dictature se veut autoritaire de manière à « unifier le chef, l'État et le peuple », sous le bon vouloir du chef d'État, suivant ses caprices.
  • La royauté est un régime politique dans lequel le chef d'un État porte le titre de roi. En France, depuis le XVII e si?le, la royauté est de plus en plus souvent désignée par le terme impropre de monarchie, qui désigne l'ensemble des régimes politiques dans lesquels une seule personne exerce le pouvoir suprême.

LA MONARCHIE MAROCAINE SOUS MOHAMMED VI CHANGEMENT ET CONTINUITE Jean-Noël Ferrié Si l'on suit les thuriféraires de la monarchie, tout aurait changé ; si l'on suit se s contempteurs, tout aurait presque empiré. L'ouvrage du journaliste Ali Amar1, en offre un exemple frappant. Il décr it la monarchie, non seulem ent comme abs olue, mais comme " hyper monarchique ». Il lui re proche d'avoir déç u les espoirs démoc ratiques et de conserver un décorum d'un autre âge, l'auréolant de sacralité et, ce faisant, tenant la critique à distance. Ce reproche réapparaît chez de nombreux commentateurs. Il est à la fois vrai et faux. Il est vrai, dans la mesure où la monarchie n'est pas devenue démocratique ; il est faux dans la mesure où elle aurait donné l'impression qu'elle allait le faire. Rien ne l'annonçait, rien ne l'y obligeait. Le grand malentendu est d'abord une erreur d'analyse de la part des détracteurs de la monarchie. Pourquoi ? 1 Mohammed VI, le grand malentendu, Paris, Calman-Levy, 2009

Jean-Noël ferrié - La monarchie marocaine sous Mohammed VI : changement et continuité - février 2010 http://www.ceri-sciences-po.org 2 Il faut pa rtir du moment de la succ ession et de la comparaison faite alors entre le roi Mohammed VI et le roi Juan Carlos. Cette comparaison ne tient pas compte de la différence fondamentale opposant la succession espagnole à la succession marocaine : Juan Carlos succédait à un dictateur et se trouvait à la tête d'un pays dont le développement impliquait qu'il intègre l'Europe ; la monarchie était incertaine, ne tenant qu'au dispositif mis en place par le dirigeant défunt. Rien de tel au Maroc : deux ans avant sa mort, Hassan II est devenu le so uverain de " l'alternance » et le " défenseur des droits de l'h omme », obtena nt le consensus qu'il recherchait depuis le début de son règne en faisant entrer l'opposition au gouvernement et en nommant Premier ministre un adversaire de toujours : Abderrahmane Youssoufi. Auparavant, il avait mis en place (1990) le Conseil consultatif des droit s de l'homme (CCDH), chargé, après des années de répression, de tortures et de disparitions, de mettre le Maroc en conformité avec les exigences couramment admises en la matière. Au moment de la succession, la monarchie est donc pleinement dominante et ne connaît plus d'opposition déclarée. Elle s'est consolidée. Ainsi, Mohammed VI n'a-t-il pas eu à négocier sa survie en remettant dans le jeu politique une opposition qui aurait pu, avec le temps, s'avérer dangereuse, ou en restreignant d'emblée les prérogatives de la monarchie, comme ce fut le cas en Espagne. Par ailleurs, il est inexact de dire - si les mots ont un sens autre que polémique - que la monarchie est absolue au Maroc. Certes, techniquement, le Maroc est un Etat autoritaire, puisque le plus important des g ouvernants ne dépend pas de l'élection. Le roi gouverne parce qu'il est le roi et non parce que la Constitution le lui permet. De ce poi nt de vue, l'ambivalence constitutionnelle qui caractérisait la pratique monarchique d'Hassan II n'a pas cessé: certains pouvoirs du souverain sont r églés par la Const itution, d' autres sont extraconstitutionnels ; ils découlent du statut que la monarchie a su acquérir et consolider depuis l'indépendance. Cependant, il s'agit d'un autoritarisme limité, tout d'abord parce que le Mar oc est politiquement pluraliste : il y a plusieurs partis, ils s ont autonomes dans la

Jean-Noël ferrié - La monarchie marocaine sous Mohammed VI : changement et continuité - février 2010 http://www.ceri-sciences-po.org 3 détermination de leur programme comme dans le choix de leur direction ; de plus, ils sont représentés dans l' enceinte parleme ntaire. Il en découle qu e, pour gouverner, le roi est malgré tout tributaire de l'activité part isane menée au Parleme nt, ce qui implique qu'il entretienne des transactions ef fectives avec celui-ci comm e avec les formations qui y siègent. Cet aspect transactionnel est d'autant plus important que les élections ne sont plus truquées2 et que les parlementaires ne vivent pas dans la crainte de l'appareil sécuritaire et des conséquences personnelles de leurs prises de position. En un mot, l'entente avec la monarchie n'est pas imposée mais consensuelle. Elle inc lut les islamistes (politiquement) modérés du PJD (Parti de la justice et du développement), qui ne constituent nullement un risque pour le régime, puisqu'ils ne demandent qu'à y participer. Enfin, le Maroc est pluraliste au sens du pluralisme des valeurs et des références : on peut y affirmer publiquement des positions relativement contrastées sur l'identité (arabe ou berbère), sur la conception de la religion, l'organisation politique et les droits individuels. Certes, il n'est pas possible de tout dire et, en ce sens, le plur alisme n'es t pas plénier, mais il est fort appréciable, si on le compare à ce qui peut être dit dans bien d'autres pays de la région. S'agissant du décorum, celui-ci sert à renforcer les pouvoirs du roi en les auréolant d'une forme de sacralité difficilement questionnable. Logiquement, il ne peut pas être totalement assimilé à un rituel d'un autre âge, puisqu'il remplit une fonction actuelle. Classiquement, le décorum est un élément constitutif et légitimant des pouvoirs. On peut considérer qu'il joue un rôle d'autant plus important quand la légitimité ne découle pas de l'élection. De plus, le rituel royal, nota mment celui de l'allégeance (al-bay'a) - act e d'allégeance au roi liant l'ensemble des hauts fonctionnaires, officiers et membres de la classe politique - crée et entretient une relation directe d'obédience. Les hauts fonctionnaires apparaissent ainsi dans une situation où ils sont, en premier lieu, les exécutants de la politique du roi. A ce rappel collectif de qui est le " patron », pour le dire crûment, s'ajoutent des sanct ions royales, 2 A. Filali-Ansary, " Morroco's Elections. Questions for the Future », Journal of Democracy, vol. 19, n°1, 2008 ; L. Storm, " The parliamentary elections in Morocco : September 2007 », Electoral Studies, vol. 27, 2008

Jean-Noël ferrié - La monarchie marocaine sous Mohammed VI : changement et continuité - février 2010 http://www.ceri-sciences-po.org 4 comme le renvoi d'un gouv erneur lors d'une visite of ficielle dans une province que le souverain estime mal ad ministrée. C'est certainement une m anifestation d'aut oritarisme, mais qui s'inscrit dans un projet bien différent de celui du conservatisme. Au Maroc, rares sont les réformes d'ensemble et les grands projets intégrés. Pour autant, ce n'est pas que rien ne change. Si certaines actions sont volontaristes, comme la réforme du code du statut personnel, d'autres sont palliatives, en ce sens qu'elles ne visent pas à modifier les structur es mais à améliorer ce qui existe. Ces actio ns sont co nfiées à des fondations comme la F ondat ion Hassan II pour les Maroca ins résida nt à l'ét ranger ou la Fondation Mohammed V pour la Solidarité, créée en 1999 par le roi et directement présidée par lui. Cette dernière fondation multiplie les actions spécifiques dans tous les domaines du développement humain. Elle fonctionne grâce à un important partenariat avec les grandes entreprises marocaines. Ses actions sont orientées vers un effet immédiat : alphabétisation, construction de dispensaires, d'unités médicales, micro-crédits, etc. Elle vise à apporter un mieux immédiat et localisé. L'INDH, Initiative nationale po ur le développement humain, lancée par le roi en 2005, s'inscrit dans le même registre, mais au titre de l'action publique et en associant une dimension d'analyse et de prospective. Aussi bien l'INDH que la Fondation Mohammed V s'inspirent des méthodes de la société civile et des formes de participation privée à l'action publique qu'elle promeut. Ces initiatives ont pour caractéristique d'associer une action immédiate (réaliser une action) à une action différée (améliorer globalement le sort de la population) en contournant les rouages ainsi que les acteurs gouvernementaux et administratifs. Le choix des hommes pour mener ces actions se fait aussi en fonction de différents critères et, notamment, de l'adaptation de leur profil à l'action qu'il s'agit de mener. Comme l'ont justement noté Béatrice Hibou et Mohamed Tozy, ceci aboutit à un e pluralisation des référents de l'action publique3, dans la mesure où différentes conceptions 3 " La lutte contre la corruption au Maroc : vers une pluralisation des modes de gouvernement ? », Droit et Société, n°72, 2009

Jean-Noël ferrié - La monarchie marocaine sous Mohammed VI : changement et continuité - février 2010 http://www.ceri-sciences-po.org 5 de celle-ci sont à l'oeuvre avec des profils de carrières adaptés à ces conceptions hétérogènes. C'est ce qui expliq ue que l'on puisse avoir des institutions, tel le Conseil consultatif des droits de l'homme, ayant à leur tête des personnalités issues de la gauche " radicale », connues pour leur intégrité et leur participation à la fois innovante et critique à l'action de l'Etat, et d'autres dirigé es par des personnalités agissant, au mieux, selon les anciennes conceptions de dévouement non critique à l'action de l'Etat. Ce qui rend possible l'existence sans heurts d'un paysage aussi composite, c'est tout d'abord que le changement ne consiste pas dans des mesures radicales mais dans la multiplication d'actions locales qui ne met tent pas globalement en cause les situations acquises et les intér êts de tout un chacun. Mais ce qui rend, cependant, effectif (au moins partiellement) le changement - alors qu'une telle dissémination pourrait bien en avoir raison - c'est la capacité du souverain à faire pressio n sur le système, à conduire la même politique avec des moyens différents, tantôt publics, tantôt privés, tantôt constitutionnels, tantôt supra-constitutionnels, et à unifier l'ensemble. L'importation de la culture managériale des entreprises et des modes d'action de la société civile dans la sphère publique apparaît, pour une large part, liée à l'autonomie politique du monarque. Cette autonomie est puissamment soutenue par le décorum, à la fois parce qu'il lui donne l'apparence de la légitimité et du consensus et parce qu'il met en place une relation de dépendance personnelle entre le roi et les élites politiques et administratives. La réforme libérale du code de la famille est une conséquence directe de ce positionnement particulier du roi. C'est aussi ce positionnement qui lui permet de démettre de leurs fonctions certains hauts fonctionnaires, à la satisfaction de la population. Le para doxe de ces actions vertueuses est qu'elles s e fondent sur la part aut oritaire du régime et la légitiment même du point de vue des valeurs libérales. En témoigne le sondage réalisé entre fin juin et début juillet 20094 dans lequel 91% des Marocains ont déclaré que, depuis une décennie, leur situation s'était visiblement améliorée. Dans le même sondage, 4 " Maroc : Mohammed VI très populaire, selon un sondage interdit dans son pays », AFP, 3 août 2009.

Jean-Noël ferrié - La monarchie marocaine sous Mohammed VI : changement et continuité - février 2010 http://www.ceri-sciences-po.org 6 49% des M arocains cont re 33% considèrent la monarchie comme d émocratiq ue. C e jugement de " démocratie », même s'il est techniquement parlant peu approprié, s'appuie toutefois sur un changement de style radical q ue l'on ne doit pas sous-estimer, car il a entraîné une nette modificati on des pratiques de l'administration. Citons comme exemple l'attitude vis-à-vis des MRE (Marocains résid ant à l'ét ranger). Ils étaient traités sans beaucoup de considération durant le règne précédent. Au contraire, depuis l'accession de Mohammed VI au pouvoir, une politique d'amélioration continue de la réception estivale des MRE existe. Ils se voient, désormais, traités comme des acteurs économiques importants - ce qu'ils sont effectivement. Aussi, est-il à la fois injuste d'affirmer que rien ne change et inexact de soutenir que tout a changé. Mohammed VI n'inspire pas la crainte qu'inspirait son père. Les référents de l'action publique sont net tement pluralis tes et les acteurs qui y participent sont eux-mêmes représentatifs de ce pluralisme. On pourrait dire - même si la formule paraît baroque - qu'il représente une version libérale de l'autoritarism e limité. Cet autoritaris me est inextricablement lié à une " démocratie limitée » : des partis, des élections, des transactions politiques constantes entre la monarchie et ses opposants. En effet, si l'on considère de manière rapide l'histoire politique du Maroc depuis l'indépendance, on peut y lire, certes, la domination du roi, et tout particulièrement du roi précédent. Mais on peut aussi y lire, et ce depuis l'origine même du régim e, la présence d'instit utions démocratiques, souve nt dominées mais jamais éliminées, avec lesquelles la monarchie a recherché l'entente plutôt qu'elle n'en a p oursuivi l 'élimin ation. Il est tout à fait possible qu'Hassan II l'ait espérée, notamment durant la période où il exerça le pouvoir en dehors de la Constitution puis avec une Constitution clairement autoritaire (1965-1972). En revanche, cet équilibre ne put jamais être instaur é, la m onarch ie ne parvint jamais à s'éloigner des institutions démocratiques autant qu'elle l'aurait voulue et, inversement, ces dernières ne purent jamais s'imposer à elle. C'est la trame même de l'ordre politique marocain qui s'est construite selon une inégale complémentarité. Il en découle une continuité fondam entale : l'autorit arisme n'était pas

Jean-Noël ferrié - La monarchie marocaine sous Mohammed VI : changement et continuité - février 2010 http://www.ceri-sciences-po.org 7 l'affaire d'Hassan II comme la démocratie aurait pu être l'affai re de Mohammed VI. L'autoritarisme et la démocratie sont l'affaire de l'ordre politique lui-même, la conséquence de son origine et le produit de son développement. C'est par rapport à cet ordre qu'il faut comprendre les changements caractéristiques du règne actuel. *Jean-Noël Ferrié est directeur de recherche au CNRS (CNRS-PACTE, Institut d'Etudes Politiques de Grenoble et CERI, Sciences-Po, Paris), spécialiste du monde arabe et principalement de l'Egypte et du Maroc

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