La qualité du système dinformation et sa contribution à la
En effet l'organisation améliore et facilite la circulation des informations entre tous les utilisateurs concernées de l'entreprise : investisseurs
Limpact des technologies dinformation et de communication sur la
1 Sept 2013 un effet positif sur la qualité du système d'information comptable par ... Les transactions financières réalisées dans une entreprise sont ...
Réflexion sur les apports du système dinformation dune entreprise
9 Nov 2009 Cette norme est la norme de référence pour la certification du système de management qualité d'une entreprise. Cependant la norme ISO 9001 peut ...
Limpact des systèmes dinformation sur le pilotage de la
comment les entreprises Marocaines peuvent tirer bénéfice et réaliser une performance organisationnelle à partir de l'adoption des systèmes d'information
Introduction aux Systèmes dInformation
des Systèmes d'Information. ? Connaître les principales caractéristiques du secteur informatique. Introduction. L'activité d'une entreprise est répartie au
Les métiers des systèmes dinformation
informatique laquelle prend au sein d'entreprises de taille plus importante le nom de DSI (direction des systèmes d'information) ou DSIO (direction des.
2002 - Alignement stratégique du système dinformation
Il constitue un lieu privilégié de rencontre et d'échange d'informations entre les responsables des grandes entreprises françaises ou européennes utilisatrices
Guide daudit de la gouvernance du système dinformation de l
Cette contrainte touche tous les métiers mais particulièrement la DSI. L'ENTREPRISE SES MÉTIERS
POLITIQUE POUR LA QUALITÉ ET LA SÉCURITÉ AU TRAVAIL
la formation qualité du personnel de l'entreprise (information sensibilisation
Fiche métier - M1802 - Expertise et support en systèmes dinformation
t Expert / Experte qualité informatique t Architecte de sécurité des systèmes d'information t Expert / Experte réseaux et télécoms t Architecte multimédia.
Système d’information - PayFit
Les qualités intrinsèques de l’information -L’informationest-elle confirmée pard’autressources (presse indépendantes etc ) -L’informationest-elle vérifiables autrement (tests forumsd’utilisateursetc ) -En définitive le degré de confiance quel’onpeut accorder à une information dépend de multiples facteurs
Searches related to les qualités du système d+information de l+entreprise PDF
Un système d'information est constitué d'un ensemble complexe d'éléments matériels logiciels et humains organisés pour remplir une fonction précise L'expérience montre que la pérennité et la qualité du système d'information sont indissociables 1 - LE SYSTEME D'INFORMATION
Quel est le rôle du système d’information dans l’entreprise ?
La mise en place d’un système d’information (SI) dans l’entreprise est capitale. Le SI regroupe l’ensemble des dispositifs et ressources permettant de collecter, stocker et analyser les informations dans l’entreprise. Quelle est la définition du système d’information ? Quel est le rôle du système d’information dans l’entreprise ?
Qu'est-ce que le système d'information comptable et financière?
Le système d’information comptable et financière est un instrument de mesure permettant de suivre les objectifs que se sont fixés les responsables à tous les niveaux de la firme. L’information est au cœur du système de gestion de l’entreprise.
Qu'est-ce que les systèmes d'information?
« Les systèmes d’information » ont pour but de produire et de communiquer des informations. La comptabilité est un système d’information particulier, destiné à fournir des représentations de la situation financière d’une entreprise et à en mesurer la performance économique.
Qu'est-ce que le système d'information ?
L’information doit être fiable, pertinente et précise. La mise en place d’un système d’information (SI) dans l’entreprise est capitale. Le SI regroupe l’ensemble des dispositifs et ressources permettant de collecter, stocker et analyser les informations dans l’entreprise. Quelle est la définition du système d’information ?
THE IMPACT OF INFORMATION SYSTEMS ON THE
MANAGEMENT OF THE ORGANIZATIONAL
PERFORMANCE IN MOROCCAN COMPANIES.
MANTOUZI Sara
Doctorante chercheuse en sciences de gestion
Ecole nationale de commerce et de gestion de Casablanca (ENCG-C)Université HASSAN II CASABLANCA
Laboratoire de Recherche Prospective en Finance et Gestion (LRPFG) MarocMantouzi.sarah@gmail.com
SAID YOUSSEF
Docteur /Professeur
Ecole nationale de commerce et de gestion de Casablanca (ENCG-C)Université HASSAN II CASABLANCA
Laboratoire de Recherche Prospective en Finance et Gestion (LRPFG) Maroc saiyoussef@yahoo.fr 2Résumé :
l entreprises. En effet, il est impossible qu'une entreprise fonctionne sans avoir un système d'information performant décision.Cette communication propose
Marocaines.
comment les entreprises Marocaines peuvent tirer bénéfice et réaliser une performance
nformation performants.Mots clés :
gestion, performance organisationnelle.Absract :
Following the emergence of new information and communication technologies,flexibility and adaptability are becoming a necessity for all businesses. Information systems are the backbone of businesses today. Indeed, itis impossible for a company to operatewithouthaving a high-performance information system thatfacilitatesaccess to usefulinformation and thereforefacilitates the decision-makingprocess. This communication proposes to studyhow theimplementation of an information systemscan impact the performance of Moroccancompanies and to explain how thiscompaniescanbenefit and achieveorganizational performance from the adoption of high- performance information systems. Keywords: Information system,organizational change, management control, organizational performance. 3INTRODUCTION
Dans une conjoncture caractérisée par la mondialisation, la globalisation et le la communication. Lessystèmes d'information constituent la colonne vertébrale des entreprises. En effet, il est
impossible qu'une entreprise fonctionne sans avoir un système d'information performant qui décision afin de conférer à l'organisation plus de performance et de compétitivité. est une organisation des ressources destinée à traiterparticipant à la gestion, au traitement, au transport et à la diffusion de l'information au sein de
l'organisation. Les entreprises ont accordé une importance considérable à la question de la mesure de la performance ce qui les pousse à peser chaque information et à rechercher les dispositifs nécessaires pour préserver leu outils et indicateurs de mesure de la performance. qui se basent essentiellement sur le reportingmatérialiser ces outils dont les ERP, composés de multiples applications dédiées aux
différentes tâches opérationnelles et fonctionnant sur des matériels et logiciels hétérogènes,
constituent le meilleur exemple.des entreprises, en mettant à la disposition des managers les informations utiles à la prise des
décisions valeur-coût, et qui tend ainsi vers la maximisation de la création de la valeur. 4 st-à-dire la capacité de ce dernier à créer de la valeur ajoutée et à influencer les acteurs pour
entreprises est la difficulté d'obtenir des données et informations précises et des interfaces
place d'un système d'information cohérent garantissant l'unicité de l'information et l'accès à
celle-ci à partir de toutes les fonctions de l'entreprise.Nous proposons
performance des entreprises. Marocainespeuvent-elles tirer bénéfice et réaliser une performance organisationnelle à partir de
performants.Dans ce cadre, nous présenterons les résultats de notre littérature sur le sujet du rôle des
ge de la performance et son impact sur les pratiques organisationnelles des entreprises pour déterminer les points de convergence et de divergence des différents chercheurs. comprendre la relation entre les deux concepts " » et " pilotage de laperformance », et nous présenterons les apports théoriques pour pouvoir construire un
de la performance.1- Systè
informations nécessaires pour prendre les décisions. La remise en cause des systèmes
traditionnels de gestion, la nouvelle conception du management et les technologies ont1-1- Définition de la performance organisationnelle
Depuis les origines du contrôle d
enrichie. En effet, nous sommes passés des couts, à une conception plus large qui définit la performance comme un couple cout/valeur. La mesure de la performance est nécessaire pour piloter.Or, ce processus est difficile vu mesure lui-même, la performance est une notion assez ambiguë. Pour 5 appréhender la performance de façon plus précise et moins contingente, un certain nombre de clarifications sont nécessaires.Le contrôle de gestion traditionnel intéressé au calcul des coûts. Ainsi, la réduction des coûts. A insuffisante pour appréhender la1-1-1- Contrôle de gestion et réduction des coûts.
Anthony et Dearden (1984) ont défini le contrôle de gestion comme " un dispositif deux niveaux de la performance. stratégiques - L : elle renvoie à la productivité en combinant les moyens dont elle dispose. -à- iner ses alignée sur ses choix stratégiques afin de les atteindre. Cette préoccupation a conduit à et deprocédures budgétaires élaborées, permettant un suivi et une planification détaillée de la
consommation des ressources.1-1-2- Contrôle de gestion et création de valeur.
Depuis longtemps, le mot performance a été assimilé à la réduction des couts. Toutefois,
cette conception est contingente dans la mesure où les stratégies adoptées auparavant
mettaient sur les volumes vendus, la maitrise des prix exigeant une minimisation des couts. des stratégies de différenciation, lesconditions des marchés ont changé. Les entreprises doivent chercher les variables avec
lesquelles sla valeur oivent créer pour leurs clients. 6 performance du point de vue de ses tiers. intéresse pas à efficience acité qui exige de bien faire ce qui est attendu par le destinataire du bien ou de la prestation.1-1-3- La performance comme un couple valeur-coûts.
variété des pratiques.En ,
nette ». Cesdimensions sont complémentaires dans la mesure où la création de la valeur pour le client est
et la maîtrise des coûts. Pour assurer un pilotage efficace de la performance, le système de contrôle doit intégrer cette dualité.Figure 1 : le pilotage de la performance.
Contrôle de Gestion et Pilotage de la Performance, Gualino éditeur, EJA Paris 2004. La performance est multidimensionnelle. A cet effet, les entreprises doivent se focaliser sur plusieurs dimensions. Cependant, une bonne orientation du système de contrôle nécessite dimensions . Cette démarche nécessite un travailde réflexion sur les dimensions de la performance visée, leur hiérarchisation et leur traduction
dans un système de mesure pertinent.1-2- .
7 " un ensemble via des technologies de A travers cette définition nous pouvons relever trois dimensions du système : une dimension sociale, organisationnelle et matérielle. - Dimension sociale : Le système (un acteur) qui interagit avec les autres évaluant et en anticipant leurs réactions (Bourdieu, 1980, p.137). Cette action humaine présente selon Giddens (1987) la compétence des acteurs et permet - Dimension organisationnelle : en utilisant les supports misesCette dimension a pris une grande importance
de grâ Rallet (2003) a montré que connu une évolutionconsidérable à partir des années 90. Elles ne sont plus considérées comme des outils
seulement, mais aussi des outils de coordination de ses activités. Dans ce contexte,Cette évolution a part de la
contribution des systèmes d entre en v processus, travail collaboratif à distance, etc. - Dimension matérielle : Les interactions des acteurs un ensemble de dispositifs, technologiques ou non, qui constituent pour les acteurs un support et un résultat de leurs actions. Nous pouvons présenter la dimension matérielle du sys schéma suivant : 8Figure 2
Le exécuter et de piloter un ensemble
de processus constitués de taches. Le SI est composé de systèmes techniques constitués de ressources matérielles et de ressources logicielles (Caseau, 2007, pp 20-21). Ces systèmes techniques fournissent des alimenter le Système technique à travers les aides et les différentes règles de1-3- .
Turner (1985) a expliqué
performance se fait à travers des indicateurs tels que les budgets alloués aux systèmes
partir des dépenses informatiques. Plusieurs auteurs ont pris en compte la dimension matérielle constituée des équipements informatiques (Steindel, 1992, Berndt et Morisson,1995, Lichtenberg, 1995, Lehr et Lichtenberg, 1999). Cependant, la prise en compte de cette
dimension a produit des résultats ambigus. En effet,Turner (1985) 9 aucune Dans le même sens Alpar et Kim (1990) à travers leurs travaux pu aboutir à des résultats sur Berndt et Morisson (1995) ont montré, à partir de données sectorielles,une corrélation négative entre les équipements informatiques de bureau et la productivité du
Steindel (1992)
lui a permis de constater un impact positif des équipements informatiques sur la productivité.
Récemment, les travaux réalisés se basent particulièrement sur la dimension ce qui permet résultats plus homogènes. Ainsi, Brynjolfsson et Hitt (1995) ont conclu que des effets individuels spécifiques aux positif précédemment attribué auxéquipements informatiques.
combinaison entre l en équipes autonomes, données du magazine Fortune sur les 1000 premières entreprises américaines. Bresnahan, Brynjolfsson et Hitt (2002) ont complété ce résultat en montrantmpactpositif de investissement en TIC quand il est associé à une bonne qualification des salariés,
une culture générale, et délégation du processus deGree important de prendre en compte la
dimension organisationnelle des TIC pour appréhender leurs effets sur la productivité des entreprises. Aral, Brynjolfsson et Alstyne (2006) ont ajouté la dimension sociale des systèmes pourexpliquer sa contribution à la performance, en prenant en considération laIls ont pu aboutir à une
corrélation positive de cette dimension avec la performance des équipes. dimensions sociale et organisationnelle de nformation pour expliquer leur contribution à la performance.Par ailleurs, performance des organisations reste difficile à appréhender. 102- Cadre théorique.
Notre revue de littérature présentée a montré la pluralité des cadres théoriques
Notre objectif est de présenter les travaux .Nous avons choiside travailler sur des modèles de référence comme le modèle de Delone et Mclean (1992-2003)
2-1- Le modèle " information system succes model (ISSM) » de Delone et Mclean.
r une revue de littérature de 180 articles couvrant la période de 1981-1987, Delone e Ils ont
constaté que dans un nombre important de travaux, les chercheurs ont essayé de déterminer
les variables participant au succès des SI sans préciser de manière claire la variable
dépendante. Pour cela, ils définissent un modèle multidimensionnel du succès des SI qui
reconnait le succès comme un processus construit et qui doit inclure à la fois des influences temporelles et de variance. Ce modèle est processuel car le temps est pris en compte, il est aussi de nature linéaire ple : laEn effet, la satisfaction de
utilisation et inversement. Les impacts individuels génèrent les impacts organisationnels.En 2003, Delone et Mclean ont
publié un article qui constitue une mise à jour du leur modèle. Les auteurs ont proposé une
révision globale qui découle de la validation du modèle par les recherches réalisées dans ce
domaine et notamment celle de Seddon (1997). Ils apportent alors trois modifications principales à leur modèle initial : - eurs comme variable indépendante. du système dans certains contextes. - Combinaison des deux dimensions Impact individuel et Impact organisationnel par une seule dimension nommée " Bénéfice net ». 112-2- .
qui incitent les individus à accepter et à utiliser des nouvelles technologies ce qui a donné lieu à isons pour(1989), les deux variables sont les représentations qui engendrent une attitude envers la
technologie. pour expliquer l'intention comportementale de l'utilisateur face à la technologie. Les travauxDavis a démontré que l'utilité perçue et la facilité d'utilisation perçue constituent les
systèmes misentcaractéristiques du système, la formation reçue, l'efficacité personnelle, l'implication de
L'utilité perçue détermine le degré auquel un individu croit que l'utilisation d'un outil
technologique peut augmenter sa performance, et la facilité d'utilisation perçue représente la
Selon King et He (2006) 88 études fondées sur le TAM, publiées dans divers domaines, confirment la robustesse de ce modèle et sa validité. 12Figure 3
Davis (1989).
Le Modèle d'Acceptation des Technologies (TAM, TechnologyAcceptance Model) est devenu un modèle pertinent de lacceptabilit et de ladoption des Technologies de lité de compréhension (King et He, 2006).3- Construction du modèle théorique.
Conformément à la revue de la littérature effectuée, nous avons construit un modèle qui
SI.3-1- Les facteurs contextuels de l'évaluation.
Ce premier niveau regroupe les variables qui impactent les croyances et lesattitudes des utilisateurs vis-à-vis de la performance des SI et des bénéfices perçus. Ce niveau
donne lieu à quatre interne et externe, des facteurs individuels, ainsi que les investissements. 13 - Les facteurs individuels - Investissements3-2- La performance perçue des SI.
Ce niveau représente les variables qui mesurent la perception des utilisateurs et leur satisfaction vis-à-vis des produits et des services SI. Ces variables de la performance perçue.Qualité du service
Qualité du système
Qualité de l'information
- Satisfaction de l'utilisateurFacilité d'usage
Utilité perçue
Compatibilité SI-Tâche
3-3- Les bénéfices perçus.
Le troisiè les variables de résultat du
modèle qui mesurent les béné de la qualité du système et de la satisfaction des utilisateurs sur la performance individuelle et organisationnelle. Tableau 1 : Construction des variables du modèle.Variables Hypothèses
Facteurs contextuels (Facteurs liés à
et investissements) H 1 : Les facteurs contextuels influencent positivement la qualité perçue du système d'information. La qualité du système H 2 : La mise en place de qualité et la qualité du service. H 3Satisfaction des utilisateurs H 4 :
positif sur la satisfaction des utilisateurs des systèmes. 14 Bénéfices perçus H 5 : La performance perçue des SI a un effet positif sur la performance individuelle et organisationnelle.Etabli par nous-même.
Figure 4 : Construction du modèle théorique.Etabli par nous-même.
15CONCLUSION
entreprises. En effet, devenue une nécessité pour faire face à la concurrence. La littérature mise en avant dans cet article insiste sur le lien avec le changement desperformant conduit à une transformation des méthodes et pratiques de gestion et par
conséquent à une performance organisationnelle. ation de notre modèle théorique, nous avons construit un modèle qui la performance organisationnelle des entreprises Marocaines. adopter un bon pour se différencier et assurer leur pérennité. Or, une telle transformation nécessite des investissements en infrastructure IT. La gestion efficace de ces investissements peut conduire à un changement des méthodes et pratiques utilisées parune amélioration du processus de prise de décisions. Les salariés utilisateurs participent aussi
à la définition de
organisationnelle. empirique de nature quantitative. 16BIBLIOGRAPHIE
Alpar, R. et Kim, M. (1990), "A microeconomicapproach to the measurement of information technology value", Journal of Management Information Systems 7, 2, pp. 55-69. Anthony, R. N., Dearden, J., &Bedford, N. M. (1984). Management control systems.Homewood, Ill, R.D. Irwin.
Aral S., Brynjolfsson E. et Van Alstyne M.W., (2006), "Information, Technology and Information WorkerProductivity: TaskLevel Evidence", International Conference onInformation Systems 2006, Milwaukee, WI.
Berndt, E.R. et Morisson, C.J. (1995). High-Tech Capital Formation and Economic Performance in U.S. Manufacturing Industries: An ExploratoryAnalysis. Journal ofEconometrics. Vol. 65, pp. 9-43.
Bourdieu P. (1980), Le sens pratique, Les Editions de Minuit. Brynjolfsson, E. et Hitt, L. (1995). "Information technology as a factor of production: the role of differencesamongfirms". Economics of Innovation and New Technology. Vol 3, n°3- 4, pp, 201-218. -Dunod.Davis F.-
-340.Davis F.-D., Bagozzi R.-P. et Warshaw P.-
Technology: a Comparison of
982-1003.
Delone W.-H. et Maclean E.-
-95.Delone W.-H. et Maclean E.-
35th Hawaii International Conference on System Sciences.
17Delone W.-H. et Maclean E.-
Information SystemsSuccess: aTen- rmation
Systems, vol.19, n. 4, p. 9-30.
Fishbein M.-A. et Ajzen I. (1975), Belief, Attitude, Intention and Behavior: an Introduction to Theory and Research, Reading, MA, Addison Wesley.Giddens A.(1987), La constitution de la société, éléments de la théorie de la
structuration, Ed. Presses Universitaires de France.Emploi, N°91.
Hsiao, C. H., & Yang, C. (2011). The intellectualdevelopment of the technologyacceptance model : a co-citation analysis. International Journal of InformationManagement, 31, 128-136.
- Inf.Manag. 43 (2006): 740-755.
RALLET A. (2003), " Nouvelle économie et commerce électronique : mesure et démesure », Annales des télécommunications, vol. 58/1-2, p. 147-166.5ème édition.
ௗௗ auVuibert, Collection Fnege, p. 1-17.
Seddon P.-
ch, vol.8, n. 3, p. 240-254.Seddon P.-B. et KIEW M.-
Information Systems, Vancouver, Canada, p. 99-110. Steindel. C, (1992), Commentary on MachineryInvestment as a key to AmercianGrowth. Tools for AmercianWorkers : The role of Machinery and Equipement in EconomicGrowth. American Council for Capital Formation. 18 Turner, J. (1985). Organizational Performance, Size and the Use of Data ProcessingResources. , WorkingPaper (58), Center for Research in Information Systems, NewYork University.
quotesdbs_dbs26.pdfusesText_32[PDF] quelle est l'efficacité de la politique sociale de l'etat
[PDF] chez le médecin dialogue
[PDF] l’état doit-il intervenir sur les marchés ?
[PDF] chapitre 4 - l’efficacité de la politique sociale
[PDF] l'etat a t il des marges de manoeuvre en terme de politique economique
[PDF] j^3 complexe
[PDF] tfe représentations sociales et soin
[PDF] stéréotype infirmière
[PDF] j²
[PDF] image infirmiere
[PDF] image infirmière humour
[PDF] histoire de la profession infirmière
[PDF] les avantages des études dans la vie
[PDF] la motivation en classe de langue