rapport intermédiaire sur la sri 2020 2014/2020
Toulouse : Green Park Bât 4 - 298 allée du Lac - BP 57650 - F 31676 Pôle Derbi
RAPPORT
(1) Au mois de janvier 2014 l'une des premières installations en France de publique du 30 octobre 2013
RAPPORT DACTIVITÉS DE LA FRANCE SUR LHYDROGÈNE ET
lables recyclage des déchets les députés ont adopté
RAPPORT
La Cité à Toulouse : AD'OCC au cœur de l'innovation durable. L'économie sociale et solidaire l'un des piliers du Green New Deal. Synthèse.
DÉBAT PUBLIC PROGRAMMATION PLURIANNUELLE DE L
30-Jun-2018 14. COMPTE RENDU. DÉBAT PUBLIC Programmation Pluriannuelle de l'Énergie. Du 19 mars au 30 juin 2018 https://ppe.debatpublic.fr. DÉBAT PUBLIC.
RAPPORT
(1) Au mois de janvier 2014 l'une des premières installations en France de publique du 30 octobre 2013
Bilel SALHI
dans les locaux (pôle emploi) dans les 4 villes minières. 7 par l'état (décret n°98-2092 du 28 octobre 1998 fixant la liste des ... ate de l'o.
Lapport des associations décoconstruction au verdissement du
d'entreprises les pôles territoriaux de coopération économique
LE BAROMÈTRE DES ÉNERGIES RENOUVELABLES
Depuis juillet 2014 et la mise en place des nouvelles lignes directrices de 14. Observ'ER. Le Baromètre 2017 des énergies renouvelables.
N° 1672 N° 253
ASSEMBLÉE NATIONALE SÉNAT
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
QUATORZIÈME LÉGISLATURE SESSION ORDINAIRE 2013 - 2014Enregistré à la présidence du Sénat
le 19 décembre 2013 le 19 décembre 2013RAPPORT
au nom deDES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES
sur PAR MM. Laurent KALINOWSKI, député, et Jean-Marc PASTOR, sénateur par M. Jean-Yves LE DÉAUT,Premier Vice-président de l'Office
Déposé sur le Bureau du Sénat
par M. Bruno SIDO, 3 technologiquesPrésident
M. Bruno SIDO, sénateur
Premier Vice-président
M. Jean-Yves LE DÉAUT, député
Vice-présidents
M. Christian BATAILLE, député M. Roland COURTEAU, sénateur Mme Anne-Yvonne LE DAIN, députée M. Marcel DENEUX, sénateur M. Jean-Sébastien VIALATTE, député Mme Virginie KLÈS, sénatriceDÉPUTÉS
SÉNATEURS
M. Gérard BAPT
M. Christian BATAILLE
M. Denis BAUPIN
M. Alain CLAEYS
M. Claude de GANAY
Mme Anne GROMMERCH
Mme Françoise GUEGOT
M. Patrick HETZEL
M. Laurent KALINOWSKI
Mme Anne-Yvonne LE DAIN
M. Jean-Yves LE DÉAUT
M. Alain MARTY
M. Philippe NAUCHE
Mme Maud OLIVIER
Mme Dominique ORLIAC
M. Bertrand PANCHER
M. Jean-Louis TOURAINE
M. Jean-Sébastien VIALATTE
M. Gilbert BARBIER
Mme Delphine BATAILLE
M. Michel BERSON
Mme Corinne BOUCHOUX
M. Marcel-Pierre CLÉACH
M. Roland COURTEAU
Mme Michèle DEMESSINE
M. Marcel DENEUX
Mme Dominique GILLOT
Mme Chantal JOUANNO
Mme Fabienne KELLER
Mme Virginie KLÈS
M. Jean-Pierre LELEUX
M. Jean-Claude LENOIR
M. Christian NAMY
M. Jean-Marc PASTOR
Mme Catherine PROCACCIA
M. Bruno SIDO
5SOMMAIRE
___ PagesSAISINE ............................................................................................................................ 7
INTRODUCTION ........................................................................................................... 9
A. UN ÉLÉMENT AUX PROPRIÉTÉS EXCEPTIONNELLES ............................... 13 B. DES MODALITÉS DE PRODUCTION TRÈS DIVERSIFIÉES ......................... 131. Les sources carbonées ............................................................................................. 14
.............................................................................................. 153. Les procédés alternatifs........................................................................................... 17
................................................................................................ 18 C. LES PROBLÈMES DU STOCKAGE, DU TRANSPORT ET DE LADISTRIBUTION ....................................................................................................... 18
1. Des options de stockage diversifiées ...................................................................... 20
a. Les progrès du stockage sous haute pression ........................................................ 20
b. Le stockage cryogénique : une solution éprouvée ................................................. 20
......................................................... 202. Un transport coûteux ............................................................................................... 21
.................................... 22X APPLICATIONS
VARIÉES ........................................................................................................................ 25
A. LA PILE À COMBUSTIBLE .................................................................................... 26
LES TRANSPORTS ...................................................... 28C. LE " POWER-TO-GAS » ........................................................................................ 29
D. LA CO-GÉNÉRATION ............................................................................................ 30
ÉTIQUE ........................................................................... 31F. LES APPAREILS NOMADES ................................................................................ 31
6III. QUELLE PLACE PO LA TRANSITION
ÉNERGÉTIQUE ? ......................................................................................................... 33
A. ERGIES RENOUVELABLES ................................... 331. Un réseau centralisé face à des énergies décentralisées .......................................... 33
2. Les multiples impacts des nouvelles énergies sur le réseau ................................... 34
3. ......................................................................... 34
B. LA SUBSTITUTION DES ÉNERGIES FOSSILES ............................................. 351. La persistance des hydrocarbures ........................................................................... 35
2. Une situation contrastée .......................................................................................... 36
IV. QUELLE GOUVERNANCE POUR LA FILIÈRE HYDROGÈNE ÉNERGIE ? .. 39A. UNE FILIÈRE À FORT POTENTIEL ..................................................................... 39
B. LA NÉCESSAIRE INT................................................. 39 C. LE RÔLE INCONTOURNABLE DES TERRITOIRES ....................................... 41 D. LA QUESTION DE LA RÉGLEMENTATION ...................................................... 42CONCLUSION ................................................................................................................ 45
RECOMMANDATIONS ............................................................................................... 47
EXAMEN DU RAPPORT PA ........................................................... 51 COMPOSITION DU COMIT ......................................................... 67LISTE DES PERSONNES RENCONTRÉES PAR LES
RAPPORTEURS ........................................................................................................... 69
1. Auditions et missions en France ............................................................................. 69
2. Auditions des rapporteurs ....................................................................................... 74
............................................................................................... 77ANNEXES ........................................................................................................................ 83
ANNEXE N° 1 AUDITION PUBLIQUE,
OUVERTE À LA PRESSE, SUR " LES ENJEUX DU VECTEUR HYDROGÈNE-ÉNERGIE » LE 30 OCTOBRE 2013 ....................................... 85 ANNEXE N° 2 : SITUATION DANS LES PAYS ÉTRANGERS .................. 159ANNEXE N° 3 ST AYANT DÉJÀ ABORDÉ
ROGÈNE ÉNERGIE ................................................ 161 7SAISINE
9INTRODUCTION
Mesdames, Messieurs,
passant par leur engrais comme pour ses machines. Même les activités de services, pourtantcaractéristiques idéales a été entrevue de façon prémonitoire par Jules Verne dès la
fin du XIXe décrit à son - ur chauffer les bateaux à vapeur et les force puissante et maniable, car toutes les grandes découvertes, par une loi inexplicable, semblent concorder et se compléter au même moment. Oui, mes la houille ne saurait avoir. » d'ingénieurs qui se sont attachés à exploiter ses propriétés physiques et chimiques, afin d'en extraire une solution pour le transport, le stockage et la restitution del'énergie. L'intérêt pour cette solution a atteint la sphère des décideurs, depuis plus
10 -siècle, des investissements importants ont été réalisés pour développer les technologies associées. Pourtant, faute de progrès suffisants, les applications spatiale, principalement pour la propulsion des fusées. Dans tous les autres usages, la place des énergies fossiles est restée prépondérante. e siècle, de ressources fossiles facilement accessibles et très concentrées en énergie qui, en permettant de décupler à moindre coût la force de travail, a conduit à l'émergence de nos sociétés modernes. Deux siècles plus tard, la croissance de ces dernières reste étroitement corrélée à leur consommation en charbon, en pétrole et en gaz naturel. Si celle des pays d des pays émergents a continué de croître, à un rythme soutenu. sur notre planète. Les gisements les moins profonds ou les plus riches ayant été exploités en priorité, seuls les progrès constants des technologies permettent de maintenir, jusqu'à ce jour, une production suffisante, mais seulement auénergie toujours plus importantes.
Les conséquences de ce rendement énergétique décroissant peuvent, un temps, passer inaperçues e charbon , mais En 2003, notre facture énergétique se limitait à 23moins de dix ans, elle a été multipliée par trois. En 2012, elle atteignait les
69 os, dépassant ainsi le montant total du déficit du commerce
extérieur. Pour nos concitoyens, ce renchérissement se traduit par une baisse de leur revenu disponible et, pour nos entreprises, par une dégradation de leurs Mais notre dépendance vis-à-vis des énergies fossiles ne limite pas seulement, dès à présent, notre développement économique, à terme elle menace nullement besoin de rappele 11 réchauffement climatique sont moins tangibles que celles du renchérissement des sur nos sociétés. Afin de réduire cette dépendance, un effort très important a été réalisé, ces vingt dernières années, pour développer les énergies renouvelables, notamment solaire et éolienne. Pour autant, malgré les investissements réalisés et un coût de plus en plus compétitif en regard de celui des énergies fossiles ou nucléaire, ces complètement les anciennes, par exemple dans le secteur des transports. Qui plus est, dans les pays les plus avancés noquotesdbs_dbs12.pdfusesText_18[PDF] Édito. Michel Le MAOULT. Vice-Président en charge de la politique de l Habitat
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