Concours du second degré Rapport de jury Concours : CAPES
16 oct. 2014 www.education.gouv.fr. Concours : CAPES INTERNE. Section : ITALIEN. Session 2015. Rapport de jury présenté par : Mme Elisabetta VIANELLO.
Concours du second degré Rapport de jury Concours : CAPES
2015 de pourvoir la majorité des postes inscrits au concours sans renoncer dite à l'italienne
Concours du second degré Rapport de jury Concours : Agrégation
En 2015 1415 candidats se sont inscrits à l'agrégation externe de Lettres version italienne puissent préparer au mieux cette épreuve
RAPPORT 2016 CAPES INTERNE ITALIEN
Le CAPES interne d'italien et le CAER correspondant ont vu leurs modalités Le jury renvoie au rapport de la session 2015 pour ce qui concerne les ...
Concours dagent 2015 : rapport du jury
Concours d'agent 2015 – Rapport du jury italien. – une épreuve écrite de gestion administrative
Rapport du jury Filière MP 2015
10 juil. 2015 Pour conclure je souhaite que ce rapport de jury soit utile aux ... Concours Centrale-Supélec 2015 filière MP. Italien. E–53. Italien.
Rapport du jury Filière PSI 2015
1 juil. 2014 Pour conclure je souhaite que ce rapport de jury soit utile aux futurs candidats et ... Concours Centrale-Supélec 2015 filière PSI. Italien.
Rapport du jury Filière PC 2015
1 juil. 2014 Pour conclure je souhaite que ce rapport de jury soit utile aux ... Concours Centrale-Supélec 2015 filière PC. Italien. E–59. Italien.
Concours du second degré Rapport de jury Concours : Concours de
Concours : Concours de recrutement de Conseillers Principaux d'Education. Session : 2015. Rapport de jury présenté par : Joël GOYHENEIX. Président du jury.
Rapport de jury Concours : CAPES et CAFEP-CAPES externe
Le jury a déclaré admissibles 1418 candidats au CAPES et 314 au CAFEP. le français à un emprunt direct à l'italien. ... Recherche
rapport du jury final italien 2015 - Pédagogie de l
Section : ITALIEN Session 2015 Rapport de jury présenté par : Mme Myriem BOUZAHER Présidente du jury 1 RAPPORT DU JURY DU CAPES EXTERNE DÕITALIEN SESSION 2015
Concours du second degré Rapport de jury Concours : CAPES
MEMBRES DU JURY Le jury du concours CAPES INTERNE et CAER CAPES PRIVE section Italien est constitué comme suit pour la session 2015 : Présidente du jury Mme Elisabetta Vianello Académie de Lyon Maître de conférences des universités Vice-président du jury M Pascal Bégou Académie de Grenoble
Concours du second degré Rapport de jury Concours - Education
La troisième session du concours réservé d’italien a été à nouveau accueillie au lycée Sembat - Seguin à Vénissieux Le jury s’est réuni du 26 au 29 janvier 2015 pour l’examen des dossiers RAEP et du 2 au 5 février pour les épreuves d’admission
Concours du second degré Rapport de jury ________________________________________________________________________________ © www.education.gouv.fr Concours : CAPES / CAFEP / Troisième Voie Section : Lettres, options modernes et classiques Session 2015 Rapport de jury présenté par : Bruno Blanckeman, Professeur des Universités Président du jury
SOMMAIRE - Présentation du concours, page 2. - Composition du jury, page 12. - Réglementation, page 30. - Sujets des épreuves écrites, page 35. - Rapport de l'épreuve écrite de composition française, page 50. - Rapport de l'épreuve écrite d'étude grammaticale de textes de langue française, page 75. - Rapport de l'épreuve écrite de latin et de grec, page 107. - Rapport de l'épreuve orale de mise en situation professionnelle : - explication de texte, page 120. - question de grammaire, page 138. - Rapport de l'épreuve d'approche d'une situation professionnelle : - option " langue et littérature françaises », page 145. - option " langue et civilisation de l'antiquité pour lettres classiques », page 160. - option " latin pour lettres modernes », page 177. - option " français langue étrangère / langue seconde », page 196. - option " théâtre », page 212. - option " cinéma », page 240.
PRÉSENTATION DU CONCOURS 2Pour les candidates et les candidats qui s'y présentent les concours du CAPES de lettres (" Certificat d'Aptitude au Professorat de l'Enseignement Secondaire ») et du CAFEP de lettres modernes (" Certificat d'Aptitude aux Fonctions d'Ense ignement dans les établissements Privés du second degré sous contrat » ), option lettres moderne s et opt ion lettres classiques, représentent l'aboutissement de leurs études universitaires pour la majorité d'entre eux, une étape décisive vers la préparation d'un second concours, l'agrégation, pour celles et ceux auxquels le ur rang de cla ssement la isserait espérer que lque perspective prometteuse en la matière, une projection vers leur métier futur pour toutes et tous. Fondé dans ses modalités actuelles sur quatre épreuves, deux à l'écrit (coefficient 1 pour chacune), deux à l'ora l (coeff icient 2 pour chac une), le CAPES exige une solide préparation universitaire, doublée d'une approche de la didactique disciplinaire, et ne saurait être abordé de manière improvisée. Les épreuves écrites de composition française et d'étude grammaticale de textes de langue française (option lettres modernes) ou de version Latin/Grec (option lettres classiques) ainsi que l'épreuve orale de Mise en Situation Professionnelle demandent une culture littéraire approfondie, reposant sur une c onscience précise de s relat ions qu'ent retiennent langue et littérature. Les différentes options de l'épreuve orale d'A nalyse d'une Situation Professionnelle supposent quant à elles, outre la maîtrise des sa voirs discipli naires fondamentaux liées aux lettres en général et aux autres matières concernées en particulier (latin, théâtre, cinéma, FLE/FLES), une bonne connaissance des méthodes et des programmes qui sont ceux de l'ense ignement du fra nçais au lycée et au collège, mais aussi de s responsabilités professionnelles qui incombent à de futurs enseignants. Ces exigences multiples ne doivent pas décourager les futurs candidats, mais au contraire exercer sur eux une vertu stimula nte - à l'ima ge du métier tout à la fois complexe et passionnant qu'ils ambitionnent. L es résultats de la session de 2015 montrent que les difficultés qu'offre le concours peuvent parfai tement être surm ontées par eux s'ils ont la possibilité de se préparer avec méthode aux différentes épreuves. C'est à une telle préparation que les invite ce rapport, qu'ils doivent lire attentivement et dont ils doivent s'imprégner pour être en mesure de mobili ser avec efficaci té toutes leurs connais sances et tout es leurs compétences, au moment de l'écrit et pendant la période de l'oral. Comme lors des sessions exceptionnelle et ordinaire de 2014, le jury a choisi pour la session 2015 de pourvoir la majorité des postes inscrits au concours, sans renoncer aux exigences disciplinaires et professionnelles qui sont l es siennes dans le cadre d'un concours de recrutement d'enseignants, mais en prenant acte du besoin réel d'enseignants auquel le pays est confronté. Ce sont au total 1232 postes de professeurs certifiés de lettres modernes et classiques qui ont ainsi été pourvus en 2015. Si le jury n'a toutefois pu pourvoir la totalité des postes offerts, c'est parce que la double session de 2014 a quelque peu asséché les effectifs de candidats de la session 2015. C'est aussi parce qu'un certain nombre de candidats, même en période de recrutement très ouvert, ne pouvaient être déclarés aptes à l'enseignement dès cette année, fa ute de préparation, de m aturité, de connaissances suffis antes. L e ratio entre le nombre de postes offerts et le nombre d'admissibles présents est demeuré à l'avantage des candidats. On s'inquiète toutefois, pour l'option Lettres Classiques, du nombre extrêmement limité de candidats qui se sont présentés aux épreuves écrites et s'avère nettement inférieur au nombre de postes inscrits au concours pour ladite option (133 candidats CAPES pour 230 postes ; 35 ca ndidats CAFEP pour 25 postes). L'éc art entre le nombre de ca ndidat s qui s'inscrivent au concours en septembre et ceux qui passent les épreuves écrites en avril est également très important pour l'option Lettres Modernes où l'on déplore plus de 40% de pertes pour les inscrits CAPES, 50% pour les inscrits CAFEP, même si dans les deux cas le nombre de candidats effectifs reste supérieur au nombre de postes inscrits. Les candidats ne 3
doivent en aucun cas attendre le mois de septembre pour découvrir les réalités du concours. Nous invitons donc les universités à renforcer les campagnes d'information et de présentation des épreuves et des attentes du concours dès les trois années de licence, et les ESPE à prendre en compte la spécificité disciplinaire des épreuves écrites et orales du CAPES externe de lettres, plus affirmée que dans d'autres CAPES, quand bien même l'initiation à la didactique professionnelle y est présente, de façon graduée, d'une épreuve à l'autre, écrite et orale. Devenus enseignants, le s candidats sont attendus sur le terrain. Le jury, qui a pris ses responsabilités en matière de recrutement, souhaite que les institutions concernées par la suite du processus en fassent autant. Les certifiés-stagiaires se doivent d'être accueillis, guidés, encadrés, suivis, confortés da ns l'apprentissage de leur métier et, pour un nombre non négligeable d'entre eux, dans l'épanouissement de leur vocation. L'une et l'autre des sessions a permis de le constater : il e st des candi dats remarquables par la quali té de leurs connaissances, leur art de pédagogue en formation, leur disponibilité d'esprit, leur souci de la transmission. Les écoute r suffit à démenti r cette délectation moros e que c ultivent les " déclinologues » de toute obédience comme autant de bouquets de chrysanthèmes. Mais tout recrutement relève aussi du pari, si calculé soit-il. Il est un certain nombre de candidats qui deviendront des enseignants de qualité pour peu qu'ils y soient aidés, qu'ils continuent à apprendre un métier complexe ne se ramenant jamais à la régurgitation pâteuse de savoirs académiques ni à l'application mécanique de consignes scolastiques, mais exigeant le bon calage, la juste harmonie entre une culture et une didactique l'une et l'autre disciplinaires. On a aussi à l'esprit qu'un certain nombre de candidats, parmi ceux reçus en fin de classement lors d'une session où le nombre de postes offerts est très important, donc le recrutement large, peuvent être confrontés à des difficultés que leur seul sérieux ne leur permettra pas de régler. Un accompagnement, un suivi, un apprentissage étendus sur plusieurs années ne sont pas simplement utiles : ils sont néces saires, pour le bien de tous. Cette mission d'accompagnement sur le long t erme figure dans le ca hier des charge s des ESP E : on souhaiterait vivement qu'elle figurât aussi dans leur pratique - moyens à l'appui. Dans une situation extrêmement délicate qui se caractérise par une très nette hausse des postes inscrits au concours et une stagnation du nombre de candidats, le jury a pris ses responsabilités. Il a acté le fait que le pays a besoin d'enseignants professionnels et que les académies ne peuvent plus s'en reme ttre, pour comble r les manques, à des contingent s de vacataires, sinon d'intérimaires, souvent non formés, non préparés, donc éphémères - faute non pas de bonne volonté, mais d'apprentissage. Il sait aussi que le seul volontarisme de la puissance publique est insuffisant, si louable soit-il quand il s'agit d'indexer le nombre de postes créés sur le nombre réel de postes vacants là où la tentation contraire fut parfois d'actualité. Le jury a donc opté pour un recrutement ouvert - barre d'admissibilité à 6,5/20 - mais qui demeure, autant que faire se peut en pareilles circonstances, sélectif - barre d'admission à 7,5/20 - , seule marge d'affirmation possible de son identité de concours. Il plaide surtout pour que la politique de recrutement des fonctionnaires en charge de l'éducation nationale ne soit pas alignée sur le court terme - aux deux sens de l'adjectif - d'un mandat législatif. Qu'elle soit pérennisée, à défaut d'être sanctuarisée : tel est le voeu pieux - même s'il est destiné à faire des professeurs et non des anges - formulé par un président de jury qui achève ici son propre mandat. Ce rapport s'inscrit dans la continuité du rapport fondateur des nouvelles épreuves du CAPES réformé que l'on consultera avec profit (rapport de la session 2014 ordinaire). On s'autorisera toutefois ici un rappel, une précision et une mise au point. - Un rappel : La modification des épreuves du concours s'inscrit dans une dynamique générale marquée par la création des Masters Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF), l'ouverture des Écoles Supérieures du Prof essorat et de 4
l'éducation (ESPE) et l'élaboration d'un référentiel de compétences professionnelles des métiers du professorat et de l'éducation. On consultera le site du Ministère pour le rappel de cette ligne de conduite générale. - Une précision : Les épreuves du concours se situent en fin de première année de Master, dans un schéma de parcours intégré qui suppose que les candidats soi ent en c ours de formation. Les connaissanc es et les com pétences évaluées lors des épreuves du concours ne sauraient donc anti ciper une formation par principe e n voie d'acquisition. Si le jury attend des candidats qu'ils maîtrisent les fondamentaux de la discipline qu'ils prétendent enseigner, les lettres et la langue françaises, il n'exige pas d'eux qu'ils se comportent comme les enseignants qu'ils ne sont pas encore. Mais il attend que ces candida ts aient une connais sance solide des principaux questionnements didactiques que leur métier appelle, des situations pédagogiques ordinaires au travers desquel s leur di scipline se transme t, des textes officie ls élémentaires qui en régissent concrètement l'exercice. La dimension professionnelle propre aux nouvelles épreuves obéit à un souci de progression tendant à rapprocher la maîtrise des savoirs académiques, qui ne le sont que par appellation tant leurs canons se transform ent à l'usa ge, et l'acquisition de compétences pratiques, qui renvoient à une connaiss ance du m étier i nformée et raisonnée à défaut d'être exercée. La première épreuve écrite - composition française - ne connait pas de modifications par rapport aux précédentes maquet tes, ma is est a dossée a ux programmes littéraires des classes de collèges et de lycée. La seconde épreuve écrite inclut une nouvelle partie qui oblige à faire le lien entre des connaissances théoriques d'ordre linguis tique et des applications pratique s, par le bia is d'un document pédagogique. La premi ère épreuve oral e - mise en situation prof essionne lle - renforce ce dispositif en maintenant les deux exercices de la leçon - une explication de texte et une question de grammaire - mais en adjoignant à chacun un document à fonction pédagogique. La s econde épreuve ora le - analyse d'une sit uation professionnelle - appelle les candidats à construire une séquence d'enseignement et à développe r l'une des séances de cours qu'elle comporte, depui s un dossier composé d'extraits d'oeuvres littéraires et critiques, mais aussi empruntés à d'autres disciplines culturelles et artistiques et linguistiques. Chacune de ces épreuves appelle des connaissances littéraires et linguistiques, mais aussi un intérêt éprouvé pour les arts et les sciences humaines, en d'autres termes une culture personnelle. Celle-ci s'origine dans une expérienc e personnelle privilégi ée des oeuvres, qu'elles appartiennent au patrimoine ou à une l ittérat ure plus récente qui en transme t e t renouvelle les modèles - de Homère à Laurent Mauvignier, comme de Marie de France à Marie NDiaye. On signalera à cet égard que la session 2015 a marqué l'entrée dans les bibliothè ques des com missions de l'épre uve orale de Mise en Situation Professionnelle de quatre écrivains, retenus au titre de la littérature narrative du tournant du XXIe s ièc le : Patri ck Modiano, Annie Ernaux, Jean Echenoz, Pascal Quigna rd. On rappellera aussi que, durant les quatre derniè res sessions ordinaires du concours, les citations soumises aux candidats pour l'épreuve de composi tion frança ise ont été successivement e mpruntées à des ouvrages de Christian Prigent, Louis-René Des Forêts, Annie Ernaux, Olivier Py, rendant ainsi possible un dialogue fécond entre le bel aujourd'hui et les très riches heures de la bibliothèque. On invitera enfin l'ensemble des candidats à enrichir leurs lectures en s'intéressant, si tel n'est pas encore l e cas, au va ste champ des littératures francophones, qui ont ple ine vocat ion à nourrir la réflexi on attendue dans la 5
composition française comme à rejoindre les bibliothèques des commissions de l'oral. - Une mise au point Les nouvelles épreuves manifestent un souci d'ouverture aux évolutions culturelles de la discipline et de ses pratiques professionnelles. Ainsi de la systématisation du rapport texte/image par le biais des documents iconographiques que les candidats doivent faire dial oguer avec les extrai ts d'oeuvre étudiés lors des deux épreuves orales. Ainsi de certaines options qui font leur entrée au concours dans le cadre de la seconde épreuve orale - Français langue étrangère/Franç ais langue seconde, théâtre, cinéma - et diversifi ent ainsi le fonds disciplinaire des Lettres et du français. C'est dans le cadre de fertiles échanges transdisciplinaires qu'une littérature ayant longtemps af firmé son hégémonie culturelle dans la société française se redéfinit aujourd'hui, affirmant sa vitalité par sa polymorphie même. Les nouvelles options de la seconde épreuve orale, à ce jour réservées aux candidats de lettres modernes, ce dont on s'é tonne et que l 'on déplore, correspondent à de telles évolutions. Il ne s'agit pas plus d'anne xer des di sciplines non litté raires que de dissoudre la littérature en elles - encore moins de faire du professeur de français une habile personne capable de disserter sur tout sans vraime nt rien connaître ou un prestataire de services délivrant ici ou là des techniques d'expression et de réflexion standardisées. Il s'agit de situer l'enseignement des lettres et du français dans un champ culturel multipolaire auquel l'enseignant saura rendre l'accès possible si lui-même sait transmettre aux élèves, par sa maîtrise des discours et son expérience de la lecture, la puissance heuristique de la littérature - en être le passeur, comme elle-même l'est dans son rapport aux arts, aux disciplines du savoir, au monde de la pensée, à l'expérience de la beauté. Ces perspectives, si ell es supporte nt mal l'amateurisme, définissent l'intérêt singulier d'un métier qui demeure l'un des plus stimulants quand opère la magie, savam ment prépa rée, de la rencontre avec une classe. ANNEXES Option Lettres Modernes A - Pour la session ordinaire 2015, avec une barre pour l'admissibilité qui a été fixée à 6,5, il a été possible de déclarer admissibles 1467 candidats. En plaça nt la barre d'admission à 7,5, il a été possible de déclarer admis 1113 candidats : tous les postes proposés n'ont pas été pourvus. Les candidats admis obtiennent ensemble des notes moyennes supérieures, voire bien supérieures à 10 dans les deux épreuves de l'oral comme dans celles de l'écrit. Les candidats classés en tête de liste ont été reçus avec des moyennes très élevées (supérieures à 17/20). 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 exc. 2014 ordi. 2015 Postes 1153 1364 980 980 750 750 710 800 733 1000 1160 1070 1310 Inscrits 5098 5189 4922 4752 4299 3986 3879 2933 2944 2832 4138 3589 3317 Classés 3827 3878 3425 3329 3168 2902 2523 1491 1676 1460 2334 1991 1784 Admissibles 2300 2531 2158 2147 1679 1681 1597 1011 909 1139 1708 1379 1467 Barre d'admissibilité 6,33 6,25 6,25 6,33 6,92 6,75 6,33 6,00 6,00 7,00 7,00 8,00 6,50 6
Barre d'admission 8,21 8,21 8,71 8,75 8,92 8,88 9 7,50 7,25 7,15 7,00 7,00 7,50 B - Situation du concours d'accès aux lis tes d'aptitude de l'enseignement privé (CAFEP Lettres Modernes) La tendance globale se rapproche de celle du CAPES externe : 729 candidats se sont inscrits à la session 2015 ; 357 candidats ont composé dans l'ensemble des épreuves et ont pu être classés. 180 postes étaient offerts aux candidats. Avec une barre pour l'admissibilité fixée à 6,5, il a été possible de déclarer admissibles 290 candidats . Tous les postes (ou contra ts d'enseignement) ont été pourvus. Comme au CAPES, les meilleurs candidats sont reçus avec des moyennes très élevées. Option Lettres Classiques A - Pour la session ordinaire 2015, avec une barre pour l'admissibilité qui a été fixée à 6,5, il a été possible de déclarer admissibles 114 candidats. En plaçant la barre d'admission à 7,5 il a été possible de déclarer admis 89 candidats : tous les postes proposés n'ont pas été pourvus, le nombre de candidats présents aux épreuves écrites étant inférieur au nom bre de postes offerts au concours. Les candidats admis obtiennent ensemble des notes moyennes supérieures, voire bien supérieures à 10 dans les deux épreuves de l'oral comme dans celles de l'écrit. Les candidats classés en tête de liste ont été reçus avec des moyennes très élevées (supérieures à 17/20). B - Situation du concours d'accès aux listes d'apt itude de l'enseignement privé (CAFEP Lettres Classiques) La tendance globale se rapproche de cel le du CAPES externe : candida ts se sont inscrits à la session 2015; candidats ont composé dans l'ensemble des épreuves et ont pu être classés. 25 contrats étaient offerts aux candidats. Avec une barre pour l'admissibilité fixée à 7,5, il a été possible de déclarer admissibles 27 candidats. Placée à 7,5, la barre d'admission a permis de pourvoir tous les postes. Comme au CAPES, les meilleurs candidats sont reçus avec des moyennes très élevées. Concours CAPES Troisième voie Lettres (option lettres modernes) Réservé aux candidats bénéficiant de cinq années d'ancienneté à titre d'un contrat privé dans un emploi de, ou associé à, la fonction publique, ce concours comporte une épreuve à l'écrit (première épreuve) et une épreuve à l'oral (première épreuve). Pour le Troisième voie public, 35 postes étaient offerts aux candidats. Avec une barre pour l'admissibilité fixée à 6,5, il a été possible de déclarer admissibles 52 candidats. Placée à 7, la barre d'admission a permis de déclarer admis 30 candidats. Tous les postes n'ont donc pas été pourvus. Pour le Troisième voie privé, 4 postes étaient offerts aux candidats. Avec une barre pour l'admissibilité fixée à 7, il a été possible de déclarer admissibles 18 candidats. Placée à 13, la barre d'admissi on a permis de déclarer 4 candidats admis . Tous les postes ont doncété pourvus. 7
Traitement des copies, évaluation, communication des notes • À l'issue des épreuves de l'écrit, toutes les copies sont anonymées à l'aide d'un code barre. La session 2012 avait marqué l'entrée dans l'ère de la numérisation des copies pour les différents concours de l'enseignement. Les correcteurs travaillent sur des fac similé, les originaux des copies étant archivés après numérisation. Conformément à la règle en vigueur dans les conc ours nationaux, e lles font l 'objet d'une double correction. Transmis tels quels d'un correcteur à l'autre, les doubles des copies ne comportent aucune appréciation manuscrite de la part des correcteurs. En s'adressant aux services de la DPE (72 rue Régnault, 75243 Paris Cedex 13), les candidats qui le souhaiteraient peuvent éventuellement demander l'envoi d'un double de leurs copies, mais ils ne pourront lire sur ces documents aucune annotation. • Lors de la correction des épreuves de l'écrit, comme dans le déroulement de l'oral, rien ne distingue les candidats du CAFEP de ceux du CAPES. Les deux groupes de candidats forment un même ensemble. • Tous les candidats reçoivent communication de leurs notes, y compris les candidats éliminés1. Le jury n'est pas en mesure de communiquer aux candidats les appréciations de leurs correcteurs ou, pour les admissibles, les observati ons de s c ommissions d'oral et les bordereaux d'usage : c'est le rapport qui tient lieu de compte rendu. • À l'écri t comme à l'oral, les notes qui sont attribuée s font l'objet de procédures d'harmonisation et d'un suivi des modalités de l'évaluation rigoureux visant à assurer l'équité entre les groupes de correcteurs ou entre les différentes commissions. Organisation des épreuves orales • Les résultats de l'admissibilité et de l' admiss ion sont donnés par l'intermédiaire d'Internet, sur le site PUBLINE T. La date prévue pour leur communicat ion est purement indicative. Il peut arriver qu'elle soit retardée pour des raisons techniques liées à la complexité des données informatisées qui doivent être transmises. • Les admissibles reçoivent une convocation pour une réunion préparatoire qui a lieu en fin d'après-midi, la veille de leur première journée d'oral. Cette réunion est d'une grande importance : elle permet aux candidat s de rec evoir toutes les inf ormations utiles sur le déroulement des épreuves qu'ils passeront au cours des deux jours qui suivront. • La complexit é de l'organisation de l'oral interdit le déplacement de la date de convocation pour des motifs de convenance personnelle. Seules peuvent être admises des raisons d'ordre médical, justifiées par un certificat établi par un médecin. Les candidats qui pourraient faire valoir de telles raisons sont priés de se faire connaître le plus tôt possible en écrivant aux services de la DPE, de préférence avant que ne soit rendue publique la liste des admissibles. • L'oral se déroule sur deux journées. Au cours de la première journée, les candidats passent l'épreuve de mise en si tuation professionnelle ; le l endemain, il s passent l'épreuved'analyse d'une situation professionnelle. Dans les salles de préparation, ils ont le plus souvent à leur disposition les dictionnaires suivants : des exemplaires du 1 Sont éliminés les candidats qui sont absents à une épreuve, ont remis une copie blanche ou ont obtenu une copie notée 0. 8
Robert 1 et du Robert 2, ainsi que quelques exemplaires du Littré, pour l'explication de texte et l'épreuve sur dossier. Statistiques Les tableaux qui suivent présentent les moyennes des notes qu'ont obtenues les candidats de la session 2015 dans les différentes épreuves de l'écrit et de l'oral. Écrit du CAPES Inscrits Présents Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admissibles Composition française 3317 1784 1467 9,92 11,28 Inscrits Présents Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admissibles Etude grammaticale 3317 1784 1467 9,82 11,08 Écrit du CAFEP Inscrits Présents Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admissibles Composition française 729 357 290 10,03 10,99 Inscrits Présents Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admissibles Etude grammaticale 729 357 290 9,82 10,68 Écrit du Troisième CAPES Présents Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admissibles 9
Composition française 87 52 7,24 9,90 Écrit du Troisième CAFEP Présents Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admissibles Composition française 27 18 8,51 10,39 Oral du CAPES Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admis MSP 1467 10,43 11,88 ASP 1467 10,43 11,98 Oral du CAFEP Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admis MSP 290 10,12 12,20 ASP 290 9,82 12,29 Oral du Troisième CAPES Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admis MSP 52 8,45 11,28 Oral du Troisième CAFEP Admissibles Moyenne des présents Moyenne des admis MSP 18 9,87 15,31 10
Remerciements. L'organisation du concours a bénéficié, en2014, du soutien que lui ont apporté les services du rectorat de l'Académie d'Orléans-Tours. Que Madame le Recteur de l'Académie d'Orléans-Tours ainsi que Monsieur le Secrét aire Gé néral et les respons ables de l'administration rectorale trouvent ici l'expression de nos remerciements. Les épreuves orale s d'admission se sont déroulées dans d'excellentes conditions humaines et matérielles au lycée Paul-Louis Courier, qui accueillait de nouveau le concours. Que Monsieur le Proviseur, Étienne Gaudrat, et l'équipe administrative du lycée Paul-Louis Courier reçoivent l'expression de notre gratitude et de notre reconnaissance. Bruno BLANCKEMAN, Président du jury du CAPES externe de Lettres 11
COMPOSITION DU JURY 122015 - ARRETE DE JURY DU CAPES EXTERNE et 3EME
CONCOURS LETTRES OPTION LETTRES MODERNES
Rapport généré le 28/01/2015
Domaine : Arreté Jury
Type édition : Arrêté de jury
Critères de sélection :
Code Spécialité égal à 0202E
Libellé Spécialité égal à LETTRES OPT LET. MODERNES Session examen (mission) égal à A91,EBG,CE15,44613Page 1 / 9
Secrétariat général
ARRETE
Le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche- Vu l'arrêté du 29 juillet 2014 autorisant au titre de l'année 2015 l'ouverture du concours externe de recrutement de professeurs certifiés stagiaires en vue
de l'obtention du certificat d'aptitude au professorat du second degré (CAPES),- Vu l'arrêté du 29 juillet 2014 autorisant au titre de l'année 2015 l'ouverture du concours externe d'accès à une liste d'aptitude aux fonctions de maître
dans les établissements d'enseignement privés sous contrat du second degré (CAFEP-CAPES),- Vu l'arrêté du 29 septembre 2014 nommant les présidents des jurys des concours externes du CAPES et des CAFEP-CAPES ouverts au titre de la
session 2015, - Vu les propositions du président du jury,Article 1 : Le jury du concours externe du CAPES et du CAFEP CAPES-PRIVE ainsi que le troisième concours du CAPES et du CAFEP-CAPES-
PRIVE, section LETTRES option lettres modernes, est constitué comme suit pour la session 2015 :Direction générale des ressources humaines
Sous-direction du recrutement
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE,
DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE
Président
M. Bruno BLANCKEMANAcadémie de PARIS
Professeur des universités
Vice-Présidente
Mme Marie BERTHELIERAcadémie de PARIS
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalVice-Président
M. Marc EVENAcadémie de LILLE
Professeur de chaire supérieure
M. Patrick LAUDETAcadémie de PARIS
Inspecteur général de l'éducation nationaleVice-Présidente
Mme Mathilde THORELAcadémie d' AIX-MARSEILLE
Maître de conférences des universités14
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Secrétaire Général
M. Sébastien HEBERTAcadémie de LILLE
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMembres du jury
Mme Roselyne ABBOUAcadémie de VERSAILLES
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalM. Julien ABEDAcadémie de NANCY-METZ
Maître de conférences des universités
Mme Karine ABIVENAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Corinne ABOURIZKAcadémie de LILLE
EC.R professeur agrégé
Mme Maryse ADAM-MAILLETAcadémie de BESANCON
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Aurélie ADLERAcadémie d' AMIENS
Maître de conférences des universités
M. Nicolas ALLARDAcadémie de PARIS
Professeur agrégé de classe normale
Mme Andrée ANCELINAcadémie de CRETEIL
Professeur agrégé de classe normale
Mme Anna ARZOUMANOVAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Laurence AUBRYAcadémie de MONTPELLIER
Maître de conférences des universités
Mme Nathalie AUGERAcadémie de MONTPELLIER
Professeur des universités
M. Eric BACIKAcadémie de LILLE
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Chrystelle BARBILLONAcadémie de PARIS
Professeur agrégé de classe normale
M. Alain BARDETAcadémie de LYON
Professeur de chaire supérieure
M. Eric BARJOLLEAcadémie de POITIERS
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Mathilde BARJOLLEAcadémie de POITIERS
Professeur agrégé de classe normale
Mme Aurélie BARREAcadémie de LYON
Maître de conférences des universités
M. Fabrice BARTHELEMYAcadémie de BESANCON
Maître de conférences des universités
M. Thierry BAUDATAcadémie de PARIS
Professeur agrégé hors classe
Mme Sabrinelle BEDRANEAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
M. Olivier BELINAcadémie de VERSAILLES
Maître de conférences des universités
M. MATHIEU BERMANNAcadémie de GRENOBLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Sylvie BERTONAcadémie de BORDEAUX
Professeur agrégé hors classe
M. Wilfrid BESNARDEAUAcadémie de CAEN
Professeur agrégé de classe normale
Mme VALENTINA BISCONTIAcadémie d' AMIENS
Maître de conférences des universités15
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Mme Hélène BIUAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
M. Jean-Christophe BLUMAcadémie de RENNES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Marie BOMMIER-NEKROUFAcadémie de LILLE
Professeur de chaire supérieure
Mme Marion BONANSEAAcadémie de LYON
Professeur agrégé de classe normale
Mme Anne BONGIOVANNI-REVERTAcadémie de NICE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Anne BORRATAcadémie de MONTPELLIER
Professeur agrégé hors classe
M. Richard BOSSISAcadémie de LILLE
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalM. Julien BOTELLAAcadémie de TOULOUSE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Bérengère BOUARDAcadémie de NANCY-METZMaître de conférences des universités
Mme Hélène BOUGETAcadémie de RENNES
Maître de conférences des universités
Mme Carine BOUILLOTAcadémie de VERSAILLES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Marie-Pascale BOULADOUXAcadémie d' AIX-MARSEILLEProfesseur agrégé de classe normale
M. Simon BOURNET-GHIANIAcadémie d' AIX-MARSEILLEProfesseur agrégé de classe normale
Mme Marie-Christine BRINDEJONCAcadémie d' ORLEANS-TOURSProfesseur agrégé de classe normale
Mme Cécile BRULEYAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Magali BRUNELAcadémie de GRENOBLE
Maître de conférences des universités
Mme Dominique BRUNETAcadémie de PARIS
Professeur agrégé hors classe
M. Alain BRUNNAcadémie de VERSAILLES
Professeur de chaire supérieure
Mme Elodie BURLE-ERRECADEAcadémie d' AIX-MARSEILLEMaître de conférences des universités
Mme Monique BUSDONGOAcadémie de POITIERS
Professeur agrégé hors classe
M. Jean-Jacques CACHEUXAcadémie de ROUEN
Professeur agrégé de classe normale
Mme Lucile CADETAcadémie de CRETEIL
Maître de conférences des universités
M. Pascal CAGLARAcadémie de PARIS
Professeur de chaire supérieure
Mme Virginie CAMIERAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
M. Paul-Claude CARLIAcadémie d' ORLEANS-TOURS
Professeur agrégé hors classe
Mme Stéphanie CARONAcadémie de VERSAILLES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Anne CASSOU-NOGUESAcadémie de CRETEIL
Professeur agrégé de classe normale
M. Stéphane CATTALANOAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Anne CHABRIERAcadémie de NANTES
Professeur agrégé de classe normale16
Page 4 / 9
M. Dominique CHAIGNEAcadémie d' AIX-MARSEILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Julie CHALVIGNACAcadémie de VERSAILLES
Professeur agrégé de classe normale
M. Stéphane CHAUDIERAcadémie de LYON
Maître de conférences des universités
M. Cyril CHERVETAcadémie de PARIS
Professeur agrégé de classe normale
M. Christophe CLAVELAcadémie de CLERMONT-FERRANDProfesseur agrégé de classe normale
Mme Marie-Andrée COLBEAUXAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
M. Denis COLLOMPAcadémie d' AIX-MARSEILLE
Maître de conférences des universités
Mme Martine COLMARSAcadémie de NICE
Professeur agrégé hors classe
Mme Anne COUDREUSEAcadémie de CRETEIL
Maître de conférences des universités
M. Damien CRELIERAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme NATHALIE CROSAcadémie d' ORLEANS-TOURS
Professeur de chaire supérieure
M. Bertrand DARBEAUAcadémie de CAEN
Professeur agrégé de classe normale
Mme MATHILDE DARGNATAcadémie de NANCY-METZ
Maître de conférences des universités
Mme Fatima DAVIN-CHNANEAcadémie d' AIX-MARSEILLEMaître de conférences des universités
Mme Sandrine DAXHELETAcadémie de BORDEAUX
Professeur agrégé de classe normale
M. Damien DE CARNEAcadémie de NANCY-METZ
Maître de conférences des universités
Mme Cécile DE CAZANOVEAcadémie de PARIS
Professeur agrégé hors classe
Mme Mireille DEFFIEUXAcadémie de BORDEAUX
Professeur agrégé hors classe
Mme Alice DE GEORGES METRALAcadémie de NICE
Maître de conférences des universités
M. Bertrand DEGOTTAcadémie de BESANCON
Maître de conférences des universités
M. Miguel DEGOULETAcadémie de NANTES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Marie-Aude DE LANGENHAGENAcadémie de LYON
Professeur agrégé de classe normale
Mme Véronique DELORT-SARRANAcadémie de BORDEAUXProfesseur agrégé hors classe
Mme Mireille DEMAULESAcadémie de LILLE
Professeur des universités
Mme Emilie DESCHELLETTEAcadémie de PARIS
Professeur agrégé de classe normale
M. Julien DIEUDONNEAcadémie de VERSAILLES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Catherine DOUZOUAcadémie d' ORLEANS-TOURS
Professeur des universités
M. Denis DUVERGER-COCAULTAcadémie de VERSAILLESProfesseur agrégé de classe normale
Mme Laurence ESCUDEAcadémie de TOULOUSE
Professeur agrégé de classe normale17
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Mme VALERIE FASSEURAcadémie de BORDEAUX
Maître de conférences des universités
M. Marc FESNEAUAcadémie de LILLE
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régional Mme Françoise FEUGEASAcadémie d' ORLEANS-TOURSProfesseur de chaire supérieure
M. Ludovic FORTAcadémie de VERSAILLES
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalM. Pierre-Louis FORTAcadémie de VERSAILLES
Maître de conférences des universités
Mme Corinne FUG-PIERREVILLEAcadémie de LYON
Professeur des universités
M. Michel GAILLIARDAcadémie de CLERMONT-FERRAND Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Hélène GALLEAcadémie de BESANCON
Maître de conférences des universités
Mme Stéphanie GALLIGANIAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
M. Henri GARRICAcadémie de DIJON
Professeur des Universités
Mme Karine GERMONIAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Aline GEYSSANTAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Anne-Claire GIGNOUXAcadémie de LYON
Professeur agrégé de classe normale
Mme AUDREY GILLES-CHIKHAOUIAcadémie d' AIX-MARSEILLEProfesseur agrégé de classe normale
Mme Julie GLIKMANAcadémie de STRASBOURG
Maître de conférences des universités
Mme Françoise GOMEZAcadémie de PARIS
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Laetitia GONONAcadémie de GRENOBLE
Maître de conférences des universités
M. Michel GRAMAINAcadémie de NANTES
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Anne GRIFFETAcadémie de CRETEIL
Professeur agrégé de classe normale
Mme Emmanuelle GRUELAcadémie d' AMIENS
Professeur agrégé de classe normale
Mme Céline GUILLEMET-BRUNOAcadémie de CRETEILProfesseur agrégé de classe normale
M. Augustin GUILLOTAcadémie de BESANCON
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Morgan GUYVARC'HAcadémie de RENNES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Violaine HEYRAUDAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
M. Yvon HOUSSAISAcadémie de BESANCON
Maître de conférences des universités
Mme Marie-Madeleine HUCHETAcadémie de CRETEIL
Professeur agrégé de classe normale
M. Denis HUEAcadémie de RENNES
Professeur des universités
M. Patrick HUETAcadémie de LYON
Professeur agrégé de classe normale
Mme Emmanuelle HUVERAcadémie d' ORLEANS-TOURS
Maître de conférences des universités18
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Mme Magali JANETAcadémie de CRETEIL
Professeur agrégé de classe normale
M. Philippe JOUSSETAcadémie d' AIX-MARSEILLE
Professeur des universités
Mme Valérie JUDDEAcadémie de PARIS
Professeur agrégé hors classe
M. Joël JULYAcadémie d' AIX-MARSEILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Sabine KOTLARCZIKAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Hélène KUNTZAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Annie KUYUMCUYANAcadémie de STRASBOURG
Professeur des universités
Mme Sophie LABATUTAcadémie d' ORLEANS-TOURS
Professeur agrégé de classe normale
M. Guilhem LABOURETAcadémie de VERSAILLES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Miren LACASSAGNEAcadémie de REIMS
Maître de conférences des universités
M. Stéphane LAINEAcadémie de CAEN
Professeur certifié
Mme Christelle LAIZE-GRATIASAcadémie de LYON
Professeur agrégé de classe normale
M. Philippe LANCONAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
M. Pierre LASSAGNEAcadémie de LYON
Professeur agrégé de classe normale
Mme Valérie LAUZE-GONTEROAcadémie d' AIX-MARSEILLEMaître de conférences des universités
Mme Jocelyne LEALAcadémie de RENNES
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalM. Laurent LE CHANUAcadémie de RENNES
Professeur agrégé hors classe
M. Jérôme LECOMPTEAcadémie d' ORLEANS-TOURSProfesseur agrégé de classe normale
Mme Stéphanie LECOMPTEAcadémie d' ORLEANS-TOURSProfesseur agrégé de classe normale
Mme Laurence LE FERRECAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Florence LEFEUVREAcadémie de PARIS
Professeur des universités
M. Yann Henri LE LAYAcadémie de BESANCON
Professeur agrégé hors classe
Mme Sylvie LELEUAcadémie de LILLE
Professeur agrégé hors classe
M. Stéphane LELIEVREAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Isabelle LIEVELOOAcadémie d' AIX-MARSEILLE
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Aurélie LOEWAcadémie de STRASBOURG
Professeur agrégé de classe normale
Mme Sarah LOGEREAUAcadémie de CRETEIL
Professeur certifié
M. Denis LOREEAcadémie de LILLE
Professeur certifié
M. Franck LUCHEZAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale19
Page 7 / 9
M. Frédéric MAILLARDAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
M. Pierre MANENAcadémie de LYON
Maître de conférences des universités
M. Karim MANSOURAcadémie de BORDEAUX
Professeur agrégé de classe normale
Mme Martine MARQUILLO LARRUYAcadémie de LYON
Professeur des universités
M. Jean-Luc MARTINETAcadémie de LILLE
Professeur de chaire supérieure
Mme Laetitia MASQUELIERAcadémie de LILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Dominique MASSONNAUDAcadémie de GRENOBLE
Maître de conférences des universités
M. Yves MAUBANTAcadémie de CAEN
Professeur agrégé hors classe
Mme Agathe MEZZADRIAcadémie de STRASBOURG
Professeur agrégé de classe normale
Mme Laure MICHELAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Véronique MONTAGNEAcadémie de NICE
Maître de conférences des universités
Mme Marie MUSSETAcadémie de LYON
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalM. Frédéric NAUAcadémie de PARIS
Professeur agrégé de classe normale
Mme Catherine NICOLASAcadémie de MONTPELLIER
Maître de conférences des universités
M. David NICOLEAcadémie de RENNES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Isabelle NIVOSEAcadémie de PARIS
Professeur certifié hors classe
Mme Juliette NOLLEZAcadémie de VERSAILLES
Professeur agrégé de classe normale
Mme Martine NOLOTAcadémie de REIMS
Professeur agrégé hors classe
Mme VANESSA OBRYAcadémie de STRASBOURG
Maître de conférences des universités
Mme EVELYNE OPPERMANN-MARSAUXAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
M. Dominique ORSINIAcadémie d' AIX-MARSEILLE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Saadia OSMANI-POINTAcadémie d' AIX-MARSEILLEProfesseur agrégé de classe normale
Mme Fabienne OUVRARDAcadémie de BORDEAUX
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Blandine PERONAAcadémie de LILLE
Maître de conférences des universités
M. Emmanuel PESTOURIEAcadémie de NICE
Professeur de chaire supérieure
M. Gérard PETITAcadémie de VERSAILLES
Maître de conférences des universités
Mme Isabelle POLIZZIAcadémie de NICE
Inspecteur d'académie /Inspecteur pédagogique régionalMme Valérie RABYAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Anne-Claire RAIMONDAcadémie de BESANCON
Maître de conférences des universitésmusulman tenté par l'intégrisme religieux... ». Le spectateur est évidemment libre ou non d'entrer dans ce jeu, d'en refuser même la possibilité, ou le droit pour le metteur en scène de s'y livrer. Mais en même temps, cette comparaison invite à s'interroger sur le sens que peut prendre, au fil des interprétations le texte de Molière, à considérer aussi quel discours sur le monde peut tenir Molière, le monde du XVIIe siècle dans lequel il vivait, mais aussi, peut-être au prix d'un relatif anachronisme, le nôtre. 2 - Le théâtre constitue, par le jeu de l'illusion, un moyen d'interroger la réalité, que l'on se situe du côté de l'auteur ou du metteur en scène. Le jeu théâtral, par le moyen même des jeux de convention, participe à la construction d'un discours sur le monde ; il vi se selon l e philosophe, mais aussi homme de théâtre, Ala in Badiou à " la conquête des esprits »19. C'est d'ailleurs ainsi qu'il explique la rivalité constante à ses yeux entre théâtre et philosophie, la condamnation sans appel que Platon prononce à l'encontre du théâtre dans le cadre de la cité où ont triomphé Eschyle et Sophocle. Le théâtre, déclare Badiou, " propose de représenter sur scène des figures et des fragments du réel de nos vies et de laisser au spectateur la tâche de tirer les leçons de cette représentation de l'existence individuelle et collective ». Le théâtre serait donc, par les moyens qui lui sont propres et qui sont bien différents de ceux de la philosophie, une représentation du monde impliquant de la part du spectateur une activité critique. Les conventions théâtrales permettent de représenter et de questionner le monde réel. L'entreprise brechtienne fournirait sans doute un bon exemple de cette art iculation du plaisir de la convention théâtrale et de la vocation réflexive du théâtre. On a coutume de résumer cette entreprise au moyen du terme de " distanciation ». Rejetant la vraisemblance, refusant un théâtre tenant de mimer une prétendue réalité, un théâtre de la " ressemblance » dit Brecht, sa dramaturgie tend plutôt à afficher de manière ostensible les signes de la création théâtrale : décors schématiques ou ré duits à quelques élément s symboliques, acteurs ne fondant pas dans le personnage qu'i ls incarnent, diction volonta irement non naturaliste , gestuelle appuyée. La convention est alors affichée , exhibée mêm e. Les spectateurs sont supposés, tout en retrouvant le jeu du t héâtre, ne pas en reconna ître le fonctionneme nt ordinaire ; l'étonnement créé, la surprise du décalage leur permettent d'appréhender la fable qui est racontée sur un mode intellectualisé. Le plaisi r de l'exhibition de la convention théâtrale et les effets qu'elle provoque permettent de laisser place à la réflexion du public, réflexion portant sur une réalité. Ainsi La résistible ascension d'Arturo Ui tente de rendre compte et d'expliquer les modalités et les mécanismes ayant permis à Hitler de prendre le pouvoir en Al lemagne. Dès l'ouverture de la pièce, le spectateur est pris à partie par un bonimenteur : celui-ci, rompant la convention du quatrième mur, s'adresse directement au public pour lui annoncer les éléments de l'histoire qui vont être montrés et présenter les différents personnages ainsi que leurs fonctions. La pièce semble nous raconter une histoire policière inspirée des films noirs américains des années 30 : comment une bande de gangsters va conquérir la ville de Chicago. Sous le masque des gangsters, Brecht ne cesse de rappeler par l'expos ition de pancartes, la relation e ntre l'hi stoire mise en scène et les événem ents historiques réels. Pour Brecht, le théâtre ne peut assumer sa visée intellectuelle et clairement didactique qu'en assumant sa dimension ludique, en jouant sur les c onventions qui le constituent. Brecht reconnaît d'ailleurs se situer là dans la continuité d'une théâtralité que l'on pourrait dire baroque, mais avec des visées bien différentes puisqu'il ne s'agit pas de perdre le 19 Alain Badiou, Éloge du théâtre, Flammarion, 2013, p. 32-33.
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M. Gérard RAINARTAcadémie de NICE
Professeur agrégé hors classe
Mme Isabelle RAYNIERAcadémie de BORDEAUX
Professeur agrégé hors classe
Mme Aude RICHARDAcadémie de LILLE
EC.R professeur agrégé
M. Daniel RIGALAcadémie de TOULOUSE
Professeur agrégé de classe normale
Mme Cécile ROCHELOISAcadémie de BORDEAUX
Maître de conférences des universités
Mme Pascale ROUXAcadémie de GRENOBLE
Maître de conférences des universités
M. Xavier-Laurent SALVADORAcadémie de CRETEIL
Maître de conférences des universités
Mme Christine SEUTINAcadémie de VERSAILLES
Professeur agrégé hors classe
M. Arnaud SIBILLEAcadémie de PARIS
Professeur agrégé de classe normale
M. Pierre SIVANAcadémie de PARIS
Professeur agrégé hors classe
M. Anthony SORONAcadémie de PARIS
Maître de conférences des universités
Mme Valérie SPAETHAcadémie de PARIS
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