I. Les drogues illicites et le développement économique
ces pays où a lieu la production illicite de drogues trafic de drogues dans les pays développés ... illicites se caractérisent par une consommation.
RAPPORT MONDIAL SUR LES DROGUES
l'Office contre la drogue et le crime (ONUDC) le 1er octobre 2002. des pays accusaient un recul de la consommation en 2000 cette proportion était ...
Rapport européen sur les drogues: Tendances et évolutions. 2021
notre mode de vie les pays d'Europe et du monde entier ayant dû mettre en de la pandémie sur les marchés de la drogue
Salles de consommation à moindre risque : les preuves et la pratique
Bien que la consommation de drogue soit tolérée dans les salles l'achat de ces drogues est pénalisé dans tous les pays qui ont mis en place des SCMR.
RAPPORT MONDIAL SUR LES DROGUES
D'une manière générale la consommation de drogues illicites est stable dans le monde
RAPPORT MONDIAL SUR LES DROGUES
D'une manière générale la consommation de drogues illic- ites est stable dans le monde
Le Rapport mondial sur les drogues 2010 de lUNODC fait
22 Jun 2010 drogue et le crime (UNODC) fait apparaître une évolution de l'usage de ... consommation dans les pays en développement de même qu'un abus ...
Salles de consommation de drogues: un aperçu de loffre et des
Au total 78 salles officielles de consommation de drogues sont actuellement opérationnelles dans sept pays transmettant des données à l'EMCDDA
Embargo: 24 juin à 14 heures GMT Le Rapport mondial sur les
24 Jun 2009 la production et la consommation de drogues de synthèse risquent d'augmenter dans les pays en développement. Ce rapport de 314 pages ...
LES CONSOMMATIONS DE DROGUES EN EUROPE PARMI LES
CLASSEMENT DES PAYS SELON LEURS NIVEAUX. D'EXPÉRIMENTATION ET DE CONSOMMATION RÉCENTE. DE TABAC D'ALCOOL ET DE CANNABIS. 9. L'ENQUÊTE ESPAD.
Rapport européen sur les drogues: Tendances et évolutions 2021
Sur la base des données des pays ayant entrepris une enquête entre 2015 et 2018 la prévalence de la nouvelle consommation de substances psychoactives l’année dernière chez les adultes (15-64 ans) variait de 01 à 14 avec une moyenne de 06 dans les 15 pays disposant de données pour cette tranche d’âge
Rapport mondial sur les drogues 2021 de l'ONUDC : les effets
consommation de drogues Au niveau mondial on estime que plus de 11 millions de personnes s'injectent des drogues dont la moitié vivent avec l'hépatite C Les opioïdes continuent de représenter la plus grande charge de morbidité attribuée à la consommation de drogues
DROGUES - United Nations Office on Drugs and Crime
SUR LES DROGUES 2018 et d’héroïne Les quantités d’opium et d’héroïne sai - sies respectivement en hausse de 12 (à 658 tonnes) et de 10 (à 91 tonnes) ont atteint de nouveaux records en 2016 tandis que la quantité totale de morphine interceptée (65 tonnes) a septuplé
Rapport européen sur les drogues
La quantité de résine de cannabis saisie dans l’Union européenne est passée de 468 tonnes en 2017 à 668 tonnes en 2018 (figure 2) Un certain nombre de pays qui saisissent généralement de petites quantités d’herbe de cannabis ont enregistré des augmentations considérables en 2018
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Embargo: 24 juin à 14 heures GMT
Le Rapport mondial sur les drogues 2009 met au jour les liens entre drogue et criminalitéMarchés stables ou en régression pour les opiacés, la cocaïne et le cannabis et en hausse pour
les drogues de synthèse Le Directeur de l'UNODC demande d'investir davantage dans le traitement de la toxicomanie et la lutte contre la criminalité WASHINGTON, le 24 juin 2009 (UNODC) - Selon le Rapport mondial sur les drogues 2009, lancé aujourd'hui par l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), lesmarchés mondiaux de la cocaïne, des opiacés et du cannabis sont stables ou en régression, alors que
la production et la consommation de drogues de synthèse risquent d'augmenter dans les pays en développement. Ce rapport de 314 pages, établi pour la Journée internationale contre l'abus et le trafic dedrogues (le 26 juin), a été lancé à Washington par le Directeur exécutif de l'UNODC, Antonio
Maria Costa, et le nouveau Directeur de l'Office of National Drug Control Policy des États-Unis,Gil Kerlikowske.
Les grands marchés affichent une tendance à la baisseLa culture de l'opium
en Afghanistan, qui représente 93 % des cultures mondiales d'opium, a accusé un recul de 19 % en 2008. La Colombie, qui produit la moitié de la cocaïne dans le monde, a vu sa culture baisser de 18 % et sa production accuser une régression vertigineuse de 28 % parrapport à 2007. La production mondiale de coca (845 tonnes) a atteint son niveau le plus bas depuis
cinq ans, en dépit d'une augmentation des cultures au Pérou et en Bolivie.Le cannabis
demeure la drogue la plus cultivée et la plus consommée au monde, même si lesestimations sont moins précises. Les données montrent aussi que cette substance est plus nocive que
l'on ne le croit généralement. La teneur moyenne en THC (composant nocif) de la marijuanacultivée dans des conditions hydroponiques en Amérique du Nord a presque doublé ces 10 dernières
années, ce qui a des répercussions importantes sur la santé, comme le montre l'augmentation sensible du nombre de personnes cherchant à se faire traiter. Sur le plan de la consommation, les plus grands marchés du monde du cannabis (Amérique duNord, Océanie et Europe occidentale), de la cocaïne (Amérique du Nord et certaines régions
d'Europe occidentale) et des opiacés (Asie du Sud Est et Europe occidentale) sont tous stables ou en
régression. Les données sont moins claires concernant les pays en développement. Drogues de synthèse: la consommation et la production pourraient augmenter dans les pays en développementLes informations sur les drogues de synthèse
- amphétamines, méthamphétamine et "ecstasy"- sont mitigées. La consommation s'est stabilisée dans les pays développés. En revanche, dans les
- 2 - pays en développement, on craint une augmentation probable de la production et de la consommation, même si les données sont limitées.Ce qui autrefois était une industrie artisanale est devenu une activité économique importante.
En Asie du Sud-Est, en particulier dans la sous-région du Grand Mékong, des superlaboratoires produisent des quantités massives de comprimés de méthamphétamine, de "crystal meth" et d'autres substances comme la kétamine. Certains pays de l'Union européenne sont les principaux fournisseurs d'"ecstasy"; le Canada est devenu une grande plaque tournante du trafic de "meth" et d'"ecstasy". La consommation de Captagon (amphétamine) est montée en flèche au Proche et au Moyen-Orient. En Arabie saoudite, les saisies des substances de type amphétamine représentaient en 2007
un tiers des quantités saisies dans le monde, soit plus que les saisies totales opérées en Chine et aux
États-Unis.
Les itinéraires de trafic changent
"Le marché mondial de la cocaïne, qui représente 50 milliards de dollars des États-Unis, vit
des mouvements sismiques", a déclaré M. Costa. "Les degrés de pureté et les saisies (dans les
principaux pays consommateurs) diminuent, les prix sont élevés et les modes de consommationchangent sans arrêt. Cette situation pourrait expliquer l'épouvantable flambée de violence dans des
pays comme le Mexique. En Amérique centrale, les cartels se battent pour un marché qui s'effrite",
a-t-il poursuivi. En Afrique de l'Ouest, la diminution des saisies semble refléter des flux de cocaïne moinsimportants après cinq années de croissance rapide. "Les efforts menés à l'échelle internationale
portent leurs fruits", a dit M. Costa. Cependant, la violence et l'instabilité politique liées à la drogue
continuent, en particulier en Guinée-Bissau. "Tant qu'il y aura une demande de drogues, les paysfaibles seront toujours la cible des trafiquants. Si l'Europe veut réellement aider l'Afrique, elle
devrait réduire son appétit pour la cocaïne", a déclaré le chef de la lutte antidrogue de l'ONU.
Si 41 % de la cocaïne produite dans le monde est saisie (essentiellement en Colombie), seulun cinquième (19 %) de l'ensemble des opiacés est intercepté. L'Iran (République islamique d') et
le Pakistan sont les pays les plus durement touchés par le trafic de drogues et sont également les
pays où sont saisies les plus grandes quantités d'opiacés (opium, morphine et héroïne). En 2007, la
République islamique d'Iran a saisi 84 % de l'opium produit dans le monde et 28 % de l'ensemblede l'héroïne. Le Pakistan a occupé le deuxième rang pour les saisies d'héroïne (et de morphine).
Pour améliorer l'échange d'informations et mener des opérations conjointes de lutte contre les
stupéfiants, l'UNODC a élaboré une Initiative triangulaire entre l'Afghanistan, l'Iran (Républiqueislamique d') et le Pakistan. "Plus on saisit d'opium dans les pays voisins de l'Afghanistan, moins il
y aura d'héroïne dans les rues d'Europe. Inversement, moins on consommera d'héroïne à l'Ouest,
plus il y aura de stabilité en Asie occidentale," a indiqué M. Costa, qui portera ce message à une
conférence ministérielle de concertation du G8 sur l'Afghanistan à Trieste le 27 juin. - 3 - Pas de compromis entre santé publique et sécurité publiqueLe Rapport accorde une attention particulière à l'impact de la criminalité liée à la drogue et
aux mesures à prendre pour y remédier.Dans la préface, M. Costa fait le tour du débat sur l'abolition des contrôles. Il reconnaît que
les contrôles ont généré un grand marché noir illicite qui a pris des proportions macroéconomiques
et qui use de la violence et de la corruption. Il met toutefois en garde contre la légalisation des
drogues comme moyen d'écarter cette menace - comme l'ont suggéré certains - et affirme que ce
serait là "une erreur historique". "Les drogues illicites présentent un danger pour la santé. C'est
pourquoi elles sont placées sous contrôle et doivent le rester", a dit le Chef de l'UNODC. "Les partisans de la légalisation ne peuvent avoir le beurre et l'argent du beurre", a ditM. Costa. "Un marché libre des drogues pourrait déclencher une épidémie, tandis qu'un marché
réglementé pourrait donner naissance à un marché noir parallèle. La légalisation n'est pas une
baguette magique qui pourrait mettre fin aux mafias et à l'abus de drogues", a déclaré M. Costa.
"Les sociétés ne devraient pas être amenées à choisir entre protection de la santé publique et
sécurité publique: elles peuvent, et devraient choisir les deux", a-t-il ajouté. C'est pourquoi il a
demandé que davantage de ressources soient affectées à la prévention et au traitement de la
toxicomanie et que des mesures plus énergiques soient prises pour lutter contre la criminalité liée à
la drogue. Le Directeur de l'Office of National Drug Control Policy des États-Unis, Gil Kerlikowske, a déclaré: "Le Rapport mondial sur les drogues 2009 montre que la drogue est un problème quitouche tous les pays. Nous avons tous la responsabilité de lutter contre l'abus de drogues dans nos
sociétés. Sur le plan international, l'Administration Obama s'est engagée à renforcer les initiatives
de réduction de la demande pour que tous ceux qui se battent pour vaincre leur dépendance, enparticulier dans les pays en développement, puissent avoir accès à des programmes de traitement
efficaces. Nous avons beaucoup appris de la maladie qu'est la toxicomanie et nous savons que letraitement, ça marche. Grâce à des mesures systématiques et efficaces de répression, d'éducation,
de prévention et de traitement, nous parviendrons à réduire la consommation de drogues illicites et
ses conséquences dévastatrices".Comment mieux lutter contre la drogue?
Le Rapport présente un certain nombre de recommandations pour mieux lutter contre la drogue. Premièrement, la toxicomanie devrait être traitée comme une maladie. "Il faut apporter unsoutien médical à ceux qui se droguent, et non les sanctionner", a indiqué M. Costa. Il a lancé un
appel en faveur d'un accès universel au traitement de la toxicomanie . Les personnes ayant de gravesproblèmes de drogues étant à l'origine de l'essentiel de la demande de drogues, l'une des meilleures
façons de réduire le marché est de faire face à cette situation. Deuxièmement, M. Costa a demandé que soit mis "fin à la tragédie des zones de non-droitdans les villes". De la même manière que les cultures illicites se trouvent principalement dans des
régions qui échappent au contrôle des gouvernements, les drogues sont essentiellement vendues
dans des quartiers où l'ordre public n'est plus assuré. "Des possibilités en matière de logement,
- 4 - d'emploi, d'éducation, de services publics et de loisirs peuvent rendre les communautés moins vulnérables aux drogues et à la criminalité", a déclaré M. Costa. Troisièmement, les gouvernements doivent appliquer les accords internationaux de luttecontre la criminalité organisée. Les instruments internationaux de lutte contre la criminalité tels que
les Conventions des Nations Unies contre la criminalité organisée et la corruption ne sont pasappliqués. "Ainsi, trop d'États se heurtent à des problèmes de criminalité qu'ils ont eux-mêmes
favorisés", a déclaré le Chef de l'UNODC. En particulier, a-t-il ajouté, "les instruments existants
pour combattre le blanchiment d'argent et la cybercriminalité sont inadaptés".Quatrièmement, il a demandé une plus grande efficacité des activités de détection et de
répression. Il a encouragé la police à cibler son action davantage sur le petit nombre de criminels
violents, connus et de haut vol que sur les nombreux petits délinquants. Dans certains pays, on compte cinq personnes emprisonnées pour toxicomanie contre une seule pour trafic de drogues."C'est là un gaspillage d'argent pour la police et un gaspillage de vies pour ceux qui sont jetés en
prison. Il faut s'attaquer aux gros poissons plutôt qu'au menu fretin", a déclaré M. Costa.Pour améliorer la transparence et la qualité des données sur les drogues, l'UNODC a, dans le
Rapport mondial sur les drogues de cette année, présenté des fourchettes d'évaluation. Pour de
nombreuses régions et pour certaines drogues (comme les STA et le cannabis), les fourchettes sont relativement larges car les informations sont plus limitées. "Je demande instamment aux gouvernements de recueillir davantage d'informations. Cela permettra de dresser un tableau plusclair des tendances en matière de drogues et, partant, de contribuer à mieux lutter contre ce fléau", a
dit M. Costa. Pour les producteurs de télévision, des montages B-roll sont disponibles. Des images fixes sont disponibles pour les journaux. On trouvera de plus amples informations sur le Rapport mondial sur les drogues 2009 à l'adresse www.UNODC.org L'UNODC dirige la Campagne mondiale contre les drogues 2009 destinée à faire mieuxconnaître l'énorme problème que la drogue pose pour la société et surtout pour les jeunes. Cette
campagne cherche à mobiliser les populations pour qu'elles réagissent face à l'abus et au trafic de
drogues et encourage les jeunes à penser d'abord à leur santé et à ne pas prendre de drogues
(http://www.unodc.org/drugs/).Contacts:
Walter Kemp, Porte-parole, UNODC (+43 699 1459 5629), walter.kemp@unodc.org Marshall Hoffman, (+1 703) 533 3535, (+1 703) 801 8602Ben Harel, (+1 703) 533 3535, (+1 781) 540 9437
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