[PDF] Musique de films : napoléon… Coppola… et les autres





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Séquence 1 : La musique de film

John Williams est un. . et_______________ américain





Les Choristes French

musique qui tente de transmettre un peu d'amour et d'espoir à ses élèves perturbés. Cependant



Principles of Copyright Law – Cases and Materials

[The plaintiff Norowzian shot a short film called “Joy” on a building rooftop assemblage original d'éléments connus en eux-mêmes qui révèle l'activité ...



La musique est beaucoup plus riche que la parole

Vladimir Cosma est l'un des plus grands compositeurs de musique de films avant même qu'il devienne le compositeur célèbre de la musique du film Les.



Musique Cinéma

en cause pour le célébrissime thème associé au personnage il est surtout connu comme le compositeur des musiques de James Bond (11 films dont les premiers) 



Musique de films : napoléon… Coppola… et les autres

Compte rendu de [Musique de films : napoléon… film de 1927 avec des bouts et fragments de copies ... Néanmoins Napoléon a connu



Colloque « Musique et camps de concentration »

Phénomène aujourd'hui largement connu l'existence et la place de la Muntok and Belalau



La musique de film : introduction à létude des attentes musico

spectateur sont traitées dans la littérature sur la musique de film peut aussi légitimer notre travail. Notre sujet est connu mais pas analysé en détails.

  • Amélie Poulain : Comptine d'un Autre été - Yann Tiersen

    ?? Jouer la Comptine d’un autre été d’Amélie Poulain au piano seul

  • La Liste de Schindler - John Williams

    ?? Jouer la musique de La Liste de Schindler au piano avec orchestre

  • La Leçon de Piano : “The Heart Asks Pleasure First” - Michael Nyman

    ?? Jouer “The Heart Asks Pleasure First” de la Leçon de Piano au piano seul

  • Le Château Ambulant : “Le Manège de La Vie” - Joe Hisaishi

    ?? Jouer le Thème du Château ambulant au piano seul

  • Pirates Des Caraïbes - Hans Zimmer

    ?? Jouer la musique de Pirates des Caraïbes au piano avec orchestre

  • Titanic : Thème - James Horner

    ?? Jouer le Thème de Titanic au piano avec orchestre

  • Twilight : “River Flows in You” - Yiruma

    ?? Jouer “River Flows in You” de Twilight au piano seul

  • Orgueil et Préjugés : “Dawn” - Dario Marianelli

    ?? Jouer “Dawn” de Orgueil et Préjugés au piano seul

Quels sont les plus belles musiques de film ?

Léger et aérien, il trouve parfaitement sa place au cœur de notre sélection des plus belles musiques de film. « River Flows in You » est souvent confondue avec « Bella's Lullaby », une autre célèbre pièce pour piano de la bande son de Twilight écrite par le compositeur Carter Burwell. Cependant, les deux morceaux figurent bien sur l’album.

Qui sont les compositeurs de musiques de film les plus prometteurs de son temps ?

A cette occasion, il confirme qu’il est l’un des compositeurs de musiques de film les plus prometteurs de son temps en écrivant une partition romantique sous la forme d’un grand Concerto pour piano. C’est le réalisateur Paul Webster qui organisa la rencontre entre son homologue Joe Wright et le compositeur italien Dario Marianelli.

Quel est le nombre de musiques de films à écouter?

100 musiques de films à écouter ! - Dossier Cinéma - AlloCiné 100 musiques de films à écouter ! 100 musiques de films à écouter !

Qui a écrit 40 musiques de films incontournables ?

40 musiques de films incontournables 01:45 Auteur : Ennio Morricone / Compositeurs : Ennio Morricone 33 Roméo et Juliette Musique De Film 40 musiques de films incontournables 02:02

Tous droits r€serv€s La revue S€quences Inc., 1982 Ce document est prot€g€ par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. l'Universit€ de Montr€al, l'Universit€ Laval et l'Universit€ du Qu€bec " Montr€al. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche.

https://www.erudit.org/fr/Document g€n€r€ le 7 oct. 2023 23:13S€quencesLa revue de cin€maMusique de filmsNapol€onCoppolaet les autresFran...ois Vallerand

Vallerand, F. (1982). Compte rendu de [Musique de films : napol€on†

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NAPOLÉON..

COPPOLA... ET LES AUTRES

L e favoritism e e t l e népotism

e n'ont jamais été garants de la réussite ou de la qualité d'une entreprise, et bien des occasions qui s'annonçaient fécondes et prometteuses ont été irrémédiablement gâchées par ces fâcheuses tendances. Il semble d'ores et déjà que la réédition du monumental Napoléon d'Abel Gance soit l'une de ces occasions perdues par la façon désinvolte dont on a réalisé l'un de ses éléments les plus importants, la musique.

O n sai t ave c que l soi n e t quell e patienc e l'his

torien du cinéma Kevin Brownlow a reconstitué ce film de 1927 avec des bouts et fragments de copies épars trouvés çà et là dans les cinémathèques du monde entier pour réussir à réaliser la version la plus complète qui ait jamais existé de ce film. Mais l'entreprise était coûteuse, et c'est ici qu'intervint Francis Ford Coppola qui, impressionné par le caractère épique de Napoléon, résolut de s'occuper de sa distribution. Il faut admettre que Coppola eut une idée géniale: il décida qu'on présenterait le film dans son intégralité, - près de quatre heures et demie - , accompagné d'un orchestre symphonique qui jouerait en direct pendant la projection une partition originale écrite expressément pour lui, tel qu'on l'avait fait en 1927. On oublie en effet volontiers que c'était là, à l'époque du muet, une pratique courante et que nombreuses étaient les salles de cinéma des grandes villes qui disposaient d'un orchesre complet pour exécuter une musique d'accompagnement écrite dans ce but précis. Ainsi, faire revivre à notre époque ce qu'était une séance de cinéma grand style des années 20, il y avait de quoi rêver!

Hélas

! l'idée de génie tourna court cependant quand Francis Coppola jugea bon, comme il l'avait déjà fait pour divers films qu'il avait réalisés ou produits, (The Godfather Part II, Apocalypse Now, The Black Stallion), de demander à son père, Carmine Coppola, de composer les quatre heures et demie de musique nécessaires au film.

4 4 Cett e décisio n fu t pris e e n dépi t d u fai t qu'i l exis

tait déjà de la musique écrite pour le même film. Quand Napoléon fut projeté pour la première fois à l'Opéra de Paris en 1927, il était accompagné par une partition originale d'Arthur Honegger. Celle-ci est demeurée inédite jusqu'à nos jours, - c'est Henry Verdun qui écrivit la musique de la réédition sonorisée de 1934 de Napoléon - , et pourtant, on a rapporté que la veuve d'Arthur Honegger proposa à Coppola de la mettre à sa disposition. Coppola refusa, tout comme il refusa de considérer la partition de Cari Davis, (le compositeur de la fabuleuse musique de The French Lieutenant's Woman), qui fut jouée lors de la première mondiale du film reconstruit à l'occasion du Festival du film de Londres, en 1980.

L e récen t enregistremen t d e CB S (B L 37230

) de la partition, écrite par Carmine Coppola pour Napoléon, nous fait malheureusement prendre conscience de la perte énorme que nous éprouvons en ne pouvant bénéficier de la musique d'Honegger, la seule qui finalement aurait pu conférer à toute cette entreprise de reconstitution et de sauvetage un sceau d'authenticité incontestable. À tout le moins, la partition de Cari Davis, qui est un compositeur autrement plus sérieux que Carmine Coppola, ne pouvait pas être inintéressante. Carmine Coppola aura beau se réfugier derrière le fait qu'il joua jadis dans les fosses d'orchestre des salles de cinéma du muet, et qu'il devint, par la suite, première flûte solo dans l'orchestre de la NBC sous la direction du célèbre Arturo Toscanini, ses états de service n'en font pas nécessairement un bon compositeur, voire un bon compositeur de musique de film.

Car disons-l e franchemen t e t san s ambages

, Napoléon de Carmine Coppola est une abomination sans nom pour laquelle il mérite d'être exilé à Sainte-Hélène! Hormis un thème d'amour qui tend vers un certain lyrisme poussif, le reste de ce dis-

SÊQUENCE

S 10 8

que nous présente une musique d'une platitude et d'une banalité déconcertantes, sans aucune idée thématique et musicale sérieuse, le tout présenté dans une orchestration maladive et tapageuse. Quant à l'interprétation que je qualifierais de débile, ce n'est pas le moindre défaut de cet enregistrement. Je ne sais pour quelle obscure raison on a eu l'idée saugrenue de demander à l'orchestre Philharmonique de Milan d'interpréter cette oeuvre " immortelle »? La qualité de jeu de ces musiciens défie toute analyse tellement elle est médiocre; quant à moi, cette partition aurait pu avoir été enregistrée par la fanfare des Zouaves de Coaticook que le résultat aurait sans doute été meilleur... Il faut dire tout de même, à la défense des Milanais, qu'ils n'avaient pas grand'chose de passionnant à jouer, et que la direction d'orchestre du compositeur était d'un amateurisme affligeant. Mais alors, que dire de la prise de son, d'une sécheresse et d'un manque de dynamisme flagrants. C'est à croire que l'on a volontairement accumulé les bévues sur la musique de ce film, pourtant un élément d'une importance capitale quand il s'agit d'un film muet de cette durée et de ce calibre, et sur lequel, au contraire, on aurait dû apporter tant d'attention et de soin.

Néanmoins

Napoléo

n

a connu, l'an dernier, un succès sans précédent à New York et il vient tout juste de commencer une tournée canadienne qui l'amènera à Montréal du 28 juin au 3 juillet, à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. J'avoue que je fondais beaucoup d'espoir sur la qualité de la partition musicale de Napoléon et que j'avais bien hâte de vivre cette expérience unique d'un visionnement d'un film muet avec musique exécutée en direct. L'enregistrement CBS vient de littéralement doucher mes attentes: je suis effondré devant tant de médiocrité... À vingt-cinq dollars le billet, l'idée d'entendre pendant quatre heures et demie les élucubra-tions de monsieur Coppola, même devant un soi-disant monument de l'histoire du cinéma mondial, m'est presque insupportable. J'ai déjà dit qu'une mauvaise musique ne pouvait pas détruire un bon film, sans doute encore moins un chef-d'oeuvre, quoique, sait-on jamais? Il me faudra donc me résoudre et en faire l'expérience avec Napoléon. Toutefois, on ne pourra m'empêcher d'être frustré à l'idée de ce que cette reconstitution aurait pu être. Occasion unique d'une vie, elle a été bêtement manquée pour des raisons bassement commerciales... et familiales.

I l sembl e qu e l a cris e

économiqu

e touch e d

e plus en plus l'industrie du disque, car de moins en moins d'enregistrements ont été publiés ces derniers temps. La musique de film en fait les frais évidemment. Toutefois, j'aimerais relever la parution toute récente du très bel enregistrement de la touchante partition que le compositeur anglais Geoffrey Bur-gon (encore un inconnu qui fera sûrement son chemin) a composée pour l'impressionante et superbe série télévisée britannique Brideshead Revisited (Chrysalis CHR 1367). Des échos de Purcell et de Vivaldi s'égarent dans cette musique calme et sereine, mais d'où n'est pas absente une pointe de lyrisme inquiet et nostalgique. Un beau disque donc mais qui aurait pu être mieux gravé...

J e voudrai s auss i mentionne r rapidemen t le

s rééditions de quelques enregistrements que l'on pourrait qualifier d'historiques et qui faisaient l'objet de transactions acharnées parmi les collectionneurs. La maison Citadel vient en effet de ressortir la musique de Mario Nascimbene pour Barabbas, étrange partition qui se voulait révolutionnaire à l'époque, en 1962, mais qui conserve encore un pouvoir envoûtant grâce aux bizarres variations sur le thème grégorien de l'" ite missa est » qui est à la base de toute l'oeuvre (CT 7034). Il est à noter que c'est Ennio Morricone qui réalisa les orchestrations de la partition et à qui l'on doit cet étrange rythme de boléro sous le thème principal, une section qui, soit dit en passant, n'apparaît pas dans le film. Chez Citadel toujours, on a réédité deux oeuvres d'Elmer Bernstein, Walk on the Wild Side (CT 7028), jazz symphonique typique de cette période du compositeur (1962), et surtout To Kill a Mockingbird (CT 7029), sans conteste le chef-d'oeuvre de toute la production de Bernstein. Toute en finesse, à l'émotion à fleur de peau, cette musique transcrit admirablement les émois de deux jeunes enfants confrontés aux dures réalités du racisme et de la haine dans le sud des États-Unis. Cette réédition souffre toutefois d'un très grave défaut technique: un souffle assourdissant présent tout au long du disque. De toute évidence, les rubans originaux qui ont servi à ce repiquage ont été très abîmés par le temps. Notons qu'il existe un autre enregistrement de la même oeuvre, présentant la partition dans son intégralité, et réalisé par Elmer Bernstein lui-même, il y a quelques années, pour son club, la Elmer Bernstein Filmmusic Collection (FMC-7), mais malheureusement quasi introuvable aujourd'hui.

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