ACTIVITÉ DE DÉPISTAGE ET DE DIAGNOSTIC DU VIH ET DES IST
UNE ACTIVITÉ DE DÉPISTAGE DU VIH TOUJOURS PLUS de biologie médicale pour 1 000 habitants
SURVEILLANCE DE LINFECTION À VIH (DÉPISTAGE ET
28 mar 2019 La surveillance de l'activité de dépistage du VIH en France ... La déclaration obligatoire de l'infection à VIH a été mise en place en 2003.
Activité de dépistage du VIH et circonstances de découverte de l
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Rapport Narratif de la Riposte au VIH/sida Vue densemble LAlgérie
Déclaration d'Alger sur l'accélération du dépistage du VIH au Moyen-Orient et notification du VIH/sida le nombre de PVVIH est estimé à 11 300 personnes ...
Surveillance du VIH/sida et des IST (syphilis et gonocoque) en
donnés par Santé publique France : la notification obligatoire des cas d'infection par le VIH et du Sida le suivi des activités de dépistage du VIH par les
Bulletin de santé publique Mayotte
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/50337/1087091
La prévention et la prise en charge du VIH
18 jun 2019 C - Une activité hospitalière réalisée en ambulatoire . ... (source : déclaration obligatoire du VIH données corrigées au 30/06/2017
RAPPORT DACTIVITÉ SUR LA RIPOSTE AU SIDA DANS LE
Merci d'utiliser le site du Rapport d'activité sur la riposte au sida 1.13 Dépistage du VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes.
Surveillance des IST et du VIH / Sida en Rhône-Alpes : données 2014
les données de dépistage du VIH (réseau LaboVIH) et les données issues de la notification obligatoire des cas d'infection par le VIH et des cas de Sida.
Bulletin de santé publique VIH IST. Décembre 2020.
1 dic 2020 base obligatoire ou volontaire ou sont issues du système ... En conclusion
Notification obligatoire du VIH/sida et activité de dépistage
• Motif de dépistage: 35 suite à une exposition récente au VIH et 35 en raison de signes cliniques • Partenaire probable de contamination: environ 40 de partenaires occasionnels 20 d’anonymes et 20 de stables (15 de non renseigné) Chez les homosexuels à partenaire stable : séropositivité du partenaire connue
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avec tous les acteurs et actrices de la lutte contre le VIH/sida car nous connaissons la force de notre mobilisation commune L’un d’entre eux va cependant terriblement nous manquer sur ce chemin mais il continuera de nous inspirer dans nos combats comme il l’a fait de son vivant Ce rapport annuel 2020 lui est dédié
BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Occitanie | | Novembre 2016 | Page 1
Nous avons le plaisir de vous présenter les premières don- -Sida, et celle des IST (gonococies et syphilis), actualisées au 31 décembre 2014, Ces données sont issues des systèmes de surveillance coor- donnés par Santé publique France : la notification obligatoire vi des activités de dépistage du VIH par les laboratoires (LaboVIH), et le ré- seau de surveillance des infections sexuellement transmis- sibles (RésIST), animé au niveau régional par la Cire. aussi dei- veau infra-régional, celles-ci étant susceptibles m- pact sur les dispositifs de prévention et de santé publique. Ainsi, on observe pour le VIH une stabilisation du taux de dé- couverte de séropositivité après une forte hausse en 2011 observe une légère baisse en ex Midi-Pyrénées. Fait impor- tant, les hommes ayant des rapports avec des hommes (HSH) représentent une forte proportion des personnes décla- rées pour une infection VIH (65% en Languedoc-Roussillon,55% en Midi-Pyrénées - 74% dans le département de
- pour 44% en moyenne au niveau national). Depuis 2011 en Occitanie, le nombre de cas de syphilis et de gonococcies augmente aussi avec 180 cas de syphilis et 220 cas de gonococcies signalés dans le cadre du réseau " Ré- sIST » en 2014. La syphilis concerne très majoritairement les HSH dans les deux ex-régions (plus de 80% des cas). recul de VIH est 200 fois plus importante que dans le reste de la popu- lation, de mobiliser l'ensemble des méthodes de prévention dans une logique de prévention combinée et diversifiée avec : le préservatif, le dépistage régulier (dont les outils évoluent), sur la Prep (prophylaxie pré-t plus discutée. u- près des publics des centres de dépistage en Languedoc- SFLS (Société française de lutte contre le sida), en octobre consommation de substances psychoactives et utilisation du préservatif (http://sfls.aei.fr/formations/journees-nationales/montpellier-2016/Presentations-Journees-SFLS-2016).
Dans les semaines qui viennent, les premiers résultats dePREVAGAY auprès des HSH dans 5 villes (Nice,
Montpellier, Lyon, Lille et Paris) permettront de mieux con- afé- vention.Vers un Paris
sans sida » (http://vih.org/20160201/initiative-paris-sans-sida-paris-en- route-objectifs-lonusida/137733) est un exemple pour prendre en IST, définir les priorités les plus adaptées à un contrôle de ie, avec les acteurs de la lutte, dans les années à ve- nir. Nous tenons à remercier encore l'ensemble des déclarants participant à ces réseaux de surveillance, dont la mobilisationDr Cyril Rousseau, Cire Occitanie
CELLULE G·H17(59(17H21
EN REGION OCCITANIE
Bulletin de veille sanitaire Données au 31 Décembre 2014Page 1 | Editorial |
Page 2 | Organisation de la surveillance des infections à VIH et SIDA | Page 3 | Données de surveillance du VIH et des cas de SIDA en Occita- nie |Page 7
Page 8
Page 10 Données de surveillance des gonococcies récentes en Occita- nie Page 13 e-DO : Santé publique France dématérialise la déclaration obli- gatoire du VIH-sidaEditorial
Surveillance du VIH/sida et des IST (syphilis et gonocoque) enOccitanie
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INTRODUCTION
Cet article présente pour la première fois les données et de SIDA dans la nouvelle grande région Occitanie pour 2014.Le recueil des données a été coordonné par Santé publique France et est issu de deux systèmes de surveillance : 1.
VIH " LaboVIH » dans les laboratoires,
2. La notification obligatoire des diagnost
VIH à laquelle est couplée la surveillance virologique du VIH réalisée par le Centre national de référence (CNR) du VIH.LES SYSTEMES DE SURVEILLANCE
La surveillance de l'activité de dépistage du VIH dans les la- boratoires (LaboVIH) repose sur le recueil auprès de l'en- semble des laboratoires, en ville et à l'hôpital, du nombre de personnes testées pour le VIH, et du nombre de personnes confirmées positives pour la première fois pour le labora- toire nationale et régionale du nombre de sérologies VIH réalisées et de séro- formulaire papier ou le lien pour répondre en ligne à La- boVIH sont disponibles auprès de Santé Publique France. Depuis avril 2016, les biologistes peuvent également utiliser -DO pour participerà LaboVIH.
La est ré-
alisée à la fois par le biologiste et par le clinicien pour toute personne dont la sérologie est confirmée positive pour la première fois pour le laboratoire. La notification obligatoire du Sida est réalisée par le clinicien pour tout nouveau dia- gnostic de Sida. Ces deux notifications sont anonymisées à la source par le déclarant, elles comportent en guise d'iden- tifiant un code d'anonymat, calculé au moyen d'un logiciel fourni par Santé publique France. Les objectifs de la DO-VIH sont de connaitre le nombre et les caractéristiques des per- sonnes découvrant leur séropositivité VIH, de suivre leur VIH. Les objectifs de la DO-sida sont de connaître le nombre et les caractéristiques des personnes atteignant le et/ou à un traitement antirétroviral. Jusqu'en avril 2016, les notifications obligatoires étaient réalisées à partir de formu- laires papier, fournis sur demande aux déclarants (biolo- e- puis avril 2016, la notification doit s'effectuer en ligne sur www.e-do.fr. Les anciens formulaires papier en stock peu- vent être utilisés jusqu'en fin 2016. A épuisement des stocks ou au plus tard en janvier 2017, les déclarants qui ne par- viendraient pas à déclarer en ligne pourront obtenir des for- mulaires sous forme de PDF à imprimer en s'adressant au support téléphonique e-DO Info Service. Plus d'information sur le site web de Santé publique France. La surveillance virologique est couplée à la notification obligatoire du VIH. Elle est réalisée par le CNR du VIH qui effectue des tests complémentaires à partir d'un échantillon de sérum sur buvard, déposé par le biologiste à partir du fond de tube ayant permis le diagnostic VIH. Elle ne con- le patient comme pour le biologiste.NOTA :
- Les analyses des diagnostics VIH et Sida présentées ici sont issues de la déclaration obligatoire des découvertes de séropositivité et des diagnostics de Sida notifiés 4. - -à-dire limitées aux données parvenues à Santé publique France à cette date. Les données brutes permettent de décrire les ca- ractéristiques des cas. - Ces données peuvent être corrigées pour tenir compte des délais de déclaration, de la sous-déclaration, et des valeurs manquantes sur les déclarations reçues. Pour connaitre le nombre annuel de diagnostics, pour analyser les évolutions au cours du temps ou pour comparer les régions en rapportant les cas à la population, il est né- cessaire d'utiliser des données corrigées. résidant dans la nouvelle région Occitanie. Dans les don- nées corrigées, la région de déclaration est utilisée par défaut lorsque la région de domicile Le nombre corrigé de diagnostics de sida en région Midi- jour insuffisante et/ou les délais de déclaration très variables. | Surveillance des infections à VIH et SIDA en Occitanie - Données actualisées au 31/12/2014 |DONNEES NATIONALES
- Le nombre total de sérologies VIH, réalisées en France en 2014, est estimé à partir des laboratoires participant au réseau LaboVIH, à 5,27 millions (IC95% : [5,20-5,33]), soit 80 sérologies par 1000 habitants. Après une augmen- tation en 2011, ce nombre reste stable ces dernières 4 années. - 11 000 sérologies (IC95% : [10 435 11 592]) ont été confirmées positives en 2014, soit 167 sérologies posi- - En 2014, en France, on estime à 6600 les personnes qui ont découvert leur séropositivité. Ce nombre est stable depuis 2007. - Les deux groupes les plus touchés restent les hommes ayant des rapports avec des hommes (HSH) et les hété- des découvertes de séropositivité en 2014). Depuis 2011, u- vertes en 2014). - Environ 1220 personnes ont été diagnostiquées au stade de sida en 2014.BVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Occitanie | | Novembre 2016 | Page 3
RESULTATS
1. Activité de dépistage VIH
En 2014, près de 440 300 sérologies ont été réalisées dans la nouvelle grande région Occitanie: 225 665 en LR (82/1000 habitants) et 214 635 en MP (72/1000 habitants) (Figure 1). Dans les deux régions, ces données sont stables depuis 2003. Les sérologies confirmées positives étaient au nombre de659 : 340 en LR et 319 en MP.
Pour 1000 tests effectués, 1,5 sérologies étaient positives dans les deux régions. Ces chiffres sont stables depuis 2011.| Figure 1 | Nombre de sérologies VIH effectuées pour 1000 habitants (LaboVIH), par région en France en 2014
Source : InVS, LaboVIH 2014
2. Déclaration obligatoire de
2.1 EVOLUTION DES DECOUVERTES DE SEROPOSITI-
VITE VIH EN OCCITANIE
En 2014, 192 personnes ont découvert leur séropositivité dans la région LR, soit un taux de 70 habitants (IC95% :[4495]). Ce chiffre est stable depuis 2011, après une forte augmen- tation en 2011 mais reste inférieur au taux national (100 par : [92107]), [1,2]. En MP, 183 personnes (IC95% :[127238]) ont découvert leur séropositivité dans la région, soit un taux de 62 cas par million ure 2). Source : InVS, données DO VIH au 31/12/2014 corrigées pour les délais, la sous déclaration et les valeurs manquantes2.2 CARACTERISTIQUES CLINIQUES ET SOCIODEMO-
GRAPHIQUES
Les hommes représentent la majorité des nouvelles décou- vertes de séropositivité sur la période 2003-2014. En 2014, les proportions dans les deux régions sont nettement diffé- rentes en MP (Tableau 1). Dans les deux régions, les séropositivités VIH découvertes -49 ans. Sur la période 2003-2014 dans les deux régions, la majorité des personnes découvrant leur séropositivité étaient nées en France. En 2014, les patients nés à étaient 0 50100
150
200
250
300
350
400
Nombre des cas de syphilis récentes déclarés IdF
Languedoc-Roussillon
Midi Pyrenees
| Surveillance des infections à VIH et SIDA en Occitanie - Données actualisées au 31/12/2014 | | Figure 2 | Nombre de découvertes de séropositivité par million habitants, par région en France en 2014 0 50100
150
200
250
300
350
400
Nombre des cas de syphilis récentes déclarés
IdFLanguedoc-Roussillon
Midi PyreneesAutres régions métropolitanes
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2.3 MODE DE CONTAMINATION
Les rapports homosexuels représentaient le mode de contami- nation le plus fréquent dans les deux régions en 2014 : 65% en LR et 55% en MP. En LR, après une augmentation sur la pé- riode 2008-2012, on observe une proportion stable à un haut niveau autour de 65% depuis 2 ans (Figures 3 et 4). Plaçant n tête des régions pour cette proportion, cette situation correspond à une épidémie particulièrement ac- tive chez les HSH de LR depuis plusieurs années. Si on consi- dère la France métropolitaine hors IDF, 50% des nouvelles noti- fications en 2014 concernent des patients contaminés par des rapports homosexuels (Tableau 1). | Figure 3 | Pourcentage des modes de contamination parmi les dé- couvertes de séropositivité en Occitanie, 2003-2014 | Figure 4 | Pourcentage des modes de contamination parmi les dé- couvertes de séropositivité en France métropolitaine,2003-2014
2.4 STADE CLINIQUE AU MOMENT DU DEPISTAGE
Le diagnostic précoce est défini comme la découverte de séro- positivité au stade de la primo-infection (PIV) ou avec un taux de CD4>500/mm3. Au contraire, le diagnostic est réalisé à un stade avancé si au moment du dépistage le patient présente un taux de CD4<200/mm3 ou sil est déjà un stade sida. En LR en 2014, 42% des malades dépistés étaient à un stade précoce de la maladie. Cette valeur a baissé par rapport à précédente (-6%), mais il est comparable à la période2008-2012.
En MP, après une diminution nette en 2013 (-10%), les cas à un stade avancé sont en augmentation (28%, +10%). Près de37% (-6%, 43% en 2013) des patients ont été dépistés préco-
cement, avec une diminution qui se poursuit depuis 2012. En France métropolitaine hors IDF, les taux de diagnostic pré- coce et à un stade avancé sont stables depuis 2008 : respecti- vement 39% et 26% en 2014 (Tableau 1).2.5 ORIGINE DES NOTIFICATIONS
Près de trois quarts des nouveaux cas ont été dépistés par des médecins hospitaliers en 2014 dans les deux régions. La mé- decine de ville contribue entre pour près de 20% des dépis- tages. Ces tendances sont légèrement inférieures aux taux re- trouvés en Métropole hors IDF. Caractéristiques cliniques et sociodémographiques desOccitanie, 2014
LR MP
Métropole
hors IDF 2014N=192 2014
N=183 2014
N=6584
Age (année)
15-24 11 14 11
25-49 67 71 69
>50 22 15 20 SexeHommes 92 76 69
Femmes 8 24 31
Pays naissance
France 83 63 52
Etranger 17 37 48
Mode de
contaminationHomosexuel 65 55 50
Hétérosexuel 34 44 47
Diagnostic
Précoce* 42 37 39
Stade avancé** 20 28 26
Médecins
De ville 21 16 30
Hospitaliers 79 84 71
*Diagnostic précoce : cd4<500/mm3 ou PIV au diagnostic **Diagnostic à un stade avancé : cd4<200/mm3 ou Sida au diagnosticBVS | Bulletin de veille sanitaire | CIRE Occitanie | | Novembre 2016 | Page 5
3. Diagnostic de sida
Le taux de cas de sida en LR en 2014 est de 8 par million es 2014 de la région MP ont un intervalle de confiance trop large, et estimerEn France métropolitaine
par IDF reste toujours la région avecélevée : 34 (Figure 5).
Compte tenu de la taille n-
nées sont à interpréter avec réserve.4. Conclusions
Au total,
années en région LR comme MP. gion LR, marquée par une augmentation depuis 2011 est suivie . Ce taux, corrigé pour la sous-déclaration et n2014 (IC95% :[44-95]).
En région MP, le taux de découverte de séropositivité VIH, cor- rigé pour la sous-déclaration et les délais de déclaration, :[92-107]), stable depuis plusieurs années. Parmi les nouvelles infections VIH découvertes en 2014, les rapports homosexuels représentent le mode de contamination le plus représenté. En LR la proportion des HSH est stable de- puis 4 ans entre 63 et 70%, cette proportion va- rie entre 51 et 62%. Ceci i- blage de la prévention auprès de ce sous-groupe de population, au sein duquel la transmission du VIH est très active, en tenant compte de cette dynamique territoriale. nationale Prévagay 2015, enquête comportementale de séroprévalence du VIH et des hépatites auprès des HSH fréquentant les lieux de convivialité gay à Montpellier et Nîmes devraient permettre de mieux apprécier . Cette enquête devraient aider à redéfinir des objectifs préventifs adaptés, qui tiennent compte de la diversification des options préventives, associant prophylaxie pré-exposition pour les sujets les plus à risque position au VIH. Si moins de 20% des patients nouvellement diagnostiqués à 37% en 2014 en MP, comparable à celui observé en métro- pole hors IDF (33%). Ce point est donc un élément notable de spécificité infra-régionale à prendre en compte dans la nouvelle région Occitanie, sans sous-é- n- gère a eu lieu depuis leur arrivée en France. La part des diagnostics à un stade avancé est plus faible en LR o- autotests) est de nature à améliorer cet indicateur. | Références bibliographiques | [1] InVS-VIH : 2015[2] InVS-données 2014 VIH : e/Depistage_DO_VIH+sida_23_11_2015.pdf | Figure 5 |
Evolution du taux
LR-MP, IDF et France métropolitaine, 2003-2014
0 10 20 3040
50
60
70
80
90
100
Nombre de diagnosticS de SIDA/milion
d'habitantsLRMPMétropole hors IDFFRANCEIDF
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Introduction
La surveillance des infections sexuellement transmissibles (IST) est coordonnée par Santé Publique France au niveau national.
logiques et comportementales des patients diagnostiqués. Cette surveillance repose sur des réseaux différents :1. ResIST, réseau de cliniciens volontaires qui signalent les cas de syphilis récente (primaire, secondaire et latente) et les cas de go-
quotesdbs_dbs32.pdfusesText_38[PDF] RECUEIL DE LEGISLATION. A N 109 9 novembre 2000. S o m m a i r e AIDE FINANCIERE DE L ETAT POUR ETUDES SUPERIEURES REGLEMENT D EXECUTION
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