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Les mises en garde des entreprises multinationales sur leurs bénéfices Ainsi la tendance au renforcement du rôle de ces entreprises dans ce classement.
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Le Japon est le 2ème pays d'accueil de centres de décision d'entreprises mondiales en comptant 320 sièges sociaux
Rapport sur linvestissement dans le monde 2017 (Vue densemble}
En 2016 les flux mondiaux d'investissement étranger direct ont baissé de 2 % dans les autres entreprises multinationales figurant au classement.
Ces quelques multinationales qui contrôlent notre alimentation
mondiaux sont aussi les plus importants ven- deurs de pesticides. Qui contrôle la production ? Les agriculteurs sont sous la pression des multinationales
Rapport sur linvestissement dans le monde 2019 Les zones
mondiales et régionales de l'investissement étranger direct ainsi que de Le classement 2018 des 100 premières entreprises multinationales confirme.
le classement des paradis fiscaux montre que les pays qui fixent
d'assistance aux multinationales afin de leur permettre de payer moins d'impôts. Cet indice montre comment les règles mondiales en matière d'impôt sur les
International Trade Statistics 2014
Classement des économies en fonction du commerce des marchandises 2013 de cette nouvelle manière de mesurer l'économie mondiale révèlent l'importance ...
Statistiques du commerce international 2013 / International Trade
Classement des économies en fonction du commerce des marchandises 2012 un chapitre sur le commerce dans les chaînes de valeur mondiales. Ces nouvelles.
Indice mondial de linnovation 2020
2 Sept 2020 Dans son classement annuel des économies mondiales du point de vue de ... des PME et des multinationales ainsi que des membres indirects
Palmarès des Universités mondiales ``Shanghai et les autres
3 Sept 2010 classement dit «de Shanghai» incitent à regarder de plus près comment fonctionne celui-ci. Reporter ses résultats sur une carte mondiale ...
Réindustrialisation et gouvernance des entreprises
multinationales françaises au niveau mondial À titre d’illustration (graphique 1) on trouve 31 entreprises françaises dans le classement Fortune des 500 plus grandes entreprises mondiales en 2019 soit plus que l’Allemagne(29) le Royaume-Un(17) ou l’Italie(6) Leur nombre est par ailleurs
Quelle est la plus grande entreprise multinationale au monde?
Après le succès de l'émission d'actions en bourse, Saudi Aramco (Saudi Arabian Oil Company) est devenue l’entreprise la plus riche du monde. Le géant pétrolier a dépassé toutes les attentes avec les actions émises : son introduction en bourse est considérée comme l'une des plus réussies de l'histoire.
Qu'est-ce que le classement mondial des entreprises par secteur d'activité économique ?
Le classement mondial des entreprises par secteur d'activité économique regroupe les listes des plus grandes firmes transnationales par chiffre d'affaires. Ces listes sont principalement basées sur le Fortune Global 500 . Pour un classement tous secteurs confondus, voir l'article Classement mondial des plus grandes entreprises.
Quels sont les acteurs les plus puissants de la mondialisation ?
Les firmes multinationales (FMN) sont parmi les acteurs les plus puissants de l’espace mondial. Leur développement est à la fois la conséquence et l’un des moteurs essentiels de la mondialisation.
Quels sont les moteurs essentiels de la mondialisation ?
Leur développement est à la fois la conséquence et l’un des moteurs essentiels de la mondialisation. Face à leurs stratégies globales et à leurs modes de fonctionnement transnationaux, les États peinent à instaurer un système de gouvernance qui permettrait de pallier les conséquences sociales et environnementales des activités des FMN.
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www.wto.org/statistiquesINTRODUCTIONINTRODUCTIONIntroduction
1. Remerciements 2
2. Message du Directeur général 3
3. Comprendre les statistiques du commerce international 4
4. Membres et observateurs de l"OMC 6
Composition des régions géographiques 7
5. Classement des économies en fonction du commerce des marchandises, 2012 8
Classement des économies en fonction du commerce des services commerciaux, 2012 96. Abréviations et symboles 10
I. Évolution du commerce mondial
Faits saillants de l"évolution en 2012: vue d"ensemble 12Données commerciales:
Liste des tableaux 18
1. Aperçu général 19
2. Commerce par région 20
3. Principaux pays commerçants 24
4. Commerce bilatéral des principaux pays commerçants 28
5. Accords commerciaux régionaux 35
6. Pays les moins avancés 39
7. Statistiques des filiales étrangères 43II. Commerce des marchandises
Faits saillants de l"évolution en 2012: vue d"ensemble 48Données commerciales:
Liste des tableaux
571. Aperçu général 59
2. Produits agricoles 64
3. Combustibles et produits des industries extractives 75
4. Produits manufacturés 80III. Commerce des services commerciaux
Faits saillants de l"évolution en 2012: vue d"ensemble 134Données commerciales:
Liste des tableaux
1411. Aperçu général 143
2. Services de transport 144
3. Voyages 149
4. Autres services commerciaux 154
IV. Le commerce dans les
chaînes de valeur mondialesFaits saillants de l"évolution: vue d"ensemble 182Données commerciales:
Liste des tableaux
1881. Aperçu général 189
Composition, dé?nitions et méthodologie
1. Composition des groupements géographiques et économiques 194
2. Définitions et méthodologie 198
3. Notes concernant certaines économies 205
4. Sources statistiques 20811
47133
I ÉVOLUTION DU
COMMERCE MONDIAL
II COMMERCE DES
MARCHANDISES
III COMMERCE DES
SERVICES COMMERCIAUX
IV LE COMMERCE DANS LES
CHAÎNES DE VALEUR MONDIALES
1812
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www.wto.org/statistiques La présente publication a été établie sous la direction de Hubert Escaith, Chef statisticien et Andreas Maurer, Chef de la Section des statistiques du commerce international. La coordination et la production des tableaux, des graphiques et des cartes du rapport a été supervisée par Ninez Piezas Jerbi, avec l"assistance de Emma Vestesson et Caterina Calzolari. Les recherches statistiques, la compilation des données et l"établissement des estimations ont été effectués par Barbara d"Andrea Adrian, Christophe Degain, Florian Eberth, Antonella Liberatore, Joscelyn Magdeleine, Yann Marcus, Ninez Piezas Jerbi, Bekele Tamenu et Ying Yan. Le Secrétariat de l"OMC remercie les institutions multilatérales, nationales et privées qui ont fourni des statistiques. Les sources détaillées des statistiques utilisées dans le rapport sont présentées dans le chapitre IV sur les métadonnées (Compositions, définitions, et méthodologie). La Section des statistiques du commerce international tient également à remercier la Division de l"information et des relations extérieures (IERD) ainsi que la Division des services linguistiques, de la documentation et de la gestion de l"information (LDIMD), dont la collaboration a été essentielle pour la production de ce rapport. Nous exprimons en particulier notre reconnaissance à Anthony Martin, Serge Marin-Pache, Steve Cooper, et aux traducteurs français et espagnols pour la traduction du rapport dans les autres langues officielles de l"OMC. Enfin, nous voudrions remercier l"ensemble des utilisateurs des "Statistiques du commerce international» pour les suggestions et les observations qu"ils ont faites au sujet des éditions précédentes. Les informations en retour que nous recevons régulièrement nous permettent de leur fournir des données statistiques plus pertinentes. La présente publication est aussi disponible en ligne à l"adresse suivante: www.wto.org/its2013_f Pour de plus amples renseignements sur le contenu de ce rapport, ou si vous avez des observations ou des suggestions à faire pour l"améliorer, veuillez vous adresser à la Section des statistiques du commerce international (statistics@wto.org).Remerciements
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Les responsables politiques ont besoin
de statistiques ?ables pour pouvoir fonder leurs analyses sur des données factuelles.Cela est vrai pour l"élaboration de la
politique commerciale mais aussi pour les autres domaines des politiques publiques. L"OMC s"étant engagée à améliorer l"utilité des statistiques commerciales, nous avons ajouté, dans les Statistiques du commerce international de cette année, un chapitre sur le commerce dans les chaînes de valeur mondiales. Ces nouvelles données permettent de mesurer plus précisément la contribution exacte de chaque pays au commerce international. Le nouveau chapitre s"appuie sur les travaux menés en collaboration par l"OMC et l"Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et, en particulier, sur la nouvelle base de données OCDE OMC sur le commerce en valeur ajoutée, qui a été lancée au début de cette année. Les nouvelles données jettent un jour nouveau sur le commerce des biens et des services intermédiaires et permettent de recalculer les balances commerciales bilatérales en fonction du contenu national des exportations de chaque pays. S"il est possible maintenant de fournir des données et des analyses plus précises, c"est grâce aux efforts déployés en concertation avec d"autres organisations internationales, avec des organismes nationaux et avec des entreprises et des universités. Nous sommes convaincus que la mesure du commerce en valeur ajoutée contribue de façon importante à la qualité des renseignements relatifs au commerce et nous ferons tout notre possible pour continuer à augmenter ce corpus de données. Notre but est de fournir les renseignements statistiques les plus pertinents afin de permettre aux responsables politiques de répondre aux défis économiques qui se posent à la communauté internationale, aujourd"hui et demain. Un autre élément ajouté récemment aux données commerciales publiées par l"OMC estle Portail intégré d"information commerciale (I TIP), lancé en début d"année. Accessible
depuis le site internet de l"OMC, ce nouveau portail fournit des données actualisées sur les mesures tarifaires et non tarifaires prises par les Membres de l"OMC. Il contient des renseignements sur plus de 25 000 mesures liées au commerce et couvre à la fois les mesures affectant le commerce des marchandises et des services et les engagements pris par les Membres de l"OMC dans le cadre des accords commerciaux régionaux et des accessions. Ce portail vise à répondre aux besoins de ceux qui cherchent des renseignements détaillés ou succincts sur les mesures de politique commerciale. Enfin, j"ai le plaisir d"annoncer la parution d"une nouvelle publication statistique. En effet, nous publions cette année pour la première fois un rapport sur le commerce des services des Membres de l"OMC. Ce rapport, intitulé Profils des services, complétera nos trois autres rapports annuels sur les statistiques commerciales - Statistiques du commerce international, Profils tarifaires dans le monde et Profils commerciaux - et fournira des données sur les secteurs des transports, des télécommunications, des services financiers et des services d"assurance. Pour chaque secteur, ces données porteront notamment sur l"investissement, la taille du marché, la production et les échanges commerciaux. Nous espérons que ce nouvel outil statistique répondra à vos besoins.Roberto Azevêdo, Directeur général
Message du Directeur général
Roberto Azevêdo
"Notre but est de fournir les renseignements statistiques les plus pertinents a?n de permettre aux responsables politiques de répondre aux dé?s économiques qui se posent à la communauté internationale, aujourd"hui et demain.» 4Organisation mondiale du commerce
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www.wto.org/statistiquesComprendre les statistiques du
commerce internationalHubert Escaith, Chef statisticien de l"OMC
Les statistiques du commerce international
et les informations sur les politiques commerciales fournissent les données factuelles dont les entreprises et les responsables politiques ont besoin pour prendre des décisions. Elles sont également utiles aux analystes et aux chercheurs qui s"en servent pour donner des avis aux décideurs. C"est pourquoi il est extrêmement important d"établir des statistiques précises et de le faire en temps utile. Au moment où la mondialisation entraîne des changements rapides dans l"environnementéconomique et social, la qualité de ces
statistiques est plus importante que jamais. "Disposons-nous des bons chiffres?» - Tel était le thème du Forum mondial sur les statistiques du commerce organisé en février 2011 par la Division de statistique de l"ONU et Eurostat en collaboration avec l"OMC et la CNUCED. Cette question était posée dans le contexte de la fragmentation internationale croissante des chaînes de production, dans lesquelles la spécialisation des tâches (ou des fonctions de l"entreprise) fait souvent intervenir plusieurs pays. Le Forum a montré que l"avantage comparatif réside aujourd"hui dans les tâches spécialisées qui créent de nouvelles possibilités, en particulier pour les petites et moyennes économies. Or, cette nouvelle façon de commercer fait qu"il est plus difficile de répartir la valeur ajoutée entre les pays participant aux chaînes d"approvisionnement mondiales. Cela est encore compliqué par les considérations de propriété, par le commerce intra entreprises et par la question de propriété intellectuelle.Accroître la disponibilité des données
Face à cette nouvelle façon de commercer, l"OMC a lancé officiellement en 2012 l"initiative Fabriqué dans le monde. L"objectif était de créer un moyen d"échanger des renseignements sur les projets, les expériences et les approches pratiques concernant la mesure et l"analyse du commerce en termes de valeur ajoutée. En coopération avec beaucoup d"autres organismes internationaux, l"OCDE et l"OMC ont travaillé ensemble pour combiner les statistiques du commerce des marchandises et des services et l"analyse entrées sorties afin d"établir une base de données conjointe sur le commerce en valeur ajoutée. Les premiers résultats de cette initiativeconjointe ont été présentés en janvier 2013 puis ils ont été affinés lors de la mise à
jour de la base de données en mai 2013. Ces statistiques seront encore améliorées à mesure que l"on disposera de statistiques nationales officielles plus détaillées. "Nous avons besoin d"outils diversi?és pour mesurer et analyser le commerce mondial.» 5Organisation mondiale du commerce
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Pour en savoir plus:
Composition, définitions
et méthodologie Grâce à la disponibilité accrue de données sur le commerce en valeur ajoutée, les Statistiques du commerce international se sont enrichies, cette année, d"un chapitre sur le commerce dans les chaînes de valeur mondiales, qui offre un nouvel éclairage sur le commerce mondial et la croissance économique. Les nouvelles données montrent, par exemple, que le commerce des biens intermédiaires est tout aussi concentré entre quelques grands acteurs que l"ensemble du commerce. Les dix principaux importateurs et exportateurs de marchandises représentent près de60 pour cent du commerce mondial et environ la moitié du commerce mondial des
biens intermédiaires. Bon nombre des chaînes de valeur ou de production mondiales sont organisées par des entreprises multinationales. Un tiers des échanges des entreprises multinationales des États-Unis se font à l"intérieur de l"entreprise. Les nouveaux éclairages apportés par les données en valeur ajoutée modifient notre regard sur le commerce international. En moyenne, environ 26 pour cent de la valeur des exportations nationales proviennent d"éléments étrangers sous la forme d"intrants importés utilisés pour produire ces exportations. Il est à noter que la part des services dans le commerce mondial en valeur ajoutée représente plus du double de la part calculée suivant la méthode classique de la balance des paiements. Les nouvelles données figurant dans cette publication révèlent qui sont les principaux exportateurs et importateurs de biens intermédiaires, ce qui est un indicateur important de la fragmentation accrue des chaînes de production. On y trouvera aussi, pour la première fois, des données sur les flux commerciaux bruts ventilés selon leurs éléments de valeur ajoutée. Cela permet de comprendre comment les pays ajoutent de la valeur lorsque les marchandises franchissent les frontières à l"intérieur des chaînes de production. Le nouveau chapitre met aussi en lumière la contribution des différents secteurs à la valeur ajoutée des exportations, montrant ainsi l"interdépendance du secteur intérieur et du secteur extérieur. Enfin, ce nouveau chapitre donne des renseignements sur le niveau des échanges des filiales d"entreprises des États-Unis au sein de la société-mère multinationale. Des précisions sur la méthode employée pour le nouveau chapitre figurent dans le chapitre intitulé "Composition, définitions et méthodologie». 6Organisation mondiale du commerce
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Afrique du Sud
Albanie
Allemagne
Angola
Antigua-et-Barbuda
Arabie saoudite,
Royaume de
Argentine
Arménie
Australie
Autriche
Bahreïn, Royaume de
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