Bilan de la Division Culturelle 2020 exercice 2019
TOTAL DISPONIBLE À ATTRIBUER : 1 + 2 + 3 + 4 - 5 HAPPY HOURS 4TET (CHRISTOPHE MARGUET) ... CENTRE DES MUSIQUES TRADITIONNELLES RHÔNE ALPES.
[LE_MONDE
6 Sept 2000 qu'elles ont elles-mêmes enduré il y a parfois ... des 19 sièges de Beyrouth ont été dé- ... Herriot à la raffinerie de Feyzin
RAPPORT DE TRANSPARENCE 2020 EXERCICE 2019
6° Montant total de la rémunération versée au cours de l'exercice alors qu'elles n'ont été que de 60 646 euros en 2019. ... JAZZ S RHONE ALPES.
CHALON DANS LA RUE J-7
13 July 2022 elles n'ont pas été raflées ce 13 juillet 1942. « Elles ... dégagement de fumée au-dessus de la raffinerie de Feyzin
BNP
21 Sept 2021 nique ? ont été suspendus et l'un d'entre eux ... des mêmes minorités elle est dépourvue de ... raffinerie Elf de Feyzin
Untitled
31 Jan 2019 ment à l'X. Comme il a été dit elle ... sants au canal Rhin-Rhône ont des ... de dépollution donné
Communauté urbaine de Lyon
La solidarité intercommunale a donc été acceptée elle a Gauche du Rhône (1931)
![[LE_MONDE [LE_MONDE](https://pdfprof.com/Listes/20/13013-20monde.20000906.pdf.pdf.jpg)
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ANNÉE - N
o17298 - 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMERCREDI 6 SEPTEMBRE 2000
Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 10 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 48 FB ; Canada, 2,50 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 900 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Gabon, 900 F CFA ; Grande-Bre-tagne, 1£ ; Grèce, 500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 3000 L ;Luxembourg, 46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ;Pays-Bas, 3 FL ; Portugal CON., 270 PTE ; Réunion, 10 F ;Sénégal, 900 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,20 FS ;Tunisie, 1,4 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.
wwwàlemondeàfrLE MONDE INTERACTIF
aLe sport dans la course au progrès aLe troisième âge fleurit sur le WebInternational............. 2
France.......................... 6
Sociïtï........................ 10
Rïgions........................13
Carnet...........................14
Horizons......................15
Entreprises .................19
Communication........ 21Tableau de bord........ 23Aujourd'hui................ 27
Mïtïorologie / Jeux. 30
Culture ......................... 31
Guide culturel............ 33
Kiosque........................ 34
Abonnements............ 34
Radio-Tïlïvision....... 35
A l"ONU, une révolution tranquille
SwXbO]wSbaprspsonparriveppla
t-tepdeplEONUxpenpj((DxpKo®p0nnan tendaientpdepluipuneprvisionprapide etpspectaculairepdeplEorganisation quexppsonpsensxp" la r•forme est une •volution et non pas une r•volu- tion »âpIlpdcrivaitpsapvisionppourplesNationspuniespdupXXI
e sicle )plEorô ganisationpdevaitp-tre" un pontentre la soci•t• civile et les gouverne- ments »âpLespUtatspmembrespsont premirepphrasepdeplap+hartexpil parlaitpdepsonpintentionpdE" ouvrir les portes de l'organisation aux peuples des Nations unies »xpauxporô ganisationspnonpgouvernementales etxpsurtoutxpaupsecteurpprivâpLes unppapepsculierxpsapvisionpmorale dupmondepop" l'individu est au centre de tout » etpoplapsocitpciô vilepjouepunprþle" d•sormais in- contournable »âp+epmessagexpilplEa inlassablementpportpdepparple nEontppaspragiâ0lorsxpsanspleurpdemanderpleur
sonp" partenariat » avecplepsecteur privâpMettantplespgouvernements lep3 avrilpê»»»xpsonpplanpdEaction pourplap" pleine participation » du majeures )plapcrationpdEunprseau depj» »»»psitespInternetxpditWebMRxppourppermettrepauxphþpiô
veloppementpdEaccderpauxpinforô mationspetpauxpressourcespen matirepdepsant 2plapformationpdEun consortiumpdepvolontairespcharg loppementpauxptechnologiespdeplEinô formation 2petpen®nxplapmisepen placepdEunpprogrammepditp" les pre- miers sur place »quixpsousplapdirecô tionpdEunepgrandepsocitpde communicationxpUricssonxpmettra humanitaireppourpassurerpdes communicationspsanspinterruption dansplesprgionspfrappespparpdes tivespdif®cilementpcritiquablesppour lespUtatspmembresxpenpgnralppeu gnreuxpdanspleurspcontributions®nancirespplEorganisationâ
AfsanqBassirqPourq
LireqlaqsuiteqpageK8
Auxqof®ciersqisraliens :q" FaitesqlaqguerreAqpasqlLamour " »M...RUS"HzO
de notre correspondant gnal :FdepuisFsonFinculpationFpourFharclement gnantesà mentFbienFtrempeàF" Faites la guerre, pas l'amour ! », leurFsuggraitFrcemmentFunFcomO clbreFsloganFhippieFdesFannes jpà " Pendant les deux ann•es de mon service mi- litaire,tmoigneFRàvFmreFdeFfamillevFl'un de mes sup•rieurs au minist˜re n'a pas arr-t• de me poursuivre de ses assiduit•s. J'•tais jeune et je n'ai rien dit. Il n'a cess• que lorsqu'il a appris que j'allais •pouser un of®cier comme luià»DesFtO paysFFlDhommeFaujourdDhuiF" injustement » poursuivi ;FparfoisFlaFplaignanteFestFlaFcibleFde rerFsonFtmoignageàF autocritiqueàF" Nous avons compris la leØon et on va agir fermement,aOtOilFdclarFauFmicroFde deFlDarmeàFD•sormaisvon ne soutiendra plus ceux qui sont coupables d'actes de cette nature.Et cette politique est valable du haut en bas de
l'•chelle hi•rarchiqueà»GeorgesqMarion
Sans-papiers
sans liberté a +HUSwzURSbcentainespde sansôpapiersxpcondamns migrationxpsontpincarcrspenOranceâpLespparlementairesxpquipont
rcemmentpenqu-tpsurplespprisonsx quementpmotivespparpunpdlit portagepplapprisonpdespFaumettesx Marseillexpopdespdizainespdepces
clandestinspsontpconcentrspdans unpm-mepb"timentxpdansplespcelô lulesplesppluspsalesâpUffectuantp"un travail de clando »xpconsidrs commeplepsousôproltariatpdepla prisonxpilsptmoignentpdespviolences subiespetpdepleurpincomprhension devantpuneppeinepquipdbouchexpen principexpsurplEexpulsionâLireqpageKy
L0URUNTpRUFOURS " 0PHO " 0P0FF0S " M0GNUM
Pour un CNRS
plus audacieuxGENEVIÈVE BERGER
[]OO...zbplapt-tepduppremier organismepdeprecherchepfranØaisxpla biologistepGenevivepFergerxp1è ansx inviteplep+NRSppprendrepdes renforcs )plespsciencespdeplapviepet lesptechnologiespdeplEinformationâLireqpageqCB
PHOTOJOURNALISME
Les robinetsà images
Finis les " coups », les images rappor-
tées du bout du monde (photo : enAfghanistan, en 1992) par des photo-
reporters libres, indomptables et par- fois célèbres. De l"avis des profession- nels, la révolution technologique et une concentration industrielle sans précédent ont " tué » la photo de presse. Les " robinets " images inondent le march, déplore RaymondDepardon. Plus le robinet est ouvert,
moins le regard peut s"imposer ».p.15CINÉMA
Bataille navale
Rentrée cinématographique des plus
variées : après le tour dans l"espace proposé par Clint Eastwood et sesSpace Cowboys, pourquoi pas une
plongée avec U-571, du nom d"un sous-marin allemand convoité par lesAlliés pendant la deuxième guerre
mondiale ? Par une audacieuse falsifi- cation de l"histoire, le film de JonathanMostow (photo) attribue aux Etats-
Unis la victoire dans cette bataille
de l"Atlantique remportée par lesBritanniques. p. 31à 33
LIBANLe retourde M. Hariri
Au lendemain d"élections législatives
qui ont vu triompher l"opposition, le milliardaire Rafic Hariri (photo, sur l"af-®che)était en bonne place pour re-
prendre la tête du gouvernement à Se- lim El Hoss, qui l"en avait chassé en1998. M. Hariri a triomphé à Beyrouth,
dimanche 3 septembre, lors d"un scru- tin qui, quelques mois après le départ des troupes israéliennes, a marqué la volonté des Libanais d"entretenir une relation plus distante à l"égard de laSyrie. p. 2 et notre éditorial p.18
Le conØit
des routiers aJean-Claude Gayssot veut désamorcer rapidement le mouvement des camionneurs aIl propose une aide de 10 000 francs par camion pour compenser la hausse du gazole aDes mesures de rationnement ont été prises dans quelques départementsLireqpageqK9
Corse : ce que voulait Chevènement
b" Le Monde » publie le plan pour la Corse élaboré par l"ancien ministre de l"intérieur bSon projet est détaillé dans une lettre et un document qu"il avait adressés le 8 juinà Lionel Jospin
b" Il va à l"extrême limite de ce qui me paraît acceptable », écrivait son auteurLE MONDE publieplespdocuments
JeanôPierrep+hevnementxplepS juinx
IlpsEagitpdEunepnotepsignepparMâ +hevnementxpaccompagne dEunp" document d'orientation »xpquaô li®pdep" secret »xpquipsepprsente commeplepplanppourplap+orsepdupmiô nistrepdeplEintrieurpdeplEpoqueâRanspsaplettrexpMâ +hevnementpprô vientpquepsonpprojetpdep" statut r•no- d•l•gations de comp•tences et le transfert d'une part du pouvoir r•gle-mentaire »xpsepsituep" " l'extr-me li- mite de ce qui [lui]pparašt acceptable du point de vue de l'Etat r•publicain »âRestinpp" offrir une perspective nou-
velle et raisonnable »xpilpestpconsidr parpsonpauteurpcommep" un point d'arriv•e »dansplapngociationpalors enpcoursxpetpnonpcommep" un point de d•part »âpIlpnEestpvidemmentppas questionxpdanspceptextexpdEouvrirpla mispdansplesp" conclusions du gouver- nement »xpremisespauxpluspdep+orse lepê» juilletxpquipontpprovoquplapfracô turepentrepleppremierpministrepetple lepdocumentpdupê» juilletpapreprisples propositionspdepMâ +hevnementpsur lepprincipepdEuneploipprogrammant quinzepanspdEinvestissementsppublicsx pementpdeplap+orsexpetpsurplepniveau depD» çpdepcespinvestissementsppla chargepdeplEUtatâLireqpagesqç etqB
etqlLintgralitqdesqdocuments surqInternetqGwwwTlemondeTfrVLeMondeJob: WMQ0609--0002-0 WASgLMQ0609-2 Op.: XX Rev.: 05-09-00 T.: 11:00 S.: 111D06-Cmp.:05D11D Base : LMQPAG 12Fap:g100 N
o :g0375 Lcp:g700 gCMYK 2INTERNATIONAL
LE MONDE / MERCREDI 6 SEPTEMBRE 2000
UneJconomie
exsangueLAFLIVREFlibanaise a saluï, lun-
di 4 septembre, la victoire ïlecto- rale du milliardaire RaAEc Hariri. La forte demande sur le dollar qui avait obligï la banque centrale ì intervenir pendant la campagneïlectorale pour soutenir la mon-
naie nationale s'est en effet relí- chïe dòs l'annonce des premiòres estimations de rïsultats. De mñme, l'action de la sociïtï Solidere, chargïe de reconstruire le centre de Beyrouth et dont M. Hariri est le principal promoteur, a progressï de plus de 10 % au cours de la sïance de lundi.Evincï du poste de premier mi-
nistre en 1998, le milliardaire ïtait rïguliòrement accusï par l'ïquipe actuelle d'avoir lourdement endet- tï le pays en l'engageant dans un lourd programme de reconstruc- tion. Le dïpart de M. Hariri a ce- pendant coõncidï avec un net ra- lentissement de l'ïconomie nationale. La croissance annuelle, qui ïtait encore de 3 % en 1997, est tombïe ì 1% en 1999. Un taux zïroïtait mñme redoutï pour 2000.
Pour rïduire le dïAEcit public et le
dïAEcit budgïtaire, le gouverne- ment de Selim El Hoss tablait sur une rïforme AEscale et surtout sur un vaste programme de privatisa- tion. Ce dernier chantier, qui de- vait attirer ì nouveau les investis- seurs vers le Liban et crïer des emplois, s'est rapidement enlisï en l'absence d'un consensus poli- tique.Durement frappï par quinze ans
de guerre civile et par l'occupation du sud du pays par Israól, qui s'en est retirï en mai en laissant une rï- gion ïconomiquement exsangue, une dette extïrieure estimïe ì20 milliards de dollars, soit environ
140 % du produit intïrieur brut. En
dïpit du ròglement de la question de la zone occupïe sous l'ïgide desNations unies, le blocage persis-
tant entre la Syrie, mentor poli- tique de Beyrouth, et Israól sur la rïtrocession du plateau syrien duGolan, conquis en 1967 par l'armïe
israïlienne, continue de dissuader d'ïventuels investisseurs. Le taux de ch˛mage avoisine actuellement20 % de la population active alors
que 28 % des Libanais vivent en dessous du seuil de pauvretï.AprsJdesJannesJdeJrsignationDLAFCAUSEFest entendue : c'est
l'opposition qui a remportï les ïlec- tions lïgislatives au Liban, jetant aux orties les habits sur mesure, coususì l'avance, par le gouvernement et
son tuteur syrien. Plus qu'un succòs, c'est une victoire pour les deux prin- cipales tñtes de l'opposition, l'ancien premier ministre RaAEc Hariri (mu- sulman sunnite) et le chef du Parti socialiste progressiste et leader druze Walid Joumblatt, sans doute eux-mñmes surpris par l'ampleur de cette victoire. Mise en place il y a deux ans avec une aura de probitï, de technicitï, de modernisme et de volontï de changement, l'ïquipe ministïrielle de Selim El Hoss et nombre de candidats qui s'en rïcla- maient ont ïtï remerciïs par lesïlecteurs. Leur piòtre prestation des
affaires publiques et les scores de leurs adversaires les condamnent ì une sortie sans panache.Qu'on ne s'y trompe cependant
pas. Au Liban, les opposants ne sont porteurs d'aucune idïe ou projet originaux. Les Libanais connaissent leurs personnels politiques : ì quel- ques individualitïs pròs, ce sont tou- jours les mñmes, les AEls succïdant aux pòres dans les grandes familles politiques, les nouveaux venus ayant le choix entre s'arrimer ì eux, se faire ïlire par la volontï de la Sy- rie et/ou s'imposer par la force de l'argent. De vision du monde, point.La campagne ïlectorale qui a oppo-
sï des personnes et non des pro- grammes a ïtï d'une rare mïdiocri- tï, mñme pour un pays oü elle n'a jamais volï bien haut.Des alliances se sont nouïes entre
personnalitïs et forces marginali- sïes par le tandem formï par le prï- sident de la Rïpublique, Emile La- houd, et le premier ministre Hoss : telle celle qui a rapprochï M. Hariri et M. Joumblatt qui, il y a deux ans encore, et alors mñme que le second faisait partie du gouvernement du premier, ïtaient rarement sur la mñme longueur d'onde ; ou celle,plus singuliòre encore, qui s'est faite, au moins tacitement, entre WalidJoumblatt et des personnalitïs chrï-
tiennes que le dirigeant druze vouait aux gïmonies il y a quelques annïes encore. L'adversitï, ou, au mieux, l'indiffïrence tïmoignïe ì leurïgard par le gouvernement sortant,
a largement contribuï ì leur rappro- chement.PASODEOTRUCAGE
Quelques thòmes et intonations
relatifs ì la prïsence syrienne et ì la participation populaire ì la vie ac- tive ont bien ïtï entendus au cours des derniòres semaines, mais il est prïmaturï d'y voir une hirondelle annonciatrice du printemps. Prï- voir la AEn de la mainmise syrienne sur le Liban ne serait pas moins ha- sardeux. Aussi, ce qu'il faut retenir des rïsultats du scrutin, c'est d'abord qu'en dïpit des intimida- tions et pressions en tout genre exercïes lors de la campagne ïlec- torale, les Libanais ont pu choisir li- brement leurs reprïsentants. Il n'y a donc pas eu ± ou alors bien peu ± de trucage ou de manipulation des rïsultats. Le second enseignement± incontestablement le plus intïres-
sant ± est le sursaut des Libanais, qui, apròs des annïes de rïsigna- tion ì leur exclusion du champ poli- tique, ì la tutelle syrienne et au dik- tat de leurs gouvernants, ont enAEn osï exprimï leur ras-le-bol, dire´ non ª ì l'ordre prïïtabli.
Deux facteurs ont favorisï ce rï-
veil : le retrait total, en mai, des forces israïliennes du sud du pays et l'accession de Bachar El Assad ì la prïsidence de la Rïpublique sy- rienne, apròs le dïcòs de son pòre le10 juin. Le retrait de Tsahal a rïveil-
lï le dïsir sourd de la majoritï desLibanais de dïgager leur pays de la
tutelle syrienne ou, pour tout le moins, de fonder sur des bases moins lïonines la relation avec le grand pays voisin. Les langues se sont dïliïes. Pour la premiòre fois, le thòme a ïtï tròs clairement ïvo- quï, en particulier au sein de la communautï chrïtienne, dòs le dï- part du dernier soldat israïlien, et a fait boule de neige ì mesure qu'ap- prochait l'ïchïance ïlectorale.Mñme des personnalitïs tradition-
nellement proches de la Syrie, tel M. Joumblatt, ont ïvoquï la nïces-sitï de rectiAEer les liens bilatïraux sur des bases amicales.L'accession de Bachar El Assad ì
la prïsidence a donnï un coup de pouce ì cette vellïitï de rïvision. est tenu pour acquis que l'actuel chef de l'Etat syrien, qui, avant le dïcòs de son pòre ïtait chargï du dossier libanais, ïtait le principal soutien du tandem Lahoud-Hoss.Crïditï nïanmoins d'une volontï
de changement chez lui comme dans les relations avec les pays voi- sins, M. El Assad est ainsi invitï par les Libanais ì en donner la preuve concròte, en ïtablissant avec leur pays des relations fondïes sur la conAEance et non sur la domination.La rïaction de Damas est d'au-
tant moins prïvisible que certaines incongruitïs incitent ì la prudence : ainsi, deux ministres du gouverne- ment Hoss, Soleiman Frangiï etNajib Mikati, tous deux tròs
proches de Damas, s'ïtaient-ils portïs candidats au Liban nord contre la liste soutenue par le gou- vernement. Ils ont ïtï ïlus. La Syrie a ïgalement imposï sa volontï dans le sud et l'est du pays, en dic- tant une alliance ïlectorale aux deux principales formations chiites rivales, Amal et le Hezbollah. Et ìBeyrouth, le candidat du Hezbollah
s'est ralliï ì M. Hariri, qui, lorsqu'ilïtait premier ministre, avait
souvent essuyï les foudres du parti de Dieu. Peut-ñtre la Syrie a-t-elle dïcidï de donner un peu de mou.Constitutionnellement, le prï-
quotesdbs_dbs32.pdfusesText_38[PDF] LA MICRO FINANCE ISLAMIQUE A DJIBOUTI. Mahdi Mohamed Djama
[PDF] Merci d en prendre connaissance et de nous le renvoyer avant le lundi 9 avril.
[PDF] JOURNEE REGIONALE DE TRAVAIL Dialogue et coopération autour des documents d urbanisme pour un projet de territoire à énergie positive
[PDF] 5. La protection sociale
[PDF] Première journée STIC pour le PRES Champagne-Ardenne Picardie UFECAP
[PDF] Taxe de séjour pratique à l attention des hébergeurs
[PDF] Les Espaces du créer l Evénement
[PDF] L assurance invalidité
[PDF] GUIDE 2017 DE LA TAXE DE SÉJOUR AU RÉEL
[PDF] General Council For Islamic Banks And Financial Institutions
[PDF] POLE DES FORMATIONS PARAMEDICALES INFORMATIONS JOURNEE DU LYCEEN 18 NOVEMBRE 2014
[PDF] RESOLUTION N 15 - APPROBATION DES MODIFICATIONS DES STATUTS DE LA MNRA : ARTICLES 2, 6, 17, 19, 21,25, 54, 60 et 64
[PDF] PROTOCOLE DE COLLABORATION ET D INTERVENTION ENTRE LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES PUBLICS GENEVOIS ET LA POLICE CANTONALE
[PDF] Centre de formation continue spécialisé dans la santé mentale, le sanitaire, le social et le médico-social. Module 1 : Formation au Tutorat Infirmier