[PDF] Les représentations du lecteur réel dans quelques récits de voyage





Previous PDF Next PDF





Cellule esperanza : suivi de Terre astre-nous

Si encore aujourd'hui on disqualifie le poème en prétextant qu'il ne sert à rien sinon à nous divertir (ce qui est assez négligeable compte tenu du nombre 



La science-fiction est un genre qui se fonde sur une série de

Jan 9 2011 Il s'agit de définir la science-fiction comme un genre littéraire ... elle aussi des problèmes de définition et nous l'emploierons peu pour ...



JOURNALISME « FAKE NEWS » & DESINFORMATION

Elles nous offrent la possibilité d'insister sur l'importance dans la pratique professionnelle



THÈSE

Oct 24 2008 Néanmoins



Fiche outil – Comment identifier les principales visées dun auteur ?

Le texte narratif sert à raconter une histoire généralement fictive. Le but premier de ce type de textes est de divertir le public



original_151357-la-mort-un-point-de-vue-philosophique.pdf

La victoire remportée sur la mort dans le Phédon nous laisse donc relativement démunis et perplexes. La religion sera-t-elle plus heureuse que la philosophie 



Les représentations du lecteur réel dans quelques récits de voyage

Dec 31 2012 Elle nous a facilité l'étude du corpus qui fait l'objet de notre ... La lecture n'est plus un moyen de divertissement



PROGRAMME-UTOPIALES-2019-Web18.pdf

Nov 3 2019 Les Utopiales



Anthropologie des relations de lHomme à la Nature: la Nature

Sep 13 2010 Elle nous a montré ce que nous percevons comme l'universalité des choses et des êtres. Elle nous a offert la possibilité de rencontrer la ...

THÈSE

En vue de l'obtention du

DOCTORAT DE L'UNIVERSITÉ DE TOULOUSE

Délivré par l'Université Toulouse - Jean-Jaurès

Présentée et soutenue par :

Frédéric MARTY

Le

25 septembre 2015

LES USAGES DE L'AUDIOVISUEL

ÉDUCATIF PAR LES ENSEIGNANTS

FACE AU NUMÉRIQUE.

L'exemple du site.tv

Ecole doctorale et discipline ou spécialité : ED ALLPH@ - Sciences de l'Information et de la Communication

Unité de Recherche

Laboratoire d'Etudes et de Recherches Appliquées en Sciences Sociales (LERASS)

Directeur(s) de Thèse

Robert BOURE - Université Paul Sabatier Toulouse III Franck BOUSQUET - Université Paul Sabatier Toulouse III

Jury :

Robert BOURE - Université Paul Sabatier Toulouse III Franck BOUSQUET - Université Paul Sabatier Toulouse III Éric DELAMOTTE - Université de Rouen (rapporteur) Josiane JOUËT - IFP Université Panthéon-Assas (rapporteure)

Bernard MIÈGE

- Université Stendhal Grenoble III 2

À ma mamie

institutrice à bicyclette. 3

Remerciements

Mes remerciements s'adressent tout d'abord à Robert Boure et Franck Bousquet, pour leur soutien et leur accompagnement tout au long de cette thèse, malgré ma tendance à la dispersion. Merci également aux membres du jury qui ont pris le temps de lire mon travail et de participer à son évaluation. Aussi, je tiens à remercier les anciens collègues de France Télévisions que j'ai cottoyé durant ma

CIFRE, en particulier Jean

Marc Merriaux sans qui la collaboration n'aurait pas été possible et, plus personnellemen t, Mathieu, Layla, Stéphane, Niakalé, Clara et Julia. Merci à mes collègues du département InfoCom de l'Université de Lorraine qui ont contribué à rendre mon expérience d'ATER enthousiasmante, plus

particulièrement Adeline, Cécile, Jean-Luc et Loïc. Une pensée également pour

Rebecca, Ju

lie et Muriel, qui ont soutenu leur thèse pendant que je rédigeais la mienne et dont les conseils avisés ont été précieux. Mes remerciements à Cathy du CDRSHS et Laurent Garreau du réseau CANOPÉ qui m'ont donné accès à des fonds documentaires de qualité, avec un accueil des plus chaleureux. Je remercie tous les enseignants, anonymes mais passionnés, qui ont accordés de leur temps si précieux pour participer à ma recherche. Un grand merci à mes amis, particulièrement Lulu, Amélie, Anna et Bérengère

pour les relectures. Une pensée également à la Team IGA, à Anthony, Céline et

Magali pour leur soutien

; à Emilie, Julien, Coralie, Pauline et Émilie mes amis lorrains, à Vincent, pil ier et soutien de la Rangée 9. Une pensée pour mes camarades devenus amis, depuis le CPE jusqu'à aujourd'hui, et mes camarades élus doctorants, Agathe, Clément, Elsa et Etienne (thanks), avec qui nous avons tenté de mener de front vie de thèse et défense des conditions d'études des do ctorant.e.s... Merc i à mes grands parents pour les sessions de travail à Gruissan et à

Gréalou, à Claude et Claudie pour le séjour doctoral à Corn, à Béatrice pour

l'inspiration de Tonnac. Un grand merci aussi à Alain et Nicole pour leur accueil à

Paris et à mes parents pour

leur soutien indéfectible. Enfin, un remerciement especial à Sarah, pour son sens de la virgule et tant d'autres. 4 5

LES USAGES DE L'AUDIOVISUEL ÉDUCATIF PAR LES

ENSEIGNANTS FACE AU NUMÉRIQUE. L'exemple du site.tv. 6 7

INTRODUCTION

8 A u delà de l'exercice académique auquel il répond, le travail de recherche présenté ici est l'aboutissement d'une longue réflexion autour de la question de l'éducation aux

médias, et plus précisément de l'audiovisuel éducatif. C'est un stage effectué au sein

d'une structure d'éducation populaire qui a éveillé notre intérêt pour cette thématique.

Il s'agissait de promouvoir l'interpellation des candidats à l'élection présidentielle de

2007, par les jeunes investis dans ce mouvement

1 . Force est de constater que l'interpellation résonne plus aujourd'hui dans ce travail de recherche et ses origines, que dans le respect des engagements alors pris par des candidats enthousiastes de voir une jeunesse soucieuse de réfléchir à son avenir. Parmi les propositions formulées lors de ces assises, figurait en bonne place la mise en oeuvre d'une politique d'éducation aux médias pour tous les jeunes 2 . La place que cette revendication faisait aux enjeux politiques, sociaux et économiques des médias, recoupait les acquis théoriques de notre formation universitaire en Sciences de l'Information et de la Communication. Par ailleurs, les activités de communication réalisées parallèlement nous permettaient de mobiliser les acquis pratiques de cette formation. Enfin, la réalisation du rapport de stage fut l'occasion de problématiser ces expériences à travers " la vol onté de répondre aux besoins de milieux professionnels » qui, finalement, est aux origines des Sciences de l'Information et de la Communication, du moins si l'on veut bien suivre

Jean Meyriat et Bernard Miège (2002)

Avec le recul, cette première expérience professionnelle et scientifique, largement

embryonnaire et incomplète, n'est pas étrangère au travail présenté ici, ni au

cheminement qui nous y a mené. Elle est révélatrice de trois ascendances : théoriques, pratiques et militantes. Par la suite, les travaux plus académiques réalisés au sujet de l'éducation aux médias en Norvège 3 , puis sur la façon dont le Centre de Liaison de l'enseignement et des Médias d'Information (CLEMI) abordait l'objet télévisuel 4

nous ont convaincu de l'intérêt scientifique d'étudier l'éducation aux médias du point

de vue des Sciences de l'Information et de la Communication. C'est donc par attrait personnel pour l'éducation aux médias que le thème de l'audiovisuel éducatif nous a

finalement intéressé. La focalisation de notre travail sur l'audiovisuel éducatif est

également induite par l'opportunité de bénéficier d'une Convention Industrielle de Formation par la Recherche (CIFRE) avec France Télévisions et le Centre National de la Documentation Pédagogique (CNDP), par l'intermé diaire du groupement d'intérêt

économique lesite.tv

5 : site Internet de vidéos éducatives à la demande, dédié aux 1

Fédération Nationale Léo Lagrange, Assemblée nationale des Assises pour la jeunesse : en 2007, les

jeunes font la loi, Paris, 31 mars 2007 http://www.assises-jeunesse.org/ (consulté le 10 février 2015).

2 " Pour un plan d'éducation aux médias et à l'image » http://www.assises- jeunesse.org/pdf/MAQUETTE_LOI_complet.pdf (consulté le 10 février 2015). 3 Marty Frédéric (2008), From France to Norway : comparative study about media education, term paper in media studies, Universitetet i Bergen. 4

Marty Frédéric (2009), CLEMI, Education aux medias, télévision : étude d'un métadiscours, mémoire

de Master II en Sciences de l'Information et de la Communication, réalisé sous la direction de Robert

Boure, Université de Toulouse.

5 http://www.lesite.tv/ 9 enseignants et élèves des premier et second degrés. Ce partenariat associe également notre laboratoire d'appartenance, le LERASS. Néanmoins, l'autonomie scientifique dont nous avons pu bénéficier dans le cadre de la convention CIFRE nous a permis d'inscrire notre recherche dans le prolongement des questionnements que nous avions amorcés précédemment. D'ailleurs, l'occasion de travailler au sein du service des actions éducatives de France Télévisions répondait

au besoin éprouvé de passer d'une étude des métadiscours sur l'éducation aux médias

à une observation plus concrète des acteurs et de leurs pratiques sociales.

L'orientation donnée à ce

tte thèse est donc avant tout le fruit d'un questionnement scientifique, inscrit dans la mise en oeuvre de missions de recherches pour le compte de France Télévisions. C'est ainsi que l'annexe scientifique et technique du contrat de collaboration 6 témoigne du projet de recherche qui était le nôtre au départ. En outre, le terrain est largement induit par le désir du site.tv d'évaluer les usages de son service de vidéo s éducatives à la demande, que nous inscrivons plus largement dans le cadre des out ils et médias éducatifs, tels que les définit Pierre Moeglin (Moeglin, 2005). !"#$%&'%#(%) *%+) ,-*./+) 0) $%&+) 1#) #"1$%/1) &/22"&3) ,-*./+45("6%) 7)

89%:%,26%)*1)site.tv)

La première moutu

re du projet de thèse optait pour une étude des usages du site.tv, dont l'ambition était d'observer dans quelle mesure le rapport entre médias et École pouvait être modifié par le phénomène de " convergence des médias ». À ce moment- là , plusieurs enjeux nous sem blaient important s . En choisissant d'inscrire notre travail dans le cadre des Sciences de l'Information et de la Communication, nous avions le souci de mettre en oeuvre une approche globale, qui ne soit pas centrée sur la question de l'apprentissage, comme le prescrit Bernard Miège. Pour lui, toute réflexion à ce sujet devrait s'approprier les théories des industries culturelles, de la sociologie de l'innovation technique ainsi que l'histoire de s moyens de communication (Miège

1989). De son côté, Jacques Wallet rappelle également combien il est impératif de

prendre en compte la dimension " multiréférencée » des outils et médias éducatifs et

de leurs usages, mettant en jeu la machine et/ou le programme, mais aussi le contexte d'usage, les ac teurs et les forma teurs (Depover , 2009). Enfin, il semblait nécessaire pour nous de " rompre avec l'illusion d'un appareil éducatif échappant comme par miracle aux grandes mutations qui, sans l'atteindre, traversent le reste de la société. (...) Pour être scolaires, le livre, la télévision ou le cédérom n'en sont-ils pas moins livre, télévision et cédérom ?

» (Moeglin

, 1999). 6

Annexe scientifique et technique du contrat CIFRE : " Convergence des médias : une évolution des

TICE vers un nouveau rapport médias-École ? L'exemple du site.tv » cf. ANNEXE V. 10 Ainsi, il nous est apparu que nous devions aborder lesite.tv en tant que " dispositif ». ce titre, nous adhérions aux postulats de Geneviève Jacquinot, pour qui l'approche en terme de " dispositif » permet le retour des acteurs, avec leurs représentations, leurs attitudes, voire leur mythologie, là où l'on a eu trop souvent tendance à ne parler que de " système

» technique et/ou de "

structure

» organisationnelle. Au

delà des dichotomies tr aditionnelles, ce concept permet tait d'appréhender, dans toute leur complexité, les rapports entre le technique et le symbolique, entre le sujet et l'objet, entre liberté et déterminisme, à travers des logiques d'usages (Jacquinot, 2001 ;

Meunier & Peraya, 2010, p. 388).

Enfin, cette approche écartait le risque qu'il y aurait à substituer au déterminisme de la technique un déterminisme de l'usage. Un premier état de la recherche nous a permis de constater la permanence d'une tension entre deux types d'approches. Tout d'abord, un paradigme expérimental dont le modèle prototypique de " l'expérimentation randomisée

» est censé apporter des

informations de nature causale sur l'effet des technologies. Ensuite, des approches qualitatives fondées sur des études de cas, des méthodes de type ethnographique, visant moins à valider des théories qu'à expliquer ce qui advient (Depover, 2009). N ous av ons opté pour la seconde approche. Il s'agissait alors " d'atteindre quasi directement, par voie de questionnement, aux processus de l'activité de réception dans l'expérience médiatique, activité entendue comme travail d'interprétation, production de satisfaction et de sens, (...) activité d'appropriation et d'interprétation du mes sage médiatique qui fait sens quand il est rapporté au soi du sujet et à son monde vécu

» (Belisle, Bianchi, Jourdan, 1999).

Cette première intention de recherche correspondait au projet tel que nous l'avions formulé à l'origine. Néanmoins, une fois la recherche engagée, ces axes nous ont semblé inadéquats. Nous avons donc opéré un recentrage, ainsi qu'une clarification

épistémologique, afin d'

affermir la portée scientifique. Cela s'est notamment manifesté par un changement de problématique et une éviction a priori de la thématique de la " convergence numérique

». En effet, poser comme préalable

l'éventualité d'un ch angement dans le rapport entre É cole et médias, dû au phénomène de convergence, soulevait un double inconvénient. En premier lieu la naturalisation du phénomène de " convergence numérique

», puis l'affirmation d'un

effet supposé de cette dernière, dont on ne peut ignorer ses incidences idéologiques (Miège & Vinck, 2012) . C'est à la faveur des lectures propres à notre champ d'étude q ue ce parti pris est apparu comme une impasse. En effet, en raison de la nature instable du phénomène de convergence, le terme ne renvoie pas à une définition normalisée . De plus , quand le phénomène est défini et analysé, il suscite tantôt crainte et tantôt espoir, en tout cas, des projections plus que des observations empiriques. Par exemple, ce que Dominique Wolton définit comme la réunification sur un même écran des services de l'informatique, des télécommunications et de l'audiovisuel, n'a selon lui rien d'une " révolution » ; elle concourt à cet " espèce de contresens qui 11 consiste à annoncer tous les dix ans, en fonction du progrès technique, la fin de la télévision » (Wolton, 2009). D'autres auteurs, comme Alain Chaptal, considèrent au contraire qu'ell e " n'est pas un cycle de plus, et que l'unification technologique constitue un changement fondamental

» (Chaptal, 2003). Nous avons donc choisi de

renverser notre point d e vue, pour substituer au parti pris technologique une voie plus compréhensive.

Dès lors, notre démarche a été plus praxéologique. Il s'est agi pour nous de construire

un principe générateur d'explication, en se situant dans le mouvement de la pratique, ce qui, selon Pierre Bourdieu, " suppose une rupture avec le mode de connaissance obje ctiviste, c'est dire une interrogation sur les conditions de possibilités et par là sur les limites du point de vue objectif et objectivant qui saisit les p ratiques du dehors, comme fait accompli, au lieu d'en construire le principe générateur en se situant dans le mouvement même de leur effectuation » (Bourdieu, 1972). Nous avons fait l'hypothèse qu'une telle approche permettra it d'appréhender une " convergence à plusieurs facettes » (Miège, 2006). Finalement, nous avons choisi d'étudier les usages de l' audiovisuel éducatif du point de vue des enseignants, afin d'en saisir les dimensions sociales, politiques, économiques, et instrumentales. Il s'agit d'inscrire notre recherche au sein de l'approche communicationnelle des outils et médias

éducatifs (Moegli

n, 2005).

531*.%&)6%+)"13.6+)%3),-*./+)-*1(/3.;+)

Pour Bruno Ollivier et Françoise Thibault (2004), " toute l'histoire des techniques de communication est intimement liée à l'histoire de l'éducation ». D'ailleurs, comme le notent ces auteurs, les Science s de l'éducation (SED) ont longtemps considéré l'étude des outils et médias éducatifs comme étant leur " chasse gardée

». D

e leur côté, les

Sciences de l'information et de la c

ommunication (SIC) ont plus rarement fait de ces derniers un objet d'étude. En ou t re, la dimension éducative des Technologies de l'Information et de la C ommunication (TIC) est absente de nombreuses anthologies issues de la discipline, à l'image de l'Histoire de la communication moderne de

Patrice Flichy

(1997). Néanmoins, les travaux issus des SIC ont souvent été convoqués pour " dialoguer » avec les SED dans les recherches portant sur les " technologies éducatives » (Jacquinot, 2001). Selon Pierre Moeglin (2005), les recherches sur les technologies éducatives et sur les médias sont to utes deux, à la fois déterministes - elles s'intéressent à ce que les médias font aux gens - et fonctionnalistes, elles s'intéressent à ce que les gens font au x médias.

Ainsi, à travers notre travail,

résolument ancré dans les SIC, nous souhaitons contri buer au développement d'un champ de recherche peu étudié dans la discipline.

En effet, "

en 1997, sur 319 chercheurs en sciences de l'information et de la communication, 13 (4%) se disent engagés dans les travaux centrés sur les TIC et 12 l'enseignement. En 2

002, le mot éducation n'apparaît pas une fois, et seuls 19

chercheurs, soit environ 5% du total, se réfèrent d'une manière ou d'une autre soit au x TIC et au champ éducatif ou de la formation, soit aux nouvelles TICe » (Ollivier & Thibault, 2004) . Depuis, les travaux menés autour des industries culturelles et plus p articulièrement de l'industrialisation de l'éducation, font figure d'exception dans la timide entrée des SIC dans le champ des outils et médias éducatifs. Un séminaire de recherche sur l'" Industrialisation de la formation » y est dédié, avec l'intervention de Pierre Moeglin, Bernard Miège et Françoise Séguy notamment . On peut également

souligner l'intérêt vis-à-vis de ces questions du côté de l'analyse de discours (réunis

au sein du Céditec , alors dirigé par Simone Bonnafous) et de l'étude des normes et st andards (abordés via l'enseignement à distance) (Ollivier & Thibault, 2004). Enfin, on peut citer les travaux sur les dispositifs de communication et/ou de formation médiatisées 7 de Daniel Peraya, par exemple, et les publications relativement nombreuses co ncernant l'enseignement à distance et le e-learning 8

Plus récemment,

on assiste à un réel intérêt des travaux issus des SIC et des SHS en général, autour des

questions relatives à l'" usage » des TIC dans l'enseignement, sans pour autant que la notion soi t précisément définie ni les méthodologies clairement caractérisées (Puimatto, et. al., 2007).

Par ailleurs, l'

ancrage disciplinaire en SIC nous semble opportun pour ce qu'il apporte à la compréhension du champ et de l'objet. En effet, comme le rappellent Jacques Perriault et Dominique Wolton, l'intérêt de la discipline est de tenir en cohabitation l'observation " des instruments et leurs usages, des pratiques fonctionnelles et symboliques, des langages, des dispositifs, des circulations d'information et de savoirs, des polémiques, des stratégies et des politiques » (in

Perriault, 2010). Ainsi, elle limite le

s risques d'une interprétation " internaliste », dont les historiens de l'éducation font montre et la tendance lourde des historiens des techniques à privilégier l'histoire des inventions au détriment de celle des usages (Boily, 2001, p. 54). Enfin, si les SIC sont utiles pour mettre à jour les contours " d'un enseignement structuré sur les questions de communication et d'information » (Jeanneret, 199quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
[PDF] La science qui étudie la lumière : Optique

[PDF] la scolarisation de la fille compagnard

[PDF] La scolarisation des enfants handicapés

[PDF] La seconde

[PDF] La seconde générale !

[PDF] la seconde guerre mondial

[PDF] La seconde guerre mondial et ses enjeux militaires et idéologique

[PDF] La seconde guerre mondiale (la guerre d'anéantissement)

[PDF] LA SECONDE GUERRE MONDIALE : LE CHOIX DE LA COLLABORATION A ETE UN DESASTRE POUR LA FRANCE ; REDIGER UN PARAGRAPHE ARGUMENTER ; AIDER MOI !!

[PDF] la seconde guerre mondiale cours 3eme

[PDF] la seconde guerre mondiale cours pdf

[PDF] la seconde guerre mondiale cours terminale

[PDF] la seconde guerre mondiale synthèse

[PDF] la seconde guerre mondiale une guerre d anéantissement 3e

[PDF] la seconde guerre mondiale une guerre d'anéantissement 3e