[PDF] LARBRE DANS LE PAYSAGE SENEGALAIS





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Propriétés physiques du bois de chêne zéen de la forêt des Aït

Mots-clés : Quercus canariensis pro- priété physique





Diapositive 1

Qualification physico-mécanique et classification de trois espèces de bois algériens : Chêne Afarès. (Quercus afares) Chêne Zéen (Quercus canariensis).



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LARBRE DANS LE PAYSAGE SENEGALAIS

charbon de bois ces forêts qui sont expfotbL'+geo avec m-e rotation de c'eot-s-dire am&îoration de ses proprietés physiques et augmen-.

P. L. GIFFARD

CONSERVATEUR DES EAUX ET FORETSL'ARBRE DANS LE PAYSAGE

SENEGALAISSYLVICULTURE EN ZONE

TROPICALE SECHE

TOME

1CENTRE TECHNIQUE FORESTIER TROPICAL

DAKAR-1971

Nous analy3erono les ~c?latic:mex

istantentre le cli:-z.at et lav6gétation foresti'rre ; nous d~Gcrisons lco éiverc milieux fores'~icrçmi 9. . .

nous &udicronr; 1s 4k des arbrea dans la vie des Sénkplais, Ult&riev.re-ment nous tenterons de définir

me plitique tiylvicole. -l-

COI'TNAXXANCE DU i.X,IEU

III --l---- ' .-- _

PremiBre . FaPtieCONNAISSANCEDU

MILIE.U- .'L-*Chapitre Premier

ELEXEI'TTS DE BIC?~LIMAT0LCGIE FORESTIERE'

-'r -1. LesVents . , ,lr Régime de8 venta.* l ,* I)...*.*.. p.?,.......12 Rôle du vent sur la vkg8tation, . . . . . . . '. . . . . .

7*m.La Température

21Température8 moyezaes', . . , . . . . , . . . . . . . . . ,

2%

Temperatures moyenne,6 maximales

et minimales .~.~~.,~...~.......~~.~23

Tempdratures absolues

. ..*...........a,..3. La .Pluviométrie31 Régime des pluies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

32 Abondance et

rkpartition des pluies., l . . . . . 4. Lt Humid&e AtmosphBrique _'41 Humidit6 relative moyenne ..*.....a.42 Déficit de' saturation .,...,,..*...........43 Humidité relative minixkale absolue,. . . . , . 5, La Ros&e ,.....,.,.....*.*,.....*........6,

Lt Insolation..*.*......*;................7,

IL1 Evaporation

8. L* Evapotranspiration '

81 Evapotranspiration potentielle

82 Evapotranspiratior réelle..*...* . . . . . . . . . .

9. Caractérisation du Climat. par des Formules

classiques

91 Indice

dlariditk de. DE ,MARTONNE.. . . , .

92 Indice

'dl EMBERGE2T: ..,.....,...,.*.*...93 Diagrammes ombrothermiques de GAUSSEN

94 &lpplication des formules au Seriegal. 1 . . . . l -

4 5 7 4 11 13 15 20 21

2%23 .

25
27
28
28
3131
31
32

Chapitre Second37TroisikmeCha@tre

ES*QUISSE F'EDOLOGI$UE1.Le Domaine Sahélien..................42

2, Le Domaiïke SçFudanien

r....i...........433, Le Domaine CWinéen ...t................44 BIBLIOGlXAPHIE. ..*..*......*..*...*.....*......*..45 m:-:-:-;-:":-:-:..;--:.m:*:-:-;-:e"

IELEXENTS D!Z BIOCLXMATOLOGIE FORESTIEXEfII

* 3 - Situé entre les latitudeq Nord 12" 3O$,,&I$" 30' , le Sénégal eh+-compris daris~- la %aMe tra@cal$,~ng~&~s&chequi ceinture le

Co;ltinent africtin wtre le

Sahara et la for& ombro@i.le.AUBERT ( 1934 ) consid'ure que cette zone est soumise au climat,6ouda-nais

; AUE~ZVILL~( 1949 ) la classe daas les climats sabklo-soudanais,Pr&endre, commeon a tczdance à le faire, qu'il n'existe au Sénégal que deux saisons,l'une 6èche, lrautre pluvieuse, ne correspond pas à la réalit& ( TZOCWkIN - I94Q ). Lt exp&5ence .ms-a.nno-&&e l'anne'een quatre période6 : le I' nor l1 , coeur de la p&iode skhe durant lequel, de février & ixvril, . . las tempkatures sJ é1Sjvent progrcs sivement tsadis quele ciel, balayk par le vent d'Est à l*intkrieur, par llalizé sur la côte septen- trionale, demeure g6néralcment clair avec , parfoie, de6 brouillards nocturnes et des brumes matinale6 ; le " tiorone " , de fin avril B fin juin, rzarqu fo par des température6 excessivea qui se conjuze:& avec l'arrivée des filet6 d'air humides précurseurs de la mousion pour faire éclore la &S&tation arborde plu6ieursoenzG.zw3.avaz&J-es pre*mi&reB chutca d'eau ; le " zavet " ,de jluillet à octobre,' "al: cour9 duquel on enregiotre la presqu.e totalité des précipitation6 ; le It lolli *l enfin, véritable arrière saison dont les dcrnikres 6cmaine6, e-3 d8cem3xe ou en jawier, font figure de @riode fraîche,surtout lor6qu1elle6 bgnéficient de6 ondée6 du *' Heug"' ( FELISSB2 - 19bQ ).Il o'azit 1Ct toutefois d'un schéma car le flux maritime frais et humide qui

Salaie le littoral de

novem3rcà mai modifie localement les paramètres du climat, permettant à AUBZWILLIZ ( 1949 ) de'dkfinir un

1* climat côte 8&&alaiceIv dans le nord-ouest du.pays et un If climat

guinéen - Baone Casamance 1' dan6 le cud-ouest. Le Inégal, de par sa situ&& géoggzaphique à la pointe.. occidentale de l'Afrique,eot ooumis à un régizle de vents diff&ent de celui qui r$g;"e B l'intérieur du kontiilent, b latitude.&gale,ll en rO~111Lte. d'importantes zzodifications sur le climat q::i se traduisent sur 12. te-fi-rature, l'humidit6 atmosphérique, la hauteur et la répsrtitioc de la ,pluviométrie. 1 L'alizé maritime, flux du secteur nord qui souffle d'unefaçon' B peup&s 'p'~?&,nen~e sur liAtla~~ti.que entk'la latitude des Canarieset celle des ileo du Cap-Vert, atteint la côte sé.&galaise à faible aXkde entre novembre et raai.D&ié! au contact de la ma360 cor~tinentalo, il ne sefait guèïc .sentir que sur le littoral nord et encore son action ae ~':?~id.-c?J~ guère au delà d'une trentaine de kilor&tresde l'océan,

3n le retrmwe 62;:

Vasamance

msrikime zaia en altitude, ra

ïCZZ.T.ellt au sol, ELlt;Ta%2~.lt (I ?S11

gr. de vapeur d'eau par zn&tre cube, il z.e provoque que des .:31:--ie~exceptionnelles car ,coxtme il 58 dirige 'icra des rggiono de plus tir_ pluschaudes ,la vapeur s'Blo&ne du point de saturation,

11 rafrakki& c~:?i?:Sa;1tl'atmosphère et donne lieu à des

condematiom nocturnes, a$sm.zt profox-dément sur la végktation, C'est l'alizé qui autorise le maintien d'FJaeis guineense entre Lompoul et Dakar, dam

4~2 district o& les précipit?..tiowannuelles sont

i&érieu.res à 600 mm ; c'est lui qui, en cornpenasz-t le dgficitmétéorique en Basse

Casamance,

perzwt la r6géaération d'une flore gui&enne qu.i, d'apr'uo oon écologie, devrait recevoir 500 mzl d'eau ouppl8m.entaire par an, La T,I.ouQ 8 OïX,courant aérien ch secteur ou.est, traverse lentement le continent à faible altitude au cours de l'été' lorsque rk5neu.t de grandes dépressions sur l'Afrique du

Nord-Zst et sur l'Asie du SrxLL?uest.Elle

p6nètre en mai dam le pays par le Çéné~al-Oriental puis elle pscJre?severs le Nord-Ouest, atteignant le

m~~~rxxc~~ dz son extenoioz es aoi'8,Ti'eUeet chargée de 15 à

20 gr de vapeur d'eau pr Y*,,ektre cube d'air, elle fait

irnmédiate~r,entxîoil@r lthygrom&rie puis elle alimente le3 pr6Ci@.2tbll6.Son action sur la vEGktation se traduit noil neulclment par l'inters& de la pluviométrie mais également par la dizainutior? du dekit de saturation quise rnatifeste 2% 3 l?%oiB avzmt le début des pluies, entra&ant !:e débourragedes plantes péremee,Si les précipitatiam. tardent CL venir par

3 vit c

d ' ?.+m __-_ .-_ __~.__ diminution de la vitesse d'avancement du front de ~OUGBOXI, les jeunespousses et le s b3crgeono 5kchent, parfois r;she les arbre5 dont I'slimen- tatio2 hydrique est ddséquilibrée meurent. L%ar;r;-Lattan est un aliz6 continental dirigé Zst-Ouest qui souffle toute l'an&e en altitude, superpos6

9 la mousson pendar_t Ileté,

B l'aliz& maritime pendant la saison sèche, JTSka que l'un de ces couraritsfaiblit, il descend et balaie le sol.

C'est un vent trkssec et ha%itucile:.:::e:~tchaud qui accentue les ~Gxw&.I~~ dedecsication dans la zone intertro&-cale en abaissant l'état hygrom.Gtriquo et en relevant les températures.

Son influence sur la

v5zktaticnest manifestement nuisible car elle se traduit parune acc&5ratics de 3n. transpiration .A Dakar où l'harmettan est rare,'on constate,, .chaque fois qu'il aplparafi, me chute brutalc de feuillage des ar- bres, aussi ole&ez les ossenaes exotique ,-GL> quo ~1142~ certaines ~~T+XXJlocales qui résistent beaucoup mieux 3, la s6cheresse de l'air à l%t&ieurdu pays. Le conflit entre llharmattan et lti moussoi~, sensible au commencement et à. la fin de la saison des #Zes, se traduit par des gxi.z~. ora2ev.x sur le front deo dela r,2as~ea.~~.r;c-r~~e.~~..çt.ardes s.oufXlesviolents d'air relativement frais et sec, de courte durge, qui prgcèdentordinairement les averses orageuses. 'Le vent es: unfacteur Bcoloyiquc: 263 premier ordre par les

ef2ets qu'il exerce 5v.r les arbres.Il COiltribQ$t à limiter le VOlwne Vc'~dtal,;>ouvant mEme interdire le développement des -1

r antea. Dè6 que sa vitesse dépasse 2 m/sec,il acc618re la transpiration 5 un degr8 tel que les stomatendoivent se fermer, mame en milieu Eiumide, r6duisan.t I1asaimilation c?Aoro-

T!bylicnne, dgséquilibrant la

.croissancc.Cette action cet encore plus accusée dans les régions tropicales sèches,surtout lor s.que le bilan de 1' eau dans le sol est d6ficitaire* 341~510ngution des tissus est cr-itrav6.e ; des caractEres de nanisme ou de xGro,hormie apparais5e-;é dans tout l'or~anisms. C'est pourquoi il Oct presqlze toujours nécescaiïe de prot6,7er les pkpiA&rcsforestières par des ali~nernents d'arbres p4riph6riqucs et nar un cEs*n-ncment

dt écrans intérieursoricxxtQs perpeix%culairemené aux vents dozinants.On enregistre aux très grandes vite

cses des effets rrZécatis2uescomme des déchirures macroscopiques des feuilles ou des altkrations des cellules des jeu:les tissus qui se traduisent pardes phkomènes de traction orientant la croissance du tronc et des branches dans une direction privi- légiée. Ceci est visible à Saint-Louis sur le rideau de Casuarina equiaeti-folia plant6 sur 1a Langue de Bar'Garie et encore plus net sur les dunes qu.isurplombent les Gpreseions desItTiayesoiz. la vdS&ation arborée présente une cime

déaéquilihrée avec un port en 'I drapeau " ou en 'I cor de chasse ",devenant même rampante dans les zones

les lus expos&s à l'ali,n4, D&l3 les secteurs é-parfpéa par les vents viofe:d3 et constants,des souffles d'air brutaux et sr>.i;iits So:;t toujours possib1cs.E.z eztrakext d'importazt3 d6g$t3 dan3 les plantations équicnneo,dQracijla& O*U cas sar?t quelqceo arbre3 puis 3lengOuffrant dans la trouée.Le pi~b.~oï&n~ est assez fr6quent en BasseCasamance au d&ut de la saieon des pluies, %orsqr?c la

mouoso:~ s'oppose à l'harmattan. Le 3ylvicultcu.r ne peut se l-rsLmu;lir ccntroles chablis qu'en maintenant le3 peuplemepts artificiel3 B la donsiké' orti-

male afin que les cime3 soieEt &.piJ.ibréeB et que Je soi demeure couvert par la vég&ation ligneuse. L

23particule3 solide3 ttiansport&s par le vent peuvent avoir

des effet3 r?ocif3. Les plantatton de Ca3uarina equise~iicliaar~ali3ées dans la bande iittorale, entre Z=~lika et Icayar, n'ont pi? *dre ï::ienEcr; à bien qu'en prctdrreant les plant3 par de3 pour Frei claiesch britnchage et de feuille3 de pa.l~-Ger

-1er le bombardement dos grains desabîe entraPc&a depuis leriva;ze. .Ler, lisues d'arbres les plu3 proche3 de

lfocéan ont e2,nuite jc*:é le ri% diécra;i vin-à-vi3 de ceiles oitukes enarribre si bien qu~aujûurdrLui'>le peU$eZ33nit prbsefite un profil d.isnym~friqne. L'action des ezrrxbruns est man.ife3te sur la v6;j&e.tion en bordure de mer.Elle s'ajoute Z% l'effet du vent en vaporisa.~$ le feuillage avec de3 gouttelette6 d'eau

3alBe qui n&croeeat 2.e~ tissus ~265'2 ble3s63,Rares sont le3

capèces forestfores qui. résistent. IJ7i~~flcctwe des embrun.3 est encore sen.sible 5 plusieurs centaines de n12tre3 du littoral. On le constate à Dakaroù des Aza&rz&&a kdica, pLant,és depzj.3 +3ivuri; ann5n.oà proxin1it6 de ltautoroute,n'arrive& pas 2. foq:mer ui7.e cime ; le3 rameaqui ne dEvcloppent pendant la saison dos $uico 3echent d>n lrap"jari20~ du vent du zord-ouest,Au SEn+al, dans le3 sccteitrs eoum.io B l'alizé, oeul le Casuarina equi3etifolia parviezt B pocsçer et ce n'est qu'à la faveur de sonquotesdbs_dbs24.pdfusesText_30
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