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LA PAROLE HUMILIÉE

Il n'est que d'écouter les « infos » à la télé malgré le talent des présentateurs riences du réel

JACQUES ELLUL

LA PAROLE HUMILIÉE

1981

Le mot du cobaye

Il s'agit pour nous de diffuser des ouvrages intéressants et utiles ou rares sans aucun autre but que de faire de nous des cobayes lettrés et critiques, dans un sens différent de la pseudo-

critique circulaire émanant des analyses d'une " littérature » qui rôde autour de nos cages, et qui ne fait rien

de plus que nous enfermer en nous faisant croire que nous sommes dehors.

Cette édition consiste en un simple scan de l'édition de référence (voir ci-dessous). Le résultat final

a été " optimisé » afin de produire un fichier plus léger, plus clair et plus ou moins " cherchable ».

Tous les écrits dits " sociologiques » de Jacques Ellul sont disponibles chez Les cobayes lettrés.

Edition de référence :

ELLUL Jacques,

La parole humiliée, Paris, Seuil, 1981, 301 p.

(parution originale)

JACQUES ELLUL

LA PAROLE

HUMILIÉE

ÉDITIONS DU SEUIL

27, rue Jacob, Paris VIe

ISBN 2-02-005734-4

Éditions du Seuil, 1981

Simplismes

Ne cherchons ici aucune étude savante sur l'expression iconique, ni la syntagmatique, ni le métalangage. Je ne prétends pas faire avancer la science. Mais comme en chacun de mes écrits m'affronter seul à ce monde où je vis, tenter de le comprendre et le confronter à une autre réalité dont je vis, mais nullement constatable. Se situer au niveau le plus simple de l'expérience quotidienne. Avancer sans arme critique.

Je suis homme quelconque et je dis

ce que vit n'iJl1porte qui. Sans chercher de science. J'éprouve, j'écoute, je regarde. L'image est maintenant l'aliment quotidien de notre sensibilité, de notre intelli gence, de notre sentimentalité, de notre idéologie. L'image? Aussitôt les facettes du mot se différencient. Images verbales, pourquoi seraient elles moins images que celles que je puis voir. Images mentales qui ne peuvent se présenter qu'au travers d'un discours que je me tiens.

Images nourrissant l'imaginaire ou provoquées

par lui et indissociables.

Mais ici

j'en reste à l'opposition simpliste du voir et de l'entendre, du donner à voir et du parler. Je sais bien que les images ordonnées constituent aussi un langage, que ce n'est pas la parole qui est seule digne de cette institution, et pourtant, contrairement à tous les acquis modernes, je maintiendrai ici le mot langage pour la parole, en écartant le langage des gestes, du mime et du cinéma. Un parti pris? certes! Et la volonté de rétablir une certaine clarté dans un domaine rempli de confusion, de complexités, de malentendus. Qu'il existe un langage filmique, je le sais bien! mais on oublie trop que cette suc cession d'images n'est pas la même chose que l'ordonnancement des phrases. Il ne suffit pas de définir le langage pour s'en tirer, et de parler de code, de signifiant, de syntagme, de sémiotique ou de sémiologie.

Il faut toujours repartir des données simples,

du sens commun, des banalités. Car " aux vérités banales comme aux servitudes banales 5

LA PAROLE HUMILIÉE

chacun moud son blé et cuit son pain», qu'on le sache ou non, qu'on le veuille ou non. Entendre et parler? mais j'entends bien autre chose que la parole. Les bruits, la musique.

Et le bruit essentiel qui trouble

la communication. Le bruit dont naît l'ordre et le refus du bruit pour le sens. Et la musique peut être image, fait surgir en nous des images comme, à l'inverse, la parole peut être écrite, et l'écriture c'est du visuel, on lit cette parole. Il n'y a pas de rapport nécessaire et exclusif eihre entendre et parler, voir et image. Je sais bien tout cela, et pourtant je garde ma simplification abusive, je continue à lier de façon non exclusive mais principielle, les deux et à opposer les couples. En sachant qu'il y a des franges, qu'il n'y a pas de coupure évidente, qu'il existe une interpénétration du visuel et de l'auditif, mais une fois ceci admis, il faut revenir à deux domaines dissemblables : ce que j'entends constitue un univers singulier, différent de cet autre univers constitué par ce que je vois. Ce n'est pas de la superficialité d'avancer cela, mais l'expérience de chacun, trop récusée aujourd'hui sur des fondements scientifiques, sans doute utilisables pour la visée pa:rticulière du chercheur, la mienne est différente. Et les simplismes de cette expérience première seront rachetés par les conséquences qui nous apparaîtront. Je me refuse donc à faire de la Parole une image ou une succession d'images. Je me refuse à faire des Images une parole ou de leur succession, un langage, tout en sachant les relations et aussi les justifications scientifiques de telles identifications.

Mais certes,

il n'est pas question d'une rupture entre le voir et l'entendre. J'ai parlé de deux univers constitués à partir de là, deux univers non contradictoires, le plus souvent du moins, et en tout cas non séparés. Il y a en chacun de nous corrélation du voir et de l'en tendre, et le juste équilibre des deux produit l'équilibre de la personne. Car il est dangereux de privilégier l'un, de façon triomphale, au détriment de l'autre. Ce qui se produit justement aujourd'hui avec la victoire inconditionnée du visuel et des images. Et ce n'est pas tellement innocent et objectivement scientifique, ces propositions

évoquées plus

haut selon lesquelles les images (vues) constituent un langage, la parole (imprimée) se ramène à des images vues, et la parole n'est évocatrice que d'images ... en réalité ces certitudes ne sont que la traduction de la marche triomphale du Visuel et des Images (vues) dans notre société et dans notre esprit. Mais il ne convient pas de rompre le rapport. Chacun est fait de la confrontation de ce qu'il 6

SIMPLISMES

voit et de ce qu'il entend, de ce qu'il donne à voir et de ce qu'il parle. Deux sens différents ouvrant sur deux univers différents, sans cesse confrontés, affrontés, qui se retrouvent à tous les niveaux du monde. Toutefois, je refuserai de suivre Spengler qui fait de la vue l'organe décisif, et, que les deux yeux soient chez l'homme devant la face, avec une vision binoculaire superposée, devient la spécificité humaine par rapport à l'animal ayant deux yeux des deux côtés de la face, avec deux vues du monde (à droite et à gauche) non superposables.

Spengler fait de cette disposition, l'origine

du pouvoir conquérant de l'homme,. et aussi de sa station debout qui place les yeux au sommet de sa stature ... Plus fondamentalement je me rattacherai à tout le courant de pensée qui fait du langage parlé le spécifique humain. Et ici encore, je lie-langage et parole; j'accepte bien entendu que les fourmis aient un " langage » tactile, que les abeilles aient un " langage » visuel, c'est-à-dire un mode de désignation, de communication, de transmission d'informations à la fois codé et appris. Mais ce" lan gage» si subtil qu'il soit n'a aucune commune mesure avec le langage parlé de l'homme : il faut être d'abord décidé à ramener le langage

à l'information de fait,

pour pouvoir identifier ces modes de com munication à un langage. Mais la parole n'est pas caractérisée par la transmission d'informations, elle est bien au-delà, il y a un autre domaine, une autre aire d'action de la parole, il y a réception d'autres évocations que des informations dans la relation parlée, il y a d'autres

émotions que réflexes. Je ne dis pas que

le langage parlé de l'homme est plus complexe, plus perfectionné, plus évolué que celui des abeilles.

Je dis qu'il est

d'une autre nature et incomparable. Pour comparer, il faut commencer par évacuer de ce langage humain tout ce qui déborde l'information visuelle, tout l'inaccessible au code, et par conséquent non seulement l'amputer, ce qui est la méthode tradi tionnelle réductionniste de toutes les sciences, mais l'amputer de ce qui fait son essence. Ce qui caractérise ce langage parlé de l'homme, c'est précisément -ce qui déborde, excède, destructure aussi tout ce qui peut être trans mis dans le langage tactile ou visuel, ce sont les marges du sens et les ambivalences, et la fiuctuance des interprétations. Un signe n'y correspond pas à une chose. Un mot évoque les échos, les sentiments mêlés de pensées, les raisons mêlées de déraison, les motivations sans conséquence, les pulsions sans cohérence... telle est la spécifi- 7

LA PAROLE HUMILIÉE

cité qui me paraît significative et non pas le commun dénominateur.

Prendre tout

ce qui peut être porteur d'information et dire : tel est le langage, d'où implicitement : le langage humain est cela, me paraît

être ce biaisage auquel

les sciences humaines en particulier nous ont trop accoutumés! " L'important, c'est la différence. » L'a-t-on assez souvent entendue cette formule, en linguistique et ailleurs. Mais alors appliquons-la! Retenons donc avant tout ce qui différencie, ce qui spécifie le langage humain, et c'est le jeu entre le signifiant et le signifié. Jeu avec les trois significations possibles du terme! C'est la labilité, la flexibilité de la parole par rapport au sens. Ainsi pour moi le langage parlé de l'homme ne peut être ramené

à n'importe

quel assemblage cohérent de signes compréhensibles

à l'aide d'un

code. L'enchaînement des images visuelles, la cohérence du discours parlé, c'est le parti pris de cette réflexion, où je n'ignore pas les autres choix possibles, mais dont je puis affirmer qu'il s'agit encore de choix et de parti pris,

à partir d'autres options, d'autres thèmes

de recherche que les miens, je ne les méprise pas, je ne les élude pas, ils sont simplement autres, et ressortissent à une autre vérité. 1

Voir et entendre

1 Non point genèse, non point histoire. Le plus simple et le plus immédiat. Mon regard s'étend devant moi, je perçois la lumière sur la mer et jusqu'à l'horizon. Je couvre l'espace. A ma droite, à ma gauche, illimitée, la plage droite -les dunes - l'espace. Du regard je m'approprie l'espace. Les choses sont claires, évidentes. Je vois le vent courber au ras les oyats. J'enregistre successivement les ima ges et leur juxtaposition me donne Ye monde réel où je vis, ce qui m'entoure. Je suis au centre de cet univers par mon regard qui balaie cet espace et me transmet tout ce qui le compose. Je cbmbine ces images de la réalité, et je l'appréhende, totale, je m'incorpore en elle par le regard. Je suis le point à partir duquel s'ordonnent l'univers et l'espace, le regard me situe et situe chaque composante à sa place et en son lieu. Le regard me découvre un ordre. Il est lui-même cons titutif de cet ordre, dans sa procession même, sa découverte progres sive de tout ce qui m'entoure. Et déjà de le dire ainsi montre combien je suis irrémédiablement, par mon regard, le centre du monde 1. Il m'apprend ce qui est à ma droite et à ma gauche, ce qui est proche et ce qui est lointain. Toute la réalité se découvre peu à peu à moi.

1. Ceci reste exact dans toutes les sociétés malgré l'invention tout à fait curieuse

et dogmatique selon laquelle la perspective est une invention de la Renaissance comme expression de l'univers bourgeois, d'une séparation entre valeurs et faits, entre objet et sujet, produits bien entendu de la lutte des classes. Ceci qui bien entendu contient une part exacte devient un lieu commun d'une extrême pla titude par sa dogmatisation. Cf. par exemple J.-J. Goux, Les Iconoclastes, coll. " L'ordre philosophique», Paris, Éditions du Seuil, 1978. 9

LA PAROLE HUMILIÉE

Sans lui, je suis brusquement privé de la possibilité même d'appré hender le réel, de me situer dans l'espace. Un univers est construit pour moi par le regard. Il me découvre un réel immédiat, fait d'ima ges colorées, simples et concordantes, mais il me fournit aussi des matériaux plus subtils. J'apprends à lire le visage de mon frère ou de mon ·ennemi. Les images transmises se superposent et je sais dorénavant que telle image s'inscrit dans tel contexte du réel, évoque, provoque telle autre image, je m'attends à ce que je vais voir, mais de toute façon ce sera quand même inscrit dans l'espace, et ce sera constitutif de la réalité, plus profonde, cachée dans un sens, mais le réel quand même. Le regard m'apprend ces signes du ciel qui sont signes du temps qu'il va faire, mais en lui-même, il ne me livre rien d'autre que ces nuages chargés venant du noroît, aux formes rondes

équivoques,

et s'élevant haut dans un ciel déjà gris. J'en déduis le grain mais le regard ne m'a livré qu'un ensemble d'images. Il me fournit ensuite des renseignements. J'ai besoin de savoir quelle action mener, comment me situer, et c'est le regard qui va me per-· mettre de savoir quel est le réel où mon action va s'engager, si elle est possible ou non·. Il me donne des renseignements sur le monde qui m'entoure. Il me permet d'accumuler des séries de renseignements dont chacun est une image, dans l'espace, de la réalité. Et comment ferais-je pour intervenir dans ce réel sans cette source intarissable d'informations, mais des informations ponctuelles, pointillistes, qui ne concernent que la réalité, jamais rien d'autre, jamais aucune autre dimension, et c'est une autre activité qui me permet de com prendre, d'associer, de voir au-delà, plus loin, ce que précisément je ne vois pas. Le regard travaille exactement comme l'appareil photographique me livrant des dizaines, des centaines d'instantanés, qui ne sont jamais enchaînés que par mon activité cérébrale, et qui n'ont pas d'autre sens que celui que je veux bien leur attribuer. Et grâce à ces renseignements, je puis intervenir, m'incorporer a,utre ment que par le regard lui-même, dans cette réalité. Le regard a fait de moi le centre du monde parce qu'il me situe dans le point d'où je vois tout, et me fait voir ce qui est relatif au point où je me situe, et il balaie circulairement cet espace à partir de ce point. Mon point de vue. Mais de ce moment, je suis tenté, moi, centre du monde, d'agir sur ce spectacle, de transformer ce décor. Il y manquait un acteur, me voici. Le regard est la provocation

à l'action, en même

10

VOIR ET ENTENDRE

temps que le moyen, le porteur de l'action. Sans lui, encore, comment pourrais-je agir. Je ne sais même pas ce que ma main rencontre, ce que je puis saisir. La vue me donnait une présence de la réalité à moi, maintenant elle m'engage dans une présence de moi à cette réalité.

Je vais utiliser tous

les renseignements que la vue m'a transmis.

Je vais modifier cet univers d'images,

je vais créer de nou.velles images. Je suis un sujet non séparé de ce qu'il regarde. Ce que je vois s'incor pore en moi. Mon action m'incorpore dans ce que je vois. Les images permettent et conditionnent mon action, elles sont impératives. Ce que me transmet la vue est toujours impératif. Je me penche à la fenêtre, je plonge mon regard dans ce vide. Les images de la distance, de la profondeur s'imposent à moi. Je sais que je· ne dois pas me pencher davantage. L'image définit et délimite mon action.' Elle ne la provoque pas mais en établit les conditions et les possibilités. Sans image visuelle mon action est exactement aveugle, incohérente et incertaine. Le visuel me transmet des certitudes, des renseigne ments avons-nous dit. Mais des renseignements certains. J'aperçois une mer grise et un horizon chargé. Ceci est certain.

Le réel qui m'en

toure est certain. Je puis avoir des certitudes

à son sujet. Il n'est ni

incohérent, ni déformé. Bien entendu, je sais que tout cela est aussi appris, qu'il n'y a pas de ·données immédiates des sens, que les formes et couleurs et distances que je saisis me sont perceptibles parce que je les ai apprises, et que c'est la culture où je me trouve qui m'a fourni les images mêmes que je vois, mais ceci dit (qu'il ne faut quand même pousser à l'extrême!), je vois. Je vois des images, qui sont cer taines. Pour que cette réalité change de forme, il faut que j 'inter vienne, que je modifie ma vue, que je mette des lunettes, ou encore je la dessine déformée. Mais ce n'est pas la réalité de l'univers que je vois, c'est mon dessin. Je pense

à cet effroyable malaise qui nous

prend lorsque le réel submergé de brouillard devient pour nous incertain. Lorsque ma vue ne peut plus me fournir d'images sûres,

évidentes, garanties, lorsque

je suis incapable d'agir parce que je n'ai plus ces sources· d'information indiscutables, les images visuelles. Et la peur de la nuit réside dans cette même incertitude. Le monde n'a plus de centre. Il est décentré parce que je ne le vois plus. Le centre peut être n'importe où, mais plus là où je suis. N'importe où, et nulle part. Je ne suis plils situé. Les choses ne sont plus situées par rapport à moï. Il n'y a plus de dimension et de couleurs. Je me 11

LA PAROLE HUMILIÉE

tiens immobile et j'attends, incapable d'intervenir, de changer cette situation, paralysé soudainement par défaut d'images. Le visuelquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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