LA FIXATION DES PRIX par John Roland
En outre il fournit son assistance pour l´amélioration des méthodes de formation coopérative
La-fixation-des-prix.pdf
Le thème concerne la fixation du prix d'une offre (bien ou service) qui de faire une analyse simplement descriptive des méthodes de fixation des prix.
Les méthodes de fixation de prix :
Déterminer le lien entre la politique prix et les autres éléments du marketing-mix. ? Évaluer les différentes méthodes de fixation des prix.
La détermination des prix
part de marché. •. Permet au consommateur d'avoir une idée de la valeur du produit par rapport à la. 3. Les méthodes de fixation des prix
Le Mode de fixation des prix dans lentreprise
D'une manière générale la méthode de calcul du prix de vente final reposerait sur la base du coût variable unitaire auquel serait ajoutée une marge plus ou
Nanopdf
Prix hors taxe de vente = coût de revient × coefficient multiplicateur. b. Méthode coût directe + marge : Le coût d'un produit se compose de deux parties : -
Guide sur lévaluation en douane et les prix de transfert
9 http://www.un.org/esa/ffd/wp-content/uploads/2017/04/Manual-TP-2017.pdf expliqué ainsi que les méthodes de fixation des prix de transfert.
ORGANISATION DE COOPÉRATION ET DE DÉVELOPPEMENT
2 Jul 2010 MÉTHODES DE DÉTERMINATION DES PRIX DE TRANSFERT ... b. être raisonnablement indépendant de la fixation des prix de transfert c'est-à-dire ...
Prix de transfert : Pourquoi et comment fixer les prix des transactions
Dans la section 3 les différentes méthodes de fixation des prix de transfert basées sur les principes de pleine concurrence et reconnues par l'OCDE sont
EXAMEN DE LA COMPARABILITÉ ET DES MÉTHODES
22 Jul 2010 multinationaux et les autorités fiscales pour la fixation des prix de transfert. Il s'agira d'examiner ce principe de rappeler sa valeur de ...
La fixation des prix
Thème d’étude - La fixation du prix - Page 2 sur 4 Le prix est la variable d’ajustement entre l’offre et la demande sur un marché Pour l’entreprise le prix doit être acceptable par le consommateur et permettre la couverture des charges et un certain niveau de profit Les objectifs et les contraintes de la fixation du prix
I Les principaux modes de fixation des prix
I Les principaux modes de fixation des prix L’entreprise dispose de 3 méthodes : - les coûts - la concurrence - la demande 2 fixation en fonction des coût 1 L’ajout d’une marge au coût de production global On applique un coefficient multiplicateur au prix HT Prix de vente = coût de revient + marge
Comment fixer un prix ?
Autant chez les gens d’affaires et qu’au sein de la clientèle, nombreuses sont les personnes qui pensent que l’établissement du prix par majoration des coûts, ou par ajout d’une marge bénéficiaire, est la seule façon de fixer un prix.
Comment déterminer le prix d’un produit ?
Bien que déterminé par une vision stratégique, le prix doit aussi tenir compte de l’analyse de la demande, de l’étude de la concurrence ainsi qu’une estimation des frais relatifs au cycle de mise sur le marché du produit ou service. Cette étape donne lieu à la détermination d’une fourchette de prix approximative.
Quels sont les contraintes liées à la fixation du prix de vente ?
Fixation du prix de vente : contraintes internes et externes. Les contraintes liées à la fixation du prix de vente peuvent être internes ou externes. Ainsi, ces contraintes exercent une pression ponctuelle ou permanente sur l’entreprise et sa stratégie.
Comment fixer un prix en fonction de la valeur ?
Eric Dolansky donne les conseils suivants aux propriétaires d’entreprise qui veulent fixer un prix en fonction de la valeur. Choisissez un produit comparable au vôtre et voyez ce que paie la clientèle pour l’acheter. Trouvez des caractéristiques qui différencient votre produit du produit comparable.
Le mode de fixation des prix
dans l"entreprise collectionGESTION
Le mode
de fixation des prix dans l"entrepriseMARTINE
PELÉ
Professeur des
Universités en Sciences de Gestion
PRÉFACE
DEPIERRE LASSÈGUE
PRESSES UNIVERSITAIRES
DE FRANCE
A la mémoire de mon père, à ma mère.
ISBN2 13 044316 8
ISSN 0764-2237
Dépôt
légal - lre édition : 1992, août (0 PressesUniversitaires de France, 1992
108,boulevard Saint-Germain, 75006 Paris
2. Proposition de meilleures procédures, 249
SECTION
I. - Les grandes étapes du raisonnement de fixation des prix, 251 11 Une première série de contraintes d"importance majeure, 252
AI Contrainte réglementaire, 253
B /Demande du produit, 253
C /Coût de revient, 255
D / Comparaison avec la concurrence, 256 21 La formulation d"objectifs multiples, 258
A / Objectifs financiers, 259 1.Le profit, 260
2.Le cash-flow, 260
3.La rentabilité des investissements, 261
4.L"obtention d"une marge satisfaisante, 261
B /Les objectifs commerciaux prioritaires, 262
31 La prise en considération des contraintes secondaires, 263
SECTION
II. - Un modèle d"optimisation en vue de la fixation des prix, 266 1 | Les contraintes prioritaires, 266 A / La réglementation, 266 B / La demande, 267 C /Le coût, 268
D / La concurrence, 268 21 L"optimisation des objectifs, 269
31 La prise en compte des contraintes secondaires, 277
Conclusion,
283Annexes, 291
Bibliographie,
337Liste des tableaux, 345 Liste des schémas et graphiques, 347 Liste des annexes, 348
Préface
L"ouvrage qu"on va lire est issu d"une thèse de doctorat d"Etat en Sciences de Gestion. La discipline est jeune et peut-être pas encore clairement délimitée ; je commencerai donc par allumer ma lanterne, je veux dire par définir les Sciences de Gestion et par distinguer leur démarche et leurs ambitions de celles de sciences apparemment voi- sines et pourtant très différentes.La gestion
est la conduite efficace d"une organisation vers un objectif.L"organisation
peut être un groupe quelconque d"hommes : entreprise, association, service public, Etat, etc. L"efficacité de la gestion pro- vient de son caractère scientifique, mais elle n "est pas contemplative, c"est une forme d"action. Elle ne se contente pas de décrire, ni même d"expliquer certains phénomènes ; elle utilise la connaissance pour modifier leur cours spontané et pour se rapprocher de l"objectif préa- lablement fixé. Donc, une gestion qui ne se proposerait pas un but et qui ne permettrait pas de l"atteindre, ou de s"en approcher, serait contradictoire. Mais, en même temps, une gestion qui ne reposerait pas sur une méthode scientifique serait inexistante.La gestion ne
peut pas être purement volontariste ; il ne suffit pas de décider qu"on veut atteindre un certain objectif; il faut encore en prendre les moyens et ces moyens doivent être adaptés à l"objectif et aux contraintes, donc bien particuliers.C"est que
la poursuite d"un objectif rencontre de nombreux obsta- cles. Obstacles extérieurs : l"environnement peut être hostile, l"avenir peut être inconnu. Obstacles intérieurs : une organisation est un assem- blage d"hommes qui n"ont pas la même histoire, le même statut, les mêmes motivations et entre lesquels les communications peuvent être lentes, incomplètes, biaisées ; la gestion doit harmoniser et coordon- ner leur activité. Contraintes matérielles ou logiques : on ne peut pas faire travailler un atelier plus vite que l"atelier qui l"approvisionne ; on ne peut pas financer un emploi immobilisé au moyen d"une res- source à court terme ; on ne peut pas vendre durablement à un prix inférieur au coût de revient ; on ne peut pas proposer au consomma- teur des produits excellents, mais qui ne correspondent pas à leur mode de vie etc. Bref, les faits opposent une résistance à la volonté du gestionnaire, qui parvient à agir sur eux, mais pas n "importe com- ment, ni dans n"importe quelle direction.Jusqu"à
une époque récente, la seule application de la scienceétait technique ; elle
permettait de fabriquer des objets matériels : nouveaux, de meilleure qualité, de moindre coût, en plus grand nombre. La nouveauté est qu"on s"est aperçu que le domaine des applica- tions de la science est plus vaste qu"on l"avait cru et que la science peut aussi guider l"action. Comme les phénomènes physiques, les orga- nisations sont régies par les lois et, pour les conduire efficacement, il faut d"abord découvrir ces lois.La célèbre formule
" on ne commande à la nature qu"en lui obéis- sant » condamne à la fois l"empirisme et la magie. Nous ne pouvons pas modifier les faits à notre gré, mais seulement ruser avec eux; ils offrent une résistance invincible, qu"on ne peut pas forcer, mais seulement contourner. Bacon pensaità la physique ; on sait mainte-
nant que la proposition est de portée universelle ; c "est son applica- tion à la conduite des organisations humaines qui a donné naissance aux Sciences de Gestion. Une gestion efficace passe par la connais- sance des lois économiques, sociologiques, psychologiques etc. ; elle passe donc par les Sciences de Gestion. Les sciences fondamentales décrivent, mesurent, expliquent les phé- nomènes et formulent les lois qui les régissent. Les sciences de ges- tion les utilisent toutes et s"appuient sur elles ; mais elles ne peuvent se contenter d"une connaissance désintéressée, elles doivent, en plus, proposer des solutions pratiques aux gestionnaires, c"est-à-dire aux décideurs responsables de la conduite des organisations. Ces solutions doivent être plus rationnelles-efficaces (les deux ter- mes sont équivalents) que les solutions empiriques qui étaient prati- quées auparavant; c"est la condition évidente de la légitimité desSciences
de Gestion. Mais en même temps - et ceci fait difficulté elles doivent être applicables. Elles doivent être compatibles avec l"information dont disposent les décideurs, avec leur compétence professionnelle, avec des coûts et des délais acceptables ; elles doi- vent même dans une certaine mesure composer avec les habitudes invétérées, avec une culture propre à une organisation, qu"on ne peut espérer changer complètement, dans un délai bref. Les méthodes de gestion doivent donc se faufiler difficilement entre deux écueils opposés ; elles doivent reposer sur une analyse scientifi- que pertinente, elles doivent aussi être utilisables sur le terrain rusti- que de la pratique.L"étude du
Professeur Martine Pelé concerne un problème de gestion particulier, celui de la fixation du prix d"offre par le producteur. Elle repose sur une enquête approfondie qu"elle a menée sur le terrain. C"est évidemment plus long et plus difficile à réaliser qu"une théorie au coin du feu; mais c"est aussi plus riche d"informations et plus sérieux. Cette enquête lui a permis de découvrir comment un certain nombre d"entreprises françaises s"y prennent véritablement pour fixer les prix des produits qu"elles offrent sur le marché. Ainsi, elle a pu établir une typologie suivant les objectifs poursuivis, la hié- rarchie établie entre eux, les contraintes qui s"imposent aux entrepri- ses. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : maximisation du profit immédiat, conquête d"une part stable du marché, écrémage ou exploitation exhaustive du marché etc. Les contraintes sont, elles aussi, très diverses : réglementation étatique, variation du coût de production en fonction de la quantité, quantité que le marché est susceptible d"absorber, attitude de la concurrence, réaction de la demande aux variations des prix, etc.Par ailleurs, Martine
Pelé rassemble les derniers acquis des étu-
des économiques sur les conditions optimales de la fixation des prix, c"est-à-dire celles qui permettent de maximiser l"avantage recherché. Cela lui permet de faire apparaître dans la pratique une part non négligeable d"irrationalité, due à l"habitude, à l"imitation, à la recherche de la facilité. D"où un écart entre la solution optimale et les solutions effectives. Elle se garde bien de proposer aux décideurs une solution idéale (telle que maximisation du profit, ou du rendement, ou d"un avan- tage qualitatif, ou minimisation du coût). Une telle solution est sédui- sante pour l"esprit, mais elle n"est pas applicable, parce qu"elle sup- pose la disposition d"une information, ou d"une compétence, que les décideurs n"ont pas, ou parce qu"elle entraîne un coût excessif. En revanche, la solution qu"elle préconise est supérieure à celles de la pratique courante et elle augmente l"efficacité. Mais, en même temps, elles est praticable parce qu"elle tient compte des conditions effectives dans lesquelles les gestionnaires vivent et décident.C"est pourquoi
je pense que l"ouvrage de Martine Pelé est exem- plaire de ce que doit être une bonne étude de gestion. Elle joint l"obser- vation des faits et l"analyse théorique; elle établit et propose une méthode d"aide à la décision qui multiplie son efficacité.Pierre LASSÈGUE
Professeur
à l"Université de Paris I, Panthéon-SorbonneIntroduction
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