[PDF] Les spectres secondaires de rayons gamma: sur lorigine du fond





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2) Les spectres continus

spectres de raies. Repérer par sa longueur d'onde dans un spectre d'émission ou d'absorption une ... b) Spectre continu et température.



Études sur le spectre continu `` technique des rayons x. - I

Études sur le spectre continu “ technique ” des rayons x. - I. normalisation des représentations spectrales. H. Tellez-Plasencia. To cite this version:.



Chapitre 4 : Les spectres lumineux - AlloSchool

On appelle spectre continu d'émission un spectre qui contient des radiations qui se suivent sans interruption. Quand la température d'un corps (solide



Les spectres continus de latome et de la molécule dhydrogène

Spectre continu moléculaire et spectre continu lié à la série de Balmer (1). -. Lorsqu'on excite l'hydrogène contenu dans un tube sous une pression de quelques.



Untitled

le spectre continu ?(A) : Un opérateur est dit quasinilpotent si son rayon spectral est nul. = spr(A). Nous allons maintenant voir trois décompositions 



Les spectres secondaires de rayons gamma: sur lorigine du fond

du fond continu et la variation d'intensité relative des raies. Jean Thibaud LE SPECTRE CONTINU ET LE SPECTROGRAPHE A RAYONS GAMMA DE. M. THIBAUD.



SPECTRE DE RAIES ET LA CONSTANTE DE RYDBERG

Lors d'une analyse spectrale deux types de spectres peuvent être observés: un spectre continu et un spectre de raies (spectre discret).



Quelques rhultats expQimentaux sur une source d%mission de

spectre continu depuis le domaine visible jusqu'aux rayons X. GERMAINE RALLOFFE~C JACQUES ROMAND et JEAN KIEFFER. Laboratoire des Hautes-Pression.4.N.R.S..



Spectre des opérateurs différentiels

28 janv. 2005 Définition 5 (Spectres continu et résiduel) On appelle spectre continu l'ensemble ?c(A) = {? ? ?ess(A)?p(A); Im (? ? A) = X } et spectre ...



Notion de spectre

17 déc. 2008 La notion de spectre est au départ une notion physique. Elle a pris ... Le mathématicien distingue le spectre continu du spectre absolument.



leay:block;margin-top:24px;margin-bottom:2px; class=tit maths-sciencesfrQU’’EST CE QU’’UN SPECTRE CONTINU - maths-sciencesfr

Ce spectre obtenu est un spectre continu de lumière Il est composé d’une infinité de couleurs qui vont du rouge au violet Obtention d’un spectre continu On peut décomposer la lumière blanche à l’aide d’un prisme ou d’un réseau On obtient le spectre de la lumière blanche : il est constitué d’une infinité de



les informations Spectres d’émission continus et discontinus

1) Quel type de spectres (continu ou discontinu) peut-on observer sur le document 4 ? Justifier 2) Que remarquez-vous sur ces spectres lorsque la température du corps augmente ? 3) On peut voir trois parties colorées sur la barre de métal du document 5 : noire orange-rouge et jaune



Chapitre 4 : Les spectres lumineux - AlloSchool

On appelle spectre continu d’émission un spectre qui contient des radiations qui se suivent sans interruption Quand la température d’un orps (solide liquide ou gaz sous forte pression) augmente sa ouleur passe du rouge (orangé) au jaune puis au lan



Chapitre III- Rayons X

spectre continu et d’un spectre de raies Ces deux composantes correspondent à deux mécanismes d’émission bien distincts - Interaction des électrons accélérés avec les noyaux de la cible (spectre continu ou spectre de Bremsstrahlung) - Ionisation des couches profondes des atomes de la cible (spectre de raies)

Comment mesurer un spectre continu ?

Un spectre continu peut être observé par la méthode dite de la décomposition de la lumière. Il est indispensable d'utiliser une lampe à incandescence comme source lumineuse. Après celle-ci, une fente permet de réduire l'étendue de la source et d'éviter le chevauchement dans l'espace des lumières dispersées.

Qu'est-ce que le spectre continu ?

Définitions Spectre continu =spectre lumineux qui s'étend d’une nuance de couleur à une autre sans interruption. Spectre discontinu ou spectre de raies= spectre lumineux composé de raies de couleurs sur fond noir. Thème n°2 – Ondes et signaux Chapitre 2 – Spectres et lumière TP n°1

Quelle est la différence entre spectre continu et spectre discontinu ?

Spectre continu =spectre lumineux qui s'étend d’une nuance de couleur à une autre sans interruption. Spectre discontinu ou spectre de raies= spectre lumineux composé de raies de couleurs sur fond noir. Thème n°2 – Ondes et signaux Chapitre 2 – Spectres et lumière TP n°1

Qu'est-ce que le spectre obtenu ?

Le spectre obtenu ne contient plus toutes les lumières. Il est discontinu. On appelle spectre la décomposition d’une lumière à l’aide d’un prisme ou d’un réseau. La lumière blanche contient toutes les lumières colorées. Les principales couleurs qui composent la lumière blanche : Violet, indigo, bleu, vert, jaune, orange, et rouge.

352

ÉTUDES SUR LE SPECTRE CONTINU "

TECHNIQUE »

DES RAYONS X.

I. NORMALISATION DES REPRÉSENTATIONS SPECTRALES

Par H.

TELLEZ-PLASENCIA,

Chargé

de Recherches au

C. N. R. S.,

Laboratoire central des Services

chimiques de l'État.

Sommaire.

2014
Toute représentation spectrale d'un rayonnement complexe aboutit à une intégration, d'où l'on tire des valeurs moyennes, des coefficients et des indices. Leur valeur dépend souvent de la représentation choisie, et c'est en vue de ce choix que l'on donne des normes, qui doivent permettre d'établir un lien correct entre l'expérience et le calcul. LE

JOURNAL

DE

PHYSIQUE

ET LE RADIUM. TOME

15, MAI 1954,
Le qualificatif technique d6signe le spectre de rayons

X mesure en dehors du

tube, apres les filtra- tions fixes et instrumentales, par opposition au spectre physique

» tel

qu'il se produit dans 1'anti- cathode, mince ou epaisse.

Nous entendons

pour normalisation, dans ce cas particulier, l' établissement de regles pour le choix, parmi les nombreuses representations spectrales possibles, de celle qui permet de d6finir correctement les donn6es de chaque experience particuli6re utili- sant un rayonnement complexe, Le probleme de la normalisation des spectres a deja ete 6tudi6 par

Grossman

[1], [2], pour les rayons X, et par

Wilkens

[3] pour le rayonnement du corps noir. Comme le souligne ce dernier, toute loi spectrale est une loi int6grale, et le choix d'une representation n'a pour but que son int6gration, et le traitement th6orique ult6rieur de son int6grale totale ou partielle.

C'est dans ce but

que nous croyons n6cessaire de pr6ciser les regles de normali- sation que nous avons choisies, et les donn6es nume- riques que l'on peut en tirer. 1.

Spectrometrie.

Le spectre peut etre enre- gistr6 au moyen de plusieurs techniques : io Au moyen d'une emulsion photographique. 2o Au moyen d'une chambre d'ionisation, et dans ce cas : a. La chambre absorbant la totalite du rayon- nement (gaz lourds : hydrocarbures bromur6s, gaz rares); b. Le rayonnement n'6tant absorbe que partiel- lement (air). 30 Au
moyen d'un compteur G. M. 11 s'agit, dans chaque cas, d'obtenir la distri- bution de

1'6nergie,

ou d'une de ses fonctions, dans le spectre. io 11 est d'usage de determiner la distribution des intensites I du rayonnement, d'apres celle des den- sit6s photographiques D; on estime que, pour

D f aible

on peut faire I = kD. Nous avons montre [4], [5] que l'on a une representation plus exacte, et dans des limites plus etendues du spectre en prenant, pour mesure de I (en unites indeterminees) : [D*, densite mesuree; D, densite mesuree corrig6e pour le voile de fond

4); DM,

densite maximum, que l'on mesure sur la raie du rayonnement direct. F est un facteur de sensibilite spectrale dont nous avons donne des formules, loc. cit.].

20 a. Dans une chambre d'ionisation a

absorption totale, l'ionisation iT est proportionnelle a

1'6nergie

incidente 1 :

C a les valeurs

suivant que l'on mesure iT en u. e. s. c. g. s. (a, b) ou en charges 6lectroniques (c) et I en ergs (a) ou en electrons-volts (b, c). s est l' énergie, en volts, de formation d'une paire d'ions dans le gaz de la chambre. b. Si le rayonnement n'est pas compl6tement absorb6 par le gaz, on fait : iT

6tant l'ionisation

que produirait l'absorption totale, i l'ionisation mesuree et

F (À)

un facteur d'ionisation que nous avons analyse ailleurs pour differents

gaz [6]. Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01954001505035200

353

30 Dans le cas d'un

compteur, le rapport entre le nombre no de photons isoénergétiques incidents, et celui, N, d'61ectrons libérés, est donne par les formules (3), (12) d'un autre de nos travaux [7].

Si 1'on admet

que tout electron lib6r6 peut d6clen- cher un choc, et que le temps ecoule entre 1'emission d'un electron primaire et celle d'un electron

Auger,

ou la reabsorption d'un photon secondaire, est infé- rieur au temps de resolution du compteur, les for- mules cit6es peuvent se reduire à j

6tant le coefficient

d'absorption lin6aire du rayon- nement, pour le gaz normal, p sa pression dans le compteur, et X la longueur de celui-ci. Apres les corrections statistiques usuelles, le nombre de chocs mesures nous donnera N, et celui-ci no. 2.

Representation

des spectres.

L'un ou

1'autre de ces

procédés nous fournit une repr6sen- tation spectrale dont les abscisses sont des angles de

Bragg -

d'ou l'on passe aux longueurs d'onde et les ordonn6es, soit le nombre des photons, soit leur energie globale.

On s'en tient en

general a cette representation, et c'est d'elle que l'on tire les donn6es pour le trai- tement math6matique.

Or elle est d6fectueuse

pour deux raisons, dont la premiere a ete d6velopp6e par

Grossman

(loc. cit.) :

I ° L'echelle des J, n'est

pas lin6aire pour 1'energie : elle est exactement 1'echelle inverse de celle-ci (a la constante hc pres) : la densite d'6nergie n'y est pas uniforme, l'ordonn6e maximum ne correspond pas au maximum d'6nergie, les valeurs moyennes d6ter- min6s par integration n'ont guère de rapports avec la géométriequotesdbs_dbs23.pdfusesText_29
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