[PDF] LE FONDEUR DE CLOCHES premières cloches ou plus





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La fonderie de Cloches Villedieu Les Poêles

Le clocher-mur de Notre Dame de l'Assomption typique de la culture campanaire du Sud-Ouest



Cloches de France pendant la seconde guerre m

siècle les clochers sont volontiers traités comme des « mines de bronze » (expression du député Reboul le 14 mars 1792 à l'Assemblée législative).



CLOCHES ANCIENNES CONSERVATION ET UTILISATION

clochers (dans le cadre de ma thèse sur les cloches médiévales) pour un entre- Les cloches sont réalisées en bronze (78 % Cu



Journal officiel de la République française - N° 146 du 24 juin 2016

Propriétaire d'un ensemble campanaire ou d'une cloche remarquables. Vous vous interrogez sur les procédures pour en envisager le classement ou l'inscription au 



Une entrevue avec Jacques Sergeys fondeur de cloches

29 mars 2014 Ce dernier avait appris le métier de fondeur de cloches auprès de son oncle et parrain Dominique Irénée Van Aerschodt (1822-1898). Dominique ...



Les Cloches

Louison Leveque Amans à Toulouse en 1880 dont une des cloches (la supérieur) fut fabriqué avec le bronze de l'ancienne cloche unique à l'époque



Les cloches de Notre Dame de Montamisé

La seconde cloche mentionne le curé le parrain



LE FONDEUR DE CLOCHES

premières cloches ou plus exactement des clochettes



La fonte du bronze : cloches canons

https://www.e-periodica.ch/cntmng?pid=gen-001:1942:20::611



Le maire gardien du clocher et des cloches

Connaître entretenir et préserver les cloches de ma commune battant à la cloche et l'endroit où le battant frappe le bronze (pas trop bas)

•n°3 - Votre Généalogie - 15 ••14 - Votre Généalogie - n°3 •

HISTOIRE

Claude Masse, ingénieur ordinaire du Roi (depuis 1702), son équipe d'élèves ingénieurs et " dessinateurs » se sont activés donc à rejoindre Lille où ils établissent leur bureau. Nous pouvons résumer la difficulté de sa mission par cette phrase, dont il témoigne personnellement : " J'ai bien essuyé du froid, du chaud et autres injures des sai- sons, et si toutes les sueurs qui sont sorties de mon corps en faisant ces ouvrages étaient rassemblées ensemble, l'ont verrait combien le métier de lever des cartes et des plans exactement est pénible et dange- reux ».(d) Sur place, il entame un véritable recensement de don- nées, de relevés et d'observation. Au moyen d'instru- ments de mesure précis de l'époque, il procède à de nombreux calculs et les porte sur ses carnets qu'il emmène par la suite chez lui pour les coucher sur des plans papier, en couleur, en noir et blanc, et souvent en plusieurs exemplaires. Parfois, lorsqu'il manquait des données relatives à des secteurs non étudiés, il consul- tait alors d'autres cartes et à défaut d'en avoir car inexistantes, il persévère et s'attèle à en dresser les cartes. L'originalité de ces relevés tient sur deux domai- nes : les échelles appliquées systématiquement : 28

800 ème et 96 000 ème pour les cartes générales, qui

font de son oeuvre un travail homogène.De plus, il porte sur ses cartes de nombreuses légen- des en chiffres et lettres, pour faire référence à un autre travail, que bien des historiens ont remarqué comme exceptionnel : la rédaction de copieux mémoires topo- graphiques et historiques, la confection de croquis, plans de coupe, plans de fortifications ou d'écluses. Un héritage remarquable que Claude Masse a su appor- ter aux générations futures grâce à son sens de l'ob- servation, la rigueur de ses remarques et à ses qualités artistiques à la différence de ces deux fils. En effet, ses enfants, eux-mêmes ingénieurs géographes étaient rompus à suivre leur père dans les différentes campa- gnes de relevés jusqu'à la mort de Claude Masse, en

1737, mais se distinguent de leur père par le fait qu'ils

ont été davantage formés pour les rapports écrits, des mémoires plus clairs et par là des cartes certes moins artistiques, mais aussi du fait qu'ils aient embrassé la carrière militaire : François abandonne la cartographie en 1749 et meurt accidentellement en Allemagne en

1757, et quant à Claude-Félix, il entre dans le service

actif et , promu chevalier de l'ordre de Saint-Louis en

1749, il termine sa carrière en qualité d'ingénieur en

chef à l'Ile d'Oléron et décède à La Rochelle, en 1786 (e). Il ne convient guère d'évoquer dans cet article si la tota- lité de l'oeuvre des Masse subsiste. Il est certain que non. Or, nous savons qu'une grande partie de son oeuvre a été éparpillée, et a rejoint bien après différents services et ministères, bibliothèques et fonds particu- liers, dont on s'est efforcé au XIX ème siècle de ras- sembler du mieux que l'on peut, et par conséquent énumérer les lieux de conservation reste par là un sujet à traiter si l'on me permet d'en débattre. • (d) opt.cité, in Revue du Nord, 1921-1922. (e) Faille (René) et Lacrocq (Nelly), " les ingénieurs géographes Claude, François et Claude-Félix Masse », Editions Rupello,

1979.Carte des frontières du Nord de la France, SHAT, P.Povoas, 1991

Il faut remonter à l'antiquité pour retrouver les traces des premières cloches, ou plus exactement des clochettes, ancêtres de nos cloches actuelles. Elles apparaissent vers 2200 avant J.C. en Asie. Elles sont alors constituées de feuilles de métal, rivetées ou soudées entre elles. On en trouve la relation chez tous les peuples de l'antiquité. D'abord les Chinois, puis les Egyptiens, les Grecs. Chez les Romains, la cloche est appelée tintinabula et sert à annoncer l'ouverture des bains ou des marchés. Quelques siècles plus tard, vers l'an 400, elle deviendra nola ou campana, conséquence de la légende qui voulait que les premières cloches soient apparues à Nole, ville de la province de

Naples, province qui portait le nom ancien de

Campanie.

L'usage des cloches dans la religion chrétienne commence à s'étendre à partir du VIIe siècle. C'est à cette époque que naissent les premiers procédés de fonte de cloche en bronze. Avec la concurrence et la demande croissante, les techniques vont s'a- méliorer jusqu'au XIIe siècle. Les cloches devien- nent alors de plus en plus grosses et de plus en plus nombreuses ; certaines cités pouvaient en compter plusieurs centaines au Moyen Age. Toutefois, ce n'est réellement qu'au XVIIe siècle que les fondeurs maîtriseront tous les mystères de la cloche et de ses sonorités.

En Occident, les cloches sont apparues dans les

monastères. On en retrouve des traces dès le Ve siècle en Irlande, puis au IXe siècle à Aix-la- Chapelle où un moine bénédictin coule une cloche qui sera admirée par Charlemagne. Ces moines, appelés moines sainctiers (ou saincthiers) avaient le monopole de la fonte des cloches, ce jusqu'au

XIIe siècle.

Ils laisseront leur dénomination de sainctiers aux artisans itinérants qui, dès le Moyen Age, se dépla- cent de village en village pour fondre des cloches destinées le plus souvent, alors, aux églises, abbayes, monastères et cathédrales. Ces sainctiers itiné- rants formaient des grandes familles, originaires le plus souvent de l'Est de la France, qui se transmettaient et

amélioraient leur technique de génération en génération.Généralement ils travaillaient seuls, mais ils pouvaient

s'associer pour la fonte des grosses cloches. Les cloches étaient coulées sur le lieu même de leur usage, au pied des édifices ou dans le cimetière attenant, afin d'éviter une manutention compliquée pour l'époque. La construc- tion du four et la préparation du moule pouvaient durer plus d'un mois. Souvent, l'ancienne cloche, usée ou cas- sée, servait pour la fonte de la nouvelle, ce qui permettait d'économiser le bronze. Cette pratique itinérante des sainctiers durera jusqu'au XVIIe siècle, époque à laquelle les fondeurs s'installent et créent de véritables fonderies. A la veille de la Révolution, la France compte environ 200 fondeurs. •••LE FONDEUR DE CLOCHES

Par Jean-Louis MORELObjets populaires, familiers aux oreilles de chacun, et pourtant si méconnus. Les cloches, instrumentsde communication, religieux ou civil, voire instruments mélodiques, nous entraînent dans des domai-nes aussi variés que l'histoire, la musique, l'artisanat ou même la littérature.Voyage en campanologie à la rencontre des sainctiers.

LES METIERS D'AUTREFOIS OU OUBLIES

Petite histoire de la cloche

Du moine au sainctier

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