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11-Sept-2017 Pour poser un premier diagnostic sur la dimension « relations de travail et climat social » dans votre établissement vous pouvez vous appuyer ...
Guide de la qualité de vie au travail – Outils et méthodes pour
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Elle s'appuie fortement sur l'expression et la participation des agents. Il s'agit d'un processus social concerté centré sur l'amélioration des conditions du
GUIDE PRATIQUE
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La qualité de vie au travail - HAS
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Guide de la qualité de vie au travail
Elle favorise un passage cohérent à l'action en traitant divers domaines de l'organisation du travail du dialogue social et professionnel
La Qualité de vie au travail
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DIALOGUE SOCIAL ET QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL
L'Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire. (UDES) regroupe une vingtaine de groupements et de syndicats d'employeurs (associations mutuelles
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Améliorer la qualité de vie au travail : des pistes pour agir
Par innovations sociales nous entendons les innovations relatives à la gestion de la production et à l'organisation du travail ainsi que celles portant sur les
La démarche qualité en action sociale et médico-sociale
quel est le véritable pilote de l’entreprise qualité du côté de la puissance publique ? Le poids d’une culture d’économie administrée Nous préférons mettre tous ces atermoiements sur le compte du véritable choc culturel que vivent les secteurs social et médico-social confrontés à l’achèvement de leur professionnalisation
Référentiel de compétences des travailleuses sociales et des
Référentiel de compétences des travailleuses sociales et des travailleurs sociaux 2012 OTSTCFQ - 6 transmettre et indiquer aux étudiants les compétences attendues par l’Ordre au terme de la formation donnant accès au permis de travailleur social et celles attendues au seuil de l’emploi
Quels sont les qualités d’un travailleur social ?
Même si le travailleur social se veut être un spécialiste du comportement humain, il se doit d’être doté de qualités qui lui sont indispensables dans l’exercice de sa profession. 1— Compassion : le travailleur social est sensible aux souffrances du patient, et peut prendre part à sa douleur.
Quels sont les avantages d’un travailleur social ?
1— Compassion : le travailleur social est sensible aux souffrances du patient, et peut prendre part à sa douleur. 2— Écoute : c’est une qualité requise pour comprendre les problèmes des patients et leur proposer des solutions de manière efficace.
Comment travailler dans le social ?
Travailler dans le social peut être très intense, tant émotionnellement que physiquement. Ainsi, les professionnels doivent s'assurer de détenir certaines compétences et qualités, certaines naturelles, d'autres qu'ils pourront acquérir au fil de formations et d'expériences.
Quel est le rôle d’un travailleur social ?
Comme travailleur social, ton rôle est d’aaider les gens à résoudre ou à prévenir des problèmes d’ordre personnel, familial ou social. C’est sûrement cette envie de faire une différence dans la vie des gens qui t’a poussé à choisir ce métier. Et si tu revisitais la liste des compétences et qualités requises pour être travailleur social? Discrétion.
Pour un accompagnement de qualité
des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développementRecommandations de bonnes
pratiques professionnelles Ce document a reçu l'avis favorable du Comité d'orientation stratégique et du Conseil scientifique de l'Anesm. Juin-Juillet 2009 Déterminer des repères et des lignes directrices pour accompagner les personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du dévelop- pement, quels que soient leur âge et leur situation, tel est le sens de cette recommandation, inscrite dans le cadre de la mesure 30 du plan Autisme2008-2010.
Ce document pose volontairement un cadre général d'intervention, réservant à des recommandations ultérieures la déclinaison de pratiques professionnelles plus spéciques, en direction, par exemple, des enfants. Un aspect mérite d'entrée de jeu d'être souligné : la forte dynamique consensuelle qui a guidé son élaboration tant les approches concernant l'autisme font encore aujourd'hui l'objet de débats contradictoires. A chacune des étapes de ce travail, professionnels, usagers, familles, chercheurs et universitaires issus du secteur sanitaire et médico-social ont été associés. A travers la reconnaissance des particularités des personnes autistes, les points d'appui proposés ici entendent répondre aux objectifs suivants :donner des repères aux professionnels pour favoriser le développement des potentialités des personnes concernées ;
privilégier le respect et les attentes de celles-ci, en tenant compte, bien sûr, de leur entourage. En ce sens, les orientations qui suivent contribuent à positionner les pratiques du secteur médico-social au regard des droits des usagers - enfants et adultes - issus de la loi du 2 janvier 2002 et du 11 février 2005. Elles mettent également l'accent sur des points de vigilance incontournables (risque d'isolement, négligences...) qui sont susceptibles de mettre en cause l'intégrité et la dignité des personnes. Cette contribution au plan Autisme 2008-2010 constitue un premier socle commun pour améliorer la qualité de l'accompagnement, à adapter en fonction des situations individuelles et des réalités des établissements et services.Didier
CHARLANNE
Directeur de l'AnesmPour un accompagnement de qualité des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement
I 1Pour un accompagnement de qualité
des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement2 I Pour un accompagnement de qualité des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement
E quipe projet de l' A nesmNathalie THIERY, chef de projet
Pierre CHALMETON, chef de projet junior
Servane MARTIN, chef de projet junior
Carole AUBRY, chargée d'études
Patricia MARIE, documentaliste
Claudine PARAYRE, responsable du service Pratiques professionnellesGroupe de travail
Jean-Louis ADRIEN, professeur de psychologie, institut de psychologie, UniversitéParis - Descartes
Bernard AZÉMA, psychiatre, conseiller technique Centre régional pour l'enfance et l'adolescence inadaptée (Creai) Languedoc-Roussillon, Association nationale des centres régionaux pour l'enfance et l'adolescence inadaptée (Anc reai) Amaria BAGHDADLI, pédopsychiatre, professeur d'université-professeur hospitalier (PU-PH), coordonnateur du Centre de ressource autisme (CRA) Languedoc-Rous sillon, CHU de MontpellierJacques BALLET, représentant de l'association Autisme France au bureau du Comité d'orientation stratégique (Cos) de l'Anesm, directeur d'institut médico-éducatif (IME) et de centre d'accueil de jour
Gabriel BERNOT, ancien vice-président de l'association Spectre autistique troubles envahissants du développement international (SAtedI)
Stefany BONNOT-BRIEY, vice-présidente de l'Association SAtedI Chantal DESCHAMPS, membre du Conseil consultatif national d'éthique Séverine RECORDON-GABORIAUD, docteur en psychologie, directrice de foyer d'accueil médicalisé (Fam) et de maison d'accueil spécialisé (Mas) pour adultes avec autisme, Association des amis et parents d'enfants inadaptés (Adapei) Marcel HERAULT, représentant de l'association Sésame autisme au bureau du Comité d'orientation stratégique de l'Anesm, président de l'association Sésame autismeGhislain MAGEROTTE, président de la fondation Service universitaire spécialisé pour personne avec autisme (Susa), professeur à la faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, service d'orthopédagogie clinique,
université de Mons.Christian PARFAITE, directeur Fam et IME
Christine PHILIP, professeur à l'Institut national supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés (INS-HEA)
Christian SCHAAL, psychiatre, praticien hospitalier, responsable pôle adultes 68, CRA AlsacePour un accompagnement de qualité des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement
I 3Groupe de cotation
Marie-Angèle BAFFIN, chef de service IME La Sapinière, Croix-Rouge française,Saint-Jans-Cappel (59)
Mary BEGHIN, psychologue foyer de vie, IME Les Résidences du coin du loup, Croix-Rouge française, Saint-Jans-Cappel (59)
Sylvie BRYLINSKI, directrice Fam Cèdre bleu, réseau Habitat, Association de parents d'enfants inadaptés (Apei) de Sèvres - Chaville - Ville-d'Avray, Chaville (92) François GILLET, directeur IME Saint-André, association Adèle de Glaubitz,Cernay (68)
Pascaline GUERIN, médecin pédopsychiatre, centre hospitalier de Chartres (28) Saâdia HAYAB, psychologue, centre de La Gabrielle, Claye-Souilly (77)Olivier MASSON, directeur CRA Nord-Pas-de-Calais, administrateur de l'Associa-tion nationale des centres de ressources autisme (Ancra)
Valérie PINGET, psychologue, Etablissement public de santé Alsace nord (Epsan) pôle d'activité clinique G03, Brumath (67)
Dominique RIDOUX, directeur IME Alphée, Guyancourt (78) Patrick SANSON, formateur-directeur Institut de psychopédagogie appliquée (Ippa), Maison-Alfort (94) Françoise SIMON, parent, IME La Gabrielle, Claye-Souilly (77) A nnick TABET, parent, association Sésame autisme Rhône-AlpesChantal TREHIN, neuropsychologue
A utres contributeurs directs et relecteurs Joëlle ANDRÉ-VERT, chef de projet Haute autorité de santé (HAS), service des bonnes pratiques professionnelles Danièle BARICHASSE, sous-direction des personnes handicapées, Direction générale de l'action sociale (DGAS) Martine BARRES sous-direction des personnes handicapées, DGAS Muriel DHENAIN, chef de projet HAS, service des bonnes pratiques professionnellesCoordination éditoriale
Dominique LALLEMAND, responsable de la Communication et des relations insti- tutionnelles de l'Anesm Céline DAVID, chargée de communication, Anesm A nalyse juridiqueLa vérification de la conformité juridique de ce document a été effectuée par
M e Olivier Poinsot, agissant au nom de la SCP Grandjean-Poinsot.4 I Pour un accompagnement de qualité des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement
IProposer un accompagnement et une prise
en charge personnalisés et spéciques 15 1. Réaliser une évaluation de la situation de la personne 16 1.1 Evaluer les différents domaines de fonctionnement de la personneà l'aide d'outils adaptés
161.2 Associer la personne et sa famille
161.3 Accompagner la communication des résultats des évaluations
171.4 Proposer une information dans la phase du diagnostic
171.5 Informer la famille élargie et la fratrie au moment opportun
181.6 Faire suivre l'évaluation de propositions d'accompagnement
18 2. Co-élaborer le projet personnalisé et en assurer le suivi 182.1 La personne
192.2 La famille
202.3 Les professionnels
213. Améliorer la qualité de vie de la personne en développant ses potentialités dans toutes leurs dimensions 23
3.1 Repères pour le respect de la personne et de sa dignité 24 3.2
Repères pour faciliter les apprentissages 25
3.3 Repères pour favoriser la communication et les interactions sociales 26 3.4 Repères pour la participation sociale en milieu ordinaire 27 3.5 Repères pour prévenir les situations de stress 28 3.6 Repères pour l'accès aux soins, la santé 29 3.7 Repères pour la participation à la vie communautaire, sociale et civique 30 4. Favoriser l'implication de la famille et des proches dans le respect de leur dignité et de leurs droits 304.1 Initier et entretenir une collaboration entre les parents et les professionnels 30 4.2
Soutenir et accompagner la famille 31
5. Faire face aux " comportements-problèmes » 32 5.1 Identifier les " comportements-problèmes » 32 5.2 Rechercher et comprendre l'origine des " comportements-problèmes », et y faire face 335.3
Prévenir et gérer les moments de crise 33
5.4 Encadrer l'utilisation des lieux de calme-retrait, d'apaisement 34Présentation générale
71 Introduction
82 Les objectifs
93 Le champ et la cible de la recommandation
94 La méthode de travail
105 Les principes directeurs
10Sommaire
Pour un accompagnement de qualité des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement
I 5Sommaire
IISoutenir les professionnels dans leur démarche
de bientraitance 351.
Au niveau des pratiques institutionnelles 36
1.1Formation et information des professionnels 36
1.2 accompagnement des professionnels 37 2.Au niveau des pratiques professionnelles 37
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