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Mots clés : Gerundio gérondif
La représentation du gérondif espagnol en français : * une approche
cas de figure l'équivalence entre le gérondif espagnol et le syntagme en + V–ant serait- elle possible ? Quand et pourquoi faut-il se passer de traduire la
Bonjour à tous Je vous espère en excellente santé
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Exercice 1
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Mémoire réalisé par
Promoteur
Année académique 2016
-2017 1Sommaire
Remerciements .......................................................................................................................3
Introduction ............................................................................................................................4
Première partie : définition des formes ....................................................................................7
1. Introduction .................................................................................................................7
2. Infinitif ...................................................................................................................... 15
3. Participe..................................................................................................................... 28
4. Adjectif verbal ........................................................................................................... 36
5. Gérondif .................................................................................................................... 40
6. Supin ......................................................................................................................... 43
7. Courte synthèse des modes impersonnels ................................................................... 45
Deuxième partie : théories didactiques .................................................................................. 46
1. Introduction ............................................................................................................... 46
2. La tendance actuelle ................................................................................................... 48
a) ....................................................................................... 48 b) ............................................................................................. 56 c) .......................................................................................... 603. ...................................................... 76
4. Comparaison des opinions des trois didacticiennes avec le prescrit légal de la
Fédération Wallonie-
Catholique ........................................................................................................................ 79
a) Le prescrit de la Fédération Wallonie-Bruxelles .................................................. 80
b) ............... 82c) Conclusions ........................................................................................................ 85
Troisième partie : volet pratique ........................................................................................... 86
1. Introduction ............................................................................................................... 86
2. Compte rendu des observations et documents des professeurs .................................... 89
2 a) 90 b) ... 94 c) ... 101 d) X. l ............ 107 e) f) 3. Relevé des difficultés des élèves .............................................................................. 132
4. Analyse et comparaison des transpositions didactiques ............................................ 138
A. Comparaison des cours des professeurs avec la définition des formes ............... 141B. Tableaux de synthèse des comparaisons ............................................................ 151
C. Conclusion des tableaux .................................................................................... 156
D. Conclusion finale .............................................................................................. 161
5. Analyse et comparaison des méthodes didactiques ................................................... 165
I. Gérondif et adjectif verbal .................................................................................... 165
II. Analyse et comparaison des méthodes didactiques propres au gérondif et à: conclusions...................................................................................... 176
III. Infinitif ............................................................................................................. 181
IV. Participe............................................................................................................ 185
V. Méthodes générales retirées .............................................................................. 188
6. Pistes de réponses aux difficultés ............................................................................. 189
Conclusions finales ............................................................................................................. 193
Bibliographie ...................................................................................................................... 196
3Remerciements
Nous tenons à remercier en premier lieu le professeur Alain Meurant pour avoirélargir notre formation en didactique,
et pour rapidité de ses corrections grâce auxquelles nous avons pu améliorer la forme et le fond de ce travail. Les professeurs et maîtres de stage D. Latteur, C. Lefébure, H. Stoz, C. Lebedelle etSt. Vandenbulcke méritent également toute notre reconnaissance. Ils ont accepté de nous
présenter leurs pratiques et de nous accueillir dans leurs classes quand ce fut possible. Sans eux, ce mémoire de plus, par son intermédiaire, largement contribué au renforcement de notre formation en didactique. encore à Anne De Longueville qui passé au crible lentièreté de cet opus. Nous remercions enfin toutes celles et ceux qui, de près ou de loin, nous ont soutenu dans notre travail . Ils se reconnaîtront.et plus particulièrement à ceux de langues et lettres classiques qui ont contribué à faire de
nous ce que nous sommes.À tou
4Introduction
Suivant les conseils de notre promoteur, nous avons étendu le sujet de notre travail à toutes les
toujours sans heurtsimportance sera toutefois accordée aux deux formes caractérisées par le suffixe -nd- tant leur
de départ suivantes - des matières énoncées supra ? Comment peut- ? Répondre à ces interrogations passe par une analyse des pratiques professorales actuelles, ce qui exige deux prérequis : une définition des formes et des repères en didactique. permet de faire le point sur la grammaire concernant les cinq formes qui nous occupent : elleen présente une vision claire et complète. Son élaboration nous fut indispensable pour
maîtriser au mieux le sujet des pratiques à analyser ; son contenu a servi de pierre de touche du contenu grammatical des cours examinés, il servira encore de repère commun au lecteur et au rédacteur, incontournable pour qui veulent se comprendre. La présentation de repères théoriques en didactique est indispensable notamment pourKo et D. Augé serviront ainsi de guides dans notre examen des pratiques, puisque nous
constaterons que les préceptes de ces trois didacticiennes françaises répondent aux exigences
des programmes des cours de latin. Nous fournirons au lecteur leur vision des cours de latin permettra de mieux comprendre notre propos : nous avons fait lechoix de ne pas indiquer systématiquement les références aux opinions des didacticiennes sur
5 sont très souvent fsynthèses que nous avons rédigées, le lecteur sera à même de repérer dans les cours analysés
les éléments qui correspondent ou pas aux théories des trois Françaises.Celui-
pas encore effectué le virage à cent-quatre-même chose même si la différence est minime au regard de celle qui sépare ces deux
pas encore complet partout, malgré le travail effectué par M. Lavency et ses successeurs. Conformément à la nature des ouvrages consultés, cette partie du mémoire est plusnon conjuguées, bien que nous insistions dans nos résumés sur les préceptes utiles à ce
dernier, logiquement peu dissociable du premier. Une fois les deux prérequis atteints, nous ouvrirons enfin la partie pratique de cet opus vers le second degré de notre enseignement secondaire : le cours de latin ne pouvant exigerans suffisent à acquérir les notions les plus fréquentes qui seront complétées par la suite.
6concernée : chaque professeur, chaque classe, chaque école est différente, imposant à
Dans la définition des formes et lors de nos analyses, nous avons été amenés à étudier
la précisait pas. Ce put être fait grâce au programme Library of Latin Texts-Serie A, disponible
1. Nous avons également vérifié et corrigé les références
Itinera electronica2 qui met à disposition de tous Reste à remercier le lecteur pour son indulgence quant au style littéraire qui caractérise les pages suivantes : il varie selon la nature du propos. Un domaine aussi technique que celui : le champ dans la mesure du possible, privilégié la concision.1 https://bib.uclouvain.be/opac/ucl/ té au réseau
2 http://agoraclass.fltr.ucl.ac.be/concordances/intro.htm
7Première partie : définition des formes
1. Introduction
Avant toute chose, voici une liste des quelques abréviations utilisées au cours des formes. Les chiffres romains sont utilisés pour désigner les conjugaisons selon la numérotation canonique : I, II, III, IV, IVbis. Les symboles < et > encadrent ce qui est sous-entendu. Les symboles [ et ] encadrent des entités fermées ou des constructions grammaticales prototypiques. Ils permettent de les isoler du propos et de bien montrer leur unité. " Clauis ivant : Anne-Marie Boxus et Marius Lavency avec la collaboration de Dominique Longrée et Gérard Schouppe, Clavis. Grammaire latine pour la lecture des auteurs, nouvelle édition, Bruxelles, De Boeck, 2014 (collection Lavency). " Cart vant : Adrien Cart, Pierre Grimal, Jacques Lamaison et Roger Noiville, Grammaire latine, Paris, Nathan, 2007. " de Give : M. de Give, Grammaire latine, Bruxelles, DeBoeck, 199214.
" VSUS : M. Lavency, VSVS. Grammaire latine. Description du latin classique en vue de la lecture des auteurs. (Deuxième édition), Louvain- la- n°88). Les propos attribués à A. Maingain et : A. Maingain et P. Noë, DE DE LINGUA LATINA. Pour une grammaire nouvelle du latin,Bruxelles, De Boeck, 1985.
Les propos attribués à A. :
A. Ernout et François Thomas, Syntaxe latine, Paris, Klincksieck, 19532. 8Les propos attribués à : Chr. Touratier,
Syntaxe Latine, Louvain-la-
linguistique de Louvain, n°80). , non à des élèves. E nécessite de maîtriser la morphologie et la syntaxe qui y sont liées et de di document de référence. Celui- également de référence commune au lecteur, ce qui évitera les malentendus grammaticaux.Même si cette définition des formes est destinée à des philologues, elle a surtout été
des cours de latin du secondaire. Cela ne signifie pas que tout ce qui est détaillé ci- fréquentes incontournables, précisées dans les programmes3, mais le professeur est parfoisamené à expliquer des préceptes plus rares. Il prendra soin de réfléchir à la manière de les
définir, éventuellement de les simplifier, de les expliquer, etc. Chaque notion doit avoir été
tPar ailleurs, une définition des formes adressée à des élèves devrait se contenter de mettre en
avant ce à quoi une notion grammaticale peut être reconnue dans un texte, et comment la comprendre dans la perspective de la lecture. Or le professeur, en tant que spécialiste des langues anciennes, est tenu de maîtriser plus que cela. Il doit, pour bien comprendre la langue, Les explications grammaticales présentées ci-dessous ne se veulent pas exhaustives.Elles ne se limitent posent un savoir
grammatical minimum et non maximum. Nous avons tenté de présenter les notions pouvantêtre utiles
vaut mieux être trop complet plutôt que trop peu, pour être assuré de pouvoir couvrir toutes
3 Programme. Latin. 2e degré. Humanités générales et
technologiques. D/2014/7362/3/21, 2014, p. 42. Fédération de Programme. Latin/Grec. 3e degré. Humanités générales et technologiques. D/2016/7362/3/15, 2016, p. 44. 9sont-elles donc parfois trop complètes. Leur degré de complétude tient en partie à celui des
explications que nous avons pu trouver dans les grammaires " scolaires »4 telles que la Clauis, Certaines informations présentées ci-dessous ont été sont s présentée, nos recherches se es grammaires scolaires pour définir convient cture de ces ouvrages, demeurent, et surtout, chaque grammaire supplémentaire : toutes ne définissent pas les notions de la même façon, etpire, il y a souvent des désaccords entre elles. Heureusement, la plupart du temps, ces
discordances es iques tels que la grammaire Vsus Fr. Thomas permet deles résoudre. Les questions qui subsistent après la lecture des quatre grammaires " scolaires »
retenues trouvent également réponse dans ces volumes. Cette méthode prend énormément de temps car il faut vérifier point par point si chaquegrammaire consultée fournit les mêmes informations que les précédentes et si ces données
sont exposées de la même manière. Si la présentation des notions grammaticales diffère, il
explications diffèrent ou se contredisent, ce qui est très souvent le cas, il faut aller consulter
plusieurs grammaires scientifiques pour tenter de comprendre avec précision ce qui pose
problème. En général, les différences relèvent de simplifications didactiques relevant
différentes. Il aurait été beaucoup plus facile de commencer à définir les formes en suivant un des ouvrages scientifiques et en le confrontant ensuite aux grammaires" scolaires », mais il en aurait résulté une explication beaucoup trop détaillée, et peu axée vers
ignement.4 Nous précisons ci-après ce que nous entendons par grammaire scolaire.
10 Nous aurions pu faire nous-même le travail de sélection de la grammaire utile dans leverbales non conjuguées et non sur une éventuelle remise en question du contenu à enseigner.
Les ouvrages consultés pour élaborer cette définition des formes ont été sélectionnés
nécessaires. Une grammaire scolaire est un outil qui apporte les informations suffisantes pour pouvoir lire les auteurs dits abordables en secondaire, mais sans en dire trop,structurée et rédigée dans cette perspective. La syntaxe notamment doit suivre une
considérons toutes comme des grammaires scolaires car si la manière dont elles présentent les
notions grammaticales peut paraître rassemblent pas moins le savoirnécessaire à la lecture de textes anciens en secondaire. Et si la Cart est trop complète, elle
reste claire. Il estcomme outil de référence pour la pratique du latin. Voilà pourquoi nous avons préféré mettre
des guillemets quand nous parlons de ces grammaires " scolaires », car elles ne le sont pas ou plus tout à fait. Font face à ces ouvrages étiquetés comme " scolaires » les grammaires ou syntaxes secondaire pour vocation, sont donc beaucoup plus complètes, et surtout abordent la grammaire plus en profondeur, dans son évolution historique notamment. Il convenait peu de rédiger entièrement la définition des formes. Il nous a semblé beaucoup plus pertinent de la structurer de points successifs, de la manière la plus claire et la plus concise possible, pour pouvoir y naviguer avec beaucoup de facilité et de sieurs exemples, nécessaires à sa bonne compréhension. 11 Nous avons délibérément choisi de réunir pour chaque forme verbale non conjuguée les explications morphologiques et syntaxiques dans certains ouvrages, commencer par aborderdétailler les usages syntaxiques. Cette structure correspond moins à la réalité des pratiques
enseignantes : en classe, les élèves voient simultanément ou successivement la morphologie et
s. Dansformes verbales non conjuguées, il devient rapidement très compliqué et vain de ne pas
dissocier un minimum la morphologie de la syntaxe. Nouforment mais bien de les faire étudier si elles sont fréquentes. En revanche, expliquer la
construction des formes des verbes réguliers a du sens en ce que règles sur presque tous les verbes pour les reconnaître à la lecture.expliquée ci-dessous. Ils ne se comportent certes pas en verbes réguliers, mais ils se
Les verbes " normaux », c'est-à-dire ceux qui peuvent se conjuguer aux deux voix etavoir un sens actif à la voix active et passif à la voix passive, ou pour faire plus simplement,
ceux dont la conjugaison est régulière et qui ne sont pas déponents, la Cart et la Clauis les
appellent " verbes actifs », mais nous préférons les dénommer " verbes réguliers », car ils
peuvent également se conjuguer à la voix passive. Nous différencierons donc, tout au long de ce chapitre, les verbes réguliers des verbesdéponents. Il sera toujours précisé " verbes réguliers » quand il en sera question, même si la
forme concernée Nous préférons chaque fois 12irréguliers, même si cette introduction et la structure de la définition des formes rendent déjà
cis. Il y a lieu de faire le point sur quelques divergences au niveau du langage technique.La Clauis et la Cart parlent partout de radical alors que, chez A. Maingain et P. Noë, le thème
côtoie le radical du supin. Or les de pas, ou plutôt pas toujours. Le radical est un morphème lexical qui recèle une racine. Lethème est la partie du mot qui précède la désinence. Il est composé du radical et des éventuels
5 Idéalement, il faudrait aussi faire la différence entre
désinence et terminaison, mais la nuance est là plus subtile et il entrer dans extrêmement perti grande attention ici. n, le second système de ; nouspour désigner les radicaux. Par ailleurs le présent et le parfait reflètent assez bien la notion
aspectuelle qui se cache derrière leur radical. Nous avons donc jugé préférable de ne pas
introduire dans le vocabulaire des élèves deux supin ». Tantôt ilparticulièrement la forme en -um du supin, qui est la plus utilisée en morphologie. Dans ce qui
catégorie grammaticale. temps pour ce mode, et ce que chaque temps implique dans la traduction française, avant5 M. Lavency, VSVS. Grammaire latine. Description du latin classique en vue de la lecture des auteurs.
(Deuxième édition), Louvain-la- linguistique deLouvain, n°88), p.14, 17-21.
13 beaucoup plus proche de son homologue français que le participe, parce que le rôle des temps Nous utiliserons parfois ci- complément circonstanciel avecpréposition ». Sans être idéale, elle permet de rester à un niveau suffisamment général pour
pouvoir désigner toutes les constructions de type " complément circonstanciel avec préposition" complément circonstanciel de telle nuance (avec telle préposition) ». Elle permet de mieux
son sens après lecture du Dans le même domaine, surgit la question suivante : faut-il enseigner aux élèves que les verbes comme uelle sont suivis de deux compléments (+ accusatif + infinitif), ou vaut-il ? Sans prétention, nous proposons de leur enseigner la simplification dans un premier temps, avant de revenir plus tard sur ce point grammatical pour le complexifier. Trois remarques encore avant de passer à la définition des formes proprement dite. Dans un domaine aussi technique que celui de la grammaire, il est difficile de fairepreuve de variété et de littérarité dans la langue employée. Pour être précis et clair, le
dans les grammaires consultées. Nous avons toujours privilégié la clarté et la concision, à nos
yeux indispensables à toute explication g dessous, mais ce ne fut pas possible pour tous. Ils sont toujours issus des ouvrages consultés,mais ceux-ci ne citent pas tous leurs sources, et par ailleurs certains exemples sont tout
14simplement inventés6 pour la cause. Nous avons préféré conserver tous ceux que nous avons
ou élaborée par un ou plusieurs spécialiste(s) de la langue latine vaut mieux que pas
averti, il lui est possible de ne pas se fier àdocument est conçu comme une référence à consulter de manière ponctuelle en fonction des
besoins. Nous commencerons par les plus fréquentes pour terminer par les plus rares.6 renseigné la référence des phrases authentiques dont la
syntaxe a été modifiée (changement de mode, de temps, ajout ou suppression de complément, etc.). Par contre
dans certains énoncés un pronom a été remplacé par le nom propre auquel il fait référence pour plus de clarté,
152. Infinitif
Si les étiquettes infinitifs présent, passé/parfait et futur, actifs et passifs sont familières,
nous entendons moins souvent les appellations que donnent A. Maingain et P. Noë 7 : infinitifs ifs actif et : les estiment en véritable infinitif mais un participe futur accompagné de esse parfait/passé suivi de esse. Leur nomenclature est intéressante, mais ne doit pas nous induire en erreur subordonnée infinitive. Les autres usages de ce mode ont fixé sinon une obligation du moins une tendance quant au temps à employer. radical auquel un suffixe est ajouté. Cette règle générale de formation ne vaut pas dans le cas des " infinitifs esseesse mais pas au participe qui suit les règles de formation des participes. Si certains ne considèrent pas ces " formes infinitives périphrastiquerégulières de la formation des infinitifs. En ce qui concerne la syntaxe, tout dépend du degré
: si le lecteur considère que [participe + esse] est un ensemble insécable, plus loin, seul esse répond aux exigences syntaxiques qui incom servent raison pour laquelle elles sont présentées ainsi dans les grammaires, et dans ce mémoire. esseCart. Les forme
proposition infinitive. Elles sont cependant parfois au nominatif, dans la tournure passive
personnelle.7 A. Maingain et P. Noë, DE LINGUA LATINA. Pour une grammaire nouvelle du latin, Bruxelles, De Boeck,
1985, p. 96.
162.1.Morphologie
2.1.1. :
2.1.1.1.Verbes réguliers : [radical du présent + -se]
En pratique, cela donne souvent [radical présent + -re], car s devient r entre deux voyelles.2.1.1.2.Verbes déponents
2.1.2. (des verbes réguliers) :
terminaison archaïque ier. Ces formes se rencontrent surtout chez Lucrèce, plus2.1.3. initif parfait actif :
2.1.3.1.Verbes réguliers : [radical du parfait10 + [-is- + -se]]
2.1.3.2.Verbes déponents
2.1.4. s verbes réguliers) :
[participe parfait passif11 + esse]Esse est parfois omis.
Ex. : Ferunt pictorem reprehensum
Lavency, op. cit., p. 78-79.
9 -si, qui devient -ri comme le suff-re.
grammaire la plus précise à ce sujet, parmi cpas de justifier toutes les formes abrégées. Sans doute les grammaires choisissent-elles de proposer des règles qui
permettent de comprendre les abréviations les plus courantes des formes verbales basées sur le radical du parfait.
11 172.1.5. :
2.1.5.1.Verbes réguliers :
[participe futur actif12 + esse]2.1.5.2.Verbes déponents : exceptionnellement, ils suivent la morphologie active.
2.1.5.3.Remarques :
- futurum, am, um esse (être sur -, subsiste en latin classique une forme ancienne et invariable : fore fore ut (ou njrum2.1.6. (des verbes réguliers) :
posse (pouvoir être aimé). si uelit finitif futur.2.2.Syntaxe
substantivée, la forme habituellement utilisée est celle du présent. On rencontre néanmoins
12 18 " perfectum ».2.2.1.
neutre singulier, au nomin2.2.1.1.Sujet et attribut avec esse et avec des verbes impersonnels
2.2.1.2.Complément de verbe/ -)
auxiliaires 14: dans le style juridique.quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] Le glucose
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