[PDF] Ligier Richier? : lartiste et son oeuvre





Previous PDF Next PDF



DOSSIER PÉDAGOGIQUE

Jun 5 2016 Les liens avec les programmes d'arts plastiques et d'HDA (histoires des arts) ... HDA. Etienne Martin



Etienne Chevalier Jean Fouquet et Melun

Feb 9 2015 cations en date sur le Diptyque de Melun et les Heures d'Étienne Chevalier



LA MAISON / arts visuelset interdisciplinaire.

Repérer les espaces : hall les salles de classe



Centre intégré universitaire de santé et de serviCes soCiaux

Oct 22 2017 Une offre de soins et services de qualité afin de relever le défi de la perte d'autonomie. M. Richard Desrochers. Président du CA. M. Martin ...



fiches pedagogiques larchitecture à la renaissance

Etienne et Liébaud Jean Martin publie en 1547 à Paris la première édition en français ... Laquelle correspond au manteau de la cheminée ?



Ligier Richier? : lartiste et son oeuvre

obscure d'un modeste coin de l'église Saint-Étienne en excitant l'entbou- Le grand manteau



rapport dactivité 2009 - Établissement public du musée et du

ainsi qu'inscription dans l'annuaire «histoire des arts» d'un nouveau manteau d'Arlequin adapté tant aux nouvelles dimensions restituées.



Le discours de larchitecture : analyse rhétorique du Centre Georges

typologies du musée sont tracées dans les travaux d'Étienne Louis Boullé et Jean argument qui sert à faire accepter « Il faut mettre un manteau ».





ARTS PLASTIQUES ARTS PLASTIQUES

Favoriser un processus d'apprentissage en interdisciplinarité à partir de séquences en arts plastiques Manteau demeure 5 Étienne Martin

Présentation du corpus

PAUL DENIS

DOCTEUR DE L'UNIVERSITÉ DE NANCY (LETTRES)

ARCHIVISTE DE LA VILLE DE NANCY

LIGIER RICHIER

L'ARTISTE ET SON OEUVRE

.4VEC 5 I PLANCHES HORS TEXTE ET 44 ILLUSTR.1TIONS DANS LE TEXTE

BERGER-LEVRA UL T, LIBRAIRES-ÉDITEURS

PARIS NANCY

RUE DES BEAUX-ARTS, 5-7 .RUE DES GLACIS, 18

LIGIER RICHIER

L'ARTISTE ET SON ŒUVRE

Le présent 'L'olume a été tiré à 5 00 e:xç11lplaires 11u11lerotés .

PAUL DENIS

DOCTEUR DE L'UNIVERSITÉ DE NANCY (LETTRES)

ARCHIVISTE DE LA VILLE DE NANCY

LIGIER RICHIER

L'ARTISTE ET SON OEUVRE

.4VEC 5 I PLANCHES HORS TEXTE ET 44 ILLUSTR.1TIONS DANS LE TEXTE

BERGER-LEVRA UL T, LIBRAIRES-ÉDITEURS

PARIS NANCY

RUE DES BEAUX-ARTS, 5-7 .RUE DES GLACIS, 18

A MESSIEURS

LÉON GERMAIN DE MAIDY

INSPECTEUR DIVISIONNAIRE DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE D'ARCHÉOLOGIE ET

PAUL PERDRIZET

PROFESSEÙR D'ARCHÉOLOGIE ET D'HISTOIRE DE L'ART A LA FACULTÉ DES LETTRES

DE L'UNIVERSITÉ DE NANCY

Hommage de profonde gratitude

P. D.

INTRODUCTION

Un nom que les habitantsd' une petite ville du Barrois citent au voya geur avec une légitime fierté; deux ou trois actes retrouvés presque for tuitement sur les feuilletS jaunis des registres de nos archives; quelques compositions jusqu'ici plus louées que sérieusement étudiées; tel est à peu pris tout ce que 1'on connaît d'un homme sur le compte duquel il se débite . souvent bien cks fables. Il semble cependant, surtout si l'on en juge d'après ce qui se dit et s'écrit encore couramment en Lorraine et ailleurs, que Ligier Richier soit un personnage parfaitement connu, sur lequel il ne reste plus rien à apprendre. La bibliographie du sujet est en e.ffet fort copieuse, mais les faits, malheureusement, sont loin d'être ce qu'ils paraissent. Parmi tous ces vieux. maîtres provinciaux dont les historiens de l'art français recher chent et étudient aujourd'hui si soigneusement les oeuvres, le Maître de Saint-Mihiel est certainement 1'un de ceux sur lesquels nous sommes le moins bien informés. Nous possédons sur Claus Sluter, Michel Colombe, Jean Fouquet, Jean Goujon et quelques autres, des textes qui permettent de reconstituer tout au moins les grandes lignes de leur carrière et qui nous fournissent des renseignements positifs sur bon nombre de leurs tra-vaux; n'avons, sur Ligier Richier, que fort peu de documents de ce genre. Ce que les archives et les papiers publics nouS 'ont transmis à son sujet

VIII INTRODUCTION

tient en quelques pages et l'hom.me de génie dont nous voulons tenter d,e reconstii1œr l' oemwe paraît appartenir bien plus a la légende qu'a fhistoire. Malgré cette Pénurie des sources historiques et les incertitudes qui en sont la conséquence, beaucoup de personnes dont la bonne foi est hors de cause ont ecrit sur avec un grand luxe de détails. Elles nous ont raconté ses origines, la précocité de son talent, son voyage et son appren tissage en Italie sous l'égide de Michel-Ange, son retour a Saint-Mihiel, la genèse de la plupart de ses tra·vaux et notnbre de choses du même genre .• Elles nous ont appris qu' il eu des frères, comme lui sculpteurs et ses associés; elles nous ont énuméré feurs oeuvres et chacun d'eux, a son tour, a eu les honneurs d'une biographie. Dans tous ces récits, quels qu'en soient les auteurs, l'imagination, jointe a un ellthousias111.e un peu irréfléchi, est le trait le plus saillant; elle y tient en tout cas beaucoup plùs de place que la vérité historique. Il (v trouve aussi -et le fait est dû surtout a l'éPoque olt ont été composés les ouvrages auxquels nous faisons allusion -une conception tout a fait fausse, une ignorance complète de la façon dont a( évolué l'art français. Comme l'a dît avec beaucoup d'a-propos M. Paul Vitry dans la pré face de sa magistrale étude: Michel Colombe et la française de son temps, l'artist;du Moyen Age'-et Richier,par bien des côtés de son existence et de son caractère, doit être rattaèhé a cette période de notre histoire -n'a jamais cette personnalité mtte, tranchée, a laquelle . l'éPoque moderm nous a habitués. Confondu dans la foule anonyme des artisans qui besognaient a côté de lui, chacun en sa sphère déterminée, sa phy sionotnie ne s'estompe que faiblement dans la brume qui les enveloppe tous et les traits saillants n'en sont pas toujours faciles a saisir. De nombreux liens l'enchaînent aussi au milieu artistique dans lequel il a grandi, aux maîtres auprès desquels il a puisé les premiers éléments de son art. Son style lui-mime, si original qu' il paraisse de prime abord, n'est jamais

INTRODUCTION IX

entierentent personnel; il est le produit d'une lente elaboration, du travail collectif des nombreuses générations d'imagiers qui l'ont précédé; il est la résultante, la déduction, de l'exPérience d'un long passé. Jamais d'ailleurs, à aucune éPoque de l'histoire, Ur/en a été autrement. Rien n'arrive qui n'ait été déterminé par ce qui l'a précédé et l'averiir est fait des prolongements ignorés du passé. C'est par un agencement nouveau d'éléments connus, inspiré sans aucun doute par une orientation différente des esprits et des idées, que l'art de Richier nous intéresse et nous séduit. Il nous permet aussi de constater quelle jorce de résistance était encore capable d'opposer, aux envahissements de l'art transalpin, un tempérament merveilleusement doué et tout pénétré des vieilles tradi tions nationales. Bien que nous ne possédions, soit sur la caTTiere, soit sur les travaux artistiques attribués à Ligier Richier, presque aucun document précis, le sujet, ainsi que nous l'avons précédemlnent jàit remarquer, (1, été néanmoins souvent abordé. Mais ceux qui tenterent l'entreprisefurent, eli général, beaucoup plus des amateurs que des Le sculpteur miellois, dont la figure apparaît si confusément encore au milieu des celé brités du seizieme siCcle lorrain, a de tout temps intrigué les chercheurs. Beaucoup se sont appliqués II dissiper les obscurités qui entourent non seu lement ses origines, mais aussi sa vie et sa mort; à retracer l'histoire et à rassembler les oeuvres que la tradition, à défaut de textes, présente depuis longtemps comme siennes. Le premier de tous, celui qui a ouvert la 'voie et posé la .premiere . Pierre du monUfnent que l'éruditiort devait, dans le cours des siècles, éle·ver à la mémoire de l'imagier de Saint-Mihiel, est lm moine: l'historien bénédictin dom Calmet. Pour des raisons que la fin de Ligier Richier; à Geneve, dans la pra:.. tique de la religion calviniste, . explique peut-être, le silence s'était fait sur l'artiste. On admirait les groupes sacrés que génie avait créés; les x INTRODUCTION fidèles priaient cbaque jour devant ses Calvaires, ses Vierges et ses Saints j mais, comme au jugement sévère de ses contemporains, l'auteur de toutes ces " dévotions » avait mal fini; une sorte d'ostracisme pesait sur sa mé moire. Son nom, sans aucun doute, était devenu l'U1'l de ceux que le croyant bésitait à prononcer. Dans de pareilles conditions, le temps n'avait eu nulle peine à le faire. rapidement oublier . quelques vieillards, quelques parents éloignés, se souvenaient encore vaguement, au dix-bui tième siècle il est vrai, d'avoir dans leur jeunesse entendu leurs ancêtres parler du huguenot Richier et le désigner tout bas, presque avec gêne, comme l'auteur du Sépulcre. Mais les treize statues de cette inoubliable scène, reléguées sous la voûte obscure d'un modeste coin de l'église Saint-Étienne, en excitant l'entbou siasme des " connaisseurs », amenaient sur leurs levres des questions qui ne pouvaient pas, toujours, demeurer sans réponse. On en voulaitconnaî tre les origines et surtout l'auteur. Le grand historien de la Lorraine entreprit de résoudre cette passionnante énigme. Longtemps, nous dit-il, il s'informa " fort curieusement », au cours de ses séjours à Saint-Mibiel, sur le compte de cet ouvrier de génie dont nul ne sa·vait rien, mais sans en pouvoir, bélas! découvrir même le nom. Aucun manusèrit, aucun de ces vieux " mémoires» que le docte bénédic tin compilait avec tant d'ardeur ne lui ayant rien révélé, il fit interroger les anciens dela cité. Après plusieurs enquêtes, il se trouva enfin un vieil artisan qui put lui fournir la solution qu'il cberchait. L'article de la Bibliothèque lorraine est le résultat de tions. Le manque absolu de critique en est, évidemment, le plus grave défaut: L'auteur a accepté sans le moindre contrôle toutes les déclarations de l' armurier et nous les a transmises sans y rien cbanger. Les légendes créées par la tradition orale de près de deux siècles y tiennent plus de place que la réalité, et Dieu sait combien l'une d'entre elles -celle du ·voyage en Italie -de·vait fasciner les biograpbes de l'avenir,

INTRODUCTION XI

Il faut, malgré cela, se garder de reprocher à dom Calmet son exces de confiance ou, plutôt, de crédulité; son travail est préc'ieux. Sans lui, sans cette opiniâtre ténacité qu'il apportait dans.toutes ses recherches, nous ignorerions peut-être aujourd'hui Ligier Richier, et le SéPulcre de Mihiel serait, comme celui de Solesmes et bien d'autres, une oeU1ire ano-, nyme. Si quelques-unes de ses affirmations sont manifestement erronées et se ressentent fortement de leur origine, d'autres sont des décou vertes postérieures sont venues les corroborer. Ce qu'il nous a transmis demeure, tout au moins, comme une indica tion précieuse, un jalon planté à l'entrée d'une route oit beaucoup se sont égarés, oit nous nous égarerons peut-être nous-même. Nous aurons, en tous cas, souvent besoin de recourir à cette source. Nous lui devons surtout -et nous dirons plus loin comment -. le passage si important du manuscrit de Chatourup, seul témoignage contem 'porain qui nous soit parvenu sur nâtreartiste. Nous savons par lui, que dès l'année· 15 J 2, Ligier, probablement jeune encore, avait déjà pro duit des travaux 'Y'emarquables et qu'il était regardé cc comme le plus habile ouvrier en l'art de sculpture que l'on vit jamais ». Il reste aussi l'unique texte qui puisse permettre d'identifier, sans qu'aucune contestation soit possible, le groupe de la cc Pâmoison » de la Vierge qui demeure, grâce à ces quelques lignes, la plus authentique de toutes les oeuvres du grand maître lorrain. Dom de l'Isle et Chevrier, qui écrivirent peu d'années après l'abbé de Senones, n'ont guère fait que le répéter presque textttellement. Chevrier, cependant, soùs le fallacieux prétexte de réfuter ses erreurs, a ajouté quel ques dates à son récit. En est-il, pour cela, plus exact et mérite-t-il plus de créance? Nous ne le pensons pas. Il n'indique tout d'abord aucune source et, ensuite, la plupart de ses assertions sont, ou peu d'accord avec les faits, ou démenties par des découvertes postérieures. Il n'y a donc pas lieu de tenir compte des assertions de cet esprit aigri} dont la fausseté a été maintes

XII INTRODUCTION

fois démontrée et· dont la réputation, non usurpée, est celle d'un mysti ficateur. La Révolution française, survenant sur ces entrejaites, arrêta les recherches des érudits. Elle anéantit ou dispersa un certain nombre d' oeuvres et fit disparaître à jamais beaucoup de documents où nous eussions., peut-être, découvert maint détail intéressant ou trouvé la clef de quelque déconcertant problème. L'orage avait à peine cessé de gronder que de nouveaux travailleurs se mettaient à la besogne. L'Annuaire statistique de la Meuse,pour l'année 1804, ouvrit le feu. Il narre, en quelques lignes, l'historique du SéPulcre dont il donne une description sommaire. Il nous raconte com ment il a traversé les mau·vaises années et nous met au courant des efforts entrepris en vue de sa restauration. Il dit aussi quelques mots du " Sque lette » de Bar. Quelques brochures, grande importance, suivirent d'assez.. près. Toutes se bornen.t à décrire, dans ce style pompeux et ampoulé qui était àZors à la mode, le groupe de la Mise au tombeau, à résumer au sujet de son auteur l'article de la Bibliothèque lorraine. L'une de ces publica tions, imprimée a Saint-Mihiel, émane du Conseil de fabrique et du clergé de la paroisse Saint-Étienne, l'Église du Sépulcre. Son bu.t principal est de Jaire connaitre le monument conservé dans cet édifice et de solliciter, enJaveur de sa restauration et de son entretien, les libéralités des fidèles. Elle renferme une curieuse lithographie, la première et la plus ancienne q'ue nous connaissions, du chef-d'oeuvre de Richier (1). L'année 18} 7 vit se produire une joyeuse mais mauvaise plaisanterie dont le fonds, en grande partie, s'appuie sur les légendes recueillies par dom Calmet. Elles étaient, jusqu'alors, considérées comme des vérites indiscutees et nul ne songeait a les critiquer. Un capitaine du génie, -1. Nous en donnons la reproduction à la page J26.

INTRODUCTION Xln

nommé Baillot, publia au cours de cette année, dans ly Journa,l des affiches de la Meuse, toute une série de lettres échangées, d'après lui, entre Ligier Richier et son contemporain; le peintre-infftnieur Philippe Errard, de Bar-le-Duc, dont il fait} sans la moindre preuve, son corres pondant et son ami. Inutile de dire qu'il n' y a, dans cette correspon dance qui ne fait que broder sur la légende, 1'ien de sérieux ni même de vraisemblable. Un auteur dont nous parlerons bientôt, le docteur De'nys, -et plusieurs autres après lui s'est cependant laissé prendre par cette facétie qui, ainsi que l'écrivait récemment le secrétaire d'une de nos sociétés savantes, " a tous les défauts d'un mauvais roman sans en pos séder le plus mince agrément (') » .. A peu près vers le même temps, se placent les premiers travaux d'un hormne auquel On n'a pas toujours rendu justice,ni même accordé, l'historique du sujet, la place à laquelle il a droit. Originaire de Saint iVfihiel, inscrit au barreau de Nancy en I8}6, Justin Bonnaire avait voué à la mémoire de Ligier Richier un véritable culte. Il fut, on doit le dire, le premier qui entreprit véritablement l'étude de l'artiste telle évidemment qu'on la pou'vait comprendre de son temps -et rassembla sous son nom un groupe d' oeU'vres assez important: le Retable d' Hatton,. châtel, la Piétà d'Étain, le Christ et les larrons de Saint-Pierre de Bar, la tête du Christ de l'ancienne abbatiale, l'Enfant à la crèche, le Christ mourant, la tête de saint J érôtne, etc., attributions dont la critique reconnaît aujourd'hui la justesse. Bonnaire fut également le pre111.ier qui songea à consulter les archives. S'il ne put publier lui-même les découvertes qu'il y {wait faites, il tze se j<ûsait jamais prier pour les communiquer à ceux qui pouvaient en tirer parti. Les premiers articles parus sur Richier dans les journaux de vul-

1. Bulletin mensuel de la Société des Lettres, Sciences et Arts de Bar-le-Duc,

novembre 19°9, p. cxx.

XIV INTRODUCTION

garisq,tion, Lt;: Magasin pittoresque entre autres, sont de lui; de lui égalemertt est un mémoire lu de-vant le Congrès scientifique de France, au cours de la session tenue à Nancy au mois de no-vembre I 850. 'Ces di verses publications lui ouvrirent les collections, les musées) lui facilitèrent l'abord des personnes et l'accès des milieux où 'l'on s'occupait des questions d'art. Peu à peu, grâceà ses multiples démarches, Ligier fut mieux connu, ses oeuvres furent étudiées, recherchées avec soin et appréciées à leur véritable valeur. Doué de sérieuses connaissances artistiques, malheureusement un peu gâtées par une imagination vi-ve et poétique, Justin Bonnaire célébra Ligier Richier sur tous les modes: en vers dithyrambiques et en une prose ardente, enflammée, dont certains passages ne sont pas sans charme. Il avait surtout consacré de nombreuses années à la recherche et à l'étude des compositions, de son héros .. Toutes ou presque toutes avaient été dessinées à ses frais et par ses soins et il comptait les publier dans un grand ouvrage: Richier et ses oeuvres, dont le manuscrit était prêt pour l'impression. En I8} 8 d'abord, puis en I846, des-prospectus furent lancés; quelques planches, dessinées par Thorelle et lithographiées par Digout, furent même publiées à Nancy. Pour des causes qu'il ne nous appartient pas d'indiquer, le succès ne répondit pas aux esPérances de l'auteur, qui finit par abandonner completementses travaux. Il mourutquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
[PDF] le manteau d'arlequin asnieres

[PDF] le manteau d'arlequin definition

[PDF] le manteau d'arlequin expression

[PDF] le manteau d'arlequin soyaux

[PDF] le manteau d'arlequin wassy

[PDF] le manuel scolaire de français en algérie

[PDF] le manuel scolaire en algérie

[PDF] le manuel scolaire pdf

[PDF] Le marathon de Paris

[PDF] le marathon de Pékin

[PDF] Le marathon de Pékin PB de maths

[PDF] le marchand d'allumettes

[PDF] le marchand d'allumettes dimensions

[PDF] le marchand d'oublis bondues

[PDF] Le marchand de glace