Le prix dans les marchés publics
19.04.2013 La formation et la variation des prix dans les marchés publics ... techniques/mise-en-oeuvre-procedure/FT-offre-anormalement-basse.pdf.
les Marchés et la Formation des prix
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Marché et formation des prix –
base tels que la formation des prix sur les marchés le prix PDF. Set d'exercices 1. (niveau de difficulté simple
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La faible proportion des echanges entre pays producteurs suggere qu'avant Pentree en vigueur du Traite de Rome le marchS automobile europeen n'etait pas
CHAPITRE 4 : MARCHES ET PRIX
La formation des prix de marché. 1. Dans la représentation théorique de base. •. Le prix d'équilibre (P*) est celui qui égalise l'offre et la demande (en Q*).
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Marché de lélectricité : facteurs influençant la formation des prix de
09.11.2016 Dans la première approche un modèle statistique stable est ajusté aux données de mar- ché publiées et est ensuite exploité pour examiner les ...
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Autrement dit, chaque propritaire ralise en milieu urbain, en thorie, le calcul suivant : [recettes espres] - [dpenses prvisibles (travaux et frais divers)] = [valeur du terrain + profit]Quand de tels changes se
multiplient dans une zone ur- baine, des niveaux de prix voisins, ils deviennent des Ç r- frences È pour les suivants. La thorie est utile pour compren- dre la formation des prix, mais il e st galement utile de rappe- l e r que la ralit est moins simple, car le foncier est un objet dlimit dans l"espace, indissociable de sa situation attachs. Les attentes et les esprances des acqureurs et des ven- deurs biaisent les valuations. Notamment, la Ç valeur temps È de la plupart des propritaires de terrains (per- sonne physique ou mora faible prunt). Ceci incite les propritaires attendre le bon moment pour vendre leur terrain au meilleur prix (ou ne vendre que quand les vnements de leur vie les y poussent : succession, migration, modification familiale, besoin financier, etc.), plutt que de le brader lorsque les prix son t au plus bas. Il s"ensuit: tutif du march ; qu"une fois un prix prononc un jour, les propritaires initiaux refusent ensuite de baisser leurs prtentions, rits du site viennent dsquilibrer l"quation [recettes moins dpenses] voque plus haut. C"est le f ameux effet cliquet, craint par tous les amnageurs et promo teurs. d"un march ne dpend pas seulement (et parfois ne dpend pas du tout) d"une attribution plus gnreuse de droits btir dans les plans locaux d"urbanisme. D"une rgion et d"un pays l"autre, on observe des logiques semblables de formation des prix. Nanmoins le droit, la fiscalit, l"histoire, les pratiques sociales, les choix poli- t i ques ont des effets considrables. Il convient donc de raisonner, mais pas de gnraliser sans prcaution.Par exemple, en France, il faut tenir compte :
d"une fiscalit favorisant la rtention (valeurs locatives dconnectes des ralits du march, fiscalit des plus-values dcroissante dans le temps) ; des particularits de la cha"ne de production immobi- motion et/ou construction, investissement, utilisation ; du rle capital des valuations administratives desDomaines (dsormais France Domaine).
bl f©©lt©l l© rl l v7yfthl il fhxÇ7ylÇy l© il ¡ltilÇy gpfp lt© rl7¡frÇf©put
Du foncier l"immobilier : le processus
Source : ADEF. 2011
3Certu Amnagement oprationnel - novembre 2011Fiche n¡1 La formation des prix fonciers urbains
Les marchs fonciers ont fait l"objet d"une segmentation thorique par Joseph Comby (voir schma ci-contre) fonde sur le statut initial des terrains et leur destination. Cette seg- mentation peut tre utile pour une comprhension thorique de la formation de la valeur sur les marchs. Elle doit tre enrichie par la ralit des pratiques observes : en effet, sauf exceptions, c"est la plus forte valorisa tion permise par la de- action. Sans chercher dcrire chacun de ces marchs, sont prsen-Les six marchs fonciers
2. Les marchs des terrains non btis (marchs 1 et 2) :
du bien de production au bien de consommationAlors que le prix de vente d"une
terre agricole est contraint par les conditions conomiques de la production, la valorisation d"un terrain naturel pour le loi- sir est lie d"abord au plaisir de sa jouissance pour l"acqureur potentiel, individuel ou collectif.Les logiques de forma
tion du prix de vente sont fonda- terres agricoles, l"espace est achet comme un bien de production. La valeur du terrain rsulte essentiellement de la rentabilit de la production attendue et de facteurs propres aux structures d"exploitation (fermage ventuel, tre une vigne dans le Bor- delais e t une prairie dans la Creuse. Une certaine rgula- tion de ces prix est assure par les Safer. Mais les terrains naturels peuvent aussi tre acquis comme biens de consommation, c"est--dire pour la satisfaction et les re- venus que le ou les acqureurs retirent de leur dten- tion : parcs publics ou privs, golfs, jardins d"agrment,levages rcratifs, terrains de ch
asse, campings et parcs r sidentiels de loisirs, fort, etc. Ainsi, en pratique, les terrains naturels peuvent potentiel- lement se retrouver sur deux marchs. Celui qui offrira le prix le plus lev dcidera de la future affectation, sauf intervention de la Safer. Or le prix pour des usages non correspond pas en gnral une rentabilit comp table, mais plutt au niveau de richesse de l"acqureur, ou de se s lement mesurables. Les quelques observations qui ont pu tre faites ont montr que le march des terrains acquis pour des motifs de loisirs fonctionne comme un march de l"art. Il est directement connect au niveau des marchs immobiliers des grandes mtropoles europennes, la majorit des acqureurs tant issue du milieu des ca- dre s suprieurs mtropolitains disposant de revenus le- vs qu"ils sont prts dpenser pour des motifs patrimoniaux ou de simple jouissance, l"espace tant ainsi un bien de consommation. La seule exception ce raisonnement correspond au cas des terrains acquis par des entreprises de tourisme ou de loisirs (htellerie de plein air, golf, centre questre...) ou par de s investisseurs dveloppant un patrimoine forestier pour des motifs de dfiscalisation. Dans ces cas, le calcul effectu est li la somme des revenus esprs de ces terrains, sur une priode plus ou moins longue. Au total, bien que nous n"ayons pas de mesure exacte du phno- sait que ces marchs non agricoles non btis se sont largement dv I l s engendrent une concurrence d"usage parfois probl- matique pour les agriculteurs qui souhaitent s"agrandir ou s"installer. Ainsi, titre d"exemple, les forts ont gagn en France environ 4 millions d"hectares depuis 1950, principalement sur des dprises agricoles. Ces questions sont d"une actualit brlante. En effet la dis- smination urbaine (souvent nomm e talement) et la forte demande d"espace des populations multiplient les contacts entre agriculteurs et citadins. Elle suscite une exi- gence d"adaptation de l"agriculture ces voisinages, dans son mode de production, dans son traitement du paysage, voque la cration de Ç parcs agricoles È. Dans ce cas, une pour le rachat du droit d e proprit avec maintien en place d"agriculteurs (par analogie avec la pratique du conservatoire du littoral sur les sites protgs ou la pratique des conseils gnraux dans les espaces naturels sensibles), soit pour l"indemni- sation des contraintes imposes ainsi l"exploitation. dÇy rl sfyho7 il©lyyl fnyphurl "
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vyuiÇh©put 1 2 Les terrains naturels achets pour un usagede bien-tre ou de loisirs 3 Les terrains naturels achets pour tre amnags et urbaniss4Les nouveaux terrains btir
5 Les terrains urbains recycler (les terrains bruts du renouvellement urbain)6Les droits btir en renouvellement urbain
Source : Joseph Comby / ADEF
4Certu Amnagement oprationnel - novembre 2011Fiche n¡1 La formation des prix fonciers urbains
Le gisement foncier ur-
bain est constitu de deux types de terrains, les terrains naturels vous l"urbanisation (march 3) et les terrains recycler dit en Ç renouvellement urbain È (march 5). Ces deux marchs sont plus politiques qu"conomiques puisque leur valorisation dpend avant tout de la strat- moins durable, utilisation d"outils de type AU strict, cra-
tion de ZAD , droit de premption, etc.).3. Les marchs du gisement foncier pour l"amnagement
(marchs 3 et 5) bl vyp il ©lyyfpt l © Çt husvyusp lt©yl rf ¡frlÇy i:Ç fnl fh©Çlrrl l© hlrrl il r:Ç fnl mÇ©Çy vyl lt©p Le prix des terrains et les opérations d"aménagement Sur ces marchs, les terrains sont appels changer d"usage, mais sous rserve d"une opration d"amnage-ment. Leur prix est un compromis entre la valeur d"usageactuelle et celle de l"usage futur pressenti. La diffrence
ou de friche s urbaine s des quartiers neufs ou rnovs. Dans le cas des oprations d"amnagement de taille et de complexit rduites (par exemple les lotissements en secteur priurbain), les techniques et savoir-faire de n- gociation de l"amnageur (ou de l"oprateur foncier) peuvent aboutir rapidement un accord satisfaisant entre vendeur et acqureur, les professionnels s"accor- dant pour dire que le prix ne reprsente, en gnral, que40 % des motifs de
la dcision de vendre d"un vendeur Lorsque l"opration d"amnagement est d"une taille plus importante, l"amnageur (public ou priv) est, en gn- ral, adoss la puissance publique. Dans ce cas, un certain nombre de procdures peuvent contribuer mo- drer les anticipations, par exemple l"ventualit de premption en ZAD en zones U et AU desPLU, ou la
menace d"expropriation. Mais mme dans ce cas, pour ma"triser la temporalit de son opration, l"amnageur a maximum de propritaires. Ceci passe, l encore, par une ma"trise des techniques et savoir-faire de ngociation, nement Ç usage futur È la ralit des futurs cots et surcots d"amnagement (qualit urbaine du futur quartier, prise en compte des pollutions, des sols humides ou instables, etc.).Lorsque les contraintes de l"un et les exigences de l"autre ne s"accordent pas, ce qui arrive dans nombre de situa- tions, il est d"usage en France de recourir l"arbitrage du service des Domaines. France Domaine peut utiliser d eux mthode s d"valuation : terrains semblables vendus proximit. Dans ce cas, il attribue au terrain une valeur absolue, sans ncessai- rement prendre en compte les objectifs de politiques publiques sous-jacents l"opration (par exemple la cration de logements sociaux ou Ç abordables È). Si p eut contribuer effacer les tendances du march et ainsi aggr a ver l"effet cliquet. Dans d"autres cas (c"est une pratique aujourd"hui courante France Domaine), il ralise une valuation quivalente celle de l"amnageur (valuation par bilan), ce qui le conduit le plus souvent obtenir une estimation dfavorable au vendeur. Cet arbitrage, s"il n"est pas accept par le vendeur, peut servir de base une ngociation dont la russite dpend, e n propritaire. Il peut galement conduire un contentieux entra"nant une situation de blocage de longue dure.5Certu Amnagement oprationnel - novembre 2011Fiche n¡1 La formation des prix fonciers urbains
1SlIcmgffSeSfnPSdvIeufIbSol
Ces marchs peuvent donc tre
appels Ç marchs amna- geurs È car ce sont eux qui in- terviennent en achetant les terrains urbaniser ou recy- cler, pour les organiser (re- membrer), les quiper puis les revendre. La valeur de ces ter- rains quips est fonde sur les droits construire qu"ils de SHON autorise.L"amna
geur est rarement une personne physique, mme si un propritaire peut faire raliser les travaux de viabili- sation en son nom. Pour des petites oprations, on recourt en gnral une procdure de lotissement, dont le ma"- tre d"ouvrage est une collectivit ou un lotisseur priv, qui doit pralablement acqurir le foncier. Pour des projets plus importants, les ZAC sont menes rarement par descollectivi ts locales (amnagement dit Ç en rgie È), et plus souvent par un concessionnaire (priv, ou d"cono- mie mixt e), ou public (EPA ou SPLA).
Le prix de vente des terrains quip est le fruit d"un raisonnement particulier qui permet l"amnageur d"quilibrer son bilan. Pour cela, l"amnageur estime les dpenses de l"opration. Le prix du foncier devrait tre une donne d"ajustement, du moins une donne c onnue, ce qui n"est pas toujours possible, notamment dans le cadre des procdures de ZA C , longues, complexes et souvent sujettes contentieux. Des participations sont ngociables au bnfice de la collectivit, ou au contraire de l"amnageur. Ë cela s"ajoutent des travaux, des honoraires et des frais financiers. En face, les recettes doivent quilibrer l"opration. Elles dpendent des prix du march e t du programme dfini avec la c ol lectivit. gn".nÈr-*"qr"pr+ ,r**nvè+"7)-v"7+ r+,"séèq7r"+-*"Èr+"q*év,+"5
péè+,*-v*r")-:vÈ+ péÉ"é*,rè,La notion de marge brute
Par souci de simplification et de pdagogie, nous afficherons la notion de marge brute. Elle n"est pas les postes du bilan, conformment aux normesLe bilan de l"amnageur
Ç Marge brute È
Source : ADEF. 2011
Foncier
Prix du terrain
Cots d"amnagement
Dpollutions, terrassements,
ralisation des VRD, frais d"tudes...Cots de construction
des quipements (travaux et tudes)Participations ventuelles
au bnfice de la collectivitAutres frais
Frais et droits de mutations, frais annexes
Frais de structure et de commercialisation
Frais financiers et assurances
Marge nette
(rmunration des capitaux propres et impts)Dpenses
X m 2 de SHONConstructible en logement,
bureaux, activitsGSfPoSIoqhlgegnSolm
Recettes
Subventions d"quilibre
au bnfice de l"amnageur (en cas de bilan dficitaire) "NiocmSmIohltmPSdINgddSNncpcnu6Certu Amnagement oprationnel - novembre 2011Fiche n¡1 La formation des prix fonciers urbains
Ces marchs de Ç produits
finaux È correspondent aux marchs des terrains amnags (4 et 5), et au march de droits btir dans le tissu existant (6).
Sur ces marchs, le promoteur
terrains qu"il va construire ou reconstruire. Ces terrains sont incorpors dans les dpensesquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] le marché et le principe de la concurrence bac pro
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