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Cours de cancero generale partie 1 2014

Epidémiologie du cancer du sein. Page 7. Et par apport aux autres pays ? Hommes. Femmes. Page 8. l'incidence et la mortalité.





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Définition(s) du cancer. Le patient et les soignants: rôle du pharmacien/rôle de l'infirmier. Abord psychologique du patient. Les traitements.



le-cancer-du-sein-IFSI.pdf

30 nov. 2018 ATCD personnel ou familial de cancer du sein. ? Obésité alimentation



Le cancer du rein

Traitement: cancer M+. • Cancer métastatique (10 à 40% d'emblée). • Chirurgie. • Néphrectomie élargie : si bon état général. En cours d'évaluation.



Présentation PowerPoint

Le cancer bronchique est le cancer le plus fréquent chez l'homme en France radiologiques au cours de l'évolution du cancer mais.



2016-Cancers-gynecologiques.pdf

13 janv. 2016 Cours IFSI de Dijon ... Incidence du cancer de l'ovaire en 2008 : 4. 300nouveaux cas en France. 7ème cause de cancer en 2008 chez la femme.



ifsi dijon

? Physiologie: ? Transformations cellulaires par mutations génétiques. ? Plus de régulation prolifération exagérée… ? Etude des cancers:.



Cancer du sein

Les comorbidités et l'ensemble des traitements en cours sont documentés. L'examen clinique permet l'appréciation de certains critères pronostiques pris en 

Rôle du pharmacien et collaboration en ville

Valérie MATZ, Pharmacien Janvier 2015

Introduction

Quelques généralités

Définition(s) du cancer

Le patient et les soignants: rôle du pharmacien/rôle de l'infirmier

Abord psychologique du patient

Les traitements

Les principales toxicités des anticancéreux (anémie, neutropénies fébriles, mucites, NVCI, alopécie) et les soins de support

La place des thérapeutiques dites " naturelles »

Conclusion

Le cancer est une maladie décrite depuis l'Antiquité. C'est le médecin grec Hippocrate qui leur a donné pour la première fois les noms grecs de " karkinos » et " karkinoma ». Longtemps, le cancer a été une maladie incurable. Aujourd'hui, grâce aux progrès de la médecine, nombre de cancer sont guéris. Pourtant, le mot garde encore de nos jours une charge symbolique puissante, associée à des évocations particulièrement sombres.

C'est encore une maladie qui fait peur...

Pourtant, dans la majorité des cas, plus un cancer est soigné tôt, moins les traitements sont lourds et meilleures sont les chances de guérison

Environ 355 000 nouveaux cas de cancer (200 000

hommes et 155 000 femmes) sont estimés en France en 2012.

Environ 85 000 hommes et 63 000 femmes en

décèderaient chaque année. Le cancer de la prostate est de loin le cancer le plus fréquent chez l'homme avant le cancer du poumon et le cancer colorectal. Chez la femme, le cancer du sein est le plus fréquent avant le cancer colorectal et le cancer du poumon.(Source INCa 2012)

2003-2007: premier plan cancer

Il a posé les bases de l'organisation de l'offre de soins et a développé la prévention et le soutien à la recherche

2009-2013: deuxième plan cancer

Tout en consolidant les acquis du 1

erPlan il a impulsé un nouvel élan et ouvert de nouveaux chantiers: amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de cancer et réduction des inégalités de santé face à cette maladie.

2014-2019 : troisième plan cancer présenté par le président de la

République le 4 Février 2014, autour de 4 grandes prioritésFace aux cancers, enjeux majeurs de santé publique, la mise en place de plans

nationaux a été soutenue depuis 2003

Guérir plus de personnes malades

Préserver la continuité et la qualité de vie

Investir dans la prévention et la recherche

Optimiser le pilotage et les organisations

L'institut national du cancer (INCa) coordonne le suivi du

Plan cancer et la mesure de ses résultats

www.e-cancer.fr Le mot latin cancer, désignant crabeou écrevisse, prend à la fin du XVe siècle en français le sens de tumeur maligne. Ce rapprochement est justifié, par Galien, Henri de Mondeville puis par Ambroise Paré (1509-1590), par l'aspect d'une tumeur qui présente

une masse centrale d'où rayonnent des veines gonflées ou des ramifications, comme des pattes, par l'adhérence de la tumeur qui

s'accroche aux tissus voisins comme avec des pinces; au début du XIXe siècle, Récamier fera en outre remarquer que le cancer, comme le crabe ou l'écrevisse, reconstitue un fragment de chair arraché. Une description de nos connaissances actuelles des cancers, sur le plan biologique et médical invite à dépasser cette représentation.

Sur le plan biologique: dysfonctionnement au niveau de certaines cellules de l'organisme. Multiplication de manière anarchique, puis prolifération à distance: les métastases

Sur le plan médical: c'est en fait un groupe de maladies très différentes les unes des autres.

C'est pourquoi on devrait parler non pas du, mais des cancers, au pluriel. Cellules dérivant d'un même clone,se divisant indéfiniment Ces cellules se divisent d'une manière incontrôlée Prolifération cellulaire anormale au sein d'un tissu normal

Perte de l'inhibition de contact

Modification de l'apoptose: les cellules ne meurent plus! Différentes étapes ont été identifiées dans le développement d'un cancer:1)

Initiation:

lésion majeure au niveau de l'ADN d'une cellule transformation de cette cellule 2)

Promotion:

la cellule transformée se développe et prolifère en formant un groupe de cellules transformées identiques 3)

Progression:

la cellule acquiert les caractéristiques d'une cellule cancéreuse elle se multiplie de façon anarchique... L'évolution se fait d'abord localement puis peut s'étendre à d'autres parties du corps via le sang et la lymphe: métastases En fonction de l'histologie, on distingue:▪Les tumeurs solides:? Les carcinomes : apparition de cellules cancéreuses dans un épithélium ( sein ou prostate = adénocarcinome cad se développant dans une glande) Les sarcomes : apparition de cellules cancéreuses dans un tissu " de support » (os, graisse ou muscle)

▪Les tumeurs liquidesou cancer hématopoïétique : le cancer affecte le sang ou les organes lymphoïdes (lymphomes, leucémies)

Tumeurs solides ≠ Tumeurs " liquides »

Bilan d'extension: déterminer au moyen d'examens radiologiques, cliniques et biologiques le stade de la maladie (local, régional, général)

Rôle au niveau pronostic et thérapeutique

Expression des résultats:

Survie sans récidive: délai qui existe entre diagnostic et rechute Survie: délai séparant le diagnostic du cancer et le décès du patient

Probabilité de survie à 5 ans

Le TNM est un système de classement reposant sur l'extension tumorale locale, régionale (ganglionnaire) et métastatique. Il a été établi pour permettre des comparaisons en particulierinternationales. Le T va de 1 à 3 ou 4 selon l'extension locale révélée par le bilan clinicoradiologique LeN va de N0 à N3 selon la présence, la taille et le siège des adénopathies. Le Mcorrespond à l'existence(M1) ou non (M0) de métastases #" ²²¨¥¨¢ ³¨® 4.-

Classification TNM

Système international

Selon extension anatomique

T0 = absence de tumeur T1 (petite tumeur) T4

(grosse tumeur)

N= Node en anglais, ganglions

Métastases: oui/non

Peut donner le stade: stade métastatique=stade IV

Définition: c'est un score international défini par l'OMS permettant d'évaluer l'état du patient

0: Capable d'une activité identique à celle précédant la maladie sans

aucune restriction.

1: Activité physique diminuée mais ambulatoire et capable de

mener un travail.

2: Ambulatoire et capable de prendre soin de soi-même,

incapable de travailler.

Alité moins de 50 % de son temps.

3: Capable seulement de quelques soins.

Alité ou en chaise plus de 50 % du temps.

4: Incapable de prendre soins de soi-même.

Alité ou en chaise en permanence.

Avérés et bien connus des Français : alcoolet tabac Le tabac serait à lui seul responsable de 44 000 décès par cancer; attention au tabagisme passif... Alimentation: diversifiée, riche en fruits et légumes et associée à la pratique régulière d'une activité physique. Exposition aux rayonnements UV (soleil, séances d'UV)

Stress (phénomène oxydatif)

Environnement(amiante, particules Diesel, bisphénol A, substances chimiques, pesticides,...) Age, prédispositions génétiques: facteurs non contrôlables Le patient

Chirurgiens,

Médecins,

Oncologues

Infirmiers,

aides- soignants

Pharmaciens

ville ou hôpital

Intervenants

divers Ce qu'il faut retenir, c'est que nous sommes tous des soignants!

PHARMACIEN

Faciliter

l'observance

Délivrer des

ordonnances

Conseiller

Rassurer

Ecouter

Compétences

généralistes

Proximité

Confiance

C'est un professionnel du médicament mais aussi de santé:oFiableoDisponible oAccessibleoA l'écouteoRôle de conseil

L'officine est un lieu de confiance

Mais, attention à bien respecter les règles déontologiquesetéthiques. Toujours donner un conseil et non un avis médical ( on ne connaît pas le dossier médical du patient) Etre à l'écoute: que sait il? Qu'a t-il envie de savoir? Ne pas donner trop d'informations, dont il n'a pas besoin.

Quels mots est-il prêt à entendre?

Ne pas oublier: à l'annonce d'un cancer, la personne passe du statut de personne en bonne santé à une personne malade. La prise en charge est brutale et le patient est entraîné dans une spirale de soins qu'il ne maitrise pas

?Mettre à disposition du patient les traitements prescrits parson médecin.?Surveiller l'observance, l'apparition de toxicités et orientervers la consultation médicale si nécessaire.?Réaliser les soins au quotidien: soins de pansements,administration des médicaments (chimio en particulier), vérifierles sites d'injection...?Dialoguer et rassurer le patient. Lui expliquer son traitementen complément de ce qu'il sait déjà, dans le respect de ce quele patient veut entendre ou savoir.?Rôle essentiel dans la prise en charge de la douleur

Ordonnance à l'en-tête du Pr C., rhumatologie et cancérologie osseuse, CHU X

Pour Mr G., 67 ans

Prendre 4 jours de suite ALKERAN

® cp à 10mg: 3cp le matin, 4cp

le midi, 4cp le soir à prendre de préférence 30' avant le repas

Cortancyl: 50mg le matin, 40mg vers 16H

Faire pratiquer une prise de sang une fois/semaine pour NFP,

CRP, créatininémie

Analyse de la prescription:

Que faites vous?

ALKERAN

® dosage 10mg n'existe pas!!!

Erreur de prescription: médecin écrit

10mg au lieu de 2mg Dispensation faite en correspondance correspondance (erreur du pharmacien):? Soit 15cp à 2mg le matin, 20cp le midi et 20cp le soir;

55cp/jour pendant 4 jours!!!

Administration de la dose par une infirmière au chevet du patient: erreur de l'infirmière

3 erreurs... Décès du patient

Décès du patient d'une aplasie médullaire

S'interroger sur son interlocuteur?

Est-ce le patient lui-même ou bien un proche?Si c'est un proche, ce peut être le conjoint, un enfant,

un parent, un ami, un voisin, une connaissance, ou autre...Le dialogue sera alors différent, selon notre interlocuteurMais angoisse ou anxiété peut être présente chez les accompagnants

On distingue 3 phases:䐼䐼䐼䐼

La phase d'annonce Vient d'apprendre sa maladie ou est en attente des résultats䐽䐽䐽䐽

La phase de rechute

Récidive de la maladie

La phase terminale Inefficacité des traitements, on cherche désormais à améliorer la qualité de vie

Attention prudence !

Je ne connais pas le

dossier médical, je ne sais pas ce que le patient sait...

Donc▪Etre prudent▪Etre rassurant▪Ne pas parler traitement▪Le patient doit prendre le

temps d'accepter sa maladiePhase d'annonce

Toujours être prudent

Toujours rassurer

Parler des traitements,

des progrès médicaux, des avancées thérapeutiques

Susciter l'ESPOIRPhase

de rechute

Toujours être prudent

Ne surtout plus parler

traitement

Difficulté pour l'équipe

soignante d'avouer la situation d'échec

Difficulté pour le malade et/ou

la famille à l'accepter

Le but désormais est

d'améliorer la qualité de vie du patient

Soins palliatifs

Dignité, calme, sérénité

Phase terminale Intervention d'une équipe de comédiens: la compagnie

SOLENTINAME: forum-théatre

Leur but: faire entrer la vie dans le service et rendre le sourire aux patients en respectant leurs souhaits et ceux de leurs familles L'équipe intervient depuis 2012, pour le plus grand plaisir des patients, de leur famille et des soignants!

4 attitudes du patient sont possibles:▪Attitude dépressive

: il s'enferme sur lui-même ▪Attitude de refus : le DENI; rejet de la maladie ▪Agressivité, culpabilité : pourquoi lui? Rejet de la faute sur le personnel soignant ▪Banalisation : maladie banale, il parle librement de sa maladie (notion de petit cancer) Le professionnel que nous sommes doit composer avec ces données: notion d'adaptabilité

Tumeur

Chirurgie

ChimiothérapieCurative, palliative,

(thérapies ciblées)

Radiothérapie

Exclusive, pré ou post

opératoire

Immunothérapie(Ex: IMMUCST)

Hormonothérapie

Certaines tumeurs (sein,

prostate) La stratégie thérapeutique est adoptée en concertation pluridisciplinaire (RCP):✔

Prise en charge optimale

Intervention de différents spécialistes

Choix du traitement possible après connaissance de la malignité (tumeur, extension, état général)

Principe de traitement:✔

Curatif (guérison du patient), toxicité lourde acceptée Palliatif (prolongation de la vie et maintien de la qualité de vie)

Ce que l'on retient✔Chirurgie (loco-régional)✔Radiothérapie (loco-régional)✔Chimiothérapie (loco-régional et général)

Trident

thérapeutique

Différentes stratégies chimiothérapeutiquesCe que l'on retient:✔Chimiothérapie curative✔Chimiothérapie locorégionale✔Chimiothérapie adjuvante= après chirurgie ou radiothérapie✔Chimiothérapie néo-adjuvante = réduction de la taille de la

tumeur avant chirurgie✔Chimiothérapie métastatique curative ou palliative✔Association radio-chimiothérapie

Multiples voies: IM,SC, IT, IP, PO

Voie principale = Voie parentérale

Une nécessité: protéger le capital veineux car les cures successives de médicaments en majorité agressifs vont l'éprouver Abord veineux: périphérique ou central. De loin c'est l'abord qui sera préféré car administration du traitement directement dans la circulation générale

Minimiser les risques

Abord parentéral central

Accès vasculaire central▪Cathéter central▪Chambre implantable (CI): système d'accès vasculaire implanté sous la peau, repérable par palpation, accessible avec une aiguille spécifique Indications: traitement des chimiothérapies anticancéreuses prolongées (nutrition parentérale, antibiothérapie répétée, traitement des douleurs chroniques)? Accessoires de perfusion•Aiguille de Huber pour chambre implantable

AVANTAGES

?Permet de traiter en ambulatoire désengorger les services hospitaliers?Pas d'abord veineux?9 patients sur 10 préfèrent Oral/Parentéral ?Moins coûteux (relativement)?Autonomie du patient et participation active à son traitement?Gain en autonomie mais aussi en qualité de vie (conservation de sa vie sociale et professionnelle)

?INCONVENIENTS

?Patient seul à la maison= Pas d'encadrement par un professionnel de santé?Observance??Recours aux médecines parallèles +++?Polychimiothérapie? Association avec un produit de prévention d'un effet IIre?Gestion des toxicités: effets indésirables potentiellement graves ?Manipulation des produits anti-cancéreux (risques)

Principaux traitements anticancéreux par voie orale délivrés à l'officine:?Chimiothérapies conventionnelles✔

ALKERAN

®: melphalan (myelome, ovaire, rein)

ENDOXAN

®: cyclophosphamide (tumeurs solides et hémato)

HYCAMTIN

®: topotécan (poumon)

NAVELBINE

®: vinorelbine (poumon, sein)

XELODA

®: capécitabine (côlon, sein, estomac)

?Thérapies ciblées✔

AFINITOR

®: évérolimus (rein)

GLIVEC

®: imatinib (LMC)

NEXAVAR

®: sorafénib (foie, rein)

SPRYCEL

®: dasatinib ( LMC)

SUTENT

®: sunitinib ( GIST,rein)

TARCEVA

®: erlotinib (poumon, pancréas)

TYVERB

®: lapatinib (sein métastatique en association avec capécitabine)

Principaux traitements anticancéreux par voie orale délivrés à l'officine:?Hormonothérapie✔

ANANDRON®: nilutamide (prostate)

ARIMIDEX®: anastrozole (sein femme ménopausée) AROMASINE®: exemestane (sein femme ménopausée)

CASODEX®: bicalutamide (prostate)

FEMARA®: létrozole (sein femme ménopausée) MEGACE®: mégestrol (ttt palliatif Kc du sein)

NOLVADEX®: tamoxifène (sein)

Avancée thérapeutique majeure dans les années 2000 On parle aussi de thérapeutique ou de ttt ciblé

Ce sont des médicaments

Selon leur cible ils visent à freiner ou à bloquer la croissance de la cellule cancéreuse par différents moyens:

En l'affamant: anti VEGF

En provoquant sa destruction: ITK

En dirigeant le système immunitaire contre elle: AC monoclonaux

En l'incitant à redevenir normale???

Intérêts majeurs de ces thérapeutiques:

✔Le ciblage✔Limiter les toxicités✔Economie financière qui en découle (réduction de la

durée des hospitalisations, moins de médicaments de support prescrits), mais produits en eux-même très coûteux ITK: Inhibiteurs de Tyrosine Kinase " nib »✔ nilotinib: TASIGNA® dasatinib: SPRYCEL®

Gefitinib: IRESSA®

Imatinib: GLIVEC®

ETC....

Anticorps monoclonaux " mab »✔

Trastuzumab: HERCEPTIN® (le premier)

Cétuximab: ERBITUX®

Bevacizumab: AVASTIN®

Améliorer la qualité de vie des malades est au coeur du dispositif Plan Cancer, pendant et après la maladie. La prise en charge d'un cancer ne s'arrête pas au ttt de la seule maladie. Des soins appelés soins de support existent et sont là pour assurer la meilleure qualité de vie possible. Ces soins contribuent à soulager les effets indésirables des ttt, à atténuer la fatigue ou la douleur et apportent un soutien psychologique ou social tout au long de la maladie et aprèsTraduit de l'anglais " supportive care »

Communes

: hématologiques, digestives, alopécie

Spécifiques à certains produits

: rénale, cystite hémorragique, cardiaque, pulmonaire, neurologique

A long terme

: stérilité, risque de Kc secondaire (produits carcinogènes, mutagènes comme les agents alkylants)

Toxicité fréquente

C'est une toxicité limitante, c'est-à-dire qu'elle peut nécessiter une diminution des doses, une interruption momentanée ou définitive du ttt Perte de vitesse dans la course à la guérison

Les trois lignées peuvent être touchées:

Les GR: anémie

Les GB: neutropénie

Les plaquettes: thrombopénie (risque au niveau de la coagulation)

Définie par un tx d'Hb < 12g/dl chez la femme

< 13g/dl chez l'homme

Si taux <6,5g/dl transfusion

Signes cliniques: fatigue intense, pâleur, tachycardie, dyspnée, perte de poids, de cheveux, troubles du sommeil, anxiété,... Participe au diagnostic du Kc (souvent présente avant et incite à consulter) ≈ 40%des patients Perturbe la qualité de vienécessité de prise en charge

Le traitement de l'anémie:

Erythropoïétine= facteur de croissance des GR

EPREX®: Epoïétineα( biosimilaire)

NEORECORMON®: Epoïétine β

ARANESP®: Darbopoïétine (le plus prescrit)

Indications des érythropoïétines:

Si Hb < 10g/dl

Si 10g/dl< Hb < 12g/dl et avec:•

Comorbidités respiratoires

Age > 75 ans

Chimiothérapie fortement hématotoxique

Voie d'injection: SC

Eprex 40.000 UI/ sem

Neo-Recormon 30.000 UI/sem

Aranesp: 3 schémas•

150μg/sem

300μg ttes les 2 sem

500μg ttes les 3 sem

Faibles dosages

réservés à l'IRC

Dans les 8 heures!

Neutropénie: taux de polynucléaires neutrophiles circulantsquotesdbs_dbs50.pdfusesText_50
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